jeudi 14 mars 2013

"Une envie de rien" et un documentaire sur la terre creuse, Agharta



Islande, Ben Hall, Rex Features

Pouah ! Je ne sais pas vous mais ici, le temps est fou ! La soleil, la tramontane, la neige...Ce qui est rassurant, c’est que je ne suis pas obligée d’être dehors et malgré qu’il n’y ait pas de chauffage, mon corps s’est habitué à la température. Encore une fois, quand j’ai la patate le matin, en général, l’après midi est éprouvante sans que ce soit pour autant angoissant, comme ça pouvait l'être il y a peu.
C’est comme si on vivait les quatre saisons dans la semaine, comme si les aiguilles de la montre s’affolaient. Ce qui est le plus surprenant, c’est que je suis immobile comme scotchée. Je n’arrive à rien faire. Et je ne culpabilise pas! C'est une bonne chose parce que les ravages de a culpabilité sont immenses et innombrables.

Difficile de prévoir quoi que ce soit ça change si brutalement.
Heureusement que j’ai profité du soleil pour aller au jardin. J’ai bêché malgré le poids de la terre comme pour avoir l’impression de faire quelque chose de la journée. 
Ces derniers jours je ressens comme le besoin d’être le plus calme possible.

Pour honorer ce jour nouveau, quelques chansons interprétées par des musiciens de rue autour du monde



 Je viens de m’éclater à jouer avec eux, la magie d’Internet, l’inter-reliance du cœur et de l’âme, via le réseau.
Le vent qui souffle violemment dehors, m’invite à rester au chaud. Une pensée d’amour pour ceux dont le ciel et les étoiles bercent les nuits. Que le cœur des passants, s’ouvre à leur contact et que leur main libère quelques miettes de leur confort quotidien. Vivement l’unité du cœur de l’humain qui amène à reconnaître en chacun la lumière du divin, Tous UN, Tous Égaux, amen !

Don’t worry


mercredi 13 mars 2013

La neutralité n’est pas synonyme de silence.



Et même si j’apprécie ses moments de repli sur soi, d’intériorisation, j’ai aussi une langue, des mains un cœur pour échanger avec le monde extérieur.
Une tendance à laisser penser que pour ne pas nourrir la dualité, il faille s’abstenir de dire ce qui déplait, est une mode largement diffusée dans les sites "d'éveil". 
Mais se taire n’est-ce pas aussi cautionner la misère, le mensonge, le secret ?
Dénoncer l’injustice est un acte nécessaire si on veut changer la société.
Le fait d’être individualisé nous donne l’opportunité de dire notre point de vue.
De même qu’à l’échelle de l’individu, savoir dire Non c’est faire preuve d’amour pour soi même, de respect, tout autant que vis-à-vis de l’autre. 
Dire ce qui n’est pas amour dans notre société, est devenu une nécessité.
Derrière le silence, bien souvent se cache la peur d’oser être soi-même et de prendre le risque de déplaire. Attendre l’amour de l’extérieur amène à se renier et à perdre sa propre saveur. Seul l’amour pour soi-même guérit toute blessure et libère de tout. L’amour inconditionnel amène à voir ses imperfections et ainsi à ne pas se sentir au dessus de quiconque.

Je Suis le seul maître de mon véhicule terrestre, manteau d'amour et de lumière !




Ce matin, j’ai un peu la tête dans le F... Couchée à 3h, levée à 7h30, je n’ai pas assez dormi mais j’ai voulu me lever quand même. Comme prévu, la pluie tombe mais il ne fait pas froid. Depuis une dizaine de jours, maintenant, je n’ai plus besoin de m’entourer de la couverture polaire le soir. Il ne fait pourtant que 10° mais il me semble que le fond de l’air est moins frais. J’ai aussi l’impression que comme la circulation sanguine se fait mieux, l’énergie est plus libre, je suis plus chaude en dedans. C’est une sensation agréable pour quelqu’un qui s’est souvent senti glacée jusqu’au os. La circulation sanguine est liée à la joie de vivre et c’est vrai que je retrouve cette douce joie qui ne ressemble pas aux vagues de plaisir que j’ai connu avec les drogues mais qui les vaut largement. J’ai vu que Louis avait publié le texte que je lui ai envoyé « Prêts à la transparence et à l’intégrité ».  Bref, je constate que de moins en moins de lecteurs viennent de la presse galactique
Certainement que beaucoup d’entre eux ne sont pas encore prêts à l’autonomie. 
Les messages des êtres de lumière ont tendance à bercer dans un doux ronron qui donne le sentiment d’être dans un doux berceau. C’est une phase importante pour retrouver l’amour de soi mais le risque de s’endormir est grand. 

mardi 12 mars 2013

Renaître en conscience, magnifique cadeau à se faire !




Quand je tentais de comprendre pourquoi j’étais dépendante des cachets, qui en moi, quel corps appelait ce besoin, je tournais un peu en rond. Est-ce le corps physique qui est en manque d’endorphines, le corps mental qui ne supporte pas l’idée du changement, a peur du manque, l’inconscient qui active les pulsions de mort...
Puis j’arrêtais d’y penser pour ne plus être dans l’autocritique, la recherche d’un coupable. Chercher à comprendre est une bonne chose, si la raison est valable.
Depuis que j’ai décidé d’apprivoiser mon enfant intérieur, de l’écouter sérieusement, de tenir compte des émotions intérieures sans les rejeter ni les juger, ses révélations m’éclairent grandement. Le non jugement et la tendresse que je m’accorde lui permettent de se sentir en confiance et de pouvoir se livrer. 
Je suis convaincue qu’il est la clé du divin en moi. 

lundi 11 mars 2013

La confusion amène la pause et l’enfant intérieur s’exprime




J’avoue qu’après avoir lu quelques textes d’Inelia à propos de l’ombre, je suis assez confuse. J’imagine que la vision romantique que j’aie de la lumière va devoir être révisée mais je ne me sens pas prête à lâcher l’idée de la lumière tout amour. D’autant que ma conception de l’amour n’est pas très nette non plus.
Si s’aimer, c’est être et accepter tout ce que l’on est, il est évident que ça chamboule ma vieille vision de l’amour "à l'eau de rose". 
J’arrive à comprendre qu’il faille aimer ses ombres comme sa lumière ou plutôt qu’il soit juste d’être neutre afin d’être en paix, en accord avec la volonté divine mais pour ce qui est d’accepter les ombres extérieures, je bloque. 
C’est comme si mon mental n’était pas capable d’intégrer l'idée que l'ombre existe aussi en dehors de la troisième dimension. Remarque, ce qui me rassure c'est que ma vision est encore fortement influencée par la dualité. Plus je vais épurer intérieurement et plus ça deviendra clair.

Une multitude intérieure reflet de la diversité extérieure


Mon ciel à 11h

Six heures d’un bon gros dodo dans mon lit tout chaud ! Je me suis encore éclatée le nez sur la table, hier soir ! Il y a eu un crac douloureux. J’ai déjà naturellement une bosse sur le pif me donnant un profil qui m’effrayait quand je le surprenais dans une glace, alors deux yeux cerclés de noir autour, ne sont pas nécessaires !
Je suis en paix avec mon image mais le fait de ne pas oser me montrer en face ici, est le signe que ça n’est pas complètement gagné. J’ai triché hier, en mettant une photo de moi à 25 ans. Remarque je ne trouve pas que j’ai beaucoup vieilli malgré que j’approche les cinquante ans ; Pouah ! Je n’aurais jamais cru arriver au demi-siècle. Mais comme j’habite mon corps avec de plus en plus d’aisance, le lien amoureux avec celui-ci efface les rides et les imperfections que je commence à aimer pour la particularité qu’elle me donne.