vendredi 13 septembre 2013

Le pouvoir sexuel ou pouvoir de création





La nuit a été entrecoupée de réveils, je me suis levée plusieurs fois pour aller aux toilettes et ce nettoyage a porté ses fruits. Ce matin, je me sens portée par une nouvelle énergie que mon rêve a induit. Depuis quelques temps, je rêve et parle de déménagement. Hier après midi, je rêvais une fois de plus que je changeais d’appartement mais je passais d’un espace réduit à un autre semblable. Ma sœur était présente à chacun de ces déménagements et perturbait grandement le bon fonctionnement des choses. Elle voulait m’aider mais ne faisait qu’empirer la situation. Je me réveillais en colère contre elle et contre moi de voir que je stagnais, que rien n’avançait et qu’on répétait inlassablement le même scénario. Puis, cette nuit, enfin, je déménage seule dans une immense ferme ou plutôt un genre de lieu où je peux accueillir des chevaux. Dans ce rêve, je suis celle qui prend l’initiative de ce « déménagement » et j’agis seule, au départ, puis suis rejointe par l’équipe qui vient m’amener le matériel qui va me permettre de recevoir une dizaine de chevaux. 

L’interprétation de ce magnifique rêve qui était pourtant très réaliste, peut-être multiple, mais selon mon vécu, mon expérience et ma façon spécifique de comprendre et d’interpréter ces messages du divin intérieur, j’y vois plusieurs choses dont je me réjouis.

jeudi 12 septembre 2013

Révolution intérieure




Bien plus que d’avoir raison, c’est la cohérence qui crée le bien-être, né de l’équilibre intérieur. Bien sûr, avoir raison apporte une certaine satisfaction mais comme seul l’ego est nourri, un manque sera alors ressenti. Quelque chose en nous sait que ça n’est pas juste, que ça n’est pas de l’amour de soi mais une forme d’estime de soi qui ne fait que flatter l’image. Baser notre amour de soi sur cette image ne peut apporter de réelle satisfaction puisque c’est nourrir ce qui est périssable, éphémère. Chaque fois que je tente de redorer mon image, je ne fais que coller du vernis. Les énergies que nous recevons ne soutiennent plus du tout les anciens comportements basés la peur, le devoir, l'obligation, la force de volonté.  Il s'agit avant toute chose d'intégrer l'amour pur, divin.
Chaque fois que je veux m’améliorer, je lutte contre une part de moi qui veut juste que je sois ce que je suis véritablement dans le moment présent. Je juge mon aspect créateur estimant que ce qui est, n’est pas tel que ça devrait être. Or, ce déni bloque le processus d’élévation. Puisque ma réalité du moment me montre mon état intérieur, tel qu’il est vraiment et non tel que je voudrais qu’il soit, ça n’est qu’en l’acceptant dans sa vérité du moment qu’il pourra se transformer. Bien que j’aie intégré intellectuellement l’idée que seule l’acceptation peut transmuter la réalité, je continue de vouloir diminuer les cachets. 
Or, si j’en suis là, c’est que je ne peux pas faire mieux, pour le moment. 
Ce n’est qu’en aimant cette part de moi qui voudrait être libre de toute dépendance mais aussi celle qui ne peut pas faire autrement tout comme celle qui voudrait que je sois parfaite, que je retrouve l’harmonie intérieure. Celle-ci me permet de mieux voir les choses et par l’amour, l’énergie de guérison va faire son œuvre et guérir certaines part de moi. 

"Le savoir être" par Yann Thibaud




Voici un extrait du livre de Yann Thibaud :
« L’Éveil de l’humanité »
vers une nouvelle spiritualité
Chapitre 21
Avant de penser, de parler ou de faire, nous sommes, inlassablement, inexorablement, éternellement.
Avant d’être jeune, vieux, riche, pauvre, homme, femme, blanc, noir, nous sommes, magnifiquement, merveilleusement, miraculeusement.
 

De toute éternité et quoique nous fassions, nous sommes. Il s’agit juste d’en prendre conscience.

Être ou paraître, prétendre, pérorer, frimer, jouer un rôle ou un personnage, faire le beau, le malin, l’important ou l’intéressant, être ou avoir, accumuler, amasser, thésauriser, collectionner, avaler, consommer, se gaver, gaspiller, dilapider, exploiter, exterminer, détruire, être ou s’agiter, se stresser, s’angoisser, se culpabiliser, se mettre la pression, se fuir, se nier, se disperser, se déprécier, se haïr, se détruire, là est effectivement toute la question.
 

Nous avons le choix, à tout instant, de nous livrer à des comportements superficiels, artificiels et vains, ou de nous tourner vers l’intérieur, d’explorer les territoires de l’Éveil et d’apprendre enfin à être.

"Tu ne peux donner ce que tu n'as pas"




La journée d’hier a été si particulière que j’ai pratiqué l’autocensure. J’ai écris tout ce qui me venait en tête et au cœur, comme d’habitude, mais l’ego spirituel m’a empêché de le publier. C’est comme si je voulais seulement partager les moments de grâce, de bien-être, d’élévation...Pourtant, « l’intérêt » de ce blog c’est justement la transparence, c’est décrire au jour le jour les fluctuations du mental, l'ouverture du cœur afin que chacun soit « rassuré »,  afin de nous habituer à accepter ce qui est, ce qui en nous n’est pas stable et ne fait que répondre au mouvement, aux énergies de la vie. Derrière cette censure, il y a le refus d’accepter mes propres limites, l’intention d’afficher une image de contrôle, de maitrise, de « Tout est bien ». Oui, tout est bien dans le sens où tout est interconnecté, mouvant. Avoir le cœur ouvert, c’est aussi être sensible à ce qui se passe énergétiquement mais si on rejette la vérité du moment, celle de notre état, on en devient prisonnier et on en souffre. J’ai bien l’impression qu’une fois qu’on s’engage sur le chemin de l’amour sans conditions, l’amour de soi, de notre sensibilité, tout comme de nos forces, on ne peut plus reculer. Dès que je résiste ou tente de contrôler ce que je vis, je suis en déséquilibre, en souffrance. C’est comme si mon âme fraichement installée, à mon invitation, ne voulait plus me laisser errer, régresser. La théorie de l’acceptation qui délivre de la dualité et amplifie l’amour en soi, pour soi et pour les autres, une fois appliquée, validée par l’expérience, ne peut plus être ignorée.

mercredi 11 septembre 2013

"L’illusion de la séparation"...Vidéo de Yann Thibaud; "L'aventure émotionnelle" ou l'alchimie intérieure





Encore un matin où je me réveille le cœur débordant d’amour. 
La gratitude me remplit tant je me sens légère, aérienne ! Mes deux "chatons" ont encore passé la nuit à nettoyer les énergies lourdes, Féliz collé à ma tête, mon chakra couronne et Bilou contre mes pieds, guérissant les blessures reliées aux chakras du bas. 
Je sens comme une ouverture du cœur, et de la conscience, c’est carrément physique ! 

La douleur au ventre s’est bien apaisée et le fait de ne pas avoir ajouté de pensées de peur, de doute, autour d’elle a permis de libérer l’énergie bloquée. 
J’ai saisi la seule pensée qui pouvait me permettre de changer ma vision à ce sujet ; j’ai déjà eu ce genre de sensation qui est partie comme elle est venue. 
C’est lié à l’ego, au manque d’amour et d’acceptation de mes faiblesses, à la résistance à ouvrir mon cœur un peu plus chaque jour. 

Je ne cherche pas à en savoir plus puisque la solution réside en l’acceptation. 
Puis prendre en charge la peine au niveau émotionnel, accepter de ne pas refouler les sentiments qui ne sont pas l’amour, la joie, bref, ces énergies qui font du bien, permet de réaliser l’alchimie intérieure. 
En accueillant ces émotions légitimes pour une part de moi-même et dont l’origine vient de l’enfance, de vies passées, en me disant qu’elles appartiennent au passé, je choisi de ne pas les nourrir, de les laisser se libérer d’elles-mêmes. Puisqu’elles se montrent afin d’être vues, acceptées et donc désactivées, il n’y a donc aucune raison de les retenir. 

La vidéo de Yann Thibaud, qui suit, explique très bien ce processus alchimique naturel intérieur. J’aime quand les synchronicités viennent amplifier ma foi. 
Merci aux âmes qui jouent le jeu de l’amour, suivent leur cœur et dans un élan amoureux partagent leurs découvertes en toute simplicité. 

mardi 10 septembre 2013

"Ecologie intérieure", Introduction et vidéo par Yann Thibaud




 
Introduction
Sommes-nous ici pour souffrir ou pour jouir, nous taire ou nous exprimer, nous résigner ou nous réaliser ?
Notre existence possède-t-elle un but, un sens ou une finalité qui nous est propre ou bien n’est-elle, comme on nous le dit parfois, qu’une succession de hasards ?
Que sommes-nous venus faire sur Terre ?


Que répondre à ces questions essentielles, que tous, nous nous sommes un jour posées ?
Certains se contenteront des réponses toutes-faites provenant des dogmes de leur idéologie de référence ; d’autres choisiront… de ne pas se poser de question, vivant mécaniquement leur existence, comme si celle-ci était sans importance.
 

Mais il en est aussi qui se mettront à l’écoute d’eux-mêmes, de leur désir profond et de leur être intérieur ; ils chercheront à décrypter les lois subtiles qui régissent le monde et les évènements qui s’y produisent ; ils honoreront leurs rêves et leurs aspirations secrètes.
 

Ceux-là, en dépit des erreurs et des difficultés, apprendront progressivement à entendre la voix de leur intuition, à focaliser leur énergie et leur intention dans la direction adéquate, à danser avec le réel plutôt que le combattre et à faire advenir ce qu’ils ont de plus cher.

Emprunter le chemin de la liberté, honorer ses désirs, croire en soi-même et en ses rêves, faire de sa vie un plaisir et une aventure, telle est la démarche qui sera exposée ici, étape par étape, de manière à la fois théorique et pratique, dans un langage simple et accessible, que tous pourront comprendre.
Mais le désir est un terme ambigu :

"Qu'est-ce que l'écologie intérieure" par Yann Thibaud





Voici un texte rédigé par Yann Thibaud qui exprime exactement ce que je ressens. 
Même si pour certains ça n'est pas nouveau, un large public n'a pas accès à ce genre de connaissance pourtant innée et diffuser ces infos fait partie de ma raison d'être, de ma façon d'exprimer ce qui me fait vibrer et m'ouvre le cœur...

La pluie m’a ramenée vers la maison, l’intérieur et je m’en vais contacter ma blessure abdominale. J’ai mis un bandeau de laine pure, tricoté main, tout autour de mon ventre pour détendre les crispations et soulager la douleur. Bien qu’elle soit discrète et certainement diluée par les cachets, je ne veux pas l’ignorer. Je vais aussi boire de l’argile blanche...
Une musique au loin, un air d’accordéon me berce. Ce n’est pas la première fois que je l’entends et j’ai bien l’impression qu’il s’agit d’un accordéon diatonique, comme celui sur lequel je recommence à pianoter. 
Cet instrument est véritablement relié au cœur et je pense que c’est pour cette raison qu’il touche un large public. 
Même les jeunes qui vont dire dans un premier temps, comme pour s’affirmer en rejetant la génération précédente, que c’est ringard, sont intimement touchés, ça se voit dans leur regard, leur comportement. 

J’ai pu observer et en apprendre long sur l’humain lorsque je jouais dans les rues. 
Il se colle en plein sur la région du cœur et offre ses sons à la force des bras qui en sont l’expression. 
Même si j’ai beaucoup de mal à toucher les gens directement et puisque le contact est vital, j’ai compensé à ma façon. 
Là encore, une pratique qui pourrait sembler insignifiante, révèle beaucoup et une fois de plus, la capacité innée de tout humain de trouver l’équilibre. 
C’est cette intelligence, celle du cœur que nous partageons avec toute vie sur cette belle planète...