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Je me demandais pourquoi j’avais la flemme depuis deux jours, pourquoi je me sentais vide, triste. En fait, je m’aperçois que je n’applique presque plus les techniques dont je parle dans ce blog.

Rien n’est jamais acquis, fixé, stable ! La vie elle-même est en mouvement. 

De plus, le malaise ressenti provenait du fait que commençais à ressentir le côté chiant, répétitif des journées qui se ressemblaient au point que je ne savais plus en distinguer la date, le jour. 

Dimanche 3 février,de l'hypersensibilité à la grande sensibilité

Ce matin, le vent continue de souffler avec une extrême violence.

C’est impressionnant ! Heureusement que le poêle fonctionne correctement. 

Il faut dire que je n’ai plus autant de peurs inconscientes. J’en suis à libérer la tristesse, l’ennui, toujours le sentiment d’indignité qui me rend agressive et parano...

Si j’étais moins sensible à l’extérieur, aux énergies lourdes des autres, ce qui revient à dire, à mes propres énergies de basse fréquence...

Belle prise de conscience, "transformer le négatif en positif de Sayana Roman

Je suis en train de cogiter, comme d’habitude mais cette fois-ci, à propos de la foi et de l’intérêt de savoir. Pourquoi je suis coincée dans cette dépendance aux médicaments...

Je viens de lire un message de Sayana Roman qui parle de transformer le négatif en positif.

Je me suis endormie pendant la lecture. J’ai donc repris le début une fois réveillée.

Là, ça m’est apparu comme une évidence, par les phrases essentielles :

« Si vous désirez être conscient du meilleur, apprêtez vous à abandonner les perspectives limitées et agrandissez votre vision de la vie ».

Samedi 2 février, vidéos des années 60

Quand je voie ma façon de réagir au quart de tour quand je me sens agressée, la parano qui déforme tout, je me dis que je ne suis pas au bout de mes peines. 
Deux des explications de Lise Bourbeau à propos des brûlures d’estomac d’hier après midi, en sont le signe.

 Je cite les quelques piste qu’elle donne :

« Tu vis de l’intolérance et de la peur face à ce qui n’est pas à ton goût »

« Tu résistes aux idées nouvelles, surtout celles qui ne viennent pas de toi »

Vague à l'âme

Je me sens d’une grande fragilité, ce soir. Comme si la tristesse s’installait. 

Je n’ai pourtant aucune raison d’être mal ni même de me plaindre.

J’ai regardé la dernière émission du Ondar show et les émotions exprimées par les humoristes m’ont touchées. Déçue de voir qu’ils n’ont pas rempli l’objectif des 2 millions de téléspectateurs par émission. 

J’ai regretté d’avoir viré ma télé, pour la première fois, depuis deux ans.

C'est comme si j'avais absorbé leur peine! 

J’ai du mal à comprendre pourquoi ça m’affecte tant.

FEVER

J'ai grande envie de vous représenter une personne qui compte beaucoup pour moi.
Un exemple de ce que peux être l’affirmation de soi, de ses talents.
L'expression de la liberté incarnée.
Mêlant masculin et féminin sans complexe.
 Même si son côté exhibitionniste peut choquer, elle a le mérite d'être sincère, authentique, honnête dans sa façon d'être, de ne pas se conformer aux exigences de la société.
Elle honore tous ces aspects et ça, c'est beau.

Je vous laisse apprécier, "Fever" la reprise d'un tube de je ne sais plus qui, qu'elle a su s'approprier, revisiter à sa façon. Je ne sais pas l'âge qu'elle a mais il me semble qu'elle ne vieillisse pas.

Comme le soleil se montre encore aujourd'hui, je vais faire un tour au jardin, histoire de connecter mon soleil intérieur à l'astre haut perché dans le ciel. Je reviendrais peut-être avec une photo pour partager cette luminosité et cette chaleur naturelles.

Vendredi 1er février, Je Suis UN

Je réfléchis à ce qui s’est passé hier soir quand j’ai voulu mettre en ligne ce que j’avais écris dans la journée. Comme je venais de lire un message d’Ashtar concernant la réalité du manque et que devant l’intelligence des propos, j’avais été impressionnée, une fois de plus, j’ai trouvé bien minable de raconter ma journée si banale de la semaine.

Je ne m’en suis d’ailleurs pas cachée.

Puis ce matin, je me dis que l’ego est un malin, qu’il est toujours prêt à bondir, à se mettre an avant ou à s’insinuer discrètement dans mon raisonnement.