Aujourd'hui est un nouveau jour où je vais pouvoir
choisir, agir et orienter mon attention selon ce que je souhaite ressentir,
vibrer, et bien que mon décor ne change pas, bien que le soleil se lève et se
couche invariablement, j’ai le privilège de pouvoir choisir la qualité de mon
expérience et d’exister ici et maintenant.
Il y a un côté répétitif dans ce déroulement du
temps par cycle jour/nuit, saisons, mais en apprenant à être ancré, conscient
et présent à chaque instant, la notion d’espace et de temps se dissout ou au
moins, elle n’est plus la même.
On peut vivre sa vie en automate, agir par impulsion
sans se poser de questions et tuer le temps en répétant les mêmes gestes, les
mêmes schémas de pensée, en restant enfermé dans ses fermes convictions, celles
que la société à décrété comme vraies, justes, et auxquelles on a adhéré par
conformisme, par peur, par ignorance de notre vraie nature ou par la fermeture
de notre cœur qui nous rend imperméable aux sensations, sourd à la voix de l’âme
et aux cris de notre cœur.
Très souvent, on a peur de ressentir nos émotions, d’écouter
notre cœur, de le suivre, on craint d’être différent, de ne pas être accepté,
aimé, alors on fait des concessions, dès l’enfance, on adhère aux croyances
communes pour se sentir intégré. Ce que vivent les étrangers ou les réfugiés,
nous montre combien le besoin d’appartenance, de reconnaissance est puissant
chez l’humain et comment la blessure de rejet peut faire souffrir. C'est aussi le reflet de nos divisions internes dues à l'ignorance de ce que nous sommes en vérité et en totalité, enfin dans un spectre plus large que celui des apparences, de la personnalité.
On est prêt à renier nos sentiments, notre vision et
notre singularité pour être reconnu et aimé. Et quand on sait de quoi nous
sommes faits, malgré que nous sachions que nous sommes l’amour et la lumière en
essence, on continue de rechercher l’approbation extérieure, la reconnaissance.
Et c’est bien naturel puisque nous sommes humains et
l’humain a des besoins essentiels qui sont universels. Le besoin d’amour, de
reconnaissance, d’appartenance, de contribuer, d’échanger, de participer et
donc d’être intégré, sont autant de moteur d’action et d’élévation mais comme
on reste soumis à nos croyances en l’idée de séparation, comme on continue de
s’identifier à notre mental et de voir la dualité comme une réalité, une
fatalité, on souffre de déséquilibre, d’instabilité émotionnelle, mentale, et
du conflit permanent entre les différents aspects de l’être.
On connait tous la
relativité du temps, la façon dont on le perçoit selon qu’on se sent bien ou
pas, comment il s’écoule rapidement lorsqu’on vit quelque chose d’épanouissant
et comment il s’éternise dans les moments d’ennui.
Puis il y a une sensation d’éternité
qu’on peut sentir lorsqu’on se situe dans la paix, la neutralité, lorsqu’on
choisit d’offrir à la source tout ce qui nous préoccupe, et ainsi de se libérer
des drames, de l’illusion de ceux-ci. Alors, le temps n'a plus d'emprise sur soi puisqu'on ne s'attache à rien.
J’ai eu envie de relire ce texte de Magali et suis
tombée sur cette vidéo qui contient pas mal d’infos intéressantes. Comme d’habitude,
je ne gobe pas tout aveuglément, je me fie à la résonance interne, à ce qui me
parle, ce qui entre dans ma vision et ma compréhension du moment. Je laisse de
côté tout ce qui concerne les extra-terrestres, ce qui se passe dans l’univers…
Je n'ai même pas regardé la vidéo malgré que je me sois sentie poussée à la publier ici. Je l'ai déjà écoutée et comme je préfère entendre la voix de l'âme même si ça demande de la patience, je la remets ici pour honorer l'élan motivé par l'enthousiasme. Certainement que certains d'entre vous ont 'besoin' de l'entendre...
Comme je ressens un ajustement de fréquences plutôt au niveau des corps reliés aux chakras du haut, en ce moment, ce message reçu par Magali m'a attirée à nouveau.
C'est clair que la compréhension mentale de ce qui me guide, le motive dans l'instant, viendra après mais je sens que celle-ci est dirigée vers l'énergie, sa nature et son mode de fonctionnement.
« Les 3 premières dimensions de notre univers » Miriadan via Magali
La
première dimension repose sur le principe de l'impermanence.
Il
s'agit d'une dimension de frictions et d'interpénétrations perpétuelles au sein
d'une matrice où le temps est indistinct, voire quasi absent et donc
éthéré.
Il
n'y a qu'immédiateté, absence d'avant et d'après.
Là
se trouve un océan de lave en mouvement permanent, dans lequel les éléments
divins se cognent ou fusionnent continuellement.
Ils
sont noyaux vibratoires qui se repoussent après contact ou s'épousent selon
leur résonance.
Il
ne peut y avoir de formes cloisonnées comme nous les connaissons car chaque
élément est sans cesse modifié par ses rencontres quasi immédiates.
Ces
échanges continus participent à la génération des potentialités de vie qui vont
se placer dans les formations électro-magnétiques en gestation.
Tout
est déjà conscience, car toute étincelle de vie issue de la Source est
conscience.
Les
consciences y développent la joie de faire partie d'un tout indistinct,
sentiment qui leur rappelle leur origine primaire. C'est une dimension
d'effusion. Nous sommes dans la mise en place du Plasma (voir le lien).
La deuxième dimension est celle de la
forme distincte.
Elle se place dans un état où le temps
ralentit les mouvements de la 1ère dimension en densifiant les éléments.
Cela s'étire sur des milliards d'années.
Les
géométries sacrées répondent aux formations électro-magnétiques en séparant les
éléments de vie plasmiques. Selon nos sens, tout est immobilité
trompeuse.
Car
s'il nous semble que rien ne bouge, le froid divin continue son action patiente
en profondeur en façonnant des formes dans le minéral transcendé.
La
lave est devenue base concrète, sol fertile duquel les éléments de vie émergent
indépendants, uniques et séparés.
Les
consciences ressentent la paix dans la lenteur, focalisent leur attention sur
un ou plusieurs objectifs et apprennent à s'adapter par leur seule force de
volonté.
La
notion de projection dans le temps (avant-après) est née.
La
troisième dimension déploie la dualité.
Le
temps s'est accéléré en imposant un rythme et les consciences se sont
individualisées. Chaque domaine de vie (minéral, végétal, animal, humain et
éthérique) a déterminé une hiérarchie et s'est partagé les strates parallèles
de la dimension.
Chaque
groupe dimensionnel a placé son attention sur son évolution propre.
Pour
cela, il a fallu plonger dans la Séparation d'avec la Source.
Si
les 2 premières ressentaient leur lien inaliénable avec leur Essence, cette
dimension s'est écartée de l'osmose afin d'ouvrir de nouvelles voies.
En
s'appuyant sur les potentialités existantes, les éléments de vie choisissaient
de faire appel à leur propre créativité et non plus aux grilles limitantes qui
les enfermaient dans des cycles connus.
Pour
cela, l'Oubli fut un outil précieux qui leur permit de faire émerger en leur
sein leur Noyau Divin : être leur propre Dieu, Un.
L'évolution
de la 3ème dimension passe par la reconnexion à la 4ème et la 5ème.
La
4ème dimension rappelle que chacun est divin et souverain de sa vie,
Responsable.
La
Paix s'installe en chacun et la Joie se libère.
La
5ème dimension intègre au sein des géométries sacrées l'osmose, l'accueil de
son Unité au sein de la multiplicité tout en étant multiple dans l'Unité.
L'Être
rayonne dans chaque cellule de la forme incarnée.
Le
Verbe s'est fait Chair.
Le
temps reprend son rôle d'allié et sa liberté dans le mouvement.
Comme
très souvent ce qui résonne en mon cœur, le mental peine à l’exprimer mais je
trouve en ce message, une forte résonance et celui-ci me
ramène à l’évidence :
Cette vie est
celle de l’initiation à la maitrise des énergies.
Cela passe par la
reconnaissance de soi, de l’être véritable, la transparence et la conscience
neutre. Cela se vit dans l’instant, à chaque fois qu’on est amené à choisir
comment on va se positionner. Les profondeurs de l'être, ces mondes subatomiques, ces énergies en mouvement, ces objets qui s'attirent et se repoussent, ces dimensions de l'être ressemblent fortement à l'univers et je comprends mieux l'intérêt d'affiner les perceptions, de se positionner au centre et de prêter attention aux sensations...C'est le monde de la 4ème dimension et le désir de paix, d'unité nous fait pénétrer ou révèle la 5ème dimension...
19
01 Comme j’ai senti encore des remous intérieurs qui m’ont amené à manifester
de la colère envers l’âme. Je lui ai dit ma lassitude de devoir encore sentir
ces vibrations basses sans raisons apparentes bien que l’idée que l’ajustement
de fréquences demande du temps et que ça semble normal de ne pas se sentir
toujours à l’aise.
Puis je me suis souvenue que tout ce que je sens, ne vient
pas de l’extérieur, que je ne suis pas le jouet des forces de ce monde duel. Donc
qu’il est inutile d’accuser qui que ce soit et que la seule chose à faire, c’est
de communier, communiquer avec l’âme, fusionner avec la paix, la lumière…
Bref
une fois tout extériorisé sans retenue, le calme étant revenu, ma vision s’est
un peu éclairée et l’idée que tout cela soit une initiation afin de connaitre
les énergies, leur maitrise et de pouvoir rayonner l’amour, est venue à nouveau
comme une évidence.
Il ne s'agit pas ici de savoir ce qui est bien ou mal mais d'apprendre à sentir et à choisir ce qu'on veut vibrer. Devenir responsable de ce qu'on émet en cessant d'accuser l'extérieur et de se mêler de la vie des autres. Nous sommes uniquement responsable de ce que nous émanons et c'est cela que la vie nous invite à réaliser.
J’ai
la sensation que les années passées ont permis de savoir comment nous étions
faits, constitués, de retrouver la connexion avec la source. Même si la connaissance des corps éthériques, et ceux qui
sont reliés au chakra du haut est encore assez floue j'ai la sensation que maintenant on est dans
la phase d’apprentissage qui consiste à envisager les choses en termes d’énergies au-delà de la notion
de bien et de mal.
L’idée
que les blessures et leur guérison soit ce processus initiatique me semble
logique puisque c’est aussi ce qui libère des conditionnements, ce qui nous
affranchit et nous rend autonome affectivement, énergétiquement.
Du point de vue de l'âme, les épreuves ou nommées comme telles n'ont pas d'autre objectif que de nous amener à la reconnaissance de l'être véritable et à la maitrise des énergies.
Ainsi la raison d'être des blessures et de leur guérison, c'est de nous amener à la reconnaissance de notre essence et à la maitrise de celle-ci.
Maitriser ne veut pas dire contrôler au contraire, c'est lâcher le vieux mode de fonctionnement et entrer dans le monde de l'âme/être, celui de la paix, de la confiance et lui confier la gestion de nos mondes. Reconnaitre qu'elle est la seule a pouvoir les gérer de façon à nous rendre libre, autonome et capable de créer notre vie selon cette vibration d'unité, de paix et d'harmonie.
Le souci si on
peut dire avec l’énergie, c’est qu’elle n’a pas de limites ni dans le temps ni
dans l’espace alors évidemment, c’est difficile de pouvoir la cerner ou
comprendre ce qu’elle est.
Et c’est là où les émotions interviennent parce
qu’elles sont des énergies densifiées qu’on peut ressentir aisément. C’est le
monde des sensations, des sentiments, qui relie le corps mental et le corps
physique par notre cœur ou par la vibration et aussi le lien avec les corps
subtils.
Je
n’ai pas envie de les dissocier et je les considère comme des aspects de la
mémoire de l’âme qui sont localisés dans la psyché, l’inconscient, le
subconscient, les gènes, les corps subtils et dans l’espace puisque l’énergie est libre, en mouvement constant.
Le
fait de se centrer dans le cœur et de choisir de rayonner l’amour malgré la
dualité ou disons plutôt dans ce contexte qui nous permet de nous positionner,
rassemble nos énergies ou les unifie, les harmonise.
Elles
sont le pont entre notre personnalité et notre âme, nos aspects
multidimensionnels et les émanations de l’âme, les mondes subtils, on est plus
proche de ces mondes par les émotions que par la pensée puisqu’on peut les
sentir et presque les palper.
On peut les percevoir chez les autres aussi comme
elles n’ont pas de limitations et comme elles s’attirent par résonance.
Apprendre
à se positionner dans le cœur permet aussi de focaliser ou de concentrer nos
énergies dans l’unité et donc de n’attirer que ce genre de fréquence, d’être
imperméable aux vibrations duelles, aux vibrations de ce monde, aux fréquences
de la prédation, de la domination, du conflit…
C’est
une évidence depuis longtemps mais aujourd’hui, je me dis que c’est vraiment ce
que je suis venu apprendre sur terre. Au-delà des connaissances des mondes, des
univers, des étoiles…connaitre les mondes intérieurs nous relie automatiquement
aux autres sphères, mondes et cette connaissance intime est déjà conséquente.
Dans
cette optique, considérer la peur, la violence, les émotions de cette dimension
duelle, comme des portes intérieures et vers l’extérieur, vers les mondes
unifiés, vers l'âme, la source, change l’approche et la vision.
Puis
avec un peu de recul, je me dis que la masse de colère que j’ai offerte à la
source m’aurait complètement déstabilisée il y a quelques temps alors
qu’aujourd’hui, ça ne m’a pas empêché d’agir.
J’ai seulement dû me centrer et réitérer mes choix, après
avoir exprimé tout ce que j’avais sur le cœur, les pensées de l’enfant, mais
aussi celles de l’adulte qui adapte sa vie à la vision multidimensionnelle et vibratoire
de l’humain.
Vision qui est
loin d’être la norme et comme c’est quelque chose qu’on ne peut valider qu’en
soi, dans la relation à son âme, il est inutile d’essayer de comprendre en
lisant des messages canalisés.
D’ailleurs, quand je le fais maintenant, c’est
le signe que je reçois de nouvelles fréquences ou codes et que le mental ne
sait pas encore les interpréter.
Le mental est en hyperactivité, il tente de
comprendre quelque chose qui n’est pas encore inscrit dans sa mémoire et qu’il
ne peut gérer sans l’intuition, l’inspiration et donc dans l’état de réceptivité, le
silence.
Mais
pour lui, le silence, c’est comme une forme de reddition, d’abandon, de
démission, il perçoit les nouvelles fréquences et il essaie de les décoder en
vain et comme il n’y arrive pas ça donne un sentiment d’échec.
C’est normal
aussi puisqu’on lui a toujours demandé
de gérer notre vie. Et il n’est pas non plus question de l’exclure, de faire
sans lui puisqu’il fait partie du jeu.
J’ai
essayé de me distraire en regardant des spectacles d’humour mais je n’ai pas ri
une seule fois ! J’ai eu au contraire la sensation d’être totalement
décalée, étrangère à ce monde. Même les conférences ou des interviews de
personnes qui abordent le thème de la spiritualité ne m’attirent plus.
Dans ces
moments, la seule chose à faire c’est de laisser les émotions s’exprimer et de
réitérer ses choix de paix, d’unité et d’harmonie.
J’ai
eu la sensation que des ajustements se faisaient au niveau subtil, au-delà du
mental et de l’émotionnel et c’est pour cette raison que j’ai commencé à
vouloir comprendre ce que sont les corps astral, causal, éthérique et céleste mais ça
m’a gavé d’autant plus que c’est une vision qui date de si longtemps que ça ne
peut pas me satisfaire ou rentrer dans mes références. Ces corps sont à mon avis des aspects de la mémoire de l'âme, des mémoires plus ou moins proches de la source Une, plus ou moins denses.
Ma vision c'est plutôt celle d'une géométrie en cercle et en mouvement...
L’idée que ces corps
s’emboitent dans le sens où ils sont plus ou moins larges/denses, me semble juste mais
là encore, c’est plus comme une sorte de mandala que des poupées russes. Parce que la mémoire se situe dans différentes strates, dimensions, jusque dans la chair, les gènes.
La
dimension éthérique ou énergétique est encore très floue, difficile à
distinguer pour moi. Et je ne peux pas exprimer ma façon de le voir parce que
c’est comme des formes, des cercles, des mandalas, j’en reviens toujours à la
même chose.
Mais je sens que pour le moment c'est surtout la maitrise des énergies qui importe parce que c'est cela qui élargit la vision et qui permet de savoir, sans avoir besoin de comprendre mentalement. Il est question de se réapproprier son espace énergétique, vibratoire, sa vision intérieure, de s'y ancrer et de laisser venir l'inspiration...
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr