samedi 27 avril 2013

Le principe Christique, extraits du livre "Anna, grand-mère de Jésus"




Chacun porte en lui, l’étincelle christique qui ne demande qu’à s’épanouir. Plus on s’ouvre à la spiritualité en ouvrant son cœur et plus on reconnaît sa "filiation" au personnage historique que fût Jésus Christ. Même si les évangiles, qui ne sont d’ailleurs que des témoignages et non les écrits de cet humain divin exceptionnel par sa conscience et sont cœur ouverts à la vérité divine, ont été interprétés de mil et une façons, l’essence même de son message est : L’amour inconditionnel.
C’est écrit noir sur blanc. Chaque parole prononcée est de l’amour pour toute vie, sans conditions. Il dinait avec les "pêcheurs", il aimait tout le monde, jusqu’à ces bourreaux et pardonnait sincèrement tout le monde.
Il a dû suivre plusieurs enseignements avant d’être à même de communiquer ce message essentiel. La bible ne parle pas de son enfance ni de son adolescence pour en faire un personnage à part, unique. Mais nous portons tous le principe christique.  
Heureusement nous avons aujourd’hui accès à cette connaissance par certains livres, certaines révélations reçues par des channels. Je peux citer, entre autres, Claire Heartsong qui a écrit « Anna, grand-mère de Jésus » qui relate cette part cachée et essentielle de la vie de Jésus. Oui, il a été humain avant de reconnaître pleinement le divin en lui-même. Il a reçu des enseignements et des initiations qui l’ont amené à reconnaître son potentiel afin de canaliser les énergies d’amour inconditionnel pour la planète entière. Il a été assisté par Marie Madeleine à part égale afin de réaliser l’unité des contraires par la fusion des corps physiques, dans la relation sexuelle divine et consciente pour ensemencer la terre de cette énergie d’unité, pour tout humain de la planète, éternellement. 

Être dans le monde mais pas du monde...



Naomi Mc Leod


Cette phrase comme d’ailleurs tous les enseignements de Jésus Christ ont une forte résonance en moi, surtout en ce moment. J’ai vraiment l‘impression de plus en plus forte de ne pas être d’ici. Quand je me suis fait baptiser et quand j’ai lu les évangiles, j’ai été très étonnée de connaître presque par cœur tous les versets, alors que je n’ai pas reçu d’éducation religieuse. Ma mère était communiste et mon père anarchiste. La familiarité ressentie avec Jésus Christ date de mon adolescence lorsque que j’ai vu le film "Jésus de Nazareth" de Dino Zafarelli, chez des gens chez qui j’étais allée seulement une fois et que je n’ai jamais revus d’ailleurs. J’étais bien défoncée ce soir là et pourtant, je suis restée scotchée devant ce film, en pleurs devant ce personnage. C'est cette révélation qui m'a évité de tomber dans l'alcoolisme. Plus tard, quand j’ai commencé à fréquenter un peu les psys, je me suis dit que la résonance ressentie devait provenir du fait qu’il éveillait les souffrances d’injustice que j’avais vécues enfant. Puis un peu avant mon baptême, j’ai ressenti cette présence si fortement que ma vie en a été bouleversée.
Depuis l’enfance, je me sens comme étrangère sur cette planète. Il y a un tel décalage dans ma façon de considérer les choses avec mon entourage et le monde en général, que j’ai longtemps eu le sentiment que j’étais inadaptée à ce monde. Malgré la distance, je me sentais différente mais pas "anormale". Mon niveau scolaire me préservait d'être considérée comme débile même si je n'ai jamais voulu "profiter" de mes capacités pour me faire une place privilégiée dans la société.

vendredi 26 avril 2013

Trouver le divin en soi.



 
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Je ne sais pas si c’est le temps pluvieux et le fait d’avoir été enfermée toute la journée mais j’ai des douleurs aux crânes par moments qui sont assez inhabituelles.
Je vais aller interroger mon âme, la douleur...
Je disais ce matin que je n’aimais pas les pubs mais celle-ci vaut le détour!

Pub redevenir enfants


C’est ce dont je rêve, la spontanéité naturelle de l’enfant. Un monde où chacun serait ce qu’il est en son cœur. Il est une trop forte tendance à vouloir ressembler aux autres, à se conformer à la norme pour plaire, être aimé. C’est encore pire avec les médias qui mettent toujours l’accent sur ce que doit être un humain, sur ce qui doit le rendre heureux. Les hommes comme les femmes et même les enfants depuis quelques temps, sont exhibés et évalués selon des critères de beauté. Selon leur compte en banque, leurs possessions matérielles. Non seulement c’est d’un ennui terrible mais ça ne peut qu’engendrer l’envie, la discorde, le manque d’estime personnel dû aux frustrations.
L’intérêt de savoir qu’il y a une étincelle divine en chacun, c’est de pouvoir la trouver en soi et en même temps en chacun. Il n’est pas question de trouver son soi et de se sentir au-dessus des pauvres non-initiés. Ce n’est que la répétition des schémas du vieux monde de compétition.

jeudi 25 avril 2013

La liberté et l’amour sont là quand on lâche la notion de bien et de mal



Pixieled

Je me suis couchée tard hier soir, chose qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Mon chat préféré, docteur « Poupoute » (un de ses nombreux noms!), est venu dormir avec moi. C’est hallucinant l’effet que me fait ce chat ! La façon dont il est apparu dans ma vie, le jour de mes 42 ans. Ce que je vivais à cette époque et comment il a su me guérir de nombreuses de douleurs vécues à ce moment où je vivais une histoire d’amour passionnelle (comme à chaque fois), qui avait fait remonté beaucoup de choses enfouies. C’est d’ailleurs à cette période que j’ai commencé à faire pousser de l’herbe dans la cave de la vieille maison que j’habitais. Je considère que ça m’a beaucoup aidé à ne pas sombrer mais en même temps, j’ai bien ramé et morflé. Je sortais à peine de l’église et me demandait encore si j’avais "droit" d’exprimer mes sentiments sexuellement ! Et ce chat magnifique qui est venu quatre mois après la mort de mon Doberman, que j’aimais beaucoup, a comblé le vide tout en m’aidant à surmonter des peurs d’abandon, de rejet...Il faisait le clown sans arrêt et ronronne dès que je l'approche. A cette époque, les deux chattes de la maison pas encore opérées avaient eu chacune, une portée à deux mois d’intervalle. Monsieur Féliz a réussi à s’incruster à l’heure de la tétée avec les chatons de l’autre mère !

mercredi 24 avril 2013

Avec un peu de recul et beaucoup d'amour


John Welwood


Comme je l’ai dit à beaucoup de ceux qui m’ont écrit, j’ai été submergée par un grand nombre de mail juste pendant ma semaine « fumette ». C’est mal tombé, du coup, j’ai cafouillé à répondre, je me suis emmêlée les pinceaux mais finalement j’espère avoir répondu à chacun. Comme je le disais à Nathalie, une personne qui m’a écrit longuement et à qui je viens de répondre, je considère le lecteur au même niveau que moi. Ni au-dessus, ni en-dessous. Nous sommes égaux, dotés des mêmes capacités. Celle d’aimer est la plus grande, la plus puissante mais il ne s’agit pas d’aimer l’autre avant ou plus que soi-même, ce n’est pas cohérent. C’est le signe d’un manque affectif, d’un besoin d’être aimé. Il n’y a pas de "mal" à cela, c’est juste que ça rend dépendant des autres et que ça fausse totalement les relations entre humains. 
Nous avons tous une étincelle divine intérieure qui brille plus ou moins fort. 
Elle s’illumine quand nous aimons tout ce que nous sommes, quand nous acceptons nos "défauts", quand nous cessons de vouloir nous améliorer.
Les vieilles croyances dont nous avons à nous défaire, sont celles qui nous font penser que nous ne sommes rien, que nous sommes mauvais, méchants... 
Nous sommes multidimensionnels et tout ce que nous sommes est divin, créé par la source. 

Passage du monde de la pensée à celui du ressenti.




C’est ce que je me propose de vivre à chaque instant. Il ne s’agit pas de cesser de penser puisqu’en plus, c’est impossible mais de prendre l’habitude d’habiter pleinement son corps, d’être le témoin de ce qui se vit à l’intérieur.
Puisque j’ai foi en l’humain divin, en la réalité de l’unité de tout ce que je suis, j’ai décidé de franchir une étape sur mon chemin spirituel.
J’ai cherché longtemps, par la lecture, la prière, la visualisation...à rencontrer le divin en moi. Evidemment bien que je conçoive que l’être de lumière qui est en moi, soit constitué d’énergie, je ne l’ai jamais vu de mes yeux. Il semble que je sois arrivée aux limites du mental. Il y a bien des textes qui traitent la question du divin mais ça me semble si éloigné du quotidien, de la réalité, que c’est finalement une fuite du moment présent qui est presque plus dangereuse que la prise de drogue parce qu’au moins, avec des produits, on revient vers soi quand les effets disparaissent. Mais quand on passe des heures devant son écran, à essayer de comprendre la source, on s’en éloigne totalement puisque celle-ci est une énergie amoureuse qui circule en nous, en permanence. C’est à partir du ressenti, des émotions, dans la simple observation de ce qui est que l’on peut réellement approcher le divin intérieur. Ressentir la joie simple d'être.

L'âme nous parle à travers notre corps physique, extrait du message de Jeshua: "Maladie et santé"


Alfredas Jurevicius


Dans ma lecture du livre écrit par Paméla Kribbe, qui reçoit les messages de Jeshua, j’arrive au chapitre qui traite de la maladie et c’est très intéressant. J’en copie colle quelques passages qui me semblent des clefs de compréhension de la communication avec notre âme. En tout cas, ça me donne encore plus envie d'écouter mon corps physique, mes émotions, avant que mon âme ait à s'exprimer à travers la douleur.

Extrait du message:

« ...Toute maladie a une origine spirituelle.
 J'expliquerai cela en faisant une distinction entre vos différents corps. En plus de votre corps physique visible par tous, vous possédez aussi un corps émotionnel, un corps mental et quelque chose que vous pourriez appeler un corps spirituel.
La maladie débute principalement dans le corps émotionnel. C'est de là que certains blocages s'installent dans le corps physique au niveau matériel. Bien souvent, des croyances provenant du corps mental contribuent au développement de blocages émotionnels et à la manifestation de maladies. Je parle de croyances profondément enracinées ou d'habitudes mentales. Ce sont souvent des croyances à propos de ce qui est bon ou mauvais en vous.