mardi 28 février 2017

« Nous sommes tous potentiellement libres et souverains »





27 02 J'ai décidé hier, de me couper d’Internet, du blog, des infos dites spirituelles afin d’être présente et toujours d’agir selon l’élan porté par la joie. 
Quand je dis ‘être présente’, ça veut dire, ressentir ce qui se vit en soi plutôt que de s’éparpiller. 
Cela signifie que je ne m’attache pas aux pensées du passé, de mon propre vécu ou des raisonnements basés sur l’idée de bien et de mal, que je ne bloque pas les émotions et que je me pose avant de parler (sans m’en vouloir si je suis cash, si je ne prends pas le temps de la réflexion) ou d’agir. 
Ne pas s’éparpiller par des projections mentales, émotionnelles mais offrir à l’amour lumière intérieur, à la source, tout ce qui appartient à l’ancien monde, aux stratégies de survie, aux mécanismes inconscients, au passé…

Savoir observer en silence ses mondes intérieurs sans s’identifier à ces pensées émotions automatiques, libère vraiment de tous les égrégores de la dualité. 
Ceux du pouvoir, de la domination, du contrôle et de la manipulation. 
Dès qu’on peut voir qu’on agit ou qu’on pense selon des schémas inconscients, automatiques, on en est déjà à moitié libéré. Le second pas à faire, c’est d’arriver à être en paix, à s’aimer malgré ces réflexes conditionnés et ce que cela engendre comme comportements destructeurs ou invalidants.


J’ai senti un certain mal-être dans la matinée de samedi qui est allé croissant et comme j’ai mal digéré le repas du midi composé de crêpes, puisque j’ai constaté que je digérais mal les aliments à base de farine, j’ai commencé à me faire des reproches. Non seulement la farine passe mal mais le lait n’est pas non plus très digeste même si c’est du lait bio. 

En voyant que j’agissais encore d’une façon pas très respectueuse pour mon corps physique puisque je sais ce qui ne lui va pas et en plus les personnes qui étudient l’alimentation le confirment, j’ai parlé avec mon âme à ce sujet. 

Déjà, j’ai pu sentir comment le fait de me faire des reproches abaissait ma vibration et la rapidité avec laquelle cela se produisait, comment les pensées négatives ou critiques en amènent d’autres et comment on est entrainé dans une spirale descendante. 

Jusqu’au moment où on se rappelle que ce sont des mécanismes internes automatiques et ce faisant on sait que nous ne sommes pas ces systèmes. 
C’est toujours l’identification qui nous ramène soit en arrière ou qui nous ancre dans le présent en la conscience de Qui nous sommes en vérité.

La présence à son ressenti et l’observation neutre sont les révélateurs de l’être ou de l’essence qui nous anime. 
En voyant qu’une méditation pour la paix était prévue pour ce dimanche, je me suis dit que la sensation d’être plongée dans la dualité ou de sentir des forces extérieures conflictuelles, devait venir de là mais j’ai vite arrêté de focaliser là-dessus ou de croire que cela pouvait avoir une incidence sur mon état d’être. 

Bien sûr que je suis sensible à ce qui se passe dans le monde et dans l’invisible mais tant que je porte mon attention vers l’extérieur, je risque de m’égarer dans le jugement, de m’éparpiller énergétiquement par la projection des pensées émotions énergies.

En revenant dans le dialogue avec l’âme ou la conscience que je suis amour lumière avant d’être un humain, peu à peu, la stabilité mentale émotionnelle est revenue. 
Quand j’y pense, c’est un processus fascinant est très puissant même si ça n’est pas encore instantané. Je dis "pas encore" parce que peu à peu, je vois que je reviens plus vite à la paix du cœur et à la conscience de Qui je suis.   
Enfin la conscience de ce que je ne suis pas serait plus juste parce que plus je suis dans l’observation, le ressenti et plus les étiquettes les noms que j’avais collées au divin, ne font plus sens. 




Et c’est très bien puisque ça me libère des croyances et des illusions qui y sont nécessairement attachées. La vision de l’âme, du divin demande à être épurée parce que c’est toujours perçu selon la notion de bien et de mal. 
Je préfère considérer l’être en trois temps ou aspects, le passé, le présent et le futur. 
Cela simplifie les choses et permet de lâcher les croyances et attachements. 
Dit autrement, l’âme, la conscience Une et la personnalité. 

La mémoire et en même temps la ‘destinée’ sont inscrites dans l’âme, et plus ça va plus je me dis que l’âme et la conscience christique ou encore l’esprit ne sont pas séparés. 
Du moins pas avant la naissance où l’âme s’incarne dans un corps et où la conscience humaine n’est pas encore éveillée à sa vraie nature, du moins pas consciemment. 

C’est dans le processus de détachement de la mère que l’enfant prend conscience qu’il existe en tant qu’individu et même s’il est connecté à l’âme et au soi, il n’en a pas conscience en tant qu’enfant. 
C’est tout le paradoxe de cette incarnation où lorsqu’on est enfant, on manifeste l’essence de l’être, l’amour inconditionnel, l’ouverture d’esprit, la conscience qui s’éveille, qui découvre et s’émerveille, qui est authentique et la spontané, qui rayonne la joie simple d’être, sans le savoir, sans être conscient que c’est notre nature véritable. 

Et on devient soi disant adulte et responsable en se conformant à l’extérieur, au regard des autres, à leurs attentes, leurs exigences, leurs lois et conventions. 
J’ai toujours eu la sensation d’être dans un monde où chacun est identifié au personnage qu’il s’est construit laborieusement et qu’il souffre de cette mascarade. C’est pour cette raison que dans les premières années de ma vie d’adulte, j’aimais être en compagnie de gens qui se droguaient ou qui buvaient parce que les masques tombaient, l’enfant intérieur s’exprimait, la personne était plus authentique. 
Le seul problème c’est que ce besoin d’évasion vient souvent d’un trauma vécu dans l’enfance et c’est un enfant intérieur en grande souffrance qui s’exprime alors.

Je me suis reprochée pas mal de choses durant ce week-end mais comme à chaque fois, je confiais ces pensées à mon âme, toujours dans le désir de manifester la paix et l’harmonie, les énergies se sont équilibrées. Puis dans la concertation intérieure et sous l'impulsion de manifester l'amour envers le corps physique, de simplifier les choses pour le mental, j'ai, ou plutôt "on" a décidé de diminuer à nouveau les cachets. 

Ce matin, j’avais en tête une chanson de Jean Ferrat qu’il interprète en duo avec une femme, et surtout le sens de celle-ci, le fait qu’elle m’ait toujours touchée profondément depuis l’enfance. Mais ce matin elle ne révèle pas la même chose et surtout elle ne suscite plus de nostalgie.
Mon père écoutait beaucoup de musique, des chansons de tous pays, styles, dans une quête de sens au sujet de la vie et c’est pour cela que je me sentais proche de lui malgré la peur, la colère et la pitié qu’il m’inspirait à l’époque. Je sentais cette proximité tant au niveau des rôles que nous avions endossé, celui de la victime, que dans cette quête de sens, de justice. 
Là encore une stratégie révèle autant l’aspect automatique de protection des blessures que la ‘mission d’âme’. Mission d’âme dans le sens de quête de vérité, de désir de retour à la source, à l’unité. 
Pour en revenir à la chanson, lorsque j’étais enfant, ce qui me touchait, c’est que je voyais mes parents en l’écoutant. Ma mère fonctionnaire, terre à terre qui assumait à elle seule les besoins fondamentaux de la famille et mon père l’artiste rêveur et hypersensible aussi attachant que méprisable.
Jean FERRAT & Christine SEVRES La matinée DUO 


J’ai aussi vécu ce paradoxe du bourreau qui fait subir à ses proches une injustice et qui en même temps est en quête de justice sociale puisqu’il écoutait des chants révolutionnaires des personnes comme Victor Jara par exemple.

Des parents remplis de contradictions et qui inversaient les rôles liés à leur genre. D'emblée, ce non sens général m'a permis de chercher la vérité ailleurs.

Je me sentais plus proche de mon père par sa sensibilité, son sens artistique mais je voyais aussi les sacrifices de ma mère et mon sens de la justice me faisait pencher du côté de ma mère. Je voyais son courage, sa détermination, sa lucidité vis-à-vis du monde et son sens des responsabilités. Bien que j’étais consciente qu’elle était le socle du foyer, je lui en voulait de ne pas être présente, de ne pas voir ce qui se passait chez elle et de faire de la politique plutôt que de s’occuper de nous. 
Je comprenais sa position en tant que femme, son besoin de revendiquer les droits des femmes, sa quête de justice sociale et la nécessité qu’elle avait de se montrer forte, insensible. Mais je souffrais de ses carences en tant que mère, de ce choix d’assumer les besoins de la famille qui l’éloignait de la maison. Je sentais plus son attitude comme une sorte de fuite et d’inconscience de nous laisser entre les mains d’un homme qu’elle savait instable et même violent. 
J’avais face à moi, continuellement, des personnes qui incarnaient la division, l’idée qu’on ne puisse pas être à la fois lucide et sensible, qu’on devait choisir entre être femme ou être mère, être terre à terre ou rêveur.

D’un certain côté, ces modèles inversés puisque ma mère jouait le rôle de matriarche et mon père celui d’homme enfant m’a évité de tomber dans le conformisme et m’a poussé à chercher la paix et l’unité. L’autorité parentale n’était pas crédible, ce modèle de couple non plus et ce que je voyais autour de moi ne pouvait pas me satisfaire. Le modèle de couple traditionnel n’avais rien d’attrayant non plus.

Maintenant, en écoutant cette chanson, je mesure l’importance du rêve, et l’harmonie qui règne sur le monde, la façon dont tout est parfaitement orchestré. Les souvenirs d'enfance liés à cette mélodie ne suscitent plus de réactions, d'émotions. Je vois surtout en elle comment les individus se complètent et ce qui est merveilleux, c’est que nous portons tout en nous. J'y vois aussi la puissance du rêve ou du fait de porter un idéal en son cœur, d'imaginer un monde meilleur et surtout de le vivre en soi déjà.

Nous ne sommes pas obligés de choisir entre des rôles, des personnages, des attributs, nous pouvons exprimer l’unité, la source et l’harmonie de façon consciente et délibérée. Nous ne sommes pas prisonniers du passé, de la mémoire, de l'inconscience et des conditionnements. Nous sommes tous potentiellement libres et souverains

Le foyer, la famille que chacun forme en s’unissant à une personne du sexe opposé, est la projection de cette essence intérieure et de ce que nous portons. L’expression de la trinité, des aspects de l’être, l’âme, l’esprit et le corps. Le retour à la source, c’est comme si l’âme et l’esprit se retrouvaient dans le corps de chair, par la conscience humaine qui choisit l’unification.

En commençant par reconnaitre les rôles et en lâchant les masques, on guérit l’enfant en soi et ce désir de manifester le vrai moi, révèle l’âme et le soi, le masculin et le féminin sacré. La sensation d’amour que j’ai ressenti quand j’étais avec des missionnaires qui me parlaient des enseignements du Christ, c’est l’âme et l’esprit qui se retrouvaient. 




La conscience humaine qui retrouvait sa nature véritable, l’amour sans condition et la lumière, ou la reconnaissance de la valeur essentielle de l’amour, de sa puissance. 
Parce qu’on connait tous la valeur et la puissance de l’amour mais quand on regarde l’état du monde, selon nos blessures, on peine à le voir. 
On ne le voit pas parce que déjà, à l’intérieur, on est dans le rejet de soi, la division. 
On agit par mécanisme de protection, on se coupe de la sensibilité, de ce qu’on considère comme de la faiblesse simplement par conditionnement et par habitude, parce qu’il faut paraitre fort.

Considérer ses corps, les aspects de l’être, de la personnalité, comme des attributs divins ou intelligents qui fonctionnent de façon harmonieuse, c’est retrouver la confiance en soi, celle qui vient de l’intérieur et que rien ne peut déstabiliser. C’est vrai que ça n’est pas évident de lâcher les modes de fonctionnements basés sur la survie mais plus on devient conscient, plus on peut s’en détacher.

Je n’ai pas fait grand-chose aujourd’hui, ni dans la maison, ni au jardin mais je m’en fous. Même si la météo prévoit de la pluie demain, au lieu de me forcer à agir par peur ou par habitude, j’agis selon mon cœur, selon ce qui me fait envie dans l’instant. 
C’est inutile de lutter contre soi-même et en plus ça fait souffrir. 
J’accueille ce qui émerge et déjà je me satisfais du fait que je sois de plus en plus transparente, que je ne craigne plus autant de ressentir les émotions associées aux pensées négatives, aux critiques. 
Puisque c’est cette peur qui a enclenché la stratégie qui consiste à anesthésier les sensations, autant y faire face en étant simplement dans cette observation silencieuse de tout ce qui émerge. 

On ne peut pas se couper des égrégores, de l’influence des autres, de l’inconscience et de ses mécanismes, sans se couper en même temps des sensations agréables ou de l’essence de la source. 
C’est clair que pour se libérer d’une addiction, il faut beaucoup de patience, d’amour quand on voit que ce sont les peurs et croyances de l’enfant en soi qui sont à l’œuvre. 
J’ai d’ailleurs parlé à cette enfant que j’étais, spontanément hier sans que la souffrance m’y obligée. 
Ce dialogue intérieur, tant avec l’enfant qu’avec l’âme nourrit la reliance intérieure, l’amour et en même temps c’est une façon de revenir au centre, de ne pas s’éparpiller, d’amplifier la confiance en soi.

Je constate aussi qu’en agissant de cette façon, en continuant de nourrir l’amour sans conditions dans la relation à tous les aspects de l’être, je ressemble de moins en moins à mes parents physiquement. 
Il y a eu toute une longue période où je ressemblais fortement à ma mère, c’est précisément tout ce temps où j’ai agis comme elle, de façon rigide, en refoulant les émotions douloureuses, en étant dure, puis une autre où je ressemblais à mon père. 

Le côté masculin était très prononcé jusqu'à peu, mais quand j’ai lâché prise peu à peu, j’ai reconnu les traits de mon père qui est très émotif. La réaction a été naturellement l'horreur mais ça m'invitait surtout à Me pardonner mes propres faiblesses, erreurs...Puis l’addiction aux médicaments et les stigmates de l’alcoolique marquaient mon visage alors que je ne bois jamais d’alcool. 

C’est surtout les jugements au sujet de cette addiction, le fait de lutter contre des aspects de moi, qui mettait en évidence cette ressemblance avec mon père qui est encore dans la culpabilité. La peur et la culpabilité ne sont pas sensés nous paralyser mais il peuvent nous amener à ouvrir notre cœur et notre esprit. Par la reconnaissance et l'acceptation de nos erreurs, faiblesses...notre capacité d'aimer amplifie et l'unité intérieure nous fortifie. Cette union entre Tout ce que nous sommes nous fait goûter la complétude de l'être mis ça, aucun mot ne peut le décrire convenablement...

C’est clair que la forme physique reflète nos blessures et les stratégies qu’on emploie pour s’en préserver, modèlent la matière. C'est pour cette raison qu'on peut distinguer des formes spécifiques liées à chaque blessure, chaque stratégie et chaque rôle. 




Maintenant, je trouve enfin que je me ressemble, que l’image correspond à ce que je suis intérieurement. Les traits ont peu changé mais suffisamment pour que je sois convaincue que ça n’est pas une vision ou que ça n’est pas seulement la façon dont je me voie. La vibration de la source commence à transparaitre dans la matière et ça, c'est très, très encourageant! 
Ce qui m'indique aussi que je le libère des jeux de rôles et stratégies passées, que j'intègre l'unité intérieure en profondeur, c'est le fait que je sois plus stable émotionnellement, je prends plus facilement de recul et la paix ne me quitte plus. 
La joie n'est plus excessive même si elle est présente et surtout elle n'est pas suivie de moments de tristesse. 
Même si je ne me suis jamais identifiée à mon passé, puisque je distinguais intuitivement ce qui est relatif à l'expérience et l'être véritable, je subissais les mouvements chaotiques de la mémoire émotionnelle. 
Maintenant que je considère Toutes les émotions comme des expressions de l'énergie de vie, des couleurs, il n'y a plus d'attachement au personnage...et pourtant j'aime vraiment ce que je suis en totalité!

28 02 Et bien, on peut dire que la décision de diminuer à nouveau les cachets a été prise dans la bonne énergie ou vibration parce que j'en vois seulement les bénéfices. 
Je dors comme un bébé depuis trois jours et je me complique beaucoup moins la vie! 
Plus de reproches, de critiques, de rumination mentale, tout s'écoule simplement et tranquillement. Le lâcher prise, la confidence envers la source sont devenus des réflexes naturels. Ce fameux lâcher prise que je trouvais instantanément en fumant des pétards! 
Là encore, c'est une immense satisfaction de trouver en soi-même les ressources nécessaires au bien-être. Quelle sensation de liberté et de pouvoir, le vrai pouvoir, celui de la maitrise de ses pensées, de la puissance de l'amour.

Je bloquais sur la sensation étrange de vide dans l'estomac chaque fois que je diminuais les doses et je prenais peur alors je calmais cette peur par un minuscule bout de médoc. 
Hier, je savais que des symptômes physiques se manifesteraient au bout du deuxième jour mais j'ai juste observé sans à priori ces sensations. Comme je n'y ai rien ajouté, aucune étiquette, bonne ou mauvaise, la sensation a disparu. C'est aussi simple que ça! 

Déjà je n'ai plus de jugements au sujet de la peur, je ne la considère plus comme une ennemie à combattre mais comme une forme de blocage énergétique parfois lié aux croyances ou aux conditionnements, à l'incompréhension. 
Et ça change tout parce que je ne bloque plus son flux et le sens de son message ou sa raison d'être m'est révélée une fois que le calme revient et que je suis passée à autre chose. 

Ce sont toujours les jugements et l'attachement ou l'attente de compréhension immédiate qui bloquent le flux de l'énergie de vie. Parce qu'elle est la base de tout ce qui est, de chaque émotion, de chaque pensée ou plutôt elle en est le mouvement. Un signe aussi de la démystification de la peur, c'est que je viens de payer la facture Internet par carte bancaire! Chose dont j'étais incapable tant la paranoïa était constante. Je l'ai fait dans l'élan, sans douter, sans même me poser de question mais en remarquant tout de même combien la technologie était pratique. 
Ce sont ces petites choses qui témoignent de la progression et quand on peut les remarquer, on a déjà changé sa vision et sa vibration, son champ de vision s'élargit, on ne bloque plus uniquement sur ce qu'on appelait nos défauts. On peut même voir qu'ils ne sont que des conséquences du déséquilibre interne, du manque de stabilité, l'effet de la polarisation de l'énergie, du manque d'amour véritable de soi...
   
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr