samedi 8 juin 2013

La maternité spirituelle, message de Marie transmis par Paméla Kribbe


Dans la série, je lâche prise, je libère, voici un message qui m’a attendri tout en me redonnant la motivation de persévérer dans mon désir de prendre soin de mon enfant intérieur. On sent bien l’énergie maternelle qui en découle et le réconfort que ça procure. Même quand on est adulte, c’est le genre de sentiment qu’on apprécie particulièrement. Bien que cette canalisation a eu lieu en décembre 2007, c'est tout à fait d'actualité et ça le demeure tant qu'on veut guérir nos aspects fragiles, les autoriser à être et les accepter, afin qu'ils permettent au cœur de s'ouvrir, laissant l'amour inconditionnel nous remplir et nous vivifier. 

Steve A. Roberts

"il me suffit de m’autoriser à aimer et à être aimée pour que tout autour se conforme à ce souhait"




Encore une nuit d’enseignements qui me laisse songeuse, ce matin. Je voulais entreprendre l’étude du chakra de la gorge mais par l’acceptation de ce qui est, le désir d’unité, et le pardon appliqué en toutes circonstances, la vie me l’enseigne directement. Une pluie d’orage a arrosé le jardin pour moi et je dispose donc de toute la journée pour faire ce que j’aime, sans avoir à courir. J’ai décidé de vibrer la joie sans me soucier des blocages intérieurs puisque je crée ou plutôt j’attire ce que j'émets. Il ne s’agit pas de feindre mais de revenir à cette intention quand le doute ou la peur ou une idée de ce genre fait surface. Plus ça va et plus je me dis que le simple fait de laisser mon cœur agir, de le laisser diriger ma vie, suffit à ce que l’univers soit totalement bienveillant dans tous les domaines de cette expérience matérielle. Le seul « travail » que je m’autorise, c’est d’étudier ce que je suis afin que ça me soit utile pour revenir à la réalité que je veux vivre. Et encore là, pas de pression, pas d’obligation je me fie aux synchronicités. Bien que je croie à la loi d’attraction, je n’appelle pas de changement dans mes situations de vie mais c’est au niveau de mes croyances que je situe ma focalisation. Puisque celles-ci se chargeront de modifier mon présent, il me suffit de m’autoriser à aimer et à être aimée pour que tout autour se conforme à ce souhait. Après, ce qui est ou ce qui vient, si ça ne convient pas à ce que je veux maintenant, il me suffit de me dire que c’est de l’amour puisque tel est mon vœu et que c’est juste ma vision faussée qui me fait croire autre chose, pour que je puisse voir qu’effectivement c’est bien de l’amour. Toute situation me pousse dans ce sens que ce soit vis-à-vis de moi-même ou par rapport aux autres.

vendredi 7 juin 2013

L’argent, sujet tabou à dépoussiérer...cours 1/9 sur la prospérité de Métatron (transmis par Reniyah Wolf, publié par Joéliah)




Comme mon actualité c’est de voir de près la relation à l’argent, la façon dont je peux concilier ma passion et réussir à en vivre et bien que j’aie fait pas mal d’exercice de libération au niveau des vieilles croyances à ce sujet, j’ai décidé de m’y mettre sérieusement. Plutôt que de voir dans mon rendez-vous avec l’assistante sociale quelque chose qui met en évidence mon sentiment d’illégitimité et donc de vouloir fuir le problème en accusant la société, mon passé, mon enfance...de lire des messages qui parlent de l’absolu...
Je vois là un coup de pouce de mon âme qui me connaît très bien et sait qu’il faut que je sois en situation d’urgence pour réagir. Je n’ai plus aucun doute quand à ce que je suis ni concernant les lois universelles et la vérité de la loi d’attraction, donc je n’ai plus d’excuses pour continuer de traîner cette étiquette d’assistée. Même si ça m’a été utile et même nécessaire pendant un certain temps, c’est bon, j’ai ma dose ! Ce qui me gonfle le plus, c’est d’avoir à justifier ma bonne foi, le fait que je ne glande pas. Comme si toucher 400 euros par moi permettait de vivre correctement ! Heureusement que j’aie le jardin et quelques soutiens ponctuels qui bien souvent, tombent du ciel ! D’un autre côté, j’ai toujours su que je ne manquerais de rien et c’est vrai, mais maintenant, il est temps que je m’autorise à vivre dans le confort. L’hiver passé à me geler depuis le 8 février et à galérer avec le poêle, ça n’a absolument plus lieu d’être puisque là encore, la victime intérieure est nourrie grassement au dépends du confort d mon corps physique.
Encore une belle synchronicité dans le message qui suit, publié par Joéliah sur son site "Le jardin de Joéliah", il y a quelques jours. Je n’ai pas trop le temps, ni l’idée d’y aller mais je l’ai trouvé hier et voilà donc quelques pistes de réflexions que je me propose de publier en respectant sa demande explicitée à la fin du message.

CONFIANCE et LÉGÈRETÉ





Quatrième matin avec la sensation d’être laissée à moi-même. Je ne me sens pas abandonnée ou "punie" pour désobéissance, ou encore dans la rébellion qui me coupe de la relation à mon âme, c’est plutôt le sentiment d’être amenée à m’installer plus pleinement dans ce que je suis. Comme si le moment était venu d’être totalement souveraine de ma vie et de mes choix. Je sens la connexion à mon âme mais d’une façon moins paternaliste. C’est comme si elle faisait maintenant partie intégrante de ce que je suis. Non pas que je l’ai appelée à venir en moi, mais plus que j’ai enfin réalisé qu’elle a toujours été là, en égale, en partenaire invisible mais néanmoins bien réelle, logée éternellement en mon cœur. Même si sa vision est plus large que ma personnalité humaine, le fait qu’elle ait besoin de guérison me rapproche d’elle, je la situe à mon niveau. Elle est aussi dans l’expérimentation et ce fait nous rapproche intimement.

Puisque j’ai décidé d’étudier de près le corps christique, le corps éthérique, le corps causal, de sentir leur connexion afin de réaliser la proximité de ma présence christique, je refais la page « chakras ». L’étude de ce qu’est l’énergie masculine est en cours et j’ai bien l’impression que pour que je l’active en moi de façon juste et divine, il me faille intégrer la notion de pardon. Enfin ça, c’est la théorie qui semble indubitable. Il me faut maintenant réussir à l’appliquer de façon sincère et spontanée. Je ne me colle pas de pression, je sais que la direction est là et je veux emprunter ce chemin. Car même si j’ai pardonné à mon père, mon enfant intérieur porte encore le sentiment d’injustice et le besoin de réparation. 

jeudi 6 juin 2013

Pacifier le monde intérieur pour vivre la paix avec l'extérieur...Résumé des "4 accords Toltèques" de Don Miguel Ruiz




Le rubis doré de la paix, l'eau qui purifie, le blanc de la joie et de la légèreté

J’ai pu vérifier combien le centrage, la confiance en soi et le fait de ne pas juger soi-même ou l’extérieur, porte immédiatement ses fruits. Je m’apprêtais à monter péniblement la côte à vélo pour vérifier que le canal d’eau était ouvert plus haut et mon voisin de jardin était en train de finaliser le travail commencé il y a quelques jours pour mettre en place le système d’arrosage. Belle synchronicité qui m’a encore montrée que de vouloir forcer les choses et même d’affirmer sa volonté par rapport à l’extérieur n’a aucun pouvoir sur les situations bloquées. En fait, il ne s’agit pas d’exprimer sa volonté, de vouloir changer les choses extérieures mais bien d’être en accord avec soi-même. Même si je me le répète très souvent, ce n’est pas encore tout à fait acquis. Le fait d’être en paix intérieurement créé la paix à l’extérieur. 
La lecture du message de Jeshua et l’affirmation du désir d’unité ont suffit pour que tout se débloque. Même si les voisins du dessus continuent de claquer les portes, je ne m’en occupe pas. Quand mon cœur ne réagira pas en faisant un bond, à chaque fois, je saurais que la paix s’est installée. C’est vrai que quand je lisais qu’il fallait être centré, dans les messages des gens qui se sentent concernés par l’ascension, j’avais du mal à en saisir le sens de façon concrète. De même que lorsqu’on le vit, il est difficile de trouver les mots ou plutôt d’ajouter aux mots, la sensation. C’est impossible même si les mots portent une certaine vibration. En plus quand on se gave de lecture spirituelle, le sens des mots perd sa valeur par la répétition. Le mental s’habitue, acquiesce mais tant que ça n’est pas vécu au moment opportun, ça n’a pas vraiment de sens.
Quelques fois, je me dis que si je n’intellectualise pas les choses, je n’aurais plus rien à dire, mais affirmer, c’est vouloir convaincre ou même se convaincre. Le silence est le signe de l’acceptation de ce qui est. Quand on cesse de mentaliser pour vivre réellement, les outils virtuels n’ont plus de raison d’être. Quand on n’a plus rien à chercher, à prouver, le silence laisse la place au bavardage mental. J’ai peur de ça en fait. C’est comme si j’allais cesser d’exister. L’ego manifeste sa présence et craint de disparaître. Je lui ai dit que je ne savais pas s’il allait mourir lors de l’ascension mais que de toute façon, selon les lois de l’incarnation, il est appelé à le faire un jour ou l’autre. Autant vivre en paix, dans l’harmonie d’ici là.

"Lâcher prise de la lutte" Jeshua par Paméla Kribbe




Josephine Wall

Pour quelqu’un qui veut sortir du mental, vous allez trouver ma persistance à diffuser des messages, un peu contradictoire. Comme j’ai choisi de partager ce que je vis et ce qui me permet de me recentrer, ce qui suit trouve logiquement sa place sur le blog. Le ciel qui se couvre bouscule un peu mon planning et à vrai dire, j’espère qu’une pluie viendra, m’évitant ainsi de charrier des seaux puisque le système d’arrosage n’est pas tout à fait au point. Je vais donc en profiter pour me chouchouter au chaud. Voici donc ce qui m’éclaire aujourd’hui et qui m’a réconforté tout autant que le mail reçu d’une lectrice. C’est vrai que le message suivant est un peu long mais je préfère le laisser dans son intégralité, par respect pour les auteurs.

Lâcher prise de la lutte

Jeshua transmis par Pamela Kribbe
Le 22 Novembre 2007 à Tilburg

De la tête au coeur




Depuis trois matins, je me réveille bougon, comme si la connexion à mon âme était interrompue. Comme si la nuit j’étais en désaccord avec le monde invisible. Le jour, ça se traduit par la confusion, le doute quant à la pertinence de mes choix, de mes actions...J’ai beaucoup de mal à être présente et dès le matin, je cherche ce qui a bien pu créer cette baisse de fréquence généralisée. Le fait d’avoir parlé de mon passé, de mon enfance, semble avoir mis en exergue quelques émotions et croyances encore refoulées. Le désir de guérir doit aussi trouver son équilibre et se positionner dans le moment présent, est plus qu’important dans ces moments là. 
Certes jeter un œil en arrière peut avoir du bon si on le fait pour libérer ce qui doit sortir mais la guérison se réalisant par la simple prise de conscience, ça ne doit pas se transformer en prise de tête ! Le seul point positif, c’est que dans cette remise en question, je ne suis pas tombée dans la division intérieure ou la tendance à se punir. J’ai bien un peu râlé de constater qu’il y avait encore des ombres à l’intérieur mais je n’ai pas accusé mon mental, mon enfant intérieur, mon corps émotionnel...