La
vie est vraiment bien faite parce qu’il suffit qu’on se laisse guider pour être
enseigné. Être ouvert, réceptif, ne pas se limiter par des croyances qui sont
fondées sur la peur et l’idée de séparation permet de comprendre peu à peu de
quoi nous sommes faits.
Plus on libère l’espace intérieur et plus on peut
recevoir de nouvelles données. Pour le moment et peut-être que ce sera toujours
le cas, je perçois les choses de façon intuitive comme par images symboliques et cela m’est
confirmé ou verbalisé par d’autres qui sont sur la même longueur d’ondes, qui
partagent le même intérêt au sujet de la connaissance de l’humain et du divin.
Le
premier texte trouvé sur facebook, traduit par Marinette Lépine, met en mot ce
que je ressens de plus en plus concernant la constitution de l’humain divin et l'interaction avec son environnement. L'effet des énergies que nous recevons de l'univers sur les différents corps subtils et sur le corps physique.
Il
est clair que nous sommes en mouvement perpétuel tout comme la nature qui suit
des cycles de la même façon que l’univers, les planètes, le soleil.
Nous
sommes des êtres vibratoires, connectés à différentes dimensions de par notre constitution,
notre essence, nos vibrations, nos différents corps et chakras.
Puis nous
sommes aussi connectés à notre âme, à la source, aux autres humains, aux
différents règnes, tant par notre nature énergétique, vibratoire, que par
l’effet de résonance, l’effet miroir.
Et l’univers, notre environnement
interagit avec nous en permanence. Les astres, la lune, les vents solaires, la
lumière et les sons, les rayons, les fréquences, les éléments qui entrent en résonance avec la
matière, les matières de notre corps physique.
Même lorsque nous sommes au repos,
l’interaction se réalise sans que nous n’en ayons conscience tout comme à
l’état de veille, à différents niveaux de l’être. Même dans le silence et
peut-être encore plus facilement puisqu’alors, il n’y a pas d’interférence
psycho-émotionnelle, nous recevons des énergies, des vibrations, dans la
communion sans parole avec la source, avec notre âme et nos cellules
communiquent entre elles en permanence. La vie n’a pas de temps mort si on peut
dire. Elle s’exprime en permanence à travers les mouvements invisibles.
« Nous
recevons continuellement des pulsations de Sons, de Lumière & de
Connaissance / Sagesse.
Quelle
Variété de Données de Lumière Nous Recevons du Cosmos et des Systèmes
Stellaires à travers un processus d'osmose !
Si
vous préférez, nous absorbons une intelligence complexe car notre corps
fonctionne très naturellement comme une ANTENNE qui reçoit des données.
Plus
nous pouvons contenir de lumière cellulairement, plus nous en émettons, afin de
pouvoir scintiller comme la plus brillante des étoiles.
Aucune
action n'est requise car le Cœur sait comment libérer les obstacles en douceur.
Il sait qu’avec L’AMOUR, ‘TOUS' sont gagnants, car il traverse tous les anciens
liens de honte.
Alors
qu’il le fait, nous ÉLIMINONS les aspects de basse fréquence que nous avons en
nous.
Tout
ce qui nous entoure sera également NETTOYÉ!
Nous
pouvons alors établir de nouvelles bases pour notre conduite / nos activités
personnelles et globales.
Comme
la distorsion et la corruption ont ‘quitté la scène’, les VRAIES VALEURS
peuvent occuper le centre de la scène!
Le
RESPECT est alors une DÉCLARATION de L'ÂME.
Alors
que notre propre maison est remise en ordre avec distinction et intégrité,
petit à petit, nous installons un Tissu / Réseau substantiel pour la Société parce que nous établissons la norme de ce qui est acceptable!
petit à petit, nous installons un Tissu / Réseau substantiel pour la Société parce que nous établissons la norme de ce qui est acceptable!
Nous
sommes les ORFÈVRES qui élaborent et façonnent le nouveau design de la vie.
Nous
sommes des 'activateurs de réalité' qui corrigent les changements de nos
DIMENSIONS INTÉRIEURES et nous le faisons avec audace, grâce et délicatesse.
C'est
ce que nous sommes venus faire après tout!
Beaucoup
d'amour,
Eirios
Laverick
Transmis / Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight
Transmis / Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight
Cette
idée de mouvement est venue aussi parce qu’après avoir libéré quelques pensées
et réactions que le séjour de mon âmi a suscité, j’ai la sensation que l’espace
libéré a laissé la place à l’intégration de nouvelles données. Nouvelles
données ou infos qui sont peu à peu digérées et qui se manifestent à la fois
par des images symboliques mais aussi par effet de résonance comme la vidéo de
Magali que je viens de voir à l’instant et qui me confirme ce que je perçois.
Hier
soir alors que je relisais le dernier tome des rayons sacrés quelques images
symboliques me sont apparues comme c’est le cas lorsque je lis ce genre de
livre dans le désir de connaitre, de comprendre, cette nature vibratoire,
énergétique et l’environnement dans lequel nous baignons.
Ces
images étaient des formes géométriques imbriquées formant des mandalas en
mouvement, plus ou moins éclairés. Il y avait cette notion d’assemblage, de
mouvement et d’interconnexion autant à l’intérieur qu’avec l’extérieur.
C’est
hyper complexe et pour cette raison la vidéo de Magali a aidé le mental à se
faire une idée d’ensemble.
"Qui sommes nous - Notre amalgame"
Magali Magdara http://www.guerisseuse-d-ame.com
Se
souvenir régulièrement de ce qui nous constitue aide à ne pas se laisser
impressionner par les sensations physiques que les mouvements de l’énergie
amènent nécessairement. Lorsqu’on y est sensible, le mental s’emballe et
s’épuise à chercher dans ses références passées en vain parce que les réponses
viennent par images, par impressions, ou ne sont pas intellectualisées.
Disons que tant que le
mental est encore encombré d’anciennes croyances, tant qu’il n’a pas lâché le
besoin de contrôler, c’est difficile pour lui de sortir du connu et de concevoir
l’immensité de l’être complet que nous sommes. Des personnes comme Magali ont une connaissance approfondie de la façon dont l'âme communique, de son mode de langage parce qu'elles en ont l'habitude, la pratique.
Physiquement, cela se traduit
pour moi par des pointes ou des chatouilles dans le haut du crâne, des bouffées de chaleur,
parfois des pointes au cœur mais pas cette fois-ci, une constipation passagère,
une difficulté à uriner. Un besoin de sommeil à n’importe quel moment, des sifflements aigus dans les oreilles et parfois des crispations au niveau du plexus solaire. Je ne ressens pas cette tension cette fois ci mais j'ai tout de même une digestion difficile. Ces symptômes n'apparaissent pas toujours ni dans cet ordre mais en général, ils arrivent lorsque je ressens des mouvements intenses venant de la source.
Autant
de symptômes que la médecine classifie en catégories de maladies mais auxquels
je donne une autre signification parce que je tiens compte de l’énergie, de sa
nature et des lois qui l’animent. Le terme n’est pas tout à fait approprié mais
je parle ici de ce que je ressens. Selon la nature en mouvement de l'énergie, ces symptômes vont et viennent et c'est cela qui me ramène à l'idée de fluidité, de flexibilité, de lâcher prise. C'est aussi pour cette raison que je ne cherche pas à donner un sens à ces sensations.
De plus, c’est le résultat de l’observation
neutre et ça n’est pas destiné à convaincre. Puis je suis à la phase de déconstruction
des anciens modes de fonctionnement et pour l’instant, chercher à généraliser serait
prématuré. Enfin je ne m'attache pas à cette façon de considérer les choses, il s'agit plutôt de lâcher l'ancien mode de fonctionnement et de s'ouvrir.
Magali
parle aussi de son point de vue personnel, de sa façon d’interpréter ce qu’elle
reçoit, perçoit. L’interprétation est nécessairement subjective et par la
complexité de notre constitution, une description précise et compète
demanderait de réunir les plus éminents scientifiques en tous les domaines pour
déterminer un « modèle » général. Mais là encore, ce serait nier le
fait que chacun soit unique et que la conscience qui observe influence l’objet
observé.
