samedi 1 juin 2013

Transcender ses souffrances pour s’élever en cinquième dimension





Après une nuit encore mouvementée, le réveil dynamique et enjoué malgré le vent qui souffle avec une rare violence dehors, m’a amené à réfléchir sur mon enfance. Tout comme la pluie m’indique la nécessité de libérer la tristesse de mon enfant intérieur, le vent me pousse à libérer la colère. J’ai cherché dans google, à partir de cette phrase : « guérir de l’inceste » espérant y voir mon blog, mais j’ai vite réalisé que je n’en parlais pas suffisamment pour être dans ces pages. Il n’y pas de raison de se vanter de ce genre de vécu mais d’un autre côté, je peux dire sans émotions que ce passé m’a ouvert la porte de l’humain divin. Je ne souhaite évidemment à personne ce genre d’épreuve néanmoins, je peux voir à quel point le choix d’incarnation de mon âme a été très, très judicieux. Je peux donc aujourd’hui la remercier sincèrement même si j’ai souffert pratiquement toute ma vie de ce trauma. Tout ce que j’ai pu recevoir d'amour et de lumière, est entré par cette faille immense. La joie qui en résulte est proportionnelle à la souffrance vécue. Là encore, l’équilibre se fait naturellement et c’est la manifestation  de l’intelligence de tous nos corps qui sont autonomes et programmés pour réaliser l'unité.

vendredi 31 mai 2013

Gratitude pour la nature...Vidéos d'animation et "Le sourire" de Patrick Giani



 
Le Canigou
Je remercie le ciel, la terre, mes guides et les anges de pouvoir cultiver un jardin. C’est vraiment une activité complète qui nous relie directement à la terre mère et qui a le pouvoir de guérir notre enfant intérieur. Les animaux, les jeunes enfants ont aussi cette capacité, par leur authenticité qui nous renvoie à notre propre innocence.
Je disais à mon cher enfant intérieur, tout à l’heure alors que la tristesse liée à l’enfance revenait, qu’aujourd’hui, nous revivons cette période de la vie. Je fais exactement ce que j’aime, ce qu’il aime. Ce dont je rêvais enfant, avec la liberté et l’expérience qui donne la sagesse de l’adulte en plus.
J’ai retrouvé les « qualités » de l’enfance. La spontanéité, la sincérité, l’enthousiasme, l’envie de faire plein de choses, d’oser rêver et vivre ces rêves. Les « soucis » perdent leur ampleur puisqu’ils ne sont que des idées issues de la peur. Quand je les regarde de près, je me rends compte que ça n’a aucun poids, que c’est juste mon mental qui a essayé de se faire un film. Mais comme j’ai décidé de ne plus être actrice ni même spectatrice de ce genre de scénario, ça passe tout seul. La tristesse de ce matin a été balayée par le vent, alors que j’étais au jardin à planter des bulbes de Dahlias. 

Un nouveau jour à vivre pleinement




Je dois dire que de voir que la pluie est encore au rendez-vous ce matin, me plonge dans un genre de mélancolie née de la saturation. Pas très fluide cette phrase ! J’ai hâte que ce mois de mai se termine et que le soleil prédomine enfin. Un peu comme si on être tout entier aspirait à sentir le soleil christique s’installer en moi et rayonner sur tous mes corps. C’est tout de même étrange d’être un humain. On espère quelque chose et quand ça arrive, on ne sait pas l’apprécier à sa juste valeur. Combien de fois j’ai râlé contre la force écrasante du soleil ! Il faut dire que le sud de la France en été, est réputé pour sa chaleur et attire beaucoup de touristes. Je suis venue ici pour le soleil, la luminosité et le rythme quotidien qui est beaucoup plus facile qu’au nord mais c’est l’Aude qui m’attire le plus. Il y a moins de touristes, la nature est encore plus sauvage et le climat plus tempéré. On trouve des maisons à des prix dérisoires quoique l’engouement pour la fin du monde qui aurait dû arriver l’année dernière, à fait considérablement monter les prix. Mais je suppose que maintenant, c’est redevenu ce que c’était avant cette flambée. Mon rêve, celui que je visualise régulièrement, c’est une maison dans cette région, à retaper à la force de mes mains selon ma personnalité. Pouvoir sorti de chez soi et marcher nu pied dans la rosée du matin, se balader nue dans le jardin, avoir de l’espace, aménager un atelier créatif, une pièce dédiée à la musique, une bibliothèque « spéciale » remplie de livre d’éveil, un grand jardin potager, des écuries pour des ânes et des doubles poneys, des poules, des chèvres bref, le paradis tel que je le conçois. Mais, il manque un personnage à ce décor, un compagnon, un homme. Je me vois mal toute seule, en pleine nature à faire tout ça sans quelqu'un avec qui je pourrais vivre en totalité ce que je suis et mettre en pratique l'amour inconditionnel partagé. C'est si perché comme rêve que je me contente de vivre dans la confiance en l'auto-guérison amènera la réalisation de mes visions.

jeudi 30 mai 2013

"L'acceptation" message d'Adamu reçu par Zingdad.




Après plus de deux heures passées au jardin, je me sens toute légère. J’ai pu semer encore des fleurs, bêcher par ci par là, repiquer des Lobelias d’un magnifique bleu indigo et refixer les tuteurs des tomates. Quelques gouttes de pluie m’ont poussées à rentrer ainsi que les gargouillis de faim dans le ventre. J’ai tendance à facilement les ignorer et je dois souvent me raisonner pour me décider à manger. Le fait de prendre conscience de ce qu’est réellement mon corps physique me permet d’envisager cette relation d’un point de vue tout à fait neuf et s’aimer sans conditions n’est plus narcissique mais c’est carrément devenu une responsabilité. Sans tomber non plus dans le « devoir », le fait de savoir que mes cellules m’entendent, qu’elles sont autonomes et que la bonne marche de l’ensemble dépend de moi, change complètement ma façon de faire et d’être.
Je pensais à une amie ce matin et en réfléchissant à trouver des outils qui pourraient l’aider, le message qui suit m’est venu en tête. Il est question d’acceptation et même si je crois l’avoir déjà publié, un rappel est utile et même nécessaire dans les circonstances actuelles. C’est une explication et une méthode pour apprendre à accepter tout ce qui nous empêche d’être libres et heureux. Je l’applique régulièrement mais relire ce texte me sera aussi utile. C’est un des êtres de lumière que j’apprécie particulièrement pour sa conscience très éclairée et sa capacité d’aimer sans conditions.Je continue tout de même les séances d'EFT qui ont le même objectif, celui de m'accepter en totalité. La traduction n'a pas été réécrite afin de respecter le contenu du message audio.

ADAMU - L'ACCEPTATION

"La nuit porte conseil"...vidéos "Porte de l'Agartha"




Ce matin, je suis encore tombée du lit à 4h. C’est la chatte qui m’a réveillée par ses miaulements. Cette fois-ci, je me suis bien rappelée de mon « rêve ». J’étais encore dans une classe où j’apprenais à gagner de l’argent avec un blog. Depuis près d'un mois, je reçois des mails pour suivre une formation mais comme ça me soule, je ne visionne que quelques vidéos, me contentant de noter l’essentiel. J’ai été un peu étonnée de constater que les "maitres" enseignaient, enfin disons plutôt que dans cette "classe", ils éclairaient de leur sagesse les quelques élèves que nous étions. Ce n’est pas la première fois que je vais dans des cours spirituels durant la nuit mais il n’a que très rarement été question de l’aspect matériel de la vie, enfin plutôt financier. J’ai encore bien du mal à "faire ma place". Je préfère me laisser guider par mon cœur et continuer de trouver l’équilibre intérieur pour que ça se fasse naturellement, sans forcer, sans agir à la façon du monde. Je me suis sentie portée quand j’ai proposée mon aide, comme si je trouvais ma voie mais le 1% de critiques a suffit à me faire tout arrêter. Je sens comme un vide depuis et tant que je n’arrive pas à déterminer si c’est lié au manque affectif puisque se sentir "approuvé" peut créer une dépendance, je continue de guérir ce qui m’empêche d’oser aller dans ce sens. Il est clair que mon cœur sait que c’est la voie choisie par mon âme. Je le sais par la facilité et la fluidité avec laquelle tout s’est mis en place mais ma difficulté à mettre des limites, liée à la méconnaissance de l’énergie masculine, a été un frein. Le manque de confiance en soi qui en résulte a suffit à me faire reculer. Le manque d’harmonie intérieure aussi. Même si l’intention du cœur est noble et pure, il est nécessaire d’associer l’ego dans toute entreprise. Comme j’y "travaille", je sais que je saurais surmonter tout ces petits handicaps. J’y ai vu aussi la peur de tomber dans le piège de l’interdépendance, de se croire sauveur et de baser l’amour de soi uniquement sur la reconnaissance extérieure. Là encore, je peux voir que certaines "peurs" sont des outils qui permettent de trouver la "bonne direction", la voie du juste milieu. D’ailleurs, j’ai eu une image claire hier, d’une situation de peur qui représentait une sonnette d’alarme m’évitant de "tomber". Même si celle-ci était motivée par l’instinct de survie, elle a été tout à fait légitime et salvatrice. Je ne sais plus ce que c’était précisément mais l’image symbolique était très claire. Heureusement que notre corps nous envoie certains signaux !

mercredi 29 mai 2013

"L’année de toutes les transformations" les êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu


Kinuko Craft


J’ai pu aller en course et au jardin avant que la pluie ne retombe. Je suis de plus en plus à l’aise à l’extérieur et plutôt que d’appréhender, en me focalisant dans l’instant présent, sans que ce soit non plus un effort, tout s’écoule naturellement. J’ai remarqué que le simple fait de mettre mes chaussettes « antidérapantes » m’ancrait facilement et me rendait plus attentive. Le contact direct des pieds au sol est un bon moyen d’habiter son corps, comme si la connexion à la terre m’aidait à être présente. J’ai tellement fuit le quotidien que je suis toute étonnée d’y trouver de la joie et de l’émerveillement. Les choses simples nous ramènent à l’essentiel. La nourriture la plus authentique possible, semble être une fête pour les cellules. 
Hier, j’ai eu la vision de milliers de cellules qui manifestaient leur joie en étincelant et en poussant des petits cris en cœur. Comme des milliers de petits enfants joyeux. Depuis que je m’adresse à mon corps physique comme à une entité autonome et intelligente, j’ai de plus en plus la sensation d’être en relation avec un Microcosmos* qui se réjouit de l’attention que je lui porte. Non pas que je m’en désidentifie mais au contraire, je me vois comme le régent d’un monde extraordinaire que j’apprends à connaître intimement de l’intérieur. Je ne sens pas de jugement de sa part mais de la joie pour la reconnaissance que je lui porte. 
Comme s’il me disait : "enfin, tu as conscience de ce que je suis et des trésors qui sont en moi, enfin, nous pouvons vivre dans la paix, l’amour et le respect mutuel". 
La science commence à reconnaître le pouvoir du cœur et les neurones dont il est pourvu. L’intelligence du cœur et son caractère autonome ne sont plus des considérations de quelques illuminés, du monde spirituel mais prouvés scientifiquement. La puissance du cœur est beaucoup plus grande que celle du cerveau et confirme les enseignements de Jésus-Christ et de tous ceux qui ont « prêché » le pouvoir de l’amour.
Bon, c’est l’heure de la sieste, je mangerais plus tard.

Le pouvoir de choisir



Tomasz  Alen Kopera


S’abandonner à ce qui est, amène une paix et une joie proches de celle que j’aie connue à l’adolescence. Certainement que le fait de ne pas être figée dans des croyances et des rituels doit y faire. La foi en l’humain divin suffit à changer mon regard sur tout. Quand on accepte ce qui est, en l’occurrence le temps spécial cette année et qu’on s’y adapte, on peut non seulement y voir les signes du soutien de la source dans le nettoyage intérieur que chacun est appelé à faire mais en plus, le fait de ne pas opposer de résistance, libère de toute pression et sentiment négatif. 
En toute circonstance, nous avons le pouvoir de choisir comment nous allons interpréter ce qui arrive.
Nous pouvons adopter la philosophie populaire qui se plait dans le fatalisme, le rôle de la victime permanente, en critiquant le temps, en regrettant le passé qui était mieux, en accusant les avions faiseurs de trainées douteuses dans le ciel, en faisant la liste de toutes les choses qu’on pourrait faire si...il y avait du soleil, si les gouvernements étaient plus justes, si l’autre avait un comportement plus respectable, si l’amour gouvernait la planète, si Dieu intervenait punissant les méchants, si le diable n'existait pas... 

Puis nous pouvons nous fier à notre intuition, notre cœur, notre ressenti et optimiser chaque situation en se disant que c’est un cadeau du ciel, une occasion d’apprendre, sur nous-mêmes, sur notre capacité à lâcher prise, l’opportunité de vivre quelque chose de nouveau. Nous pouvons nourrir la certitude en l’univers qui conspire à notre élévation vers, plus d’amour de soi et de toute vie, de talents à développer, de dons à explorer...
Nous pouvons voir dans la pluie, le nettoyage de toutes les souffrances de la terre mère, de celles de ses enfants qui peinent tant à se laisser aller à pleurer et à s’accorder de la tendresse que celle-ci nous invite à nous intérioriser et nous aide à libérer les peines dans cette eau purificatrice, tombée du ciel.