dimanche 12 janvier 2014

"Réception et ouverture"




Comme il est doux de se laisser guider en toute confiance par l’âme, le cœur, la présence divine. Bien que je pense que l’accès à une connaissance plus pointue du divin que je suis, soit « bloqué », j’apprécie tout de même d’être inspirée et guidée pas à pas, vers mon soi supérieur. Je n‘aime pas bien cette expression qui reste un point de vue dualiste, une vision hiérarchique qui n’a pas vraiment lieu d’être. Selon ce que je ressens, il s’agit d’une association, d’un partenariat, d’une unité composée de différents points de vue ou dimensions qui se rejoignent au carrefour de l’être, au point zéro, dans le cœur.
Même si cette image est un peu simpliste, c'est volontaire et ça réponds à un besoin de considérer les choses à partir du cœur afin de ne pas répéter les erreurs du passé. Bien que ça remonte à une époque très lointaine, le souvenir qui se limite à une seule image, est encore vivant en moi et il s’exprime à travers une peur qui est en fait une protection.
Je me suis adressée à cette émotion et lui ai demandé de s’exprimer, de libérer sa charge énergétique afin que nous puissions considérer ensemble la raison de ce blocage, de façon neutre. Il semble qu’elle soit allégée et que le temps soit venu de "tomber les barrières" tout autant que les masques. Cette peur est en fait une garantie, une fermeture volontaire du troisième œil.

samedi 11 janvier 2014

Mission de vie "3", par Murielle Robert



Voici par Murielle Robert, le premier article consacré aux missions de vie. Elle a commencé par le chiffre "3" et comme je suis très logique et disciplinée, j'ai commencé par publiée le "8"! Vous trouverez les liens accédant à celles postées précédemment, en fin de message. 




"Tout ce que j’expérimente est créé par l’humain et le divin que je suis et m’aide à être en mon cœur ou à y revenir".



Patrick Smith


Tout est relié et ce que nous faisons dans la matière est l’expression de ce que nous vivons en dedans. Le monde extérieur reflète le monde intérieur, l’individu et le collectif sont intimement reliés. Voilà la base de ma foi et ma façon d'envisager ce qui est.
Difficile dans ces conditions de ne pas être influencé par l’extérieur, de ne pas réagir aux stimuli, aux idées, aux croyances balancées sur la toile, dans une course à celui qui dénoncera plus, enseignera plus, sera le plus visible, le plus lu, le plus crédible et le plus reconnu. Comme je n’ai jamais voulu entrer en compétition, cette tendance au sensationnel me donne plutôt l'envie de me taire, de chercher le silence intérieur. 
C’est comme si tout le monde voulait réaliser la prophétie, être le premier à révéler les secrets de la vie, de l’élite, de l’humain divin et même de l'univers. 
Mais y-a-t-il un intérêt à affirmer qu’on sait la vérité ? La seule qui me semble juste, utile et qui n’affecte pas la souveraineté de chacun, c’est seulement l’amour, l’acceptation de ce qui est. Selon mon expérience, mon ressenti et ma logique, Il y a 7 milliard d'humains, 7 milliards de chemins, donc autant de "vérités", mais il y a une seule porte ; celle du cœur.
Une phrase revient souvent dans ma tête en ce moment, c’est : « malheur à celui par qui le scandale arrive ». Elle vient de nulle part et n’est pas portée par une vibration de peur ou de jugement. Elle me donne à réfléchir et j’en viens toujours à me dire que cette mise en garde de Jésus est tout  fait à propos. Selon ce que je pense, son malheur, c'est de projeter ses propres ombres à l'extérieur, et ça le maintient dans le déni, l'irresponsabilité, la fuite,  ce qui ne résout rien ni en dedans ni au dehors.

vendredi 10 janvier 2014

« Les énergies masculine et féminine » Jeshua par Pamela Kribbe





Ou la renaissance de l’énergie masculine

Cette canalisation a été présentée à une séance publique, le 12/12/2004 à Tilburg (Hollande). Le texte a été revisité plus tard pour une meilleure lecture.

Depuis les sphères immatérielles jusqu’au cœur de la matière, la boucle est bouclée !



Lydia Féliz


Une nouvelle nuit d’un bon sommeil réparateur avec un petit passage à "l’école de la nuit", me montre que la paix qui s’installe quand on choisit de vivre en elle, se répand dans tous les corps, peu à peu, jusqu’à s’ancrer dans la matière.  
Quand on la choisit au niveau de la pensée, elle créé un état d’esprit qui génère des gestes spécifiques et les émotions vont alors se caler sur cette fréquence, elles seront moins violentes, puis moins fréquentes, jusqu’à ne plus réagir aux stimuli extérieurs. Puis les pensées seront aussi sur une fréquence plus élevée donc l’intellect sera optimisé, on sera éclairé par l’esprit comme tout le monde, mais comme la voix de la peur ne viendra plus s’immiscer dans le discours, on reconnaitra plus facilement l’inspiration, la voix de l’âme. Ce fonctionnement de pensée épuré, associé à des émotions allégées, les gestes seront plus calmes, efficaces parce que réfléchis. Petit à petit, on sort du conditionnement inconscient action/réaction puisque les énergies seront beaucoup plus légères, ce qui permet de prendre du recul sur ce qui arrive en soi et autour. Comme la pensée/émotion créé les situations du quotidien, il reflètera la paix, l’entente, la confiance en soi et en l’autre. Ce cercle vertueux favorise l’amplification de l’amour de soi, de la confiance en ses capacités de maitriser sa vie, simplement par le fait d’user de son libre arbitre, de faire le "bon" choix. Celui qui élève au lieu d’enfoncer dans l’inconscience et le mal-être.

jeudi 9 janvier 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua* via James Twyman, leçon 18



Josephine Wall

Vous êtes en entraînement intense, même si vous ne réalisez peut-être pas où il vous mène. Vous avez voulu devenir des Pacifistes Spirituels, mais il vous est encore impossible de comprendre la signification de ceci. C’est une paix très différente de celle que le peuple conçoit, et aussi la façon dont elle peut être accomplie.
Cependant, c’est déjà clair pour vous. Vos yeux commencent à s’ouvrir à la réalité que nous recherchons, mais ils sont encore à moitié ouverts. Vous voyez deux mondes à la fois, l’un qui provient de l’imagination des rêves, où vous avez créé un monde construit sur une fondation impossible, et l’autre où vous voyez clairement la vérité qui ne change jamais.
Vous pouvez vous retrouver entre ces deux mondes sans même vous en rendre compte, car les différences sont souvent subtiles et difficiles à percevoir. Mais elles vont bientôt devenir plus évidentes, et vous ne pourrez plus continuer à nier la vérité. Bientôt, vos yeux vont s’ouvrir complètement, et le monde des rêves va disparaître en entier.
À ce moment là, vous allez comprendre la signification du terme: apporter la paix, non pas avec votre mental mais avec votre Soi. Ensuite, vous allez devenir un vrai serviteur de l’humanité, de la réalité, et tout ce qui existe va devenir parfaitement sensé.
Nous poursuivons la Seconde Illumination pour encore une leçon, avant d’aller plus loin. Il y a une étape que nous devons franchir ensemble, sinon ce sera seulement un concept de plus, au lieu d’une expérience réelle.
 Nous devons porter une attention toute particulière au Mental Éveillé, parce que c’est là que se situe la base réelle. 

On n'est jamais obligé de subir quoi que ce soit et le choix de l'amour de soi amène toujours un mieux-être!







Je me réveille avec la forte sensation que tout s’accélère et que le dépouillement total, le lâcher prise au niveau du mental devient urgent. Non seulement au niveau du mental mais aussi au niveau du corps émotionnel puisque les deux fonctionnent ensemble. J’observe ce que je suis depuis une nouvelle perspective mais ça m’amène à me critiquer et ça créé la confusion en dedans. Le fait que je publie un sketch de Dieudonné me positionne dans cette histoire, même si ça n’étais pas mon intention puisque je mettais en avant le fait que tout le monde exprime des vérités (tout autant que des conneries). Mais comme cette "affaire" est une manipulation de masse caricaturale à l’image de la dualité intérieure, je m’en veux un peu d’être tombée dans le panneau. Le caractère fluctuant du mental/émotionnel, m’amène à penser que tant que je continuerais de m’identifier à ces aspects de ma personnalité, je serais ballotée au gré du vent. Si j’ai joué le jeu de la victime, c’est que mon enfant intérieur a besoin de compassion et c’est la seule chose à retenir. Et même si je peux parfois douter qu’il guérisse définitivement, je constate que la tendresse à son égard me permet de retrouver la paix intérieure.
Ce qui revient souvent en ce moment, c’est cette phrase, plus comme un constat que comme une critique, bien que ce soit limite par moments : « qu’est-ce que je peux dire comme conneries » ! Puis tout de suite derrière, je me dis que c’est simplement le fait que je reste identifiée à ce qui est illusoire, aux personnages intérieurs, à l’ego, qui créé la confusion.