L’extérieur,
le climat, les évènements politiques, sociaux, les rencontres, les situations
du quotidien, sont l’expression de nos mondes intérieurs. C’est une réalité que
je ne peux plus contester parce que l’observation neutre et l'expérience permettent de le
constater.
Observer ce qui se passe au dehors et revenir en soi pour sentir les
émotions que suscitent les évènements, les pensées qu’ils génèrent, c’est un
premier pas décisif.
On
passe de la réaction basée sur la peur et les stratégies de survie, à l’écoute
bienveillante de l’enfant en soi.
Pourquoi parle-t-on d’enfant intérieur ?
Simplement parce que c’est à cet âge là qu’on adhère à des croyances et qu’on
se laisse conditionner par notre entourage, notre famille, notre environnement.
Ces croyances adoptées engendrent des comportements qui visent d’abord à ne pas
sentir les souffrances dues aux incohérences qu’il vit à l’intérieur.
En effet, l’enfant
est partagé entre son intuition, sa vision innocente du monde, de la vie et la
réalité quotidienne qui le pousse à nier son propre ressenti afin d’être
intégré dans sa famille.
Il doit renoncer à ses rêves, ses convictions, son
ressenti afin d’être aimé, intégré dans la famille, le groupe d’amis, la
société. Il se laisse plus ou moins formater, conditionner par l’école, la
société au risque d’être exclu, marginalisé. Pour un enfant le premier besoin
est celui d’être aimé, reconnu, accepté et nourri autant physiquement que
psycho-émotionnellement.
Il
comprend de façon basique le monde qui l’entoure et son instinct de survie qui
est celui que son entourage utilise, gère son comportement, faute de mieux. Il comprend que l’amour
est conditionné et que s’il veut être aimé, recevoir cet amour vital, il doit
se conformer aux attentes extérieures. Une personnalité secondaire se créé étouffant,
remplaçant peu à peu le vrai moi et la division, le déni, le rejet s'installent.
Cela
créé des divisions intérieures, une séparation entre le cœur et la tête, entre l’intuition
et la raison, entre le ressenti et l’intellect, entre le corps et le mental, le féminin et le masculin.
On
vibre sur les fréquences du déni, de la trahison, de la séparation, du
mensonge, de la feinte, de la compétition, de la lutte et de la résistance.
Dès
l’enfance, on se construit une fausse personnalité, un personnage conditionné,
formaté et on agit selon des comportements de survie, de prédation, de
domination, de lutte d’ego, dans la relation aux autres. Tout comme ce qui se
vit à l’intérieur, c’est la voix qui parle le plus fort qui a raison. Les
croyances et les stratégies qu’elles engendrent restent notre mode de
fonctionnement jusqu’à la mort.
Mais le moi véritable demeure et chacun est en mesure de le recontacter. Il est enfouit sous les croyances et conditionnements mais ne demande qu'à s'exprimer.
Tant qu’on ne change pas nos croyances ni notre
mode de fonctionnement, on aura la sensation d’être manipulé, impuissant,
dépendant, déchiré à l’intérieur.
Changer
de mode de fonctionnement, ça veut dire déjà d’arrêter de croire que nous
sommes manipulés, de voir les aspects internes que nous refoulons comme des
ennemis. C’est aborder les pensées et les émotions dites négatives, avec un
tout nouveau regard. C’est arrêter de lutter contre soi-même.
Les
nouvelles sciences et les messages canalisés par des êtres de lumière, peu
importe leur origine réelle, leur dimension…nous expliquent, chacun à leur
façon, que nous sommes des êtres
spirituels, énergétiques, vibratoires et c’est de ce point de vue qu’il importe
de s’observer, de se connaitre.
Lâcher
les croyances, les conditionnements et la notion de bien et de mal qui a
enfermé chaque chose dans une des cases "bien" ou "mal", c’est ce que nous pouvons
expérimenter en cette vie et ainsi ouvrir notre cœur et notre conscience.
Pourquoi
le cœur, simplement parce qu’il est l’émetteur/récepteur et l’harmonisateur de
nos différents corps, énergies, dimensions.
Lorsqu’on
abandonne les anciennes références on ouvre sa conscience à l’être éternel et multidimensionnel
que nous sommes en réalité, en essence.
Pouvoir
contacter l’enfant en soi, lui redonner la parole, laisser s’exprimer les
émotions qui ont été refoulées durant l’enfance, c’est entrer dans l’espace
infini du cœur qui n’est pas limité par le temps linéaire, c’est découvrir que
rien ne meurt. C'est retrouver le moi véritable, innocent, insouciant et c'est la possibilité de réaliser l'unité en conscience.
Entendre
les confidences de l’enfant qu’on a été, lui témoigner à quel point il est
précieux pour nous, c’est restaurer l’amour et la confiance en soi. Et parler
avec lui de l’obsolescence de ces anciennes croyances, c’est rétablir la
justice en soi.
Cet
enfant porte la connaissance intuitive du cœur, il a une vision juste de ce qu’est
la vie, au-delà des croyances et conditionnements, c’est l’aspect de notre être
qui sait vraiment vivre.
Restaurer la confiance entre les différents aspects de
ce que nous sommes, c’est permettre à l’énergie d’amour, de vie, de circuler
librement.
En
ce moment, j’utilise la diminution des cachets pour contacter ce précieux
enfant en moi. Je ne rejette plus les croyances qu’il a adoptées, je me
contente d’entendre et de lui parler, d’accueillir ses larmes et de le
consoler.
Cet immense amour que je n’ai jamais osé donner à quelqu’un parce qu’il
n’a pas été reçu à sa juste valeur, je peux maintenant l’offrir à l’enfant que
j’étais.
Je ne blâme pas non plus mes parents puisqu’eux-mêmes étaient
conditionnés et puisque l’amour en ce monde est réduit à des croyances,
institutionnalisé, considéré comme un mystère, un dangereux inconnu,
comptabilisé et offert avec parcimonie dans une relation gagnant/gagnant…
Les
croyances et conditionnements nous empêchent de percevoir la réalité dans son
ensemble et dans sa vérité mais maintenant que nous connaissons les lois
universelles et comme il est indéniable que nous sommes avant tout des êtres
énergétiques, vibratoires, nous pouvons nous observer selon ce nouveau point de
vue.
Lâcher la notion de bien et de mal ne va pas nous plonger dans la
confusion ou faire de nous des monstres mais ça demande d’apprendre à se fier à
son ressenti et d’observer objectivement les choses.
On
sait que rien n’est ou tout blanc ou tout noir. Il nous a fallu plus de 20
siècles pour le comprendre mais c’est maintenant un fait acquis. Il est aussi
reconnu que pour connaitre un objet, un sujet, entièrement, vraiment, il est
nécessaire d’avoir une vision objective, nouvelle, dépourvue de préjugés.
Dans
l’observation neutre de ce que nous vivons à l’intérieur, l’écoute de nos
pensées et la perception de notre ressenti, on verra que très souvent il y a une
incohérence entre nos paroles et nos pensées, entre nos pensées et notre
ressenti.
Dans
une situation quelconque, on peut observer que plusieurs voix s’élèvent en
nous.
Le mental qui sépare les choses en bien et mal, qui évalue et le cœur qui
nous dit d’avoir confiance. On dit une chose mais on en pense une autre.
Par
exemple si quelqu’un nous demande est-ce que tu m’aimes ? On répond oui
mais on pense immédiatement à tous les aspects de cette personne qui nous
dérangent. C’est un peu caricatural mais c’est pour exprimer l’idée de la
séparation intérieure et du fait que nous disons rarement "oui" ou "non" sans y
ajouter un "mais".
Pouvoir
laisser l’enfant en nous s’exprimer, c’est retrouver l’innocence et la
tendresse, la compassion qu’il nous inspire nécessairement. Je dis
nécessairement parce qu’il n’attend que cela, il a attendu en vain que nous l’écoutions
tout au long de notre vie.
Non pas pour nous déstabiliser, nous affaiblir en s’exprimant
à travers des émotions difficiles émanant des profondeurs et qui émergent en
explosion tellement nous les avons refoulées mais pour nous donner l’occasion d’actualiser
nos croyances, de vivre des moments d’intériorisation, de communion, de
sincérité et de tendresse partagée.
L’enfant
en nous ne veut qu’une chose, être reconnu à sa juste valeur mais la plupart du
temps, soit nous le laissons s’exprimer dans l’excès par un ego démesuré, des
paroles tranchantes, la volonté de dominer, soit nous le faisons taire par des
moyens de séductions comme des sucreries, des médicaments, des gestes compulsifs,
boulimiques.
La
façon dont nous traitons l’enfant en nous, révèle notre degré de conscience et
de responsabilisation. Devenir nos propres parents est le challenge de ce
siècle.
Tant
qu’on lutte contre nos émotions, nos pensées négatives, on combat cet enfant,
on méprise l’humain et le divin, la créature et le créateur.
Dans l’ouverture
et l’accueil, on devient le parent idéal, juste, bienveillant, enseignant,
consolateur et présent. Présent, attentif, compréhensif et permissif.
Au lieu
de critiquer la société, les modes d’éducation qui sont juste des moyens de
conditionner les individus, on apprend à devenir les parents éclairés et
tendres de l’enfant en nous.
Cela
peut sembler abstrait mais c’est très concret. Lorsque nous nous sentons mal ou
confus, nous avons l’habitude de changer nos pensées, nos gestes, de fuir nos
émotions et en faisant cela nous restons soumis à nos croyances inconscientes
et parfois même conscientes. Et quand nous sommes sur un chemin spirituel, c’est souvent pire parce que nous avons une conception du divin associée à la
perfection selon des critères humains.
Admettre que la plupart de nos croyances
sont fausses, réductrices, à la limite de la superstition, c’est déjà une forme
d’expansion de conscience.
Elles sont toutes fondées sur la notion de
séparation, le jugement arbitraire, la peur et les moyens de l’éradiquer. Elles
nous ont été transmises à la fois par nos parents, la société, mais aussi par
le seul fait d’être un humain inconscient, un animal qui agit par instinct de
survie.
Si
on observe notre comportement, on va voir qu’il y a toujours une croyance
derrière et que celle-ci remonte à l’enfance. J’ai pu observer cela alors que je
n’arrivais pas à donner un simple coup de fil. Je dois commander du bois et
comme je bloquais, je me suis tournée vers l’intérieur. J’avais une envie de
pleurer qui n’avait apparemment pas de sens mais qui était l’expression du
stress.
Au lieu de fuir, de faire diversion, j’ai laissé monter à la surface
les pensées et suis remontée jusqu’à la croyance initiale : « je dois
être parfaite pour être aimée »
Cela peut sembler bien éloigné de la
situation présente mais c’est la conséquence de la plongée dans les
profondeurs, de la communion intérieure. D'autres plus proches de la situation actuelle ce sont manifestées mais c'est celle-ci qui est la racine, la croyance dont les autres découlent. Cette croyance adoptée dans l'enfance a dirigé ma vie et les conséquences sont nombreuses. Ces conséquences sont autant de moyens de contacter la "croyance racine" et ainsi de l'actualiser.
Je me suis contenté premièrement de me souvenir que le mental
bloquait l’émotion difficile par habitude, par conditionnement. Je n’ai donc
pas forcé, questionner l’enfant en moi parce que je sais que c’est inutile et
en plus, ça augmente le stress, le rejet de soi.
J’ai continué d’agir en
suivant l’élan enthousiaste, sans cependant chercher à susciter la joie.
Je me
suis souvenue que le fait de diminuer les doses de médicaments, c’est ouvrir la
porte aux émotions refoulées et que celles-ci sont l’expression de l’enfant en
moi. Donc une porte ouverte sur le changement, la libération, la guérison.
Pas de résistance, d’opposition, d’attentes mais juste la conscience que
pour libérer une croyance, il faut aller à la racine "du mal" ou de l'incompréhension, de l'interprétation faussée de la réalité vécue alors.
J’ai dû me poser
pour répondre à l’envie de dormir et comme je sais que c’est nécessaire à l’harmonisation,
la pacification, l’observation neutre, je l’ai fait sans résistance, sans nourrir les pensées qui veulent à tout prix donner du sens à ce qui advient.
J’ai
accueillies les pensées critiques par rapport au fait de ne pas arriver à
téléphoner puis peu à peu, les pensées ont changé. Jusqu’à ce que j’entende la
voix de l’enfant et en même temps que je ressente de la compassion pour lui.
Alors je l’ai remercié de me faire confiance puis je lui ai redis combien il
est précieux pour moi, je l’ai remercié aussi d’avoir eu le courage de vivre
ces dix années d’enfance difficiles, d’avoir tenu le coup malgré tout. Je ne
peux pas raconter le dialogue qui a eu lieu d’une part parce que c’est surtout
vibratoire et d’autre par parce que ce qui guéris l’enfant en soi, c’est cet
accueil, cette écoute, cette communion.
Lorsqu’on est dans cette communion
intérieure, on vibre sur les fréquences de la transparence, de la confidence,
de la confiance, de la vérité, de l’amour sans conditions.
Le monde extérieur,
le temps, les évènements alentours, plus rien n’a d’emprise sur soi même si on
est conscient de la façon dont le monde fonctionne avec ses injustices, ses
luttes, ses manipulations…
Les
chemtrails me ramènent à ma propre façon de gérer mes mondes intérieurs et cela
me motive à lâcher les dépendances mais pas en luttant contre elles. Je me
contente de me rappeler que même si j’ouvre la boite de Pandor puisque de
vieilles émotions refoulées vont se manifester, c’est nécessaire et libérateur.
Pour se libérer des croyances et des conditionnements, il faut pouvoir
atteindre ce qui a été enfoui dans les profondeurs de l’inconscient afin d’actualiser
les pensées et d’harmoniser les énergies.
Il y a plusieurs façons de contacter
l’enfant en soi et quand on se laisse guider par le désir d’aimer sans
conditions Tout ce que nous sommes, la source nous inspire en ce sens.
Ce
chemin est à la fois celui de la rencontre avec l’enfant en nous mais aussi
avec l’âme, la source, la Vie.
Après avoir laissé l’enfant s’exprimer
librement, me dire ces peurs d’alors et après lui avoir dit ce que je sais de
la vie aujourd’hui, j’ai senti non seulement la communion intérieure, la
sensation de cohésion, la force de l’unité mais aussi un allégement
considérable.
Un
allégement de la vibration et une expansion de cœur tout autant que l’horizon
qui se dégage.
Dans cette force, cette communion intérieure, tout devient
possible sans que ce soit une obligation, une condition au bonheur à venir. L’amour
inconditionnel qui rayonne dans cette communion, cette pacification intérieure,
suffit à nourrir le présent et à diriger vers le meilleur pour l’avenir. Je n’ai
même pas à planifier quoi que ce soit parce que tout est donné dans l’instant. Tout est donné selon ce que je vibre et c'est cela qui importe.
J’ai
déjà pu constater concrètement les bénéfices de cette écoute, de cet accueil de
la peur du manque puisque j’ai reçu quasiment instantanément un don conséquent.
Maintenant, je continue d’accueillir les émotions, les énergies liées à la peur
de demander et d’entendre un refus, que le blocage a révélé dans la situation « commande
de bois ».
Derrière cela, il y a un sentiment d’illégitimité, des
croyances qui perdurent parce que le mental se réfère aux expériences négatives
quand il tente de trouver des solutions, de comprendre. Les premières pensées se rapportent aux expériences passées, à la difficulté qui se présentait dans ce simple achat.
C'était difficile parce que le sentiment d'illégitimité primais, le droit au confort était remis en question selon les anciennes croyances. Je vibrais cela et l'extérieur me le renvoyait.
Je vibrais la colère, l'indignation, la colère envers mes croyances inconscientes contre lesquels je luttais par des arguments qui ne faisaient qu'augmenter la lutte, la division intérieure, le rejet.
Libérer les croyances
passées se réalise en purifiant à la fois le mental et l’émotionnel.
Le mental
est purifié dans l’abandon du jugement, de l’auto-jugement et l’émotionnel dans
l’accueil sans conditions et sans commentaire de ce qui se manifeste dans l’instant.
Ce qui permet le changement, c'est la vibration, c'est à ce niveau qu'il faut "agir"
Bien
que ce soit relativement difficile d’acquérir cette habitude d’ouverture parce
que cela représente un effort d’attention, d’écoute et de la persévérance, c’est
en adoptant ce nouveau mode de fonctionnement qu’on se libère des
conditionnements.
La vibration de paix, d’amour et de joie s’installe de plus
en plus en profondeur, l’être réel, unifié et authentique émerge peu à peu. La
confiance en soi devient inébranlable en se construisant par cette communion
intérieure, pas à pas. Le divin se révèle, la source est perçue, ressentie, l’énergie de
vie s’écoule avec plus d’aisance, d’harmonie. L'énergie de vie, du désir, celle qu'on limitait à la sexualité, s'exprime plus librement puisqu'elle n'est plus enfermée dans des définitions limitantes.
Je
tiens un journal de libération qui est à
la fois une vidange du mental et une façon de manifester le désir de
transparence, d’unité et d’harmonie, un appel à la source, à l’amour sans
conditions. Mais je ne le partage pas afin d’éviter de fragiliser mon espace
énergétique.
Nous sommes interconnectés au niveau de l’énergie et quand on s’ouvre
trop aux autres, on se fragilise énergétiquement.
La communion avec l’enfant en
soi demande un espace sécurisé parce qu’elle ne peut se faire que dans la
confiance et la transparence totale. En ce sens le cœur est le lieu idéal.
Le cœur
ou la confidence intime avec la source, l’âme, les multiples aspects de l’être.
J'ai pu constater aussi que l'utilisation ou l'appel des rayons est un premier pas, une façon de poser l'intention mais que cela peut aussi bloquer l'émotion. C'est une forme de stratégie d'évitement du mental, une façon de déléguer et de refuser d'affronter les peurs de l'enfant. D'un autre côté, cela peut aider à calmer le mental mais tant qu'on ne fait pas face aux émotions, rien ne peut changer vraiment parce que les fréquences restent celles de la lutte et du rejet.
L'enfant intérieur attend notre attention personnelle, pas celle d'un tiers, pas celle d'un amant, d'un parent ou d'un thérapeute. Même si nous sommes soutenus pas l'âme, par les énergies de dimensions en lien avec notre intention, la rencontre décisive est cette communion intérieure entre tous les aspects de l'être, dans le désir de paix et d'unité. Nourrir ces désirs c'est manifester la source en soi et devenir autonome, libre, complet. C'est réaliser que nous sommes parfait, complet et unique dans cette communion.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr