mercredi 22 février 2017

« Être déterminé dans le choix de notre nourriture vibratoire » & clefs de sagesse







21 02 Il semble qu’il y ait encore une élévation du taux vibratoire ou des vents solaires qui viennent sonder les profondeurs et mettre en avant ce qui demeure conflictuel, caché ou qui continue de créer de la souffrance. Ou tout simplement qui montre le système réactionnaire à l’œuvre, l'ancienne façon d'être et de percevoir les choses.

Je suis déjà satisfaite de pouvoir garder les pensées dans les bonnes fréquences mais je sens qu’il est temps d’être plus énergique dans les choix, de poser des actes concrets. Même si ce qui m’est demandé en ce moment, c’est surtout la patience, l’énergie du printemps pousse à l’action. Alors au lieu de me reprocher d’être encore trop dépendante du mental ou de constater qu’il est encore trop envahissant, je change mon angle de vision.

C’est toujours l’identification aux pensées émotions qui donne cette sensation d’impuissance, d’être manipulée de l’intérieur. Il reste encore beaucoup de croyances invalidantes à lâcher et bien que je ne m’attache plus aux émotions, je me laisse encore trop embarquer par le discours intérieur. 

C’est le moment de s’imposer face au mental, de dire stop et d’agir. 
Malgré ma foi, la connaissance des lois universelles, j’ai encore parfois tendance à me sentir dépassée par les émotions, et à me laisser un peu trop dirigée par les pensées. 
C'est une phase nécessaire qui demande d'être dans l'observation mais ça se passe en trois temps: voir ou reconnaitre, accepter et choisir les pensées qu'on veut nourrir ou croire. On a tendance à rester bloquer à l'un de ces stades.


Pas facile d’être attentif à ses pensées et à la fois de ne pas bloquer l’émotion sans s’y attacher mais comme tout ce qui est nouveau, tout apprentissage, ça demande de la patience et de la persévérance. 
Et de la fermeté dans le choix des pensées qu’on veut nourrir car même si je suis convaincue de la puissance des pensées positives, ce qui émerge est incontrôlable, je ne peux pas choisir ce qui vient. 

Je peux choisir de donner de l’énergie à certaines pensées plutôt qu’à d’autres. 
J’en fais l’expérience tous les jours, et je constate que peu à peu des pensées plus sereines émergent spontanément. 
Je suis toujours en réaction face à mon addiction qui maintient les vieux systèmes de pensée en place et qui me prive de ressentir la présence constante de l’âme. 

C’est cela qui m’oblige à être attentive à mes pensées qui sont polarisées lorsque les médicaments font effet. Quand leur effet s’estompe, mes pensées sont beaucoup plus calmes, détachées et c’est plus facile de les faire taire ou de ne pas s’y attacher. 

Alors je demande à mon âme de m’aider à lâcher les critiques à ce sujet, à lui confier tout ce qui émerge de cette situation. Quelques fois j’entends que j’ai encore besoin de trouver la stabilité émotionnelle, de mieux maitriser les pensées et ainsi d’être plus équilibrée dans ma relation aux autres, à moi-même. Et finalement, je me dis que le fait de prendre ces médicaments et leur effet m'oblige justement à être focalisée à l'intérieur, attentive. 
C'est comme si ça me permettait de muscler le mental, de l'habituer à effectuer cette révolution interne. 
Et bien évidemment la blessure d'injustice guérit par l'acceptation de ses faiblesses ou de ce que l'on juge comme tel puisqu'une des stratégies de l'ego pour masquer cette blessure ou pour ne pas en souffrir, c'est de viser toujours la perfection. De cette façon, en cherchant à être parfait, on espère obtenir la reconnaissance extérieure dont on dépend fortement tout en le niant. 
La patience envers soi est donc nécessaire. Puis dans la confidence envers l'âme, dans la sensation de sa présence on se désidentifie du masque, on le reconnait comme tel et il n'y a donc plus de raison de s'en vouloir, d'en vouloir à ce qui est en fait un système de protection. Une forme d'amour de soi. 

