Encore
une nuit d’enseignements qui me laisse songeuse, ce matin. Je voulais entreprendre
l’étude du chakra de la gorge mais par l’acceptation de ce qui est, le désir d’unité,
et le pardon appliqué en toutes circonstances, la vie me l’enseigne directement.
Une pluie d’orage a arrosé le jardin pour moi et je dispose donc de toute la journée
pour faire ce que j’aime, sans avoir à courir. J’ai décidé de vibrer la joie
sans me soucier des blocages intérieurs puisque je crée ou plutôt j’attire ce
que j'émets. Il ne s’agit pas de feindre mais de revenir à cette intention
quand le doute ou la peur ou une idée de ce genre fait surface. Plus ça va et
plus je me dis que le simple fait de laisser mon cœur agir, de le laisser diriger ma vie,
suffit à ce que l’univers soit totalement bienveillant dans tous les domaines
de cette expérience matérielle. Le seul « travail » que je m’autorise,
c’est d’étudier ce que je suis afin que ça me soit utile pour revenir à la
réalité que je veux vivre. Et encore là, pas de pression, pas d’obligation je
me fie aux synchronicités. Bien que je croie à la loi d’attraction, je n’appelle
pas de changement dans mes situations de vie mais c’est au niveau de mes
croyances que je situe ma focalisation. Puisque celles-ci se chargeront de
modifier mon présent, il me suffit de m’autoriser à aimer et à être aimée pour
que tout autour se conforme à ce souhait. Après, ce qui est ou ce qui vient, si
ça ne convient pas à ce que je veux maintenant, il me suffit de me dire que c’est
de l’amour puisque tel est mon vœu et que c’est juste ma vision faussée qui me
fait croire autre chose, pour que je puisse voir qu’effectivement c’est bien de
l’amour. Toute situation me pousse dans ce sens que ce soit vis-à-vis de moi-même
ou par rapport aux autres.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
samedi 8 juin 2013
vendredi 7 juin 2013
L’argent, sujet tabou à dépoussiérer...cours 1/9 sur la prospérité de Métatron (transmis par Reniyah Wolf, publié par Joéliah)
Comme
mon actualité c’est de voir de près la relation à l’argent, la façon dont je
peux concilier ma passion et réussir à en vivre et bien que j’aie fait pas mal
d’exercice de libération au niveau des vieilles croyances à ce sujet, j’ai
décidé de m’y mettre sérieusement. Plutôt que de voir dans mon rendez-vous avec
l’assistante sociale quelque chose qui met en évidence mon sentiment
d’illégitimité et donc de vouloir fuir le problème en accusant la société, mon
passé, mon enfance...de lire des messages qui parlent de l’absolu...
Je vois là
un coup de pouce de mon âme qui me connaît très bien et sait qu’il faut que je
sois en situation d’urgence pour réagir. Je n’ai plus aucun doute quand à ce
que je suis ni concernant les lois universelles et la vérité de la loi
d’attraction, donc je n’ai plus d’excuses pour continuer de traîner cette
étiquette d’assistée. Même si ça m’a été utile et même nécessaire pendant un
certain temps, c’est bon, j’ai ma dose ! Ce qui me gonfle le plus, c’est
d’avoir à justifier ma bonne foi, le fait que je ne glande pas. Comme si
toucher 400 euros par moi permettait de vivre correctement ! Heureusement
que j’aie le jardin et quelques soutiens ponctuels qui bien souvent, tombent du
ciel ! D’un autre côté, j’ai toujours su que je ne manquerais de rien et
c’est vrai, mais maintenant, il est temps que je m’autorise à vivre dans le
confort. L’hiver passé à me geler depuis le 8 février et à galérer avec le
poêle, ça n’a absolument plus lieu d’être puisque là encore, la victime intérieure est nourrie grassement au dépends du confort d mon corps physique.
Encore
une belle synchronicité dans le message qui suit, publié par Joéliah sur son
site "Le jardin de Joéliah", il y a quelques jours. Je n’ai pas trop le temps, ni l’idée d’y aller
mais je l’ai trouvé hier et voilà donc quelques pistes de réflexions que je me
propose de publier en respectant sa demande explicitée à la fin du message.
CONFIANCE et LÉGÈRETÉ
Quatrième
matin avec la sensation d’être laissée à moi-même. Je ne me sens pas abandonnée
ou "punie" pour désobéissance, ou encore dans la rébellion qui me
coupe de la relation à mon âme, c’est plutôt le sentiment d’être amenée à m’installer
plus pleinement dans ce que je suis. Comme si le moment était venu d’être
totalement souveraine de ma vie et de mes choix. Je sens la connexion à mon âme
mais d’une façon moins paternaliste. C’est comme si elle faisait maintenant
partie intégrante de ce que je suis. Non pas que je l’ai appelée à venir en moi,
mais plus que j’ai enfin réalisé qu’elle a toujours été là, en égale, en
partenaire invisible mais néanmoins bien réelle, logée éternellement en mon cœur.
Même si sa vision est plus large que ma personnalité humaine, le fait qu’elle
ait besoin de guérison me rapproche d’elle, je la situe à mon niveau. Elle est
aussi dans l’expérimentation et ce fait nous rapproche intimement.
Puisque
j’ai décidé d’étudier de près le corps christique, le corps éthérique, le corps
causal, de sentir leur connexion afin de réaliser la proximité de ma présence
christique, je refais la page « chakras ». L’étude de ce qu’est l’énergie
masculine est en cours et j’ai bien l’impression que pour que je l’active en
moi de façon juste et divine, il me faille intégrer la notion de pardon. Enfin
ça, c’est la théorie qui semble indubitable. Il me faut maintenant réussir à l’appliquer
de façon sincère et spontanée. Je ne me colle pas de pression, je sais que la
direction est là et je veux emprunter ce chemin. Car même si j’ai pardonné à
mon père, mon enfant intérieur porte encore le sentiment d’injustice et le
besoin de réparation.
jeudi 6 juin 2013
Pacifier le monde intérieur pour vivre la paix avec l'extérieur...Résumé des "4 accords Toltèques" de Don Miguel Ruiz
Le rubis doré de la paix, l'eau qui purifie, le blanc de la joie et de la légèreté |
J’ai pu
vérifier combien le centrage, la confiance en soi et le fait de ne pas juger
soi-même ou l’extérieur, porte immédiatement ses fruits. Je m’apprêtais à
monter péniblement la côte à vélo pour vérifier que le canal d’eau était ouvert
plus haut et mon voisin de jardin était en train de finaliser le travail
commencé il y a quelques jours pour mettre en place le système d’arrosage.
Belle synchronicité qui m’a encore montrée que de vouloir forcer les choses et
même d’affirmer sa volonté par rapport à l’extérieur n’a aucun pouvoir sur les
situations bloquées. En fait, il ne s’agit pas d’exprimer sa volonté, de
vouloir changer les choses extérieures mais bien d’être en accord avec
soi-même. Même si je me le répète très souvent, ce n’est pas encore tout à fait
acquis. Le fait d’être en paix intérieurement créé la paix à l’extérieur.
La
lecture du message de Jeshua et l’affirmation du désir d’unité ont suffit pour
que tout se débloque. Même si les voisins du dessus continuent de claquer les
portes, je ne m’en occupe pas. Quand mon cœur ne réagira pas en faisant un
bond, à chaque fois, je saurais que la paix s’est installée. C’est vrai que
quand je lisais qu’il fallait être centré, dans les messages des gens qui se
sentent concernés par l’ascension, j’avais du mal à en saisir le sens de façon
concrète. De même que lorsqu’on le vit, il est difficile de trouver les mots ou
plutôt d’ajouter aux mots, la sensation. C’est impossible même si les mots
portent une certaine vibration. En plus quand on se gave de lecture
spirituelle, le sens des mots perd sa valeur par la répétition. Le mental
s’habitue, acquiesce mais tant que ça n’est pas vécu au moment opportun, ça n’a
pas vraiment de sens.
Quelques
fois, je me dis que si je n’intellectualise pas les choses, je n’aurais plus
rien à dire, mais affirmer, c’est vouloir convaincre ou même se convaincre. Le
silence est le signe de l’acceptation de ce qui est. Quand on cesse de
mentaliser pour vivre réellement, les outils virtuels n’ont plus de raison
d’être. Quand on n’a plus rien à chercher, à prouver, le silence laisse la
place au bavardage mental. J’ai peur de ça en fait. C’est comme si j’allais
cesser d’exister. L’ego manifeste sa présence et craint de disparaître. Je lui
ai dit que je ne savais pas s’il allait mourir lors de l’ascension mais que de
toute façon, selon les lois de l’incarnation, il est appelé à le faire un jour
ou l’autre. Autant vivre en paix, dans l’harmonie d’ici là.
"Lâcher prise de la lutte" Jeshua par Paméla Kribbe
Pour
quelqu’un qui veut sortir du mental, vous allez trouver ma persistance à
diffuser des messages, un peu contradictoire. Comme j’ai choisi de partager ce
que je vis et ce qui me permet de me recentrer, ce qui suit trouve logiquement
sa place sur le blog. Le ciel qui se couvre bouscule un peu mon planning et à
vrai dire, j’espère qu’une pluie viendra, m’évitant ainsi de charrier des seaux
puisque le système d’arrosage n’est pas tout à fait au point. Je vais donc en profiter
pour me chouchouter au chaud. Voici donc ce qui m’éclaire aujourd’hui et qui m’a
réconforté tout autant que le mail reçu d’une lectrice. C’est vrai que le
message suivant est un peu long mais je préfère le laisser dans son intégralité,
par respect pour les auteurs.
Lâcher
prise de la lutte
Jeshua
transmis par Pamela Kribbe
Le 22
Novembre 2007 à Tilburg
De la tête au coeur
Depuis
trois matins, je me réveille bougon, comme si la connexion à mon âme était
interrompue. Comme si la nuit j’étais en désaccord avec le monde invisible. Le
jour, ça se traduit par la confusion, le doute quant à la pertinence de mes
choix, de mes actions...J’ai beaucoup de mal à être présente et dès le matin,
je cherche ce qui a bien pu créer cette baisse de fréquence généralisée. Le
fait d’avoir parlé de mon passé, de mon enfance, semble avoir mis en exergue
quelques émotions et croyances encore refoulées. Le désir de guérir doit aussi
trouver son équilibre et se positionner dans le moment présent, est plus qu’important
dans ces moments là.
Certes jeter un œil en arrière peut avoir du bon si on le
fait pour libérer ce qui doit sortir mais la guérison se réalisant par la
simple prise de conscience, ça ne doit pas se transformer en prise de tête !
Le seul point positif, c’est que dans cette remise en question, je ne suis pas
tombée dans la division intérieure ou la tendance à se punir. J’ai bien un peu râlé
de constater qu’il y avait encore des ombres à l’intérieur mais je n’ai pas
accusé mon mental, mon enfant intérieur, mon corps émotionnel...
mercredi 5 juin 2013
« Laisse dire, laisse faire »...vidéos d'animations
Je viens
de faire un rêve, ou plutôt un cauchemar qui m’a laissée hébétée. J’étais
encore avec ma sœur et ma mère et le scénario de l’enfance se rejouait. Ma sœur
m’accusait de je ne sais plus quoi, elle était ivre, irrespectueuse et je
bouillais à l’intérieur. Je ne me souviens plus trop de son comportement mais
juste qu’elle était injuste envers moi. Je ne disais rien puis j’ai entendu au
loin, ma chienne qui couinait. Ma sœur s’étant éloignée avec elle, j’ai bondi
pour aller vers les cris et arrivée à sa hauteur, je l’ai poussée violemment,
constatant qu’elle était responsable, indirectement de la souffrance de l’animal.
Elle est tombée et sa tête a heurté le sol. Je suis restée subjuguée une
dizaine de seconde par le fait qu’elle restait immobile, en me disant « je l’ai tuée » ! Je
me suis approchée et elle a ouvert les yeux.
Puis les bruits des voisins qui
claquaient leurs portes de voiture, m’ont réveillée. J’étais en train de me
dire que l’image était claire, la violence par la violence n’était pas la
solution même si je pouvais avoir « raison » de me défendre ou de
défendre ma chienne en l’occurrence. Le gamin s’est mis à crié bien fort dans l’escalier
qui résonne et je me suis dit que mon enfant intérieur se rebellait face à ma
résignation. Plutôt que de crier aussi, je lui ai expliqué une fois de
plus, que je comprenais son besoin de justice mais que ça n’était pas du tout
une solution. D’ailleurs, malgré que je me sois plainte auprès du propriétaire
pour le voisin bruyant, ça n’a rien changé à la situation, il a fait son numéro à
13h, fenêtres ouvertes. Remarque un peu quand même puisqu’il s’est arrêté au
bout d’à peine une heure tandis que je lisais un message d’O. M. Aivanhov, qui parle de l’onde
de vie.
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