10
03 On parle beaucoup de la loi d’attraction et de résonance autour desquelles
on spécule en essayant de comprendre selon nos croyances basées sur l’idée de
séparation et de l’humain impuissant, victime de la vie et des autres.
Pourtant,
par l’observation neutre, on peut la comprendre et l’intégrer parfaitement au travers
du phénomène de projection.
Nous interprétons les faits selon les mêmes schémas, à travers le voile opaque de nos souffrances. Nous appréhendons le monde avec la conscience de l’enfant en souffrance. On peut comprendre que nous projetons notre mal-être et nos croyances sur les autres simplement en observant nos pensées, nos émotions.
Nous interprétons les faits selon les mêmes schémas, à travers le voile opaque de nos souffrances. Nous appréhendons le monde avec la conscience de l’enfant en souffrance. On peut comprendre que nous projetons notre mal-être et nos croyances sur les autres simplement en observant nos pensées, nos émotions.
Devant la récurrence de nos schémas de pensée, nos jugements, notre façon d’accuser les autres de notre mal-être et dans l’observation des émotions associées à ses croyances, on va comprendre ce phénomène de projection. Comment nous utilisons les autres comme des dévidoirs énergétiques, émotionnels et mentaux, comment nous projetons tant nos croyances dévalorisantes à propos de nous même que nos attentes envers les autres.
La
pensée et l’émotion sont des énergies et lorsque nous avons refoulé des
émotions lors de traumas durant l’enfance ou l’adolescence, cette énergie prend
de l’ampleur, de la force, de l’intensité et pour que nous n’ayons pas à en
souffrir, on cherche un récipient où la déverser.
Notre mental agit de façon
inconsciente, automatique selon des réflex instinctifs et pour ne pas sentir la
douleur il va chercher un coupable, espérer se libérer de ce qui le ronge en
accusant l’extérieur de son mal-être.
Quand le trauma a été vécu dans l’enfance,
c’est le corps physique qui devient le coupable ou la personnalité et toute la
colère, la tristesse, les émotions refoulées, les pensées de culpabilité se
logent dans l’inconscient générant des comportements auto destructeurs.
Pourtant
les émotions sont des messagères et elles nous invitent à observer ces
phénomènes internes afin de nous libérer de la souffrance, de l’inconscience et
de pouvoir ainsi prendre notre vie en main en conscience et en connaissance de
cause.
Prendre conscience de cette faculté de la pensée/émotion de se projeter
vers l’extérieur en révèle tant l’inefficacité que la conscience éclairée ou la
sagesse de l’âme.
Ce regard lucide et bienveillant qui permet de reconnaitre le
phénomène sans culpabiliser et sans accuser l’autre, libère de l’inconscience
et de l’impuissance en même temps qu’il révèle la vibration de paix de l’être.
On
peut voir ce réflexe de survie chez le chien qui face à un danger va mordre.
Il
répond à la peur en agressant. En tant qu’humain, tant que nous sommes
ignorants de tout ce que nous sommes, tant que nous sommes identifiés à la
personne, ces systèmes de croyances et conditionnements, on va réagir de la même
façon.
On projette nos attentes, nos espérances et nos jugements vers
l’extérieur et on est frustré parce que notre bien-être qui dépend de
l’extérieur ne peut pas être comblé de cette façon.
La personne c’est
l’ensemble des croyances et conditionnements, des systèmes de survie ou
l’équilibre et l’harmonie de réalisent dans l’évacuation de la souffrance vers
l’extérieur et la vampirisation des énergies dites positives envers ceux qu’on
prétend aimer, admirer ou estimer.
Tant qu’on ne comprend pas qui nous sommes
et en même temps ce qui relève de l’automatisme inconscient, on reproduit
constamment les mêmes schémas de prédation, de manipulation, de projection et
de souffrance.
Tant qu’on ne distingue pas l’être de la personne, on reste
soumis à nos blessures, à la charge émotionnelle enfouie dans notre
subconscient. Et quand elle explose, elle se déverse en colère envers le monde,
les autres, les supposés coupables.
