lundi 13 janvier 2014

Le masculin agit dans le mouvement de retour intérieur où le féminin émane l'amour


 
Martin Labar


Une bonne nuit de sommeil et toujours cet élan à me lever, à vouloir entrer dans la vie avec enthousiasme ! Parfait contraste avec ce que j’ai vécu pratiquement le reste de ma vie où la première pensée au réveil, était de fuir la réalité de ce monde, d’échapper au cauchemar, en me fabriquant un rêve de douceur artificielle. Tant que je pensais avoir à subir le monde, je n’avais pas d’autre choix que de m’en évader coûte que coûte. Maintenant que je constate chaque jour, que je créé ma vie par résonance vibratoire et que la notion de jugement moralisateur n’a absolument rien à voir et que ça constitue même le  barrage qui empêche la libération et la guérison, je reviens de plus en plus rapidement au centre, heureuse de pouvoir agir ! D’être créatrice de ma vie, de choisir ce que je veux vivre, les énergies que je veux nourrir, porter et rayonner. Et quand quelque chose de désagréable survient, je ne panique plus, je reviens au centre de moi-même, à la base de mes connaissances et en appliquant la technique du miroir, je sais ce qui a besoin d’être aimé, accepté, libéré ou guérit en moi. Dans ces conditions, il n’y a plus de victime, plus d’enfermement, plus d’accusation, de jugement. Plus de récompense mais un retour naturel des fréquences émises donc plus de peur de la punition. Plus d’attachement au résultat mais l’envie de bien vivre le moment présent. Plus d’éparpillement, mais un centrage permanent qui libère l’énergie de vie, la puissance d’être maitre en sa demeure !

dimanche 12 janvier 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua* via James Twyman, leçon n°19




Nous sommes réunis sur un pont tellement sacré, que les mots ne peuvent décrire la grâce que nous ressentons. Pour un moment, nous allons nous arrêter et considérer le voyage d’une sainte pensée vers une autre, à partir de l’endroit que vous n’avez jamais quitté, la maison où vous avez toujours vécu.
Votre pensée a momentanément vagabondé au loin, mais votre Esprit est toujours resté sur place, et nous allons maintenant le rejoindre avec la conscience de votre Mental Illuminé et votre Cœur Éveillé.
La conscience de qui vous avez toujours été, est la seule chose qui a manqué, cependant, même ceci s’efface dans l’océan d’éternité. Rien n’a été perdu, toutes les pensées de séparation se dissolvent dans la Sainte Vision que vous avez maintenant. Encore un pas, et vous y êtes. Prenez ma main, et je vous conduirai en toute sécurité, dans votre Soi Sacré.
Je désire expliquer la particularité de ce pas final, celui que nous nommons « Esprit Réalisé ».

"Réception et ouverture"




Comme il est doux de se laisser guider en toute confiance par l’âme, le cœur, la présence divine. Bien que je pense que l’accès à une connaissance plus pointue du divin que je suis, soit « bloqué », j’apprécie tout de même d’être inspirée et guidée pas à pas, vers mon soi supérieur. Je n‘aime pas bien cette expression qui reste un point de vue dualiste, une vision hiérarchique qui n’a pas vraiment lieu d’être. Selon ce que je ressens, il s’agit d’une association, d’un partenariat, d’une unité composée de différents points de vue ou dimensions qui se rejoignent au carrefour de l’être, au point zéro, dans le cœur.
Même si cette image est un peu simpliste, c'est volontaire et ça réponds à un besoin de considérer les choses à partir du cœur afin de ne pas répéter les erreurs du passé. Bien que ça remonte à une époque très lointaine, le souvenir qui se limite à une seule image, est encore vivant en moi et il s’exprime à travers une peur qui est en fait une protection.
Je me suis adressée à cette émotion et lui ai demandé de s’exprimer, de libérer sa charge énergétique afin que nous puissions considérer ensemble la raison de ce blocage, de façon neutre. Il semble qu’elle soit allégée et que le temps soit venu de "tomber les barrières" tout autant que les masques. Cette peur est en fait une garantie, une fermeture volontaire du troisième œil.

samedi 11 janvier 2014

Mission de vie "3", par Murielle Robert



Voici par Murielle Robert, le premier article consacré aux missions de vie. Elle a commencé par le chiffre "3" et comme je suis très logique et disciplinée, j'ai commencé par publiée le "8"! Vous trouverez les liens accédant à celles postées précédemment, en fin de message. 




"Tout ce que j’expérimente est créé par l’humain et le divin que je suis et m’aide à être en mon cœur ou à y revenir".



Patrick Smith


Tout est relié et ce que nous faisons dans la matière est l’expression de ce que nous vivons en dedans. Le monde extérieur reflète le monde intérieur, l’individu et le collectif sont intimement reliés. Voilà la base de ma foi et ma façon d'envisager ce qui est.
Difficile dans ces conditions de ne pas être influencé par l’extérieur, de ne pas réagir aux stimuli, aux idées, aux croyances balancées sur la toile, dans une course à celui qui dénoncera plus, enseignera plus, sera le plus visible, le plus lu, le plus crédible et le plus reconnu. Comme je n’ai jamais voulu entrer en compétition, cette tendance au sensationnel me donne plutôt l'envie de me taire, de chercher le silence intérieur. 
C’est comme si tout le monde voulait réaliser la prophétie, être le premier à révéler les secrets de la vie, de l’élite, de l’humain divin et même de l'univers. 
Mais y-a-t-il un intérêt à affirmer qu’on sait la vérité ? La seule qui me semble juste, utile et qui n’affecte pas la souveraineté de chacun, c’est seulement l’amour, l’acceptation de ce qui est. Selon mon expérience, mon ressenti et ma logique, Il y a 7 milliard d'humains, 7 milliards de chemins, donc autant de "vérités", mais il y a une seule porte ; celle du cœur.
Une phrase revient souvent dans ma tête en ce moment, c’est : « malheur à celui par qui le scandale arrive ». Elle vient de nulle part et n’est pas portée par une vibration de peur ou de jugement. Elle me donne à réfléchir et j’en viens toujours à me dire que cette mise en garde de Jésus est tout  fait à propos. Selon ce que je pense, son malheur, c'est de projeter ses propres ombres à l'extérieur, et ça le maintient dans le déni, l'irresponsabilité, la fuite,  ce qui ne résout rien ni en dedans ni au dehors.

vendredi 10 janvier 2014

« Les énergies masculine et féminine » Jeshua par Pamela Kribbe





Ou la renaissance de l’énergie masculine

Cette canalisation a été présentée à une séance publique, le 12/12/2004 à Tilburg (Hollande). Le texte a été revisité plus tard pour une meilleure lecture.

Depuis les sphères immatérielles jusqu’au cœur de la matière, la boucle est bouclée !



Lydia Féliz


Une nouvelle nuit d’un bon sommeil réparateur avec un petit passage à "l’école de la nuit", me montre que la paix qui s’installe quand on choisit de vivre en elle, se répand dans tous les corps, peu à peu, jusqu’à s’ancrer dans la matière.  
Quand on la choisit au niveau de la pensée, elle créé un état d’esprit qui génère des gestes spécifiques et les émotions vont alors se caler sur cette fréquence, elles seront moins violentes, puis moins fréquentes, jusqu’à ne plus réagir aux stimuli extérieurs. Puis les pensées seront aussi sur une fréquence plus élevée donc l’intellect sera optimisé, on sera éclairé par l’esprit comme tout le monde, mais comme la voix de la peur ne viendra plus s’immiscer dans le discours, on reconnaitra plus facilement l’inspiration, la voix de l’âme. Ce fonctionnement de pensée épuré, associé à des émotions allégées, les gestes seront plus calmes, efficaces parce que réfléchis. Petit à petit, on sort du conditionnement inconscient action/réaction puisque les énergies seront beaucoup plus légères, ce qui permet de prendre du recul sur ce qui arrive en soi et autour. Comme la pensée/émotion créé les situations du quotidien, il reflètera la paix, l’entente, la confiance en soi et en l’autre. Ce cercle vertueux favorise l’amplification de l’amour de soi, de la confiance en ses capacités de maitriser sa vie, simplement par le fait d’user de son libre arbitre, de faire le "bon" choix. Celui qui élève au lieu d’enfoncer dans l’inconscience et le mal-être.