Ce matin, j’ai retrouvé mon enthousiasme habituel, bien que la journée d’hier n’ait pas été désagréable, je préfère me réveiller avec la joie au cœur.
Hier
soir, une image m’est venue, celle du trio corps-âme-esprit et l’expérience de
l’Atlantide, du moins ce que j’en ai lu et les "souvenirs" que ces
lectures ont suscité, me sont venus en mémoire.
Je me suis rendue compte que malgré mon désir d’unité, je continue de diviser en différents corps, tout ce que je suis et j’ai mis mon âme un peu de côté. Comme si l’esprit était "supérieur". Je n’ai pas éprouvé un sentiment d’injustice que mon âme aurait pu exprimer mais plutôt une certaine tristesse à être un peu délaissée.
Même si le cœur et l’âme ne sont pas parfaits, puisqu’ils sont changeants, ils sont néanmoins le pivot central de qui je suis. Comme je sais qu’ils ne sont pas « parfaits », j’ai eu tendance à vouloir considérer ma vie de "haut", à partir de l’esprit et l’erreur ou du moins le sentiment de vide provient de là. L’esprit a une vision extérieure de l’expérience terrestre. Quand nous ne sommes pas incarnés, il ne peut envisager la vie d’un point de vue terrestre et se fier à lui équivaut à vivre dans sa tête. J’ai bien senti que j’étais barrée et que je manquais d’ancrage.
Je me suis rendue compte que malgré mon désir d’unité, je continue de diviser en différents corps, tout ce que je suis et j’ai mis mon âme un peu de côté. Comme si l’esprit était "supérieur". Je n’ai pas éprouvé un sentiment d’injustice que mon âme aurait pu exprimer mais plutôt une certaine tristesse à être un peu délaissée.
Même si le cœur et l’âme ne sont pas parfaits, puisqu’ils sont changeants, ils sont néanmoins le pivot central de qui je suis. Comme je sais qu’ils ne sont pas « parfaits », j’ai eu tendance à vouloir considérer ma vie de "haut", à partir de l’esprit et l’erreur ou du moins le sentiment de vide provient de là. L’esprit a une vision extérieure de l’expérience terrestre. Quand nous ne sommes pas incarnés, il ne peut envisager la vie d’un point de vue terrestre et se fier à lui équivaut à vivre dans sa tête. J’ai bien senti que j’étais barrée et que je manquais d’ancrage.
Enfin c’est
comme ça que je le vois depuis hier soir.
J’ai demandé
pardon à mon âme de l’avoir "jugée" même si ça n’était pas tout a
fait conscient, ni heureusement verbalisé ! Le fait de savoir qu’elle veut
guérir des blessures, m’a fait considérer son point de vue comme très aléatoire
alors qu’elle sait mieux que mon esprit, plutôt qu’elle connaît mieux que l’esprit
les besoins inhérents à l’incarnation.