Or ils n’ont fait qu’éveiller cette
douleur, cette émotion, cette sensation qui nous appartient, qui est celle que
nous avons refoulé dans l’enfance selon ce même principe de projection en
direction de l’inconscient.
L’enfant qui n’ose pas ou qui n’est pas autorisé à
vivre ses émotions ni à dire ce qu’il pense puisqu’il dépend de son entourage
pour sa survie, va retenir la charge émotionnelle qui se loge alors dans le
subconscient et toutes les pensées qu’il ne peut exprimer vont être contenues
dans l’inconscient.
Il construit ainsi sa personnalité selon la mémoire psycho émotionnelle,
l’énergie refoulée.
Et à chaque fois qu’une situation similaire au trauma ou
simplement qui éveille cette mémoire sera revécue, la réaction automatique sera
de projeter la souffrance vers l’extérieur.
On distingue dans le monde, l’enfant de l’adulte
parce que l’adulte ose projeter ce qu’il ressent vers les autres, vers ceux
qu’il juge plus faibles que lui, convaincu d’avoir raison.
Il se dit qu’en tant
qu’adulte, il a le droit d’affirmer ses convictions et ses droits.
Il s’associe
avec des personnes qui ont les mêmes convictions renforçant ainsi sont
sentiment d’appartenance et la certitude d’avoir raison.
Il s’entoure dans la
sphère intime de personnes qu’il va dominer soit physiquement soit psychologiquement et les proies idéales sont les
enfants qui sont obligés d’obéir tout comme les hommes ou les femmes inconscients
de leur puissance intérieure. Il nourrit l'estime de soi par la dominance, le fait de décider pour les autres, de diriger la vie des enfants afin qu'ils répondent à ses attentes et besoins. La dominance peut s'exercer de mille et une façon et déjà dans l'interdépendance affective à travers les jeux de rôles où le dominant n'est pas toujours celui qu'on croit...
Et si cet adulte a souffert durant son enfance il va tout faire pour agir autrement que ces parents. Il changera la forme mais pas le fond parce que tant qu'on n'est pas conscient de ces mécanismes de projection, de leur pouvoir de modeler notre quotidien selon nos croyances elles-mêmes élaborées à partir de nos blessures, on reproduira les mêmes comportement envers les enfants. Ce sera plus subtil mais le schéma reste le même on tente de combler le manque d'amour de soi dans la relation aux autres dans l'interdépendance affective, l'amour conditionné, les attentes...
Tant qu'on ne prend pas en charge nos blessures, l'enfant en soi, on reproduit les comportements qui nous ont fait souffrir soit envers les autres, soit envers soi-même.
Et c'est dans la communion avec l'enfant en soi, que l'âme se révèle, que son regard compatissant, lucide, et sa vibration de paix se manifestent.
Dans cette vibration d'unité, le lien est recrée entre les aspects de l'être qui s'alignent à l'amour lumière de la source, on éveille la force de l'union.
Cette puissance se trouve dans l’observation
neutre, l’intériorisation, le fait de comprendre les phénomènes de projection
et la désidentification de ces processus.
13
03 Une âmie m’a envoyée cette vidéo qui m’a donné envie de revenir sur ma
réflexion au sujet du phénomène de projection ou de "l'effet miroir" parce qu’il y a aussi l’aspect
créateur dans ce principe que je n'avais pas encore abordé.
Non seulement on porte une certaine vibration mais
celle-ci crée dans l’éther, dans les dimensions subtiles, des formes pensées
qui vont nourrir les égrégores correspondant et qui vont à leur tout amplifier
ce qu’on porte.
La
projection de la pensée de jugement nourrit l’idée de séparation, la dualité
conflictuelle et les mondes invisibles, donnant ainsi une forme de crédibilité à
cette illusion d’être séparé de la source. Mais dans le retour au cœur, on sent
que cette essence est notre nature profonde, originelle, lorsqu’on va au-delà
des pensées de jugement, de peur et d’accusation.
Gregory Mutombo - La puissance du Verbe
Quand
on est sensible aux énergies, dans le face à face avec nos émotions refoulées,
ou difficiles, on peut sentir qu’on traverse en même temps d’épaisses couches
sombres.
Dans un sens on goûte l’unité dans la souffrance, dans la reliance
avec ces égrégores de souffrances, ces réalités projetées par la conscience
humaine depuis des siècles.
Ces énergies ont formé des mondes ou des réalités
parallèles que nous pouvons pénétrer ou sentir lorsqu’on est identifié à la
peur et aux jugements.
Dans
notre besoin d’amour, de paix et de lumière on peut aussi sentir ces mondes
projetés par l’espoir, les attentes, les prières. Puis il y a les mondes formés
par la vibration du cœur, l’élan spontané des enfants dans le désir d’aimer,
une dimension de félicité, de joie, de paix.
Les états de conscience modifiés
par les drogues nous relient à ces mondes éthérés, ces mondes des émotions par
la vibration du manque ou du besoin de remplir le vide affectif.
L’idée ou
l’illusion de la séparation nous a amené à créer toutes sortes de mondes, de
réalités dans lesquelles on s’égare facilement et qu’on prend pour réels
simplement parce que la résonance intérieure leur donne une forme de densité
par effet de résonance.
La réalité physique est maintenant démontrée comme
étant vibrante, atomique et on commence à percevoir l’énergie, les
égrégores, les mondes spirituels.
D’un côté cela élargit grandement notre
champs de vision, de conscience mais on continue de vouloir s’éloigner de soi,
de notre propre corps parce qu’on veut fuir le mal-être intérieur.
Ces
mondes parallèles qui se chevauchent nous éloignent de notre réalité présente
et du sens de l’incarnation, cela créé de la confusion et on continue de
chercher au dehors ce qui est à l’intérieur.
Le
pouvoir de projection est immense tout comme celui du verbe mais on l’utilise pour
notre malheur lorsqu’on reste dans les jugements. On pense recevoir
l’inspiration, l’intuition mais en fait, on se connecte aux énergies
correspondant à notre propre vibration. Quand on agit depuis la peur, on
contacte les égrégores correspondants. Idem lorsqu’on vibre sur les fréquences
de l’amour conditionné, ou selon les croyances en l’amour possessif, exclusif,
on est relié aux mondes invisibles duels, à tous les mélodrames vécus par les
humains.
Tant
qu’on ne fait pas la paix en soi en abandonnant le jugement comme système
d’évaluation de ce qui est, on reste conditionné à nos croyances, aux égrégores
de la division, de la séparation et on prend pour des messages de l’âme, des
pensées issues de la peur et des conditionnements.
Une
bonne façon de savoir distinguer l’intuition ou la voix du cœur de celle de la
peur, c’est de considérer s’il y a une forme de jugement dans ces pensées.
Le
jugement est toujours arbitraire et il est amplifié, il est considéré comme une
vérité parce que l’émotion qui lui est associée semble lui donner raison.
La
sensation vient donner de l’intensité à la pensée qu’on va penser venir du cœur
par le fait que la sensation émotionnelle soit vive.
Mais dans la neutralité,
au-delà du jugement, on va voir que nous projetons notre mal-être, nos peurs et
nos croyances.
Le
regard de l’âme ou de la conscience de l’être est toujours neutre, dépourvu de
jugement et même de préférences ou d’attentes.
L’amour véritable ne cherche pas
à s’approprier un être ni à le changer, il reconnait en chacun le droit d’être
ce qu’il est parce qu’on n’est pas affecté par les vagues émotionnelles en soi
et donc on ne l’est pas non plus par les réactions de l’autre.
Ce n’est pas non
plus l’indifférence mais la conscience que chacun agit selon sa conscience du
moment, ses croyances et conditionnements. Il n’y a pas de sentiment de
supériorité parce qu’on sait aussi qu’au-delà de la personne, la même
conscience habite toute vie.
Tant
qu’on ne distingue pas en soi la personne de l’être ou l’adulte de l’enfant, le
passé du présent, tant qu’on nourrit le déni, le rejet de soi, on continue
d’être soumis à l’illusion de la séparation, aux égrégores de la dualité, à
l’inconscient collective et à la conscience humaine convaincue d’être isolée et
en danger.
Puis
quand on peut voir le phénomène de projection on va essayer de savoir qui
projette quoi, si l’autre nous renvoie ce que nous portons et si nous projetons
nos blessures mais cela nous maintient encore dans la sphère mentale, les
croyances et l’illusion du pouvoir du mental de changer. Le pouvoir du mental se limite à sa capacité de focaliser l'attention et à ses compétences intellectuelles qui sont de peu d'utilité quand il s'agit de lâcher prise.
Il ne s’agit pas de
comprendre quel rôle nous jouons face aux autres mais d’apprendre à gérer nos
émotions et nos pensées.
Savoir
que quand nous sommes en réaction cela nous renvoie au passé et aux
conditionnements suffit à revenir au centre et au silence ou au non jugement.
Il
ne s’agit pas de chercher à résoudre la souffrance par la compréhension
intellectuelle ou d’adopter de nouvelles croyances mais plutôt d’abandonner
l’identification aux pensées et aux émotions. D’aller au-delà des couches
épaisses formées par les stratégies du mental pour sentir la paix que nous
sommes et agir depuis cet élan spontané guidé par la joie d’être.
On
ne sait pas qui nous sommes vraiment en tant qu’individu puisque nous agissons
et pensons selon des croyances et conditionnements appartenant à l’inconscient
collectif.
Le moi véritable se découvre pas à pas dans la tombée des masques,
dans le fait de ne plus s’identifier aux mécanismes réflexes et c’est en
ressentant l’essence de l’être, en agissant depuis cette vibration que l’être
ou le Je suis se manifeste.
Une vibration de paix et d’unité que l’amour
véritable de soi révèle.
La conscience d’être est manifestée dans l’élan
spontané du cœur.
Au lieu de se définir selon des préférences, des attirances,
des projections, on apprend à se connaitre, à se reconnaitre et à être sans
masques.
Là encore, ça n’est pas un processus intellectuel qui voudrait qu’on
soit authentique mais plutôt une attitude qui consiste à prendre du recul, à se
centrer avant de parler, d’agir et bien sûr de réagir.
Une connaissance intime
de soi qui passe par l’intériorisation et la réunification de tous les aspects
de l’être. On recrée du lien en reconnaissant les corps subtils comme des
partenaires, des outils de perception comme l’ensemble qui compose notre
individualité. On sent que notre essence est celle du potentiel créatif et que
nos corps ensembles nous donnent l’occasion de pouvoir manifester l’amour, de
créer ou de participer à la création.
Utiliser le verbe pour créer du lien en soi,
en abandonnant le jugement, en cessant de rejeter la faute sur l’extérieur ou sur un aspect de soi, en se
réappropriant son énergie par le retour au centre, à la neutralité, révèle
l’amour que nous sommes.
On perd de l’énergie dans la lutte, les stratégies du
mental, les projections, les attentes et dans le bavardage incessant, qu’il
soit intérieur ou dans la relation aux autres.
Apprendre à revenir au centre,
au calme mental, au silence, dans la communion avec l’âme ou la sensation de
paix en soi, restaure l’intégrité de nos corps et le potentiel énergétique à
notre disposition. Parce qu’on puise à la source directement.
Quand on projette
nos souffrances vers l’extérieur en jugeant ou en accusant, on s’éparpille, on
perd de l’énergie et on espère en recevoir de l’extérieur dans les jeux de
rôles. On se nourrit mutuellement dans les jeux de victime de bourreau et de
sauveur mais on se nourrit d’une énergie de peur, de prédation, de domination,
de division et de soumission, une vibration d’interdépendance douloureuse.
On
se valorise dans la comparaison créant une hiérarchie entre les êtres et un
modèle de perfection à suivre qui tend à uniformiser les individus.
On crie à
l’injustice, on se plaint de n’être pas aimé à notre juste valeur mais on passe
sont temps à se trahir en essayant d’être quelqu’un d’autre. Même dans la
reconnaissance des blessures et des masques qu’elles ont générés, on continue
de vouloir être meilleur selon des critères intellectuels de perfection.
On
veut changer en force, en essayant de calquer au modèle idéal alors que nous
sommes déjà ce que nous cherchons. Nous sommes parfaits dans notre
constitution, notre essence mais dans l’ignorance de cela nous focalisons notre
attention sur la forme et sur ce qu’on juge être imparfait. Ce faisant on donne
de l’énergie à ce qu’on rejette, on amplifie l’écart entre ce que nous
voudrions être et ce que nous sommes.
La
forme, les pensées, les émotions, les croyances, tout ce qui est en surface,
change continuellement. Pour toucher l’être véritable, il faut pénétrer les profondeurs,
affronter nos peurs simplement en les reconnaissant pour ce qu’elles sont. Des
blocages énergétiques, des bulles d’incompréhension, des interprétations de la
réalité fondées sur de fausses croyances.
L’intérêt de se positionner au
centre, dans la neutralité c’est qu’en tant qu’observateur on reconnait l’essence
de l’être dans l’accueil des émotions et on lâche peu à peu l’identification au
personnage sans avoir l’impression de se perdre.
On est attaché aux rôles parce
que cela nous rassure, ça nous donne un consistance, on se sent exister, on se sent à sa place dans le
confort de ce qui est connu dans le confort de nos certitudes, de nos croyances,
mais cela ne repose que sur l’éphémère et la moindre contrariété nous
déstabilise parce que nos évoluons en surface.
Nous sommes à l’aise dans un
territoire délimité par codes, des postures, des attitudes, des habitudes, des
schémas de pensées répétitifs et des actes qui sont devenus des rituels.
Tant
que le mécanisme fonctionne selon nos attentes, on ne remet pas en question nos
croyances mais quand la maladie, la dépression, la séparation, le deuil,
surviennent, on est complètement retourné, dévasté.
Et quand on sent que nous
sommes plus qu’un humain, on essaie de définir cela selon les références du
mental. On va chercher les infos à ce sujet et se perdre dans les définitions
des autres.
Jusqu’au moment où on comprend que les réponses sont à l’intérieur,
au-delà des raisonnements du mental. Même en essayant de définir ce qu’est
l’intuition on se heurte aux systèmes de croyances et tant qu’on n’apprend pas
à distinguer en soi la voix, la sensation de l’amour et celle de la peur par l’observation
neutre et la reconnaissance du phénomène de projection, on reste en surface.
Les interprétations seront aléatoires, elles fluctuent selon les émotions qui
ont été suscitées et les blessures qui ont été ravivées. La connaissance de
soi, c’est comme un voyage dans les sphères de la conscience de l’aspect le
plus dense jusqu’au plus subtil et vaste à la fois. Une expansion de la pensée
jusqu’à la forme en passant par les sensations.
Cette conscience qui s’exprime
au travers des perceptions multiples, des intelligences multiples, qui se goûte
dans différentes perspectives et se manifeste dans l’unité de ces aspects ou
points de vue alignés à la fréquence de l’amour sans conditions.
En ce sens
pouvoir porter un regard neutre sur soi est essentiel parce que c’est ainsi
qu’on peut constater la perfection de tout ce que nous sommes et reconnaitre en
cela l’intelligence suprême de la Vie. On peut alors utiliser les outils que sont le mental et l'émotionnel à leur juste valeur selon leur fonction particulière. Par exemple on utilisera la force d'intégration du mental par la répétition qui créé l'habitude bénéfique de venir au centre dès qu'on est troublé...
On se redécouvre sous un nouvel angle et on est émerveillé par tout ce potentiel, toutes ces capacités, ces perceptions à notre disposition, ces mécanismes dont nous sommes les spectateurs et dont nous nous sentons honorés d'être aux premières loges. De pouvoir constater en même temps, que l'être véritable ou le couple Soi/âme, est le scénariste et qu'en suivant l'élan porté par la joie nous sommes alors l'acteur conscient et heureux de l'être, ici et maintenant.
Je suis retombée sur un article de Magali au sujet de l'effet miroir, encore une belle synchronicité, et je le publie en premier afin qu'il apparaisse à la suite de cet article comme pour y faire écho et pour amplifier la vibration par le phénomène de résonance...
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr