samedi 13 avril 2013

Application de" l'acceptation de tout ce que je suis"



Helena Nelson Reed

 Ce matin, le soleil semble vouloir offrir sa présence pour la journée. Je suis toute excitée à l’idée de profiter du dernier jour où je peux circuler en voiture, sans craindre les contrôles policiers. J’ai décidé d’aller chercher de l’herbe. Dans ma volonté d’être dans l’acceptation de ce qui est, je cède au désir qui est venu il y a quelques jours, de m’offrir ce plaisir. J’espère pouvoir doser. C’est une chose que je n’ai jamais su faire. C’est comme si j’avais toujours oscillé entre culpabilité de fumer ce produit que la majorité qualifie d’illicite et le plaisir qu’il procure. Je me dis que j’ai amplifié la culpabilité en associant le produit à un genre d’adhésion au mal, mais comme ce concept devient totalement faux, pour moi, maintenant, je me dis qu’il est temps de tester ma capacité d’acceptation de ce qui est. En l’occurrence, est-ce que je m’autorise à aller au bout de mon envie, sans m’identifier au personnage de "drogué", sans culpabiliser de vouloir ce plaisir ? Quand j’étais ado, je n’avais pas de notion de culpabilité, je considérais que le fait de fumer était avant tout un plaisir et il marquait mon désaccord avec la société où l’effort, la souffrance et le sacrifice sont récompensés par des médailles. Celle du travail, celle du sacrifice à la nation, celle pour les familles nombreuses...Autant de récompenses qui amplifient l’idée de petitesse de limitation de l’humain "intégré" dans la société mais désintégré en lui-même.

vendredi 12 avril 2013

Les cheveux, parure, antennes féminines et masculines




Je viens de trouver ces deux textes qui parlent des cheveux et bien que ça puisse sembler « léger » comme sujet, je pense que c’est important et que ça appuie l’idée que chaque partie du corps a sa raison d’être, sa fonction particulière. 
J’ai toujours "senti" que le cheveu était comme une antenne et lire ces textes me conforte dans mon idée. On peut voir le changement d’état d’esprit chez les femmes qui à la quarantaine, coupent leurs cheveux. Elles deviennent non seulement moins féminines mais perdent aussi une certaine sensibilité. Pas étonnant non plus que les systèmes patriarcaux voilent les femmes. Les catholiques, les juifs, les musulmans. 
Quand on sait la capacité d’intuition naturelle chez la femme, on comprend mieux pourquoi ce pouvoir a été diminué par ce genre de pratique. De même que les teintures outre le fait que ça abime le cheveu et puisse brûler le cuir chevelu, est aussi une façon de nier sa vraie nature. J’ai toujours été attirée par les hommes aux cheveux longs qui montrent souvent une grande ouverture d’esprit et accueillent plus facilement leur aspect féminin. Les Hippies, baba cools sont en général beaucoup plus pacifistes. Même si c’est une généralité, il me semble que ça ait un sens.

LA VÉRITÉ SUR LES CHEVEUX ET POURQUOI LES INDIENS LES GARDENT LONGS

L’importance d’être authentique en toutes circonstances




Il est une fâcheuse tendance chez l’être humain, à user même abuser de la formule « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais. »
Depuis l’enfance, j’ai pu constater combien ceux qui se targuent de savoir, d’enseigner, de prêcher, affirment des idées, des concepts, des choses, qu’ils sont incapables de vivre. L’épisode avec le mécano m’a montré que je rencontrais encore ce genre de personnes dans ma vie, qui parle d’amour, qui ont de grandes théories sur l’amitié mais dont l’attitude n’est pas en accord avec le discours. Le voisin qui veut dominer tout le monde dans le quartier, qui veut contrôler, a affiché près de sa porte d’entrée, un texte de je ne sais plus qui, qui relate les qualités et vertus de l’amitié. En général, plus on affirme quelque chose avec force et plus ça veut dire qu’on a besoin de se le répéter longtemps pour pouvoir l’intégrer. Je sais de quoi je parle et ça peut facilement être vu dans ma façon de répéter certains concepts. Je suis consciente de ne pas être parfaite puisque nous sommes ici pour apprendre, ce qui veut dire que nous sommes ignorants de nous mêmes. Tout comme le fait de parler d’éveil de l’humanité implique que nous soyons endormis.

jeudi 11 avril 2013

Le bien et le mal, un concept humain contraire à l'amour divin





Le décor est planté pour que cette journée soit des plus désagréables. Un ciel gris, plombé de brume,  l’humidité et le manque de clarté extérieure, les chemtrails dans le ciel bleu d’hier qui me reviennent en mémoire, des pensées de trouille à propos de la voiture, les amortisseurs toujours pas expédiés, le bruit des travaux dans le couloir...pourtant, je ne m’y attache pas plus que ça. 
Une mésange a cherché à rentrer plusieurs fois dans la maison et j’ai ouvert la fenêtre pour ne pas qu’elle s’explose sur la vitre. Elle revient se poser sur le ficus de temps en temps et égaye cette journée dont la bizarrerie me fait plus sourire qu’autre chose. C’est souvent que des oiseaux se mangent les vitres. Des pigeons dont je voie la marque de l’impact du corps et des ailes sur les carreaux de la chambre. Il doit y avoir une signification mais je ne cherche pas.
Je suis allée chercher des beaux pieds de tomates et des paquets de haricots secs à planter, j’ai fait des courses et mis de l’essence pour mon expédition de samedi. Chaque fois que j’y pense et que le risque de croiser les flics me vient en tête, je me dis "eh, on est jeudi, il sera temps de flipper le jour venu", à chaque jour suffit sa peine comme disait un certain Jésus. 

Le désir sexuel, un business qui répond à notre propre démission.





Plus on s’interroge dans un domaine particulier et plus notre aspect divin nous répond. Que ce soit au travers de situation de vie qui nous donneront l’occasion de voir nos réactions et ainsi de mieux nous comprendre ou en nous inspirant directement des pensées ou encore en faisant jouer le "hasard" qui mettra en nos mains, des textes, des messages d’êtres de lumière ou d'humains qui seront les réponses à nos questions. C’est le mail d’une lectrice puis la vidéo des bonhommes allumettes qui décrit l’exercice à faire entre ses aspects masculins et féminins, qui m’ont amené à réfléchir encore plus longuement sur la question de la sexualité.
Je savais en théorie que d’appliquer les recommandations du message de Jeshua serait la solution mais il me manquait l’outil concret pour ce faire. On ne peut faire plus simple que l’exercice de jacques Martel. J’ai donc fait l’exercice des bonhommes allumettes avec les deux aspects de ma personnalité. Je me suis contentée d’écouter la vidéo tout en faisant les dessins puis, ce matin, alors que je me suis couchée à 1h, j’étais réveillée à 6h, prête à bondir, à me jeter dans cette nouvelle journée. Le fait que je persiste à vouloir me libérer de la dépendance aux cachets m’éclaire la vision bien que ça créé des désagréments. Je ne m’en occupe plus me contentant de faire tout mon possible pour intégrer l’amour inconditionnel en moi.

mercredi 10 avril 2013

Les joies de l’acceptation, "Les petits bonhommes allumettes" Jacques Martel, vidéo





Ce matin, l'élan de l'action est encore présent et je me suis mise à l'ordi pour faire ma part dans la résolution du problème de la voiture.
Il m’a fallu surmonter quelques vieilles peurs pour oser commander seule, les pièces pour réparer la voiture. J’espérais le faire avec le voisin mais comme par "hasard", il n’était pas là de la matinée. Je me suis dit que mon âme me tendait une perche ! J’ai tellement pris l’habitude de contourner mes peurs qu’il n’est pas si simple de les affronter. Enfin, d’oser parce qu’une fois que c’est fait, je me dis, "comment j’ai pu bloquer à ce point" ? C’est pourtant tout bête ! 
Plutôt que de recourir à l'aide et de retomber encore dans le schéma victime sauveur, il vaut mieux affronter ses peurs et ainsi reprendre confiance en soi et aller vers plus d'autonomie. Je suis plutôt dégourdie mais dès qu'il s'agit de faire quelque chose impliquant un homme, ça devient délicat. 
C'est fait, les pièces devrait être là dans 24h et je n'aurai plus qu'à aller chez mon ex compagnon, samedi. le seul hic, c'est que je me suis plantée dans les dates et que j'aurais dû passer le contrôle, le 14 avril! Il habite un village qui m'oblige à passer par un axe friand des flics! Il va falloir appeler la confiance en soi! Ce sera l'occasion de se centrer!

mardi 9 avril 2013

"Sexualité et spiritualité" message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe




Cette canalisation a été présentée à une séance publique le 17 Avril 2005 à Haaren, Pays-Bas,). Le texte a été légèrement remanié pour une meilleure lecture.

Chers amis, je me réjouis d'être à nouveau parmi vous. Lorsque je vous vois, ce n'est pas en tant que corps physiques, ceux que vous apercevez dans un miroir. C'est votre aspect intérieur que je perçois, les mouvements internes de vos pensées, de vos sentiments et de vos émotions. Je suis ici pour vous soutenir dans votre voyage.
Le sujet dont j'aimerais parler aujourd'hui a eu un grand impact sur vous tout au long de votre histoire terrestre. Il s'agit de la sexualité et comment elle est vécue par les hommes et par les femmes.
Ce n'est pas un sujet facile. La sexualité s'est chargée de beaucoup de jugements, de peurs et d'émotions. Il n'y a presque plus d'aspects en elle qui soit spontané et évident. Cela revient à dire que l'aspect candide de la sexualité, celui de l'enfant innocent qui explore librement, a été perdu. Vous êtes pleins de peurs et d'émotions quand il s'agit de vous exprimer sexuellement.
C'est de ce fardeau que je veux parler dans ce message, mais j'aimerais d'abord dire un mot sur ce que signifie la sexualité dans une perspective spirituelle.
La sexualité, ce sont les énergies masculine et féminine qui dansent ensemble. A l'origine, c'était plus qu'un acte physique. Elle était conçue pour être une danse où tous les niveaux ou aspects de vous-même et de votre partenaire participent.
Je distinguerai quatre niveaux ou aspects qui peuvent jouer un rôle dans cette danse des énergies.