Je
continue de suivre les envies de mon corps physique, mon propre rythme sans me
fier à l’horloge mais en agissant à partir de l’élan, du désir, en tenant
compte de tous mes besoins. Je considère maintenant le temps comme un moyen de séquencer, d'organiser et je n'en suis plus esclave puisque j'agis selon l’instant, le moment présent.
Le résultat est un peu atypique et je crois que le plus étonnant, c’est mon rythme de sommeil. La formule n’est pas terrible mais je ne trouve pas mieux ! Je dors par tranche de 4 heures et bien que ça soit « anormal », je ne me fait plus de souci.
Je suis passée de l’écoute de tous mes corps, en essayant de répondre équitablement à chacun d’eux puis en choisissant de lâcher prise, à faire selon l’élan du moment.
Je trouve une paix intérieure durable et quasiment permanente et en même temps, j’affirme mon unicité. Je ne pense pas que ce rythme spécial durera et ça n’a pas d’importance puisque j’y trouve un équilibre, une cohérence. Tant que je suis capable de tenir compte des signes de fatigue, de ne pas forcer, de ne pas tomber dans les extrêmes, tout est bien.
Le résultat est un peu atypique et je crois que le plus étonnant, c’est mon rythme de sommeil. La formule n’est pas terrible mais je ne trouve pas mieux ! Je dors par tranche de 4 heures et bien que ça soit « anormal », je ne me fait plus de souci.
Je suis passée de l’écoute de tous mes corps, en essayant de répondre équitablement à chacun d’eux puis en choisissant de lâcher prise, à faire selon l’élan du moment.
Je trouve une paix intérieure durable et quasiment permanente et en même temps, j’affirme mon unicité. Je ne pense pas que ce rythme spécial durera et ça n’a pas d’importance puisque j’y trouve un équilibre, une cohérence. Tant que je suis capable de tenir compte des signes de fatigue, de ne pas forcer, de ne pas tomber dans les extrêmes, tout est bien.
Depuis que je vais régulièrement sur Facebook, j’interagis avec des personnes de tous les genres, que je rencontre via des pensées, des croyances, exprimées sur les pages et dans les commentaires. J’en apprends beaucoup sur moi-même, les autres, sur l’humain en général. C’est aussi un super moyen d’être spontané et d’apprendre à se situer, à affirmer ses convictions tout en étant ouvert aux points de vue des autres.
Ce qui revient souvent c’est que nos élans passionnés sont la plupart du temps, l’expression d’un déséquilibre intérieur, d’une frustration, d’une souffrance. Les voix extrémistes et leur effet m’incitent à continuer de chercher le juste milieu en toute chose.