La
connaissance de soi est quelque chose d’intime, de personnel et même lorsqu’on
parle de l’ensemble des corps, on ne pourrait pas établir un modèle général
parce que bien que nous disposions des mêmes sens, de structures semblables, la
façon dont nous percevons et dont nous interprétons les faits, est différente.
On
peut le constater lorsqu’une enquête est effectuée et quand on interroge les
témoins qui donnent des versions différentes alors qu’ils ont assisté à la même
scène.
Cependant, on peut, par le ressenti et par effet de résonance, constater
qu’on a une vision commune de la réalité ou pour le moins qui est proche de
celle d’autres personnes. C’est d’ailleurs ce qui est magique avec Internet
parce que chacun peut donner son point de vue. Même s’il y a à boire et à
manger, c’est l’occasion de cultiver le discernement.
Puis
cela permet aussi de relativiser la notion de vérité car chacun a la sienne,
celle qui correspond à son histoire, son ressenti et celle qui est ou plutôt
qui sont universelles comme les lois de la nature.
Pouvoir
être ouvert et flexible est vraiment ce qui permet de vivre ces mouvements
intérieurs et extérieurs sans être trop déstabilisé. C’est une façon de surfer
sur le courant de la vie et de s’ouvrir aux multiples potentiels à notre
portée. C’est aussi ce qui permet de vivre dans l’abondance.
5
02 Le temps est encore pluvieux mais au lieu de m’en plaindre, je m’adapte à la
situation en continuant de suivre et de cultiver la joie. Cette souplesse
d’esprit et le fait de suivre l’élan enthousiaste, c’est un bon moyen de tomber
les masques ou les murs qui ont entouré le cœur afin de se protéger de la
souffrance.
La
visite de mon âmi continue de me faire réfléchir à bien des niveaux mais je me
contente de laisser venir les idées, les sensations, sans échafauder les
habituels scenarii, sans raisonner. Simplement en essayant d’observer tout ce
qui émerge de façon neutre.
C’est clair que l’intériorisation demande un repli
sur soi afin d’apprendre à déterminer sur quelles fréquences ont veut être et
rayonner, afin de connaitre nos vrais besoins. Puis une fois qu’on a fait cela,
on apprend à se maintenir sur ces vibrations, à agir selon ce désir de cultiver
la paix, l’unité et la joie.
Quand
on peut maitriser les pensées, ne pas s’attacher à celles qui appartiennent aux
rôles, à nos parents, à la société, aux religions, aux croyances et
conditionnements en tous genre, on retrouve le pouvoir d’être soi. Puis on
retrouve aussi peu à peu le goût d’aller vers les autres sans masques, sans
appréhension, simplement parce que notre nature c’est l’échange, le partage, la
communion, la communication et même la fusion.
C’est aussi ce que la situation
avec mon âmi m’a fait retrouver. Quand on va vers l’autre sans calcul, sans
attentes, sans s’attacher aux éventuelles peurs qui peuvent se manifester,
c’est un réel plaisir d’échanger.
Les termes d’harmonie ou d’unité ne sont pas
uniquement de belles paroles tirées de contes de fées ou d’enseignements spirituels, c’est
la réalité de la nature et de l’humain. C’est ce qui régit la vie en toutes
dimensions, de l’infiniment grand à l’infiniment petit et inversement. Ce n’est
pas par hasard si certains appellent Dieu le chef d’orchestre ou le grand
architecte. La vie s’organise comme un immense mandala à l’image de la fleur de
vie. Dans cette optique chacun a sa place, sa mélodie à jouer, sa vibration à
offrir.
Quand
on parle d’amour on pense souvent à l’échange, au fait de recevoir et de donner
mais en fait cela s’applique d’abord à la vibration, à ce qu’on émane, avant
tout.
Plus cette vibration est proche de la source, plus elle est pure et plus
on est en connexion ouverte et consciente avec le monde, ses règnes, alors même
qu’on n’ouvre pas la bouche ou qu’on ne le cherche pas.
Il semble que j’aie
retrouvé une certaine stabilité énergétique aujourd’hui. Ceci dit, je ne réagis
plus comme avant, je ne me plains plus de vivre des hauts et des bas au niveau
de l’humeur parce que cela est maintenant perçu comme quelque chose de naturel, d'inéluctable.
Là encore, quand on cesse de lutter contre ce qui est ou de vouloir interpréter
à tout prix, on facilite l’intégration des énergies émanant de l’univers, de la
source. J’ai eu tout de même cette forte sensation d’avoir laissé la place à ces
énergies qu’on pourrait qualifier de nouvelles, en lâchant prise sur les
anciennes pensées automatiques. Elles continuent de se manifester mais comme je
n’y accorde plus de crédit, elles apparaissent de moins en moins et surtout,
elles ne m’embarquent plus dans les extrêmes ou la dramatisation. Et ça, c’est
cadeau !
On
évolue par étapes, il y a celles des prises de conscience ou le risque de
saturer le mental est grand si on veut tout comprendre puis la phase de
libération des émotions refoulées et celle du détachement qui se poursuit actuellement.
Et
c’est logique parce que la joie ne peut pas se manifester dans le stress,
l’anxiété et le contrôle. Je demande à la source de m’aider à avoir un regard
neutre sur les addictions parce que le fait de trop focaliser l’attention
dessus nourrit la peur et la culpabilité ce qui n’arrange rien et ne résout
rien.
Je laisse aller les pensées de manque d’estime de soi et continue de
regarder les séries de ma jeunesse mais cette fois-ci, je me laisse guider par
les sensations. Je les choisit selon les différentes ambiances, celle de la famille ou celle de la magie et apprend au
sujet des besoins d’échange, d’extraordinaire.
L’ambiance magie avec "ma
sorcière bien aimée", c’est une façon de s’ouvrir à l’inconnu, au champ infini
des possibles et en même temps de relativiser l’attrait pour les mondes invisibles, les pouvoirs surnaturels.
Pouvoir faire des choses simplement en remuant le
bout de son nez est à la fois juste puisque notre nez, notre intuition, nous
guide mais c’est aussi une occasion de réfléchir à l’incarnation.
En effet, de
mon point de vue, la conscience ne meurt pas et lorsque notre corps cesse de
fonctionner, notre conscience demeure. Selon notre état d’esprit au moment de
quitter notre corps, nous nous retrouvons dans un monde qui est la projection
de notre vibration, de nos croyances, de nos peurs, de notre degré de
conscience.
Cette faculté psycho-émotionnelle de projeter des images est
l’outil des voyants et lorsque nous quittons notre corps, nous continuons de
penser, de projeter et de créer selon ces mêmes pensées associées aux émotions
correspondantes.
En ce sens venir incarner la matière trouve son intérêt dans
le fait de disposer d’un corps, de sens qui permettent de créer et de sentir
cette création, d’en goûter l’essence, la forme, en profondeur.
De ce point de
vue, la vie prend un tout autre sens d’autant plus que nous ne sommes pas
séparés de la source, de notre âme, de notre soi, qui se manifestent dans leur
pureté au niveau de l’énergie masculine et féminine.
L’esprit c’est la
conscience et l’âme son mouvement, son individualisation donc la personnalité.
L’image pourrait être celle de poupées russes emboîtées les unes dans les
autres où chacune d’elles existe sur un plan plus ou moins dense. Mais en fait
il y a l’énergie de chacune d’elles en toutes, rien n’est séparé.
J’ai
des symptômes qui ressemblent à ceux qu’on ressent avant d’avoir les règles et
ça me fait penser encore à l’intégration plus abondante de l’énergie de vie, de
la créativité, du désir et de son potentiel de réalisation.
Il semble que le
principe soit toujours le même, l’idée et sa réalisation, c’est la conscience
et l’âme ou le soi et l’âme qui agissent de concert, la conscience qui s’anime,
qui est en mouvement à travers l’âme.
On est limité dans notre potentiel parce
qu’on reste identifié à la dualité, à la division, conditionnés par les croyances et ainsi, l’énergie de
création communément appelée "énergie sexuelle" peine à se frayer un chemin. Elle
est bloquée ou entravée, diminuée par les mouvements conflictuels internes, par
les peurs, les doutes, par le déni, le rejet de soi.
8
02
La
sensation d’être en train de pacifier le masculin intérieur se vérifie par la
lecture du titre d’un message de Vera Ingeborg que je lirais et publierais plus
tard. En repensant à la série « ma sorcière bien-aimée » outre le
fait que les jeux de rôles liés au genre masculin et féminin continuent de me
faire réagir et c’est alors l’occasion de pacifier, de purifier à la fois ma
vision à ce sujet et en même temps le canal intérieur et l’aura, c’est un moyen
de lâcher les croyances au sujet des pouvoirs dits surnaturels.
L’homme a
dominé la femme pendant des siècles en apparence et la femme a usé de son
pouvoir de séduction pour le dominer à son tour. Ainsi la raison et l’intuition
se sont opposé mais comme nous aspirons à les pacifier et à les unifier, comme
nous sommes arrivés à un stade où les confits permanents ont amené un profond
désir de paix, offrir à la source le soin de réaliser l’harmonie entre tous nos
corps, nous ouvre sur des dimensions plus élevées.
Je perçois de temps en temps
une forme bleue en cercle qui me ramène à l’idée que le masculin est en train de
s’harmoniser au féminin. Enfin qu'il est purifié par le lâché prise, le détachement et harmonisé au féminin chaque fois que je reviens au centre, à la paix, lma neutralité.
C’est clair que nous vivons un changement immense dans
notre façon de percevoir tout ce que nous sommes et passer d’une conscience
limitée, soumise à la peur, conditionnée, ne peut pas se faire en un jour ni
sans une phase de déstructuration.
Le savoir est essentiel parce que ça évite
de se laisser impressionner par les mouvements psycho-émotionnels, énergétiques,
qui se manifestent nécessairement et en toute logique.
Lâcher le contrôle
révèle le masculin sacré mais cela demande de se détacher de ce qui nous
dérange le plus, de ce que nous avons le plus de mal à accepter et qui
naturellement suscite le plus d’émotions. Pour moi, c’est toujours le fait d’être
dépendante des cachets et de la cigarette. Tant que ça me fait réagir, c’est
que le critique intérieur est encore hyperactif et c’est le signe que le mental
cherche toujours à contrôler.
Alors pour le moment, dès que je réagis, je
demande à la source de m’aider à avoir un regard neutre sur la situation. Ce n’est
que de cette façon que je pourrais me libérer de ces addictions.
Quand je me
centre, je vois que c’est précisément cette situation qui catalyse à la fois
les plus grandes peurs et la culpabilité et c’est aussi l’expression du mental
contrôlant.
Pacifier ma vision à ce sujet, c’est m’en détacher progressivement.
Tant que je reproche au mental de continuer de vouloir jouer les protecteurs,
je nie à la fois son rôle et je continue de l’identifier au personnage tout en
restant dans les vibrations de lutte et de contrôle.
C’est vrai que ça n’est
pas évident à comprendre ni à accepter mais la libération en dépend. Si le fait
que je parle de ces addictions et de ma difficulté à lâcher prise à ce sujet
vous agace, c’est que cela éveille en vous le même schéma. Cela peut concerner
une autre situation mais ce qui est certain, c’est que le même besoin de
contrôle est encore puissant en vous. Heureusement que je garde en mémoire la
façon dont je me suis libérée de l’addiction à l’herbe parce que ça m’aide à
revenir à l’essentiel et ça aide le mental à garder confiance en ce processus
de libération par l’acceptation.
Hier
alors que je regardais un énième épisode de « ma sorcière bien aimée »,
j’ai eu la sensation de revenir dans le passé, de sentir les énergies de l’enfant
que j’étais. Il n'y avait pas de sensations douloureuses ni de regrets et cela confirme encore la guérison à la fois du masculin, du féminin et de l'enfant intérieur.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées