Ce
matin, la joie de vivre est revenue. J’ai évalué la situation de façon
objective et quelques scénettes de ces derniers jours m’ont permis de voir que
Maya était au bout du rouleau et qu'elle m'avait préparée à son départ. C’est une chatte que j’avais récupérée dans un
refuge où je faisais du bénévolat et on l’y avait amené après qu’elle eut été
jetée de huit étages. Comme elle gardait quelques séquelles de cet accident,
je l’ai prise avec moi, dans un minuscule
deux pièces que je partageais avec un doberman nommé Willy, en souvenir du
dessin animé Maya l’abeille. C’est donc logiquement que j’avais décidé de
l’appeler ainsi. A cet époque, j’étais avec les Mormons et je n’avais aucune
idée de la tendance New Age ni des prédictions des Mayas ni même du fait que le mot signifiait illusion. En repensant à ce qu’il s’est passé il y a quelques
jours ; une voiture a du freiner pour éviter d’écraser Maya qui passait
beaucoup de temps sur la route et devenait de plus en plus sourde, je me dis
que la nature s’est chargée de la soulager. Outre les crises où elle se
crispait et se contorsionnait, le fait qu’elle se faisait pipi dessus, ne
contrôlant plus son arrière train, pour des raisons que même le véto n’arrivait pas à déterminer,
elle montrait des signes de fatigue que seuls, son appétit et ses ronronnements
m’empêchaient de prendre la décision de la faire piquer. Le fait qu’elle ait
été victime de l’inconscience du voisin, ne m’appartient pas. Je ne me
plaindrais pas auprès du propriétaire ni même de sa mère pour ne pas inverser les
rôles.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
jeudi 4 juillet 2013
mercredi 3 juillet 2013
La paix dans l’acceptation de ce qui vient
Malgré
la peine et le trouble causés par la violence de la situation, la journée s’est passée
dans le plus grand calme, la douceur et la tendresse. J’ai repensé à l’arc en
ciel qui est apparu au moment où je confiais mes peines et l’âme de Maya, à la
rivière. Ce clin d’œil de ma présence et la confiance que tout était « pris
en charge » dans d’autres plans, m’ont réconfortée. Ma certitude en l’humain
divin et en la bienveillance de mon âme, me permettent de ne pas m’attacher aux
questions qui se manifestent.
L’étude de la notion d’acceptation effectué ces derniers jours, prend toute sa raison d'être et devient une réalité dans ma vie. Je n’ai
toujours pas réagi par rapport à l’extérieur ; me plaindre auprès du
propriétaire ou même aller voir le maitre du chien. Ces deux réponses ne
feraient qu’amplifier ma douleur et me détourner de ce qui est le plus
approprié dans de telles circonstances; gérer ses émotions, les accueillir l’une
après l’autre, sans jugement, sans interprétation.
Accueillir le chagrin...vidéos d'Isabelle Padovani
Chère âme, C’est le cœur rempli de chagrin
que je m’adresse à toi, ce matin.
Je suis paumée, partagée entre le dégoût de la violence, de l’inconscience de ce monde, la peine d’avoir perdu Maya et la colère envers cet abruti.
La culpabilité est aussi présente, celle de n’avoir pas fait ce qu’il fallait, de ne pas avoir pu l’accompagner dans ces derniers instants alors que j’avais pressenti la chose. Celle de me demander ce que j’ai fait pour attirer ça. Je ne culpabilise pas d’avoir pris un bout de cachet hier soir, c’est déjà ça ! Tout se mélange, et si toute ma foi était le fruit de mon imagination ?
Je suis paumée, partagée entre le dégoût de la violence, de l’inconscience de ce monde, la peine d’avoir perdu Maya et la colère envers cet abruti.
La culpabilité est aussi présente, celle de n’avoir pas fait ce qu’il fallait, de ne pas avoir pu l’accompagner dans ces derniers instants alors que j’avais pressenti la chose. Celle de me demander ce que j’ai fait pour attirer ça. Je ne culpabilise pas d’avoir pris un bout de cachet hier soir, c’est déjà ça ! Tout se mélange, et si toute ma foi était le fruit de mon imagination ?
Les larmes ne cessent de couler et je les laisse aller,
emportant la charge émotionnelle, la colère, la douleur, le chagrin, la
culpabilité.
Quand la voisine est venue me dire que Maya était morte,
je ne l’ai pas cru, quelque chose en moi refusait de l‘admettre. Je ne peux
croire qu’une vie puisse être ôtée par l’inconscience, la connerie humaine et
pourtant c’est ce qui arrive tous les jours, dans le monde.
J’ai ressenti une vague de mal-être me parcourir de la tête au pied. Je n’en veux pas au chien qui l’a tuée puisqu’il a été dressé pour assumer le manque de courage de son maître.
Dans la matinée, je l’ai entendu gueuler après ses chiens et je n’ai pas voulu y croire. Je me suis dit que je me faisais un film une fois de plus, que ma paranoïa était à l’œuvre. Idem quand le lecteur a affiché « le petit, chat est mort » de Renaud, j’ai juste zappé le morceau.
Je précise qu'en général, la liste aléatoire qui se crée reflète très souvent mon état d'esprit ou des situations du moment. Quand je suis allée étaler le linge, j’ai appelé Maya que je ne voyais pas et l’ai finalement vue allongée sous une voiture, comme elle fait souvent.
Je lui ai même dit qu’elle aurait pu répondre à mes sifflements puisque c’est comme ça que je l’appelais.
Une part de moi savait puisque pendant que je l’appelais, je me faisais le film et une autre part refusait la réalité. Malgré tout, je n’étais pas en conflit intérieur. Hier soir, je n’arrivais même pas à pleurer tant j’étais tendue, hébétée. Je me suis lâchée une fois que je me suis retrouvée seule à la maison avec mes autres chats et la chienne qui m’ont consolée par leur calme et leur tendresse.
J’ai ressenti une vague de mal-être me parcourir de la tête au pied. Je n’en veux pas au chien qui l’a tuée puisqu’il a été dressé pour assumer le manque de courage de son maître.
Dans la matinée, je l’ai entendu gueuler après ses chiens et je n’ai pas voulu y croire. Je me suis dit que je me faisais un film une fois de plus, que ma paranoïa était à l’œuvre. Idem quand le lecteur a affiché « le petit, chat est mort » de Renaud, j’ai juste zappé le morceau.
Je précise qu'en général, la liste aléatoire qui se crée reflète très souvent mon état d'esprit ou des situations du moment. Quand je suis allée étaler le linge, j’ai appelé Maya que je ne voyais pas et l’ai finalement vue allongée sous une voiture, comme elle fait souvent.
Je lui ai même dit qu’elle aurait pu répondre à mes sifflements puisque c’est comme ça que je l’appelais.
Une part de moi savait puisque pendant que je l’appelais, je me faisais le film et une autre part refusait la réalité. Malgré tout, je n’étais pas en conflit intérieur. Hier soir, je n’arrivais même pas à pleurer tant j’étais tendue, hébétée. Je me suis lâchée une fois que je me suis retrouvée seule à la maison avec mes autres chats et la chienne qui m’ont consolée par leur calme et leur tendresse.
mardi 2 juillet 2013
Loi d'attraction et acceptation
Autumn Sky |
Une fois
de plus je me sens poussée à parler de l’EFT. Quand on croit en la loi d’attraction
comme un moyen de créer ce que l’on veut, par magie, on tombe dans un piège qui
est un gouffre. Celui de ne plus supporter aucun échec. Même les plus petites
contrariétés deviennent les signes qui nous montrent que nous ne pratiquons pas
bien la loi d’attraction, que nous ne sommes pas capables de créer en
conscience notre bonheur. Or, la vie n’est pas uniquement une succession de
moments de joie, elle est faite de haut et de bas. Celui qui voudrait contrôler
les événements, s’engage dans une lutte sans fin et se promet une vie de
souffrances faite d'illusion et de déception. La culpabilité et la dévalorisation qui naissent de l’échec, de l’incapacité
à réussir à créer ce que l’on veut, peuvent plonger non seulement dans le rejet
de soi mais on peut aussi perdre la foi en ces lois universelles dont nous
avons une interprétation enfantine, naïve et capricieuse.
Oui, nous créons
notre vie selon les fréquences vibratoires que nous émettons mais comme nous
sommes des êtres multidimensionnels, certains aspects de nous interfèrent en
amenant leur propre fréquence dans le processus de création. Tant que nous ne connaissons
pas nos parts d’ombres et tant que nous ne les acceptons pas, celles-ci vont saboter toute tentative de réussite. De
même que si nous ne connaissons pas le sens de cette vie, l’intérêt d’être sur
terre, le choix de notre âme, nous serons toujours dans des créations
aléatoires. Il est donc essentiel de se connaître sincèrement et intimement, de
savoir quelles sont nos ombres et quels sont nos aspects divins et leurs
aspirations afin de réunir tous ces aspects dans l’acceptation de chacun d’eux.
Cette découverte nécessite de comprendre le danger de nourrir la notion de
bien et de mal, et un amour inconditionnel pour soi-même afin de ne pas tomber
dans la dévalorisation, le jugement et l’auto-critique qui bloque la libre circulation de l'énergie de vie, en nous. L’humilité et la pureté, j’entends par là, l’honnêteté vis-à-vis
de soi sont indispensables sur ce parcours initiatique. Il s’agit de sonder les
profondeurs de notre être afin de trouver notre lumière. J’ai publié hier, des
articles qui expliquent plus ou moins comment contacter son âme et sa présence
divine. On parle beaucoup de la nécessité de faire silence.
J’avoue que c’est
un « sport » que je suis incapable de pratiquer. On peut apprendre à reconnaître
les différentes voix qui s’expriment en nous par l’écoute attentive du contenu
des phrases entendues. Tout ce qui est tolérant, permissif, amoureux, neutre,
peut émaner de la source de toute vie qui est en nous et de nôtre âme ? Là,
par la pratique, dans la transparence totale, on arrive à discerner qui nous
parle en dedans. Notre esprit, la part de nous égotique, celle qui veut le
succès, le chevalier conquérant intérieur, peuvent se faire passer pour la
présence divine. Pour ne pas qu’il y ait méprise, la notion de dieu, autorité
supérieure, doit être abandonnée. Il n’y a pas une part de nous qui soit plus
importante que l’autre, chacune d’elle apporte sa pierre à l’édifice.
lundi 1 juillet 2013
La communication inter-dimensionnelle, par Joéliah.
Ellen Milinich
Je suis tombée par « hasard » sur ce texte publié
dans la presse galactique, il y a déjà quelques mois. Cette question de la
connexion à l’âme est assez récurrente en ce moment d’élévation parce qu’elle
est une aide considérable. L’appel à se tourner vers l’intérieur, vers sa propre
guidance est plus que jamais d’actualité. J’ai déjà parlé de nombreuses fois de
ce sujet puisque c’est devenu un « acte » conscient et quotidien dans
ma vie. Il est vrai que tant qu’on assimile cette communication à de la
sorcellerie et que la notion de bien et de mal basée sur la peur, reste une vérité, on se
coupe de cette possibilité d’être éclairé pour soi-même. Développer l’intuition,
écouter son cœur et son ressenti n’a pas pour but de lire l’avenir puisque
celui-ci se dessine selon le moment présent. C’est un moyen de se connaître en
profondeur et d’acquérir plus de foi et de confiance en soi. Il faut juste s’adresser
à son âme en pensant qu’elle est une partie égale de qui nous sommes, qu’elle
est en nous et que son souhait, c’est d’être en contact conscient avec notre personnalité
afin de nous amener à réaliser ce que nous sommes en vérité. Il n’y a pas à s’enorgueillir
de cette connexion qui est naturelle comme le dit Joéliah dans le texte qui
suit. La communication se fait simplement et nous recevons des réponses intimes que
nous sommes seuls à pouvoir comprendre. On peut prier mais personnellement, je
me contente de lui parler en étant convaincue qu’elle m’entend puisque je ne
doute pas de cette réalité. Je peux savoir que c’est elle qui me « parle »
selon le contenu du message et la façon dont ça me vient. C’est toujours rempli
d’amour, sans aucun jugement, sans tambour ni trompette, dans la simplicité et
la familiarité. J'ai choisi ce dessin, en haut de ce message pour illustrer la simplicité, la familiarité et la bienveillance de cette connexion à l'âme. Pour ce qui est de celle avec des guides, il suffit de les appeler de la même façon. Ils nous accompagnent dans cette incarnation et nous inspirent puisque c'est leur "rôle".
l'Eft, une belle façon de s'aimer sans conditions...
Je
remarque l’efficacité de l’EFT et la rapidité avec laquelle mon cœur et ma
conscience s’ouvrent. Tout l’effort que j’ai eu à faire, c’est de maintenir
vivant ce désir d’acceptation en faisant une séance dès qu’une émotion négative
ou une pensée de jugement me venait à l’esprit. En vérité, comme mon mental a
déjà bien intégré et compris que l’amour inconditionnel est la clef qui ouvre
la source d’amour intérieure qui guérit tout sur son passage, je n’ai fait que
quatre séances en deux jours. Je préfère le faire quand les circonstances
s’y prêtent plutôt que d’en faire un rituel planifié. On dirait que quelque
chose en moi se décrispe, s’ouvre à de nouvelles perspectives, une vision des
choses totalement neuve alors que mon décor reste le même. Des idées viennent
répondant à des questions que je me pose depuis longtemps et m’apparaissent si
lumineuses et évidentes que je me demande comment j’ai pu être si aveugle. Même
si j’ai lu le message des être de lumière reçu par Daniel Miron, publié hier,
je n’avais pas percuté avec autant de clarté. Je ne retombe pas dans l’auto-critique
non plus. Des phrases lues dans les messages de Jeshua, par Paméla Kribbe ou du collectif Ashtar, par Simon
Leclerc, deviennent vivantes en moi. Tout ce que j’ai pu lire concernant le lâcher
prise, l’acceptation de ce qui est, se vérifie à chaque instant.
Et
pourtant, je ne fais que tapoter sur des points spécifiques de mon corps
physique. J’y mets tout mon cœur quand je prononce les phrases et je sens de
suite une détente et un sourire qui se dessine sur me lèvres. J’avais du mal à interpréter
la loi d’attraction comme un genre de baguette magique où il suffisait de
vouloir pour que ça se réalise. Il y avait quelque chose de contradictoire entre affirmer
que l’on créé sa vie selon son désir et accepter ce qui est. Le désir de l’ego répond au besoin de palier
une carence, de combler un manque, de contrôler les choses mais en même temps,
c’est une façon de nier l’existence du divin en soi. Si nous sommes sur terre
pour apprendre à aimer divinement et que le choix d’incarnation a été fait par notre âme
et notre conscience élargie, tout ce que nous vivons a un sens et une raison d’être.
Celle de nous amener à comprendre la valeur de la puissance de l'amour inconditionnel ? Cet amour étant la capacité à aimer et à
accepter ce qui est, l’ego ou la volonté doivent être amenés à accepter de se
laisser guider par le cœur et pour ce faire, adopter la « volonté »
de l’aspect divin de qui nous sommes, donc la situation que nous vivons
présentement, nos conditions de vie.
Purifier son récepteur intérieur...extraits du livre de Sanaya Roman et Duane Packer
Patricia Ariel |
Depuis
que j’ai reposé l’intention de proposer un conseil en matière de développement
personnel et spirituel, je reçois beaucoup d’infos, de nouveaux questionnements
de façon à élargir ma compréhension et à mettre le tout à plat pour ordonner
tout ce qui est en moi. La quantité de pièges sur ce chemin d’aide est assez
conséquente et il est nécessaire d’être précis et d’avoir libéré tout le bagage
émotionnel qui peut interférer dans la réception et la diffusion d’informations.
Il me reste à traiter la peur de se planter que des séances d’EFT pourront
diluer. De plus, pour le moment, mon objectif en faisant ce blog, c’est de transmettre des
outils d’élévation et de témoigner de l’efficacité de leur application au
quotidien, de mon expérience, sans me positionner en maitre mais en élève en
perpétuelle expansion.
L’ouverture
de conscience doit s’accompagner de l’ouverture du cœur. Tout le monde reçoit
des messages, des visions et comme nous nous ouvrons à de nouvelles dimensions,
il semble logique que le nombre d’infos reçues se multiplie. Là encore, le
discernement et la capacité à reconnaître la provenance de ce qui est reçu,
sont essentiels. Je ne parle pas ici de savoir si ce sont des êtres de la
lumière ou de l’ombre qui transmettent les messages mais si ça vient du cœur et
de la conscience ou bien de l’ego. Il est donc nécessaire d’avoir une bonne
connaissance de son ressenti, des modes de communication du cœur et de l’esprit
et d’avoir libéré la notion de dualité de manière à accueillir ce qui est entendu ou ressenti, d’une façon neutre.
Avant
toutes choses, une connaissance approfondie de ses aspects humains, de ses
souffrances et de ses peurs est nécessaire afin de déterminer la source des
infos.
La foi
en l’humain divin, au fait d’être multidimensionnel implique que des aspects de
nous-mêmes soient peu éclairés et la plongée dans ses profondeurs est une étape
obligatoire afin de libérer ce qui peut obstruer la réception ou en déformer le
sens. A ce stade, des exercices de libération des peurs et d’amplification de
l’amour inconditionnel de soi, peuvent faciliter le nettoyage et nécessitent
d’être honnête et humble. L’ego voudra toujours s’approprier une expérience, se
valoriser à travers elle. C’est là où l’ouverture du cœur permet de se
recentrer sur l’objectif premier de la démarche : le mieux-être intérieur
afin de s’accepter sans conditions et d’accepter l’autre de la même manière, et
l’ouverture de conscience pour appréhender sa vie avec recul et neutralité.
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