dimanche 15 décembre 2013

Suivre ses propres voix, être son propre maître, en toutes circonstances.





Je continue de suivre les envies de mon corps physique, mon propre rythme sans me fier à l’horloge mais en agissant à partir de l’élan, du désir, en tenant compte de tous mes besoins. Je considère maintenant le temps comme un moyen de séquencer, d'organiser et je n'en suis plus esclave puisque j'agis selon l’instant, le moment présent. 
Le résultat est un peu atypique et je crois que le plus étonnant, c’est mon rythme de sommeil. La formule n’est pas terrible mais je ne trouve pas mieux ! Je dors par tranche de 4 heures et bien que ça soit « anormal », je ne me fait plus de souci. 

Je suis passée de l’écoute de tous mes corps, en essayant de répondre équitablement à chacun d’eux puis en choisissant de lâcher prise, à faire selon l’élan du moment. 
Je trouve une paix intérieure durable et quasiment permanente et en même temps, j’affirme mon unicité. Je ne pense pas que ce rythme spécial durera et ça n’a pas d’importance puisque j’y trouve un équilibre, une cohérence. Tant que je suis capable de tenir compte des signes de fatigue, de ne pas forcer, de ne pas tomber dans les extrêmes, tout est bien. 

Depuis que je vais régulièrement sur Facebook, j’interagis avec des personnes de tous les genres, que je rencontre via des pensées, des croyances, exprimées sur les pages et dans les commentaires. J’en apprends beaucoup sur moi-même, les autres, sur l’humain en général. C’est aussi un super moyen d’être spontané et d’apprendre à se situer, à affirmer ses convictions tout en étant ouvert aux points de vue des autres.

Ce qui revient souvent c’est que nos élans passionnés sont la plupart du temps, l’expression d’un déséquilibre intérieur, d’une frustration, d’une souffrance. Les voix extrémistes et leur effet m’incitent à continuer de chercher le juste milieu en toute chose.

samedi 14 décembre 2013

Unique et UN à la fois; les mathématiques du coeur


Imgur


5h de sommeil sans interruption ! L’exploit ! Ce qui me vient à l’esprit ce matin, ce sont les dangers de la relation maître disciple ou celle de chef à subordonné ou encore de sportif et supporter, artiste et fan, amant et maitresse...Bref toutes ces « passions » entre humains, qui sont un réel danger pour l’intégrité d’un individu. Avoir des modèles, admirer quelqu’un, est un déni de soi qui ne peut qu’amener frustrations, envie et perte totale de pouvoir, de souveraineté. Vous aurez remarqué que je suis plutôt anarchiste, c'est-à-dire que je refuse d’avoir un « dieu » ou un maitre quel qu’il soit. Bien que je croie en l’existence du divin, ma vision de ce que c’est, n’a rien à voir avec tout ce qui est enseigné en général, par les gens dits spirituels ou religieux. 
J’ai toujours refusé de me soumettre à une autorité quelconque et je remercie mon âme d’avoir choisi cette enfance particulière, ces circonstances spéciales qui finalement m’ont amené à compter sur moi-même, sur mes propres convictions, ma propre intuition qui a toujours été mon guide. Dès l’adolescence, je me suis fait la promesse de ne jamais me laisser diriger, commander, manipuler par qui que ce soit.
Il n’est pas nécessaire d’être gendarmé pour savoir ce qui est correcte et ce qui ne l’est pas, pour respecter l’autre sans qu’on nous dise de le faire. Chacun possède une conscience, une expérience, un cœur, qui lui montrent ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Un enfant de trois ans sait parfaitement lorsqu’il blesse quelqu’un, lorsqu’il dépasse les limites, outre passe ses droits, empiète sur la liberté d’autrui. Là aussi, le fait d’avoir été abusé m’a appris à mesurer l’impact de ses actes, qu'on soit victime ou bourreau.

vendredi 13 décembre 2013

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jésus via James Twyman, leçon 9



 
Keith English
Aujourd’hui, nous commencerons par une pensée qui est le fondement de votre travail de guerrier spirituel. Elle représente l’expérience que vous cherchez, la récompense que vous savourerez. Quand vous l’aurez pleinement intégrée en vous, quand vous arriverez à prononcer cette phrase en toute confiance, alors vous saurez que vous êtes arrivés là où vos dons peuvent être offerts à l’Esprit de Vérité. L’Esprit se servira alors de vous, et vous saurez pourquoi vous êtes arrivés sur cette planète.
« Ma coupe est pleine »
Répétez cette phrase encore et encore, essayez de sentir l’énergie qui vient envelopper votre âme. Que veut-elle dire pour vous ? Comment devenir la coupe qui déborde de Grâce Divine ? N’est-ce pas ce que vous cherchez réellement ? Comment pouvez-vous donner aux autres ce dont vous n’avez pleinement pris conscience vous-même ? Ne croyez pas que dans votre humanité vous puissiez vous purifier de la pulsion de vous mettre en avant. Peut-être cela ne reflète-t-il pas la Vérité en vous, mais l’ego a toujours été un invité bienvenu dans votre maison. Vous oubliez rapidement qu’il était invité à rester, et donc vous n’aviez pas à prolonger son séjour. Si vous ne pouvez vous en défaire, la Grâce le peut. Pour cela, il vous faut l’acceptez pleinement et lui offrir l’ouverture qu’il désire : l’Intégrer plutôt que l’éliminer. Il partira alors de lui-même, vous permettant dès lors de Voir qui vous êtes vraiment : le Moi que vous avez toujours été, même quant vous rêviez à d’impossibles mondes.

"Le Peuple des Aigles" via Caroline Leroux



Vladimir Metcger

Salutations. Nous sommes les maîtres du Ciel et de l’élément air, que nous partageons avec nos frères les Condors. Nous sommes pourvoyeurs de justice et messagers divins, chevauchant plusieurs dimensions à la fois. Nous sommes le peuple des Aigles, agiles, rapides et féroces lorsqu’il le faut. Nous sommes les gardiens de l’équilibre des écosystèmes que nous survolons, ceux qui sont visibles et ceux qui ne le sont pas.
Notre don, notre plus grand cadeau est notre incomparable vision, celle des yeux, capable de repérer une proie à plusieurs centaines de pieds au-dessous, et celle de l’Esprit, la vision qui englobe le Grand Tout et qui sait ce qui se passe bien au-delà d’un simple habitat.
Nous avons la vision d’ensemble et notre dévouement est à garder l’équilibre entre le ciel et la terre, l’équilibre entre les différents mondes éthériques et l’équilibre physique, terrestre.
Nous, les Aigles, comme beaucoup de nos frères, travaillons aussi bien le monde terrestre que les mondes invisibles. Nous savons ce qui est écrit dans les Grandes Tablettes du temps. Voilà pourquoi les peuples aborigènes nous respectent tant: nous sommes connectés aux Bibliothèques Akashiques* et nous savons y lire les destinées des Âmes.
Lorsqu’un Être cherche à savoir ce qui y est inscrit, nous sommes les meilleurs guides! Nous avons la vision des différents mondes et comment ceux-ci s’inscrivent dans le temps, outil illusoire de la 3e dimension. Nous avons toujours été très sollicités lors des cérémonies de quête de visions et pour cause! Notre sagesse, nos cadeaux vous amènent à faire les bons choix, ceux qui viennent de la connaissance profonde!

Reconnaissance et gratitude...



Facebook TransLight


La petite révision matinale des événements de la veille, dès le réveil, me permet de faire l’état des lieux et de voir où j’en suis dans l’amour, la confiance et le respect de soi. Si je suis cohérente, et maintenant, si je respecte le contrat passé hier, avec les différents aspects qui me constituent. La phrase qui est venu assez rapidement est la suivante ; 
"tu n’aurais pas dû citer des noms hier", puis juste derrière, "on a dit qu’on honorait chacun de nos aspects intérieurs. Puis nous n'avons pas cité les personnes qui nous ont blessées ou qui ont eu un comportement hautain, puisque nous y avons vu l'occasion de nous réunir, de nous "serrer les coudes", en ce sens, nous reconnaissons le divin en elles, la "mission" de leur âme. Honorer tout le monde, inclut la part "immature" qui a besoin de reconnaissance et d’amour. D'autant plus qu'elle nous pousse à nous tourner vers les autres, elle est donc très précieuse. On peut dire que celle-ci, a plutôt été maltraitée dans l’ensemble, au point que le christ intérieur ait dû intervenir avec toute la puissance de son amour, à plusieurs reprises, obligeant les gardiens, ou plutôt stupéfiant les gardiens qui pour le coup ont été littéralement absorbés en cette énergie. Ce "miracle" leur a permis de s’associer au mental dans sa quête de vérité et d’adopter des stratégies de protection beaucoup moins rigides. La possibilité d’une ouverture s’est inscrite en eux permettant ainsi, par la suite, au flux d’amour d’atteindre l’enfant intérieur régulièrement. Ce denier a été rempli de cette énergie bienfaisante, guérissante, consolatrice d’une façon si puissante qu’il a pu guérir une grande part de ses souffrances et ainsi de pouvoir exprimer sa joie naturelle. En même temps se sentant reconnu et honoré dans ses besoins d’aimer et d’être aimé, il a participé à adoucir ma personnalité et mon comportement général.

jeudi 12 décembre 2013

L’union intérieure fait la Force



Lydia Féliz


Quand on a souffert, peu importe la raison, le degré d’injustice, de rejet, d’abandon, de trahison ou d’humiliation qu’on ait subi, ce qui en mesure l’intensité, c’est la façon dont nous l’avons vécu, encaissé, traduit et les séquelles que nous en gardons. Il n’y pas de hiérarchie dans la souffrance ni d’ailleurs dans la valeur d’une personne. A l’image du monde qui se dispute pour savoir quel est le peuple qui a le plus souffert et donc qui mérite la plus grosse réparation, ce qui est vécu à l’intérieur, peut être estimé par celui qui l’a ressenti dans sa chair.
La seule chose certaine, c’est que nous pouvons guérir par nous-même. Je dis bien par nous-mêmes. Lorsque nous cessons de définir les différents aspects qui nous composent en terme de mauvais, de bon ou de meilleur, nous sommes dans l’illusion et nous nous privons de la joie qu’apporte la décision de vouloir se prendre entièrement en main. Littéralement.
Je viens de m’adresser à ces parts intérieures de façon sincère en les considérant comme des aspects valables et légitimes, dont je ne peux me défaire parce qu’ils sont moi toute entière. 
La souffrance vient de la lutte permanente, du fait qu’en rejetant un des aspects de notre être, peu importe ce qu’il est, nous reproduisons les mêmes scènes que nous avons subies et qui nous maintiennent encore aujourd’hui dans la souffrance.

Savoir puis agir en conséquence...rédigé par Michèle Végé




Je voudrais partager avec vous cet article de Michèle Végé. C’est en me promenant sur Facebook que je suis tombée dessus et comme il permet de comprendre les choses de façon logique et censée, j’ai décidé de le publier. Il y a une différence entre juger, prendre parti et devenir conscient puis choisir son mode de vie. Chacun participe à l’état du monde actuel en faisant des choix au quotidien. La nourriture, le style de vie, la façon de consommer, créent autant notre état d’être et notre environnement que notre foi, notre façon de penser, de voir la vie; tout est inter relié. L’harmonie, la cohérence et la paix viennent quand on ouvre sa conscience et son cœur. Internet permet aujourd’hui de savoir et d’agir en connaissance de cause...
Je dois dire que je suis très chamboulée depuis hier puisque j'ai lu quelques articles de cette personne qui a le don de toucher l’âme. La photo de moi enfant, vient d’apparaitre sur l’écran de veille de l’ordi, alors que j’en ai des milliers ! Pas de hasard ; ça me travaille, à l’époque j’aimais la viande parce que je savais combien ça coûtait à ma mère de devoir aller travailler pour nourrir toute la famille et la valeur qu’elle accordait à ce produit qu’elle pensait indispensable à l’organisme. Donner de la viande à ses enfants, c’était sa façon de nous démontrer son amour...Certainement qu’ayant vu son père tuer des lapins pour agrémenter le repas dominical, elle avait dû associer ça à l’image du courageux chasseur qui ramenait du gibier au péril de sa vie. La notion de sacrifice était très présente, à la mesure du nombre de paroissiens...
Alors si vous mangez encore de la viande, comprenez que c’est inscrit très profondément en vous et qu’il faut accueillir les émotions qui peuvent émerger lors de ce genre de prise de conscience et ne surtout pas en faire une occasion de plus, de culpabiliser. Puis en ayant de la gratitude pour l’animal qui vous offre sa vie, afin de vous nourrir, en limitant les quantités, en achetant chez des petits éleveurs, vous pouvez vous "sevrer" en douceur et faire ainsi un pas de plus vers l’amour de soi et de la vie. Il ne s’agit pas non plus de se faire violence, cet égrégore est arrivé à saturation, mais de laisser « infuser » l’info pour qu’elle aille de la conscience au cœur.