J’ai piochée quelques clefs de sagesse à l’instant sur le site de Monique Mathieu, au moment où le lecteur de musique jouait un air de Francis Lalane, « on se retrouvera ». Une chanson qui parle de la mort, de l'au-delà...
Là, j'ai le choix soit de nourrir la souffrance causée par le décès prématuré de mon frère et la culpabilité que la situation a engendrée, soit de me souvenir que l'histoire a été réglée par le biais des rêves lucides et donc qu'il n'y a pas à y revenir. 
Puis surtout de me rappeler que tout ce que je vis n'est là que pour m'aider à manifester l'amour, à accepter ce qui est puis à constater que ce positionnement révèle l'amour que je suis. 



Clef 362
Nous vous demandons de faire un petit retour en arrière sur vous-mêmes, sur votre vie, de descendre les marches de votre existence et d’aller voir dans quelques pièces de votre vie si tout a été bien nettoyé, s’il ne reste pas un peu de souffrances à éclairer, à nettoyer, à éradiquer. Il est extrêmement important de vous alléger complètement de tout ce qui n’est plus nécessaire et aussi de ne plus en rajouter, de ne plus donner naissance à certaines énergies, à certaines fréquences vibratoires !

Oui c'est tout un art qui se cultive à chaque instant et pour m’y aider j’utilise les attributs du mental, la capacité de le calmer par des mots clefs, des mots ou des expressions qui le ramènent au centre, dans le non jugement. 
La plupart des mots sont connotés, on y a associé des définitions et ce sont autant d’énergies qui viennent s’y ajouter et les enfermer dans les vieilles croyances, les vieux systèmes de pensée. 
"Harmonie" remplace "amour" parce que ce mot est chargé d’énergie de conflit, de souffrance et on l’associe trop souvent au bien alors que la source pourrait se définir comme la vibration de paix, d’unité, d’harmonie et d’expansion. Et c’est le mouvement d’expansion qui fait naitre la joie, qui nourrit l’amour, l’énergie de fusion, d’association, de désir, de création. Une forme d'autonomie énergétique, affective, qui nait de la fusion avec son âme/soi, avec tous les aspect de l'être.
On peut aimer à en mourir comme dit la chanson et dès lors il s'agit plutôt de sacrifice, de déni de soi, d'attente d'un sauveur extérieur...aimer relève plus souvent de la stratégie qui vise à combler nos besoins par les autres que du don pur. L'amour, cette essence originelle qui rayonne sur tous nos corps comble nos besoins et se déploie vers l'extérieur naturellement et sans attente lorsque le canal central est nettoyé.

Clef 773
Vous pouvez rencontrer la dualité chaque jour et à chaque tournant de votre vie. Comment allez-vous affronter ou dépasser la dualité ? 
Il n’y a qu’une seule et unique façon de pouvoir réellement travailler l’harmonie et l’Amour, c’est l’humilité ! 
Il faut avoir suffisamment d’humilité pour vous rendre compte de vos erreurs. 
Êtes-vous seulement conscient que vous êtes parfois dans l’erreur et que, par vos attitudes, vous pouvez blesser l’autre ? Êtes-vous conscient qu’en définitive cela ne sert à rien ?

C’est sûr qu’on fonctionne encore dans les schémas de valorisation de l’ego, à se comparer, à se situer au-dessus de la masse et peut-être encore plus quand on se dit éveillé. 
Ce thème est revenu ces derniers jours parce que c’est encore lié aux définitions erronées de l’amour et la façon de l’exprimer. On parle d’authenticité mais souvent on oublie que notre vérité n’est pas celle des autres, que notre vision est singulière, subjective, on croit qu’être authentique, ça veut dire qu’on a raison ou que ce que l’on dit est vrai. 

C’est vrai pour nous même et l’authenticité c’est d’être capable de dire ce qu’on ressent vis-à-vis d’une personne sans la charger, sans l’accuser
Pas évident d’intégrer l’idée que tout ce qu’on ressent nous appartient et que c’est perçu selon nos filtres, nos croyances. Parce que ça nous ramène souvent à la culpabilité et on a tendance à perdre en spontanéité. 
C’est cela qui est difficile pour moi, d’être capable de se taire, de se poser avant de dire quelque chose. Pourtant c’est simple, il suffit d’écouter vraiment l’autre et de ressentir pendant qu’il parle, de rester attentif à maintenir la paix en soi, le silence mental afin de parler le langage du cœur. 
Maintenir la paix sans bloquer le ressenti, l’émotion mais juste la laisser s’exprimer et se taire. Puis parler seulement lorsque le calme est ressenti, lorsque le mental a vidé les pensées discordantes dans l’amour lumière de la source. 
Et d'ailleurs je peux constater comment le fait de parler à tort et à travers dépense beaucoup d'énergie. Parler ou penser sans arrêt ça revient au même puisque la pensée est aussi de l'énergie et lorsqu'elle est projetée en direction de quelqu'un, c'est une perte d'énergie. Elle sera retournée selon la même fréquence mais lorsqu'elle est adressée à la source intérieure, elle fructifie, amplifie l'amour en soi, par la confidence et l'intimité, la proximité ou la sensation de cette présence. 




Une image qui me vient souvent c’est celle du bateau dans lequel on est tous embarqués. Je ne me dis plus comme avant, qu’on est tous dans la même galère comme si c'était une fatalité mais je suis consciente de la difficulté à ne pas s’identifier aux pensées émotions de la dualité, du jugement, du conflit, à ne pas s'identifier aux rôles et aux stratégies qui visent à se couper des blessures. Et en vivant ce processus d'acceptation de soi, la compassion émerge, on sait distinguer ce qui est de l'ordre de la défense, de la stratégie, ce qui est un réflexe conditionné et on ne peut donc pas en vouloir à l'autre de n'être qu'un humain tout comme nous. 
Nous portons tous des blessures et nous réagissons tous selon des stratégies inconscientes de survie. En être conscient intellectuellement a tendance à nous positionner au-dessus des autres parce qu'on se croit plus intelligent, plus éveillé mais quand on vit le processus de guérison jusque dans la chair, cela rétablit l'équilibre intérieur et nécessairement avec les autres aussi. 
L'humilité dont il est question ici, c'est la faculté de voir avec les yeux de l'âme, de ne plus être enfermé dans notre vision égotique, limitée, à cause des souffrances internes. L'humilité face à notre ignorance, nos limites et en même temps la reconnaissance que seuls notre âme et notre soi peuvent sublimer, transcender ses limites par l'acceptation, l'abandon de toutes formes de jugement.

Clef 162
Nous aimerions que maintenant vous vous ouvriez davantage à vous-mêmes, que vous commenciez à être des êtres responsables et conscients des pouvoirs fabuleux qui sont en eux ! Nous aimerions que maintenant vous quittiez certains vêtements qui ne correspondent plus à ce que vous êtes ! Nous aimerions que maintenant vous changiez votre fréquence vibratoire !

Les pouvoirs fabuleux, ce sont ceux de la maitrise volontaire des pensées et la dissociation des pensées et des émotions, le fait de ne plus coller d’étiquettes aux émotions qu’on laisse s’exprimer librement. Elles sont la substance amplificatrice des pensées qu’on leur a associées de façon inconsciente, dans l’ignorance de notre nature véritable et selon les croyances basées sur l’idée de séparation. 

Les vêtements à quitter sont ceux des personnages, des rôles, de tout ce qui émane de l’inconscient individuel et collectif et de la conscience de masse. 
Tous les masques, toutes les stratégies de survie qui contrôlent notre comportement et nos modes de pensée.
C’est tout cela qui permet d’élever la fréquence vibratoire et les conséquences sont immenses. On se libère des masques, de l’inconscience, des modes de pensée primaires, réactionnaires, on se détache des égrégores de la dualité ou de l’excès, de la lutte et du jugement. 
On devient libre, autonome et heureux, conscient et donc capable de faire des choix qui répondent à nos besoins essentiels. 

Oui je rabâche ça à longueur de temps mais comme ça s’oppose à ce qui a été vécu, nourrit pendant des siècles et aux croyances actuelles de la majorité des gens, c’est bien la moindre des choses à faire pour aider le mental à intégrer ces infos afin quelles deviennent une réalité.  Une réalité qui sera validée par l'application de ces infos.

Toutes ces connaissances qui sont une certitude pour le cœur, l’âme mais qui pour le mental sont révolutionnaires. Selon son conditionnement il se dit que c’est trop beau pour être vrai, il a du mal à croire qu’on puisse créer sa vibration, son état d’être, selon le choix des pensées qu’on nourrit. 
C’est aussi difficile à admettre parce que ça implique qu’on soit aussi créateur de nos souffrances. On ne l'est évidemment pas de façon consciente mais selon les mécanismes internes de survie, c'est une réalité avérée.
Les choses sont plus complexes que ça mais le principe est réel, selon les pensées qu’on porte, celles qu’on croit ou qu’on ressasse, notre corps secrète certaines hormones, les fréquences des pensées associées aux émotions, au bagage génétique, forment une certaine vibration et tout cela définit notre état d’être général qui va attirer les mêmes vibrations, objets, sujets, situations. 

Quand je dis que les choses sont plus complexes, c’est simplement parce qu’une part de la pensée est inconsciente, ingérable et les émotions ne peuvent pas être falsifiées. Notre pouvoir se situe dans notre focalisation, notre intention et notre détermination à aimer sans conditions tout ce que nous sommes. 




Clef 937
Vous avez la possibilité de stopper le vieillissement là où vous êtes actuellement. Lorsque vous faites un réel travail spirituel avec Amour, lorsque votre conscience s’éveille à vos possibilités immenses, il y a automatiquement régénération des cellules et un vieillissement moindre.

C’est une chose qui me semble tout à fait logique et d’ailleurs un rappel de la sécu à effectuer une mammographie m’oblige à me positionner à ce sujet. Je n’en ai jamais fait et comme ils demandent une justification en cas de refus, je bloque. Je ne réponds pas encore mais j’ai confié à mon âme le soin de m’éclairer, de me guider. 
D’un côté, le fait qu’ils me demandent de me justifier soulève des peurs, celle de ne plus avoir de couverture et de tomber malade, d’avoir besoin d’être opérée et de ne pas pouvoir payer au cas où mon choix de ne pas faire d’examens remette en question mes droits à la CMU. Comme il y a le risque qu’ils demandent des comptes à ma mère et lui enlèvent le peu qu’elle a, ça m’empêche de les envoyer balader. 
Ce qui n’est pas plus mal parce que cette situation demande réflexion et ça n’est jamais dans l’emportement sous le coup de la peur ou de la colère qu’on trouve les meilleures solutions. D’autant plus que l’employé qui traite le dossier ne fait qu’exécuter des ordres. 

Ce n’est pas parce que je soupçonne le système d’être corrompu que les employés le soient. Et ça n'est pas non plus parce que ma vision de la maladie est différente de celle de la médecine générale, que ceux qui sont en haut de ce système agissent volontairement par méchanceté ou qu'ils aient de mauvaises intentions. Je peux voir comment l'ignorance de sa nature véritable fait agir de façon inconsciente et la majorité des gens sont convaincus de bien faire.

Comme tout ce qui arrive est perçu par le filtre de mes croyances, il est bon de lâcher prise. Déjà, la peur étant absorbée dans l’amour lumière, la paranoïa se dissipe et j’y vois peut-être l’occasion de vraiment prendre ma santé en main. 
Je ne veux pas faire d’examen parce que je suis convaincue qu’en écoutant mon corps en apprenant à maintenir la paix et l’harmonie à l’intérieur, la santé en découle naturellement. 

Puis les méthodes de soins en cas de cancer ne me semblent pas du tout viables. 
Je ne suis pas autant attachée à ce corps pour subir des examens et traitements si lourds et qui en plus ne sont pas toujours efficaces. 
Le fait d’avoir guéri spontanément des deux hépatites a totalement changé ma vision de la maladie et de la guérison il y a déjà 20 ans et depuis, je vois bien comment mon corps passe par des ajustements qui dans l’ensemble me donnent la sensation d’aller mieux. 
Je suis convaincue de la force de la pensée, de l’énergie mais pour le moment, il y a tant de symptômes dus aux changements de fréquence qu’il est difficile d’être dans la certitude.




Clef 206
Avoir peur de la maladie, c’est déjà la créer, lui donner une certaine existence. Renier la maladie, c’est lui fermer les portes !
Si elle s’est installée furtivement à votre insu,  reniez-la à chaque seconde. Dès qu’elle se manifeste, dites-lui : « tu n’existes pas, je suis en parfaite santé, je t’aime mais tu n’as plus rien à faire en moi ».
Envoyez de l’Amour sur ce qui n’est pas parfait dans votre corps. Ayez  totalement confiance en votre Être Divin qui peut accomplir des miracles, car le moindre doute freine votre guérison.

Ces propos peuvent sembler contradictoires puisqu'on nie quelque chose tout en disant qu'on l'aime mais c’est toujours une question d’identification, de focalisation et de foi. 
Si on regarde les choses avec du recul, on se dit qu’on est appelé un jour ou l’autre a passer le voile et le but n’est pas de durer mais de faire du voyage un parcours enrichissant et agréable. 
On en revient au sens, au but de la vie. Si on considère que nous sommes la vie éternelle incarnée dans un corps, de ce point de vue, la mort n’est qu’un changement de forme. 
La vie éternelle qui se goûte et peut se manifester à travers tous les corps unifiés selon la vibration de la source mais si je suis la vie éternelle et si je peux lâcher les formes qui ne sont pas ce que je suis, le corps physique est seulement un vêtement…Puis le symptôme est toujours une invitation à se tourner vers l'intérieur, à contacter l'âme, le corps physique, à créer du lien.
Enfin pour le moment, je suis ici et maintenant et la question c’est qu’est ce que je vibre, qu’est-ce que j’émane, de quoi je me nourris et qu’est-ce que je créé dans la matière ?

Clef 474
Tous ceux qui diffusent très grandement la Lumière en ce moment sont freinés dans ce travail, et s’ils ne sont pas suffisamment stables au niveau de l'émotionnel,  ces énergies peuvent agir très momentanément sur eux, car ils ont une immense protection.
Plus ils travailleront pour la Lumière, plus leur protection sera importante.
Savoir qu’on est protégé dans ce passage de l’inconscience à l’éveil, de la dualité à l’unité me semble logique parce que c’est clair que la quantité de formes pensées qui gravitent autour de la terre doit être immense et les égrégores des deux côtés de la dualité assez puissants. Mais en restant centré dans le cœur, le désir d’amour, on est hors d’atteinte ou du moins on n’attire plus ces forces invisibles. 
Bon, je vais bêcher au jardin…

J'ai bien fait de confier à la source mes craintes au sujet de la question posée par la sécu parce que la réponse m'est venue en soirée de façon évidente et claire, je n'ai qu'à écrire, "pas d’antécédents familiaux" afin de justifier mon refus de faire cet examen. 
De cette façon, je n'entre pas dans des justifications à rallonge, je ne m'oppose pas à leur système puisque cet argument est audible et valable pour la médecine occidentale. 

Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr