La
journée d’hier a été si particulière que j’ai pratiqué l’autocensure. J’ai
écris tout ce qui me venait en tête et au cœur, comme d’habitude, mais l’ego
spirituel m’a empêché de le publier. C’est comme si je voulais seulement
partager les moments de grâce, de bien-être, d’élévation...Pourtant, « l’intérêt »
de ce blog c’est justement la transparence, c’est décrire au jour le jour les
fluctuations du mental, l'ouverture du cœur afin que chacun soit « rassuré »,
afin de nous habituer à accepter ce qui
est, ce qui en nous n’est pas stable et ne fait que répondre au mouvement, aux
énergies de la vie. Derrière cette censure, il y a le refus d’accepter mes
propres limites, l’intention d’afficher une image de contrôle, de maitrise, de « Tout
est bien ». Oui, tout est bien dans le sens où tout est interconnecté,
mouvant. Avoir le cœur ouvert, c’est aussi être sensible à ce qui se passe
énergétiquement mais si on rejette la vérité du moment, celle de notre état, on
en devient prisonnier et on en souffre. J’ai bien l’impression qu’une fois qu’on
s’engage sur le chemin de l’amour sans conditions, l’amour de soi, de notre
sensibilité, tout comme de nos forces, on ne peut plus reculer. Dès que je
résiste ou tente de contrôler ce que je vis, je suis en déséquilibre, en
souffrance. C’est comme si mon âme fraichement installée, à mon invitation, ne voulait plus me
laisser errer, régresser. La théorie de l’acceptation qui délivre de la dualité
et amplifie l’amour en soi, pour soi et pour les autres, une fois appliquée, validée
par l’expérience, ne peut plus être ignorée.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
jeudi 12 septembre 2013
mercredi 11 septembre 2013
"L’illusion de la séparation"...Vidéo de Yann Thibaud; "L'aventure émotionnelle" ou l'alchimie intérieure
Encore un matin où je me réveille le cœur débordant d’amour.
La gratitude me remplit tant je me sens légère, aérienne ! Mes deux "chatons" ont encore passé la nuit à nettoyer les énergies lourdes, Féliz collé à ma tête, mon chakra couronne et Bilou contre mes pieds, guérissant les blessures reliées aux chakras du bas.
Je sens comme une ouverture du cœur, et de la conscience, c’est carrément physique !
La douleur au ventre s’est bien apaisée et le fait de ne pas avoir ajouté de pensées de peur, de doute, autour d’elle a permis de libérer l’énergie bloquée.
J’ai saisi la seule pensée qui pouvait me permettre de changer ma vision à ce sujet ; j’ai déjà eu ce genre de sensation qui est partie comme elle est venue.
C’est lié à l’ego, au manque d’amour et d’acceptation de mes faiblesses, à la résistance à ouvrir mon cœur un peu plus chaque jour.
Je ne cherche pas à en savoir plus puisque la solution réside en l’acceptation.
Puis prendre en charge la peine au niveau émotionnel, accepter de ne pas refouler les sentiments qui ne sont pas l’amour, la joie, bref, ces énergies qui font du bien, permet de réaliser l’alchimie intérieure.
En accueillant ces émotions légitimes pour une part de moi-même et dont l’origine vient de l’enfance, de vies passées, en me disant qu’elles appartiennent au passé, je choisi de ne pas les nourrir, de les laisser se libérer d’elles-mêmes. Puisqu’elles se montrent afin d’être vues, acceptées et donc désactivées, il n’y a donc aucune raison de les retenir.
La vidéo de Yann Thibaud, qui suit, explique très bien ce processus alchimique naturel intérieur. J’aime quand les synchronicités viennent amplifier ma foi.
Merci aux âmes qui jouent le jeu de l’amour, suivent leur cœur et dans un élan amoureux partagent leurs découvertes en toute simplicité.
mardi 10 septembre 2013
"Ecologie intérieure", Introduction et vidéo par Yann Thibaud
Introduction
Sommes-nous ici pour souffrir ou pour jouir, nous taire ou nous exprimer, nous résigner ou nous réaliser ?
Notre existence possède-t-elle un but, un sens ou une finalité qui nous est propre ou bien n’est-elle, comme on nous le dit parfois, qu’une succession de hasards ?
Que sommes-nous venus faire sur Terre ?
Que répondre à ces questions essentielles, que tous, nous nous sommes un jour posées ?
Certains se contenteront des réponses toutes-faites provenant des dogmes de leur idéologie de référence ; d’autres choisiront… de ne pas se poser de question, vivant mécaniquement leur existence, comme si celle-ci était sans importance.
Mais il en est aussi qui se mettront à l’écoute d’eux-mêmes, de leur désir profond et de leur être intérieur ; ils chercheront à décrypter les lois subtiles qui régissent le monde et les évènements qui s’y produisent ; ils honoreront leurs rêves et leurs aspirations secrètes.
Ceux-là, en dépit des erreurs et des difficultés, apprendront progressivement à entendre la voix de leur intuition, à focaliser leur énergie et leur intention dans la direction adéquate, à danser avec le réel plutôt que le combattre et à faire advenir ce qu’ils ont de plus cher.
Emprunter le chemin de la liberté, honorer ses désirs, croire en soi-même et en ses rêves, faire de sa vie un plaisir et une aventure, telle est la démarche qui sera exposée ici, étape par étape, de manière à la fois théorique et pratique, dans un langage simple et accessible, que tous pourront comprendre.
Mais le désir est un terme ambigu :
"Qu'est-ce que l'écologie intérieure" par Yann Thibaud
Voici un texte rédigé par Yann Thibaud qui exprime exactement ce que je ressens.
Même si pour certains ça n'est pas nouveau, un large public n'a pas accès à ce genre de connaissance pourtant innée et diffuser ces infos fait partie de ma raison d'être, de ma façon d'exprimer ce qui me fait vibrer et m'ouvre le cœur...
La pluie m’a ramenée vers la maison, l’intérieur et je m’en vais contacter ma blessure abdominale. J’ai mis un bandeau de laine pure, tricoté main, tout autour de mon ventre pour détendre les crispations et soulager la douleur. Bien qu’elle soit discrète et certainement diluée par les cachets, je ne veux pas l’ignorer. Je vais aussi boire de l’argile blanche...
Une musique au loin, un air d’accordéon me berce. Ce n’est pas la première fois que je l’entends et j’ai bien l’impression qu’il s’agit d’un accordéon diatonique, comme celui sur lequel je recommence à pianoter.
Cet instrument est véritablement relié au cœur et je pense que c’est pour cette raison qu’il touche un large public.
Même les jeunes qui vont dire dans un premier temps, comme pour s’affirmer en rejetant la génération précédente, que c’est ringard, sont intimement touchés, ça se voit dans leur regard, leur comportement.
J’ai pu observer et en apprendre long sur l’humain lorsque je jouais dans les rues.
Il se colle en plein sur la région du cœur et offre ses sons à la force des bras qui en sont l’expression.
Même si j’ai beaucoup de mal à toucher les gens directement et puisque le contact est vital, j’ai compensé à ma façon.
Là encore, une pratique qui pourrait sembler insignifiante, révèle beaucoup et une fois de plus, la capacité innée de tout humain de trouver l’équilibre.
C’est cette intelligence, celle du cœur que nous partageons avec toute vie sur cette belle planète...
Communication intérieure et extérieure
un regard, un appareil photo, une connexion... |
Le
réveil n’a pas été des plus agréables ce matin. Des douleurs enfin plutôt une gêne
à l’estomac m’empêche de sourire. J’essaie de ne pas tomber dans la peur, la
superstition et les vieilles croyances. Tiens, en écrivant je me dis que c’est peut-être là « l’erreur ».
Et si j’accueillais cette peur, pour commencer ? Je voulais y résister
pour ne pas m'embarquer dans les pensées telles que « et si on m’avait jeté
un sort ? » ; là, j’en rigole en me disant « ne retombes
pas dans la superstition, la déresponsabilisation...La notion de bien et de mal
te divises et tu perds la paix qui résulte de l‘harmonie intérieure ; « et
si l’heure de ma mort approchait ? » Si c’était le cas, qu’est-ce
que je peux y faire ?, Rien; « Et si j’avais fait quelque chose de « mal » » ?
Rebelote, la notion de bien et de mal est une vision distorsionnée de la réalité; tu fais toujours ce que tu penses être le mieux dans le moment
présent et il n'y a pas à avoir "raison" mais à être cohérent.
Prenons les choses dans l’ordre :
La
douleur est un message de mon corps physique, l’indication qu’une énergie est
bloquée et même en train de se cristalliser.
Voyons
ce qu’en dit Lise Bourbeau. Vous allez penser que j’y fais souvent référence
mais j’y trouve tant de résonance et comme elle a de l’expérience en la
matière, bien que je crois que chacun ait en lui toutes les réponses, entendre le
point de vue de gens qui vivent la même foi et en l’appliquant trouve un mieux-être,
ne peux qu’être utile. Je cite donc ce qui est extrait de son livre : « Ton
corps dit : Aime-toi » et trouve écho. Il y a plusieurs « raisons »
mais je cite celle qui parait me correspondre:
lundi 9 septembre 2013
"Guérison et illusion" par Simon Leclerc
Voici un article tout frais rédigé par Simon Leclerc. Comme
son dernier texte, c’est à partir de sa propre inspiration, de son vécu et de
son expérience professionnelle, qu’il nous délivre ce message. C’est bien
agréable de voir que chacun ose affirmer de plus en plus son individualité. Puisque
le divin est en soi, en le cherchant on le trouve et en apprenant à l’écouter,
on l’entend. Ouais, ce qui se résume en une phrase nous prend toute une vie, des
centaines d’incarnations, pour enfin arriver à non seulement le concevoir mais
surtout à le vivre. Le parcours nous a enrichi, élevé, formé jusqu’au cœur de
nos cellules, dans nos entrailles, dans chacun de nos corps et même si c’est l’heure
de la purification et que celle-ci est parfois intensément vécue, le retour à
la maison n’en sera que plus merveilleux. Nous nous sommes tracés une vie
chargée de nombreux défis dont le plus important est celui de s’aimer véritablement,
de nous aimer pour de vrai. Je constate que ce qu’il relate est tout à fait ce
que je vis, pense et ressens. Depuis 2006, si ma mémoire est bonne, tout ce qu’il
a publié a toujours trouvé en moi un fort écho et même si le collectif Ashtar nous
a donné les clefs de compréhension intellectuelle dès les premiers messages, il
nous a fallu le vivre, l’expérimenter pour pouvoir y adhérer totalement. Je vous
laisse au plaisir de la lecture et de la résonance.
Ciel gris mais cœur irisé
Ce
matin, dès mon réveil à 6h30, les mots « lecture psychique »
résonnaient ! J’avoue que j’ai un peu fait la grimace de constater que même
la nuit, je « travaillais ». Apprendre à mieux gérer les énergies, c’est
le programme que je me fixe pour cette semaine. Non pas comme une obligation
mais comme une expérimentation, un jeu. Le réflex miroir reste évidemment d’actualité,
le fait de voir ce que l’autre me reflète de caché, d'enfoui, intérieurement devient aussi un exercice plaisant. Je
précise une chose, quand je dis l’autre, ça n’a rien de péjoratif. Remarque, si
j’en parle c’est que ça me titille. Je vais essayer de trouver une autre façon
de nommer celui ou celle qui me révèle à moi-même. Je pense qu’il est naturel,
quand on saisi que nous nous reflétons mutuellement, de considérer la personne
face à nous comme un « outil ». L’étape suivante, c’est de voir l'humain à partir du cœur, comme un frère, un ami. Je dois reconnaître que le
fait d’insensibiliser mon ressenti face à l’extérieur, même si c’est un réflexe
de protection, amène à la limite de la froideur. C’est aussi un trait caractéristique
de la personne qui souffre de la blessure d’injustice. N’ayant pas eu la compassion,
l’attention nécessaire pour me reconnaître, m’aimer, j’ai eu vite fait,
inconsciemment, de considérer les humains comme des "ennemis potentiels", des êtres
dont il fallait se méfier. Mais cette croyance n’était que l’expression de ma
propre considération. Je me croyais quelqu’un de pas « aimable »,
donc je voyais les autres de la même façon.
On ne peut voir le monde qu’à
partir de ces croyances et pour cette raison, la connaissance que je suis un
humain divin comme tout le monde, a changé considérablement ma vision. Cependant,
il reste quelques "séquelles", des réflexes conditionnés que je m’emploie à
libérer. Je sais que mon amour pour l’humain est très fort mais en même temps,
la méfiance et les peurs ont perverti ce sentiment que l’amour de soi peut
ramener à sa juste valeur. Tout est question de dosage, d’équilibre, d’harmonie
et mes petits « rituels » du matin, participent à modifier ma
perception de moi-même et donc de l’humanité.Je continue les séances d'EFT avec régularité.
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