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02 La lumière produit toujours le même effet, elle révèle ce qui a été caché
tant en l’individu que dans la société qui en est le parfait miroir.
La société
telle qu’elle est aujourd’hui est la projection de la somme de toutes les
consciences qui l’habitent.
Selon
notre position géographique et donc culturelle on peut savoir quelles sont les
croyances inconscientes qu’on porte et qu’on nourrit.
Mais ce qui est
magnifique c’est qu’en ouvrant notre cœur et notre conscience, en choisissant
de manifester notre foi, nos valeurs, on se libère de l’inconscience collective
et de son emprise.
Plus
on devient conscient de ce que nous sommes, de nos corps subtils, de leur mode
de fonctionnement et plus on peut choisir de manifester notre être véritable.
Le
choix de porter et de vibrer la paix nous appartient, nous pouvons choisir nos
croyances, délaisser celles qui ne correspondent pas à nos valeurs et
encourager celles qui servent notre bien-être.
Plus
la société est chaotique, plus elle oblige chacun à se situer, à se positionner.
Quand
on réalise que nos pensées, nos émotions se projettent dans l’air sous forme de
vibration et que nous pouvons choisir la qualité de cette vibration, on
comprend où se situe le pouvoir véritable. Celui qui nous affranchit de la
souffrance, de l’ignorance, du sentiment d’impuissance et qui nous rend libre.
La
combinaison de la lumière solaire et son reflet sur la lune éveille en nous
tous les programmes inconscients, tout ce qui est encore opposé à l’amour, ou simplement tout ce qui est en conflit en nous, tout
ce qui en fait nous invite à lâcher prise, à abandonner toute forme de lutte.
J’ai
appris le décès d’une amie de jeunesse et il m’a fallu accueillir autant les
larmes de la perte que la peur de la mort intrinsèque à la condition humaine.
J’ai été étonnée de sentir cette tristesse profonde parce qu’on n’avait plus de
contact depuis près de 20 ans mais ce fut l’occasion de se contacter au-delà
du voile.
De sentir où j'en étais par rapport à ce que nous avions vécu ensemble et le fait que les meilleurs souvenirs aient remonté à la surface me montre l'efficacité de ce processus de guérison. Nous avions eu pas mal de points de désaccord et comme sa légèreté de femme manipulatrice avait mis en danger sa fille, j'avais gardé une mauvaise image d'elle. Voir qu'une femme de mon âge, intelligente avait par son désir de vengeance vis à vis des hommes, laissé sa fille dans les mains d'un pédophile me révoltait.
La compassion que j'aie ressentie pour elle à l'annonce de son décès témoigne de ma guérison par rapport au passé, à ses jeux de manipulations qui sont l'expression de l'ignorance et de la souffrance. Parce qu'il est clair qu'on agit toujours selon notre degré de conscience du moment et quand on est identifié aux rôles, on pense qu'on n'a pas d'autre choix que de se battre.
On pense que pour guérir notre enfance, il nous faut obtenir réparation et bien souvent cela passe par la vengeance. Une femme qui a été bafouée par un homme va faire souffrir la gente masculine en pensant que son comportement est légitime mais ça ne résout absolument rien. La vengeance est une spirale descendante qui maintient la personne dans l'amertume, la colère, les regrets et forcément la culpabilité.
Les jeux de séductions sont par nature des schémas de prédation qui sont vécus dans le secret, les émotions liées aux blessures sont détournées et ces énergies rongent la personne de l'intérieur amenant des maladies bien souvent incurables.
Les corps sont désalignés, la pensée, l'émotion et le besoin ne sont plus en accord avec l'être. L'inconscient régit le comportement, les blessures dictent les rôles, les comportements.
La dichotomie entre le besoin vital d'amour, de paix et le comportement conflictuel, les pensées difficiles, les émotions refoulées, créent le chaos à l'intérieur.
Ma
vision au sujet de la mort et de l’ombre a été actualisée quelques jours avant
au travers de cet abandon à la source intérieure et par la reconnaissance de
l’énergie de vie, de cette vie éternelle qui anime tout être. Cette énergie qui est toujours en amont des émotions quelles qu'elles soient
Lorsqu’on
lâche prise, on élargit sa conscience, la vibration s’élève et on peut voir les
choses selon la perspective de l’âme. L’idée de la mort comme une transition,
un passage vers d’autres sphères où la conscience demeure ne fait plus aucun
doute pour moi.
Les seules craintes qui demeurent c’est la souffrance des êtres
qui n’y sont pas préparés et qui se retrouvent dans un environnement qui est la
projection de leur état d’être du moment. Mais là encore, comme je sais que la
conscience est éternelle, qu’elle n’a aucune limite dans le temps et l’espace,
comme le verbe, la parole est un attribut de la conscience qui permet d’être en
relation avec tout ce qui vit, comme le langage de cœur à cœur, en toute
sincérité transcende tout, j’ai parlé à cette amie.
Je lui ai témoigné mon amitié sincère et la puissance de l'amour, du pardon. Il n'y avait pas de culpabilité de ma part ni d'accusation face à son comportement parce que lorsqu'on comprend que nous agissons par instinct de survie, par ignorance, on ne peut pas en vouloir à qui que ce soit.
Et quand je parle de pardon, il s'agit plutôt de comprendre que nous avons toujours le choix, que nous pouvons choisir comment nous voulons nous sentir à l'intérieur et agir en conséquence.
Mais tant qu'on est identifié aux rôles, à la souffrance, tant qu'on ne voit pas que nous agissons de façon inconsciente, conditionnée, selon des schémas psychologiques de victime, de bourreau et de sauveur, on ne peut pas croire qu'on créé notre vie et qu'on puisse modifier notre état d'être.
La peur qui me concerne,
c’est donc son état d’être lors de ce passage et celle de ma propre mort, la
peur de ne pas avoir le temps de réaliser mes projets.
En accueillant cette
énergie ou simplement en la ressentant sans la juger, la rejeter et surtout
sans la craindre, la sensation s’est écoulée et elle a fait place à la paix et
la confiance. Puis dans l’élan porté par le désir, la joie, je suis tombée sur
la 10ème séance de reconnexion âmique de Magali.
J’ai
beaucoup moins d’à priori au sujet de ce qu’on appelle l’ombre parce que ma
définition est objective. Cela désigne tout d’abord, ce qui en soi est caché,
refoulé, ces programmes de survie, les croyances adoptées dans l’enfance, les
conditionnements, l’incompréhension, les aspects de soi qu’on critique, qu’on
rejette.
Puis
sachant que l’ombre révèle la lumière, qu’elle représente les points
d’incompréhension, les blessures non guéries, et que ce sont des invitations à
ressentir l’amour que nous sommes, à élargir notre conscience, cette fameuse
ombre est perçue comme bénéfique.
Puisqu’elle me ramène vers l’intérieur et me
permet de sentir la paix du cœur, de l’esprit, et à travers cela la puissance
du positionnement, du lâcher prise, cette ombre devient une partenaire.
C’est
clair que si on se limite à la vision dichotomique des choses, on est enfermé
dans nos croyances et on agit selon des conditionnements qui sont inconscients,
comme des robots. On pense de façon étroite et on souffre parce que cela nous
enferme dans les comportements régis par le tronc cérébral et le cerveau
limbique, dans une vibration basse, celle de l’inconscient qui nous emprisonne
dans l’inconscient collectif, les schémas de prédation et les mondes de
l’astral correspondant.
Pas étonnant alors de se sentir impuissant,
insignifiant, en manque, puisqu’on s’identifie à quelque chose qui n’est qu’une
personnalité formatée, qui ne nous appartient pas vraiment.
On ne se reconnait
pas dans ces comportements, ces schémas de pensées puisqu’ils sont des clones,
des reproductions de l’inconscient collectif et on essaie de lutter contre
quelque chose qui est de l’ordre du réflexe, de l’automatisme.
On a une image
de ce que devrait être la vie, l’amour, le monde et nous-même qui ne correspond
pas à ce que nous sommes au quotidien simplement parce qu’on s’identifie à la
personnalité humaine, au rôle. On croit que nos actes nous définissent, que
notre comportement et nos schémas de pensée sont immuables simplement parce
qu’on est identifié aux pensées et aux émotions.
En
observant le comportement du mécanicien, le mien, en voyant les rôles se mettre
en place dans la relation aux autres, en considérant ces stratégies de survie,
je me suis dit qu’on passe sont temps à vampiriser l’énergie des autres en voulant obtenir la reconnaissance extérieure ou en pensant qu'on a besoin des autres. On a besoin des autres, de leur compétences, mais pas de leur amour ou de leur reconnaissance pour se sentir valable. Notre état d'être dépend de nos choix, de ce qu'on veut sentir et nourrir en soi.
Le
terme de vampire est venu spontanément et en écoutant la séance proposée par Magali,
quand elle a parlé de cette rencontre avec un représentant de l’ombre, c’est ce
mot qui est apparu naturellement.
Je n’ai jamais regardé de films qui mettent
en scène des vampires, mon mental conscient est donc neutre à ce sujet, il n’a
pas de références et ce nom est donc venu de façon intuitive, spontanée.
Puis
comme c’est de plus en plus clair pour moi que le fait de chercher l’amour, la
reconnaissance à l’extérieur est une forme de vampirisation énergétique tout
comme lorsqu’on nourrit le drame en soi, c’est avec objectivité que je me suis
prêtée à cette rencontre.
Il a fallu de temps en temps que je réponde à la question légitime du mental: "à quoi ça sert cette rencontre?" Simplement à lâcher les croyances passées, à démystifier la mort, la peur, à lâcher les jugements, les à priori, à porter un regard objectif, lucide, à ouvrir son cœur et sa conscience.
Il vaut mieux regarder quelque chose en face plutôt que de fuir et de se laisser dicter son attitude par des croyances qui en plus sont fausses. Les croyances sont des interprétations très aléatoires de la réalité.
10ème Séance de Reconnexion Âmique en direct avec Magali Magdara
Il
est logique que le processus de manifestation du vivant, de la vie en perpétuelle évolution, passe par des
transformations successives, de la naissance à la mort ou renaissance et ce principe
s’applique à toutes choses.
Lorsqu’on reçoit une info qui invalide une ancienne
croyance, ce processus de transformation se réalise en nous.
C’est une part de
la personnalité, des croyances, qui meure pour laisser la place à une nouvelle vision, de nouvelles
connexions neuronales, de nouvelles productions d’hormones, de nouvelles
croyances et façon de voir, de penser.
Comme elle le dit à juste titre, rien ne
meurt vraiment, tout se transforme et si on observe notre organisme, la
régénération cellulaire passe par la mort des anciennes cellules et l’émergence
simultanées de nouvelles. On peut le constater lorsqu’on se lave et quand on
voit les peaux mortes tomber.
On se reconstruit sans arrêt selon des codes spécifiques
contenus dans l’adn et selon l’énergie que nous donnons à nos cellules, l’info
qu’elles reçoivent. En ce sens apporter de nouvelles infos est essentiel à notre évolution.
Tout est cyclique et qui dit régénération, dit apport
d’énergie, échange avec l’extérieur, interaction. La souffrance vient du fait
qu’on ignore que l’énergie vitale, l’essence d’amour lumière est notre existence
véritable, notre vraie nature.
On croit qu’il nous faut chercher et trouver au
dehors, ce que nous sommes en essence et en vérité.
Et lorsqu’on sait cela
intuitivement, on s’identifie encore trop aux pensées et aux émotions générées
par l’inconscient, les rôles, les croyances pour le sentir ou simplement le
reconnaitre. On reste attachés aux anciennes définitions, à notre vision élaborée à partir de la notion de bien et de mal, une vision conditionnée et infantile de la réalité.
Tant qu’on ne fait pas la lumière sur notre inconscient, tant
qu’on n’apporte pas de nouvelles infos, tant qu’on ne change pas son
positionnement intérieur, tant qu’on s’identifie à la personnalité, on ne se
rend pas compte que tout en nous est amour et lumière.
Que
notre vision dépend de notre positionnement et des croyances qu’on nourrit
continuellement tout en souffrant de s’en croire l’objet.
Je
ne pensais pas que c’était si simple de purifier l’émotionnel et le mental mais
je constate combien c’est puissant. La peur que j’ai sentie hier en pensant à
la mort, au départ cela ressemblait à une douleur au ventre puis ça s’est transformé
en chaleur. J’ai pu sentir comment le fait de ne pas y résister avait permis
cette transformation.
La
souffrance vient vraiment de la résistance, de l'attachement parce qu’alors on bloque l’énergie
de vie en soi, on l’empêche de circuler librement et les dégâts sont
considérables.
Sur
le moment, cela amplifie la peur, l'idée de la peur, ça nourrit les croyances basées sur la
sensation d’impuissance, d’injustice, de dualité conflictuelle, cela affecte
notre mental, notre corps émotionnel parce qu’on y ajoute des jugements, de la
culpabilité.
Et sur le long terme, ça engendre des douleurs, des maladies
physiques, mentales et émotionnelles, des dépressions et la dépendance aux
énergies extérieures.
On s’accoutume à la souffrance, aux émotions parce
qu’elles nous donnent la sensation d’exister et les substances générées par la
peur créent une addiction.
On
mesure la puissance de la pensée, des émotions, de la focalisation, de
l’intention et son impact sur notre état d’être, sur tous nos corps lorsqu’on
observe objectivement ce que nous sommes et comment l’énergie modifie notre
état intérieur.
Comment le seul fait de bloquer l’émotion nous maintient dans
le chaos intérieur, la souffrance, les vibrations de conflit, de violence, de
contrariété, la sensation d’impuissance et de manque. On se créé notre propre
enfer simplement en vibrant sur les fréquences de la résistance, du conflit, de
la division et de l’exclusion.
Pourtant
on sait que l’amour est la valeur la plus chère mais on l’associe encore au
faire alors que c’est un état d’être, de conscience.
Quand on dit qu’il suffit
de s’autoriser à aimer pour être heureux, on ne mesure pas l’impact et la
puissance de cette affirmation.
On confine le verbe aimer à la relation entre
deux êtres, à la passion et à la sexualité, mais ça commence et ça se vit en soi, entre tout ce que nous sommes.
Accepter de ressentir l’émotion qui se présente, c’est un acte de foi, d’amour
et de conscience.
Notre
pouvoir réside dans le choix de nos pensées et il se concrétise par
l’expression libre des émotions.
Leur libre expression dissociée des pensées
qui les accompagnent habituellement, défait les schémas inconscients, les
croyances et conditionnements, de façon concrète.
Le circuit neuronal primaire
n’est plus enclenché, les réflexes conditionnés sont brisés, le néocortex
s’active et prend le relais en cohérence avec le cerveau du cœur.
Cela restaure
l’ordre, l’harmonie, la pureté de la vibration, de l’énergie de vie qui n’est
plus déviée, confinée, perdue. On est alors en circuit fermé dans le sens d'imperméable aux énergies du chaos, de la conscience et l'inconscient collectifs, autonome dans
cette reliance interne, cette cohérence rythmée par les pulsations cardiaques.
La notion de danger, de protection disparait aussi parce qu'on constate que tout est question de vibration, de ce choix intérieur.
J’ai
senti de la chaleur au niveau du cœur sacré, du centre, entre les deux seins
hier, comme s’il battait, comme si le battement était au centre, lors de la
séance avec Magali.
Ce qu’elle affirme est très courageux parce que cela va à
l’encontre des croyances et conditionnements mais ça résonne en moi comme une
évidence.
Je
ressens à nouveau à l'instant, cette vibration, cette onde d’amour à l’intérieur au niveau
du cœur sacré et sa puissance m’amène à accueillir la peur de la mort, de la
dissolution.
Maintenant,
c’est l’énergie de vie au niveau du ventre qui se manifeste de façon
délicieuse.
C’est marrant de sentir la différence entre les deux, entre la
vibration, l’onde et l’énergie. La vibration qui se diffuse depuis un point central,
depuis le cœur de l’être, comme me cercle qui se forme dans l’eau lorsqu’on
jette une pierre et l’énergie de vie qui se manifeste comme un mouvement ascendant ou
pas, c’est à voir ou plutôt à ressentir en détail...en tous cas, c'est puissant, proche de l'extase, comme un grand vide rempli de désir...
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02 C’est vraiment génial de ne plus fuir devant les réactions physiques,
émotionnelles, de juste ressentir ! Être totalement ouverte à ce qui est, porter un regard vierge, innocent.
Comme
la météo prévoit de la pluie jusqu’à jeudi, je ne peux pas aller au jardin et
au lieu de m’en plaindre, je vais organiser mes journées en m’y adaptant.
De
toute façon, comme j’agis selon l’élan du désir, je n’ai qu’à me laisser
guider.
En ce moment, je suis en lien avec l’ado intérieure et ses énergies
printanières m’ouvrent l’horizon des possibles.
C’est magnifique de pouvoir recommencer sa
vie en ayant conscience de qui je suis, de ce que je veux sentir, être, et de
pouvoir nourrir la joie, cultiver la paix, l’amour de l’intérieur, sans rien
attendre des autres.
Ne plus compter sur les autres pour notre bien-être
intérieur mais se confier entièrement à la source, s’abandonner à la grâce. C’est
le fait d’espérer que les autres comblent nos besoins, de croire que leur
comportement détermine notre état d’être qui nous rend malheureux et dépendant.
L’interdépendance toxique et douloureuse dans les jeux de rôle peut être lâchée
en revenant à la certitude que notre état d’être dépend de nos propres choix.
La question à se poser, c’est toujours comment je veux me sentir en telle ou
telle situation ? On a tendance à plutôt se demander qu’est-ce que je peux
ou veux faire et c’est là qu’on se plante. Parce que l’action posée depuis un
mal-être interne n’est jamais la bonne dans le sens où elle répond à une
stratégie, elle est l’expression d’un rôle, elle est stimulée par le manque, le
besoin.
Par
rapport au mécano, j’avais le choix de nourrir la colère, l’amertume, de rester
focalisée sur le rôle de victime et les scenarii de ce type ou bien de décider
de prendre en charge mon bien-être intérieur en choisissant la paix.
Cela
impliquait de lâcher cette histoire et de faire ce qui me procure cette paix et
cette joie intérieures dans l'immédiat.
On se sent impuissant tant qu’on ne réalise pas que
nous avons toujours le choix.
Lâcher prise peut sembler être une forme de
résignation, de fuite, de lâcheté mais en fait, ça demande du courage et de la
foi d’agir à contre courant. Et je ne parle pas d'agir contre les autres mais de ne plus être en mode automatique, inconscient, de choisir en conscience de ne plus jouer les jeux de rôles. Enfin de choisir la paix et ainsi de désactiver l'enchainement des réactions auxquelles on s'identifie.
Je sens qu’il me faut juste revenir à ce pouvoir
de choisir, en faire un réflexe conditionné pour être délivrée de toute
dépendance parce que l’addiction n’est que le reflet de ce mode de
fonctionnement intérieur qui consiste à rendre les autres responsables de notre
bien-être ou de notre mal-être.
Choisir
la paix, c’est se donner le droit d’être libre et heureux, c’est amener sa
vibration au point zéro, là où une nouvelle vie se dessine. J’ai repensé à
cette impression que le mécano me draguait mais en fait, il jouait juste le
rôle du sauveur qui attend la reconnaissance extérieure pour se sentir
valorisé.
Le
fait de choisir la paix puis d’agir selon l’élan porté par la joie, c’est
vraiment manifester l’amour en soi et par effet résonance, il revient
multiplié, amplifié, donnant la sensation qu’en étant vrai, soi-même, on est
toujours légitime.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr