vendredi 20 janvier 2017

« Les blessures et leur guérison : un chemin initiatique de reconnaissance de Soi et de maitrise »




Aujourd'hui est un nouveau jour où je vais pouvoir choisir, agir et orienter mon attention selon ce que je souhaite ressentir, vibrer, et bien que mon décor ne change pas, bien que le soleil se lève et se couche invariablement, j’ai le privilège de pouvoir choisir la qualité de mon expérience et d’exister ici et maintenant.

Il y a un côté répétitif dans ce déroulement du temps par cycle jour/nuit, saisons, mais en apprenant à être ancré, conscient et présent à chaque instant, la notion d’espace et de temps se dissout ou au moins, elle n’est plus la même.

On peut vivre sa vie en automate, agir par impulsion sans se poser de questions et tuer le temps en répétant les mêmes gestes, les mêmes schémas de pensée, en restant enfermé dans ses fermes convictions, celles que la société à décrété comme vraies, justes, et auxquelles on a adhéré par conformisme, par peur, par ignorance de notre vraie nature ou par la fermeture de notre cœur qui nous rend imperméable aux sensations, sourd à la voix de l’âme et aux cris de notre cœur.

Très souvent, on a peur de ressentir nos émotions, d’écouter notre cœur, de le suivre, on craint d’être différent, de ne pas être accepté, aimé, alors on fait des concessions, dès l’enfance, on adhère aux croyances communes pour se sentir intégré. Ce que vivent les étrangers ou les réfugiés, nous montre combien le besoin d’appartenance, de reconnaissance est puissant chez l’humain et comment la blessure de rejet peut faire souffrir. C'est aussi le reflet de nos divisions internes dues à l'ignorance de ce que nous sommes en vérité et en totalité, enfin dans un spectre plus large que celui des apparences, de la personnalité.


On est prêt à renier nos sentiments, notre vision et notre singularité pour être reconnu et aimé. Et quand on sait de quoi nous sommes faits, malgré que nous sachions que nous sommes l’amour et la lumière en essence, on continue de rechercher l’approbation extérieure, la reconnaissance.

Et c’est bien naturel puisque nous sommes humains et l’humain a des besoins essentiels qui sont universels. Le besoin d’amour, de reconnaissance, d’appartenance, de contribuer, d’échanger, de participer et donc d’être intégré, sont autant de moteur d’action et d’élévation mais comme on reste soumis à nos croyances en l’idée de séparation, comme on continue de s’identifier à notre mental et de voir la dualité comme une réalité, une fatalité, on souffre de déséquilibre, d’instabilité émotionnelle, mentale, et du conflit permanent entre les différents aspects de l’être. 

On connait tous la relativité du temps, la façon dont on le perçoit selon qu’on se sent bien ou pas, comment il s’écoule rapidement lorsqu’on vit quelque chose d’épanouissant et comment il s’éternise dans les moments d’ennui. 
Puis il y a une sensation d’éternité qu’on peut sentir lorsqu’on se situe dans la paix, la neutralité, lorsqu’on choisit d’offrir à la source tout ce qui nous préoccupe, et ainsi de se libérer des drames, de l’illusion de ceux-ci. Alors, le temps n'a plus d'emprise sur soi puisqu'on ne s'attache à rien.

J’ai eu envie de relire ce texte de Magali et suis tombée sur cette vidéo qui contient pas mal d’infos intéressantes. Comme d’habitude, je ne gobe pas tout aveuglément, je me fie à la résonance interne, à ce qui me parle, ce qui entre dans ma vision et ma compréhension du moment. Je laisse de côté tout ce qui concerne les extra-terrestres, ce qui se passe dans l’univers…

Serge-Reiver Nazare : "La vibration de l'Univers" : Tistrya




Je n'ai même pas regardé la vidéo malgré que je me sois sentie poussée à la publier ici. Je l'ai déjà écoutée et comme je préfère entendre la voix de l'âme même si ça demande de la patience, je la remets ici pour honorer l'élan motivé par l'enthousiasme. Certainement que certains d'entre vous ont 'besoin' de l'entendre...
Comme je ressens un ajustement de fréquences plutôt au niveau des corps reliés aux chakras du haut, en ce moment, ce message reçu par Magali m'a attirée à nouveau. 
C'est clair que la compréhension mentale de ce qui me guide, le motive dans l'instant, viendra après mais je sens que celle-ci est dirigée vers l'énergie, sa nature et son mode de fonctionnement. 




« Les 3 premières dimensions de notre univers » Miriadan via Magali
La première dimension repose sur le principe de l'impermanence. 
Il s'agit d'une dimension de frictions et d'interpénétrations perpétuelles au sein d'une matrice où le temps est indistinct, voire quasi absent et donc éthéré. 
Il n'y a qu'immédiateté, absence d'avant et d'après. 
Là se trouve un océan de lave en mouvement permanent, dans lequel les éléments divins se cognent ou fusionnent continuellement. 
Ils sont noyaux vibratoires qui se repoussent après contact ou s'épousent selon leur résonance. 
Il ne peut y avoir de formes cloisonnées comme nous les connaissons car chaque élément est sans cesse modifié par ses rencontres quasi immédiates. 
Ces échanges continus participent à la génération des potentialités de vie qui vont se placer dans les formations électro-magnétiques en gestation. 

Tout est déjà conscience, car toute étincelle de vie issue de la Source est conscience. 
Les consciences y développent la joie de faire partie d'un tout indistinct, sentiment qui leur rappelle leur origine primaire. C'est une dimension d'effusion. Nous sommes dans la mise en place du Plasma (voir le lien).
 
La deuxième dimension est celle de la forme distincte. 
Elle se place dans un état où le temps ralentit les mouvements de la 1ère dimension en densifiant les éléments.  Cela s'étire sur des milliards d'années. 


Les géométries sacrées répondent aux formations électro-magnétiques en séparant les éléments de vie plasmiques. Selon nos sens, tout est immobilité trompeuse. 
Car s'il nous semble que rien ne bouge, le froid divin continue son action patiente en profondeur en façonnant des formes dans le minéral transcendé. 

La lave est devenue base concrète, sol fertile duquel les éléments de vie émergent indépendants, uniques et séparés. 
Les consciences ressentent la paix dans la lenteur, focalisent leur attention sur un ou plusieurs objectifs et apprennent à s'adapter par leur seule force de volonté. 
La notion de projection dans le temps (avant-après) est née.
 
La troisième dimension déploie la dualité. 
Le temps s'est accéléré en imposant un rythme et les consciences se sont individualisées. Chaque domaine de vie (minéral, végétal, animal, humain et éthérique) a déterminé une hiérarchie et s'est partagé les strates parallèles de la dimension. 

Chaque groupe dimensionnel a placé son attention sur son évolution propre. 
Pour cela, il a fallu plonger dans la Séparation d'avec la Source. 

Si les 2 premières ressentaient leur lien inaliénable avec leur Essence, cette dimension s'est écartée de l'osmose afin d'ouvrir de nouvelles voies. 
En s'appuyant sur les potentialités existantes, les éléments de vie choisissaient de faire appel à leur propre créativité et non plus aux grilles limitantes qui les enfermaient dans des cycles connus. 
Pour cela, l'Oubli fut un outil précieux qui leur permit de faire émerger en leur sein leur Noyau Divin : être leur propre Dieu, Un.
 
L'évolution de la 3ème dimension passe par la reconnexion à la 4ème et la 5ème. 
La 4ème dimension  rappelle que chacun est divin et souverain de sa vie, Responsable. 

La Paix s'installe en chacun et la Joie se libère. 

La 5ème dimension intègre au sein des géométries sacrées l'osmose, l'accueil de son Unité au sein de la multiplicité tout en étant multiple dans l'Unité. 

L'Être rayonne dans chaque cellule de la forme incarnée. 

Le Verbe s'est fait Chair. 

Le temps reprend son rôle d'allié et sa liberté dans le mouvement.





Comme très souvent ce qui résonne en mon cœur, le mental peine à l’exprimer mais je trouve en ce message, une forte résonance et celui-ci me ramène à l’évidence :  
Cette vie est celle de l’initiation à la maitrise des énergies
Cela passe par la reconnaissance de soi, de l’être véritable, la transparence et la conscience neutre. Cela se vit dans l’instant, à chaque fois qu’on est amené à choisir comment on va se positionner. Les profondeurs de l'être, ces mondes subatomiques, ces énergies en mouvement, ces objets qui s'attirent et se repoussent, ces dimensions de l'être ressemblent fortement à l'univers et je comprends mieux l'intérêt d'affiner les perceptions, de se positionner au centre et de prêter attention aux sensations...C'est le monde de la 4ème dimension et le désir de paix, d'unité nous fait pénétrer ou révèle la 5ème dimension...


19 01 Comme j’ai senti encore des remous intérieurs qui m’ont amené à manifester de la colère envers l’âme. Je lui ai dit ma lassitude de devoir encore sentir ces vibrations basses sans raisons apparentes bien que l’idée que l’ajustement de fréquences demande du temps et que ça semble normal de ne pas se sentir toujours à l’aise. 

Puis je me suis souvenue que tout ce que je sens, ne vient pas de l’extérieur, que je ne suis pas le jouet des forces de ce monde duel. Donc qu’il est inutile d’accuser qui que ce soit et que la seule chose à faire, c’est de communier, communiquer avec l’âme, fusionner avec la paix, la lumière…

Bref une fois tout extériorisé sans retenue, le calme étant revenu, ma vision s’est un peu éclairée et l’idée que tout cela soit une initiation afin de connaitre les énergies, leur maitrise et de pouvoir rayonner l’amour, est venue à nouveau comme une évidence.
Il ne s'agit pas ici de savoir ce qui est bien ou mal mais d'apprendre à sentir et à choisir ce qu'on veut vibrer. Devenir responsable de ce qu'on émet en cessant d'accuser l'extérieur et de se mêler de la vie des autres. Nous sommes uniquement responsable de ce que nous émanons et c'est cela que la vie nous invite à réaliser.

J’ai la sensation que les années passées ont permis de savoir comment nous étions faits, constitués, de retrouver la connexion avec la source. Même si la connaissance des corps éthériques, et ceux qui sont reliés au chakra du haut est encore assez floue j'ai la sensation que maintenant on est dans la phase d’apprentissage qui consiste à envisager les choses en termes d’énergies au-delà de la notion de bien et de mal.

L’idée que les blessures et leur guérison soit ce processus initiatique me semble logique puisque c’est aussi ce qui libère des conditionnements, ce qui nous affranchit et nous rend autonome affectivement, énergétiquement. 
Du point de vue de l'âme, les épreuves ou nommées comme telles n'ont pas d'autre objectif que de nous amener à la reconnaissance de l'être véritable et à la maitrise des énergies.  




Ainsi la raison d'être des blessures et de leur guérison, c'est de nous amener à la reconnaissance de notre essence et à la maitrise de celle-ci. 
Maitriser ne veut pas dire contrôler au contraire, c'est lâcher le vieux mode de fonctionnement et entrer dans le monde de l'âme/être, celui de la paix, de la confiance et lui confier la gestion de nos mondes. Reconnaitre qu'elle est la seule a pouvoir les gérer de façon à nous rendre libre, autonome et capable de créer notre vie selon cette vibration d'unité, de paix et d'harmonie.

Le souci si on peut dire avec l’énergie, c’est qu’elle n’a pas de limites ni dans le temps ni dans l’espace alors évidemment, c’est difficile de pouvoir la cerner ou comprendre ce qu’elle est. 
Et c’est là où les émotions interviennent parce qu’elles sont des énergies densifiées qu’on peut ressentir aisément. C’est le monde des sensations, des sentiments, qui relie le corps mental et le corps physique par notre cœur ou par la vibration et aussi le lien avec les corps subtils.

Je n’ai pas envie de les dissocier et je les considère comme des aspects de la mémoire de l’âme qui sont localisés dans la psyché, l’inconscient, le subconscient, les gènes, les corps subtils et dans l’espace puisque l’énergie est libre, en mouvement constant.

Le fait de se centrer dans le cœur et de choisir de rayonner l’amour malgré la dualité ou disons plutôt dans ce contexte qui nous permet de nous positionner, rassemble nos énergies ou les unifie, les harmonise.

Elles sont le pont entre notre personnalité et notre âme, nos aspects multidimensionnels et les émanations de l’âme, les mondes subtils, on est plus proche de ces mondes par les émotions que par la pensée puisqu’on peut les sentir et presque les palper. 
On peut les percevoir chez les autres aussi comme elles n’ont pas de limitations et comme elles s’attirent par résonance.

Apprendre à se positionner dans le cœur permet aussi de focaliser ou de concentrer nos énergies dans l’unité et donc de n’attirer que ce genre de fréquence, d’être imperméable aux vibrations duelles, aux vibrations de ce monde, aux fréquences de la prédation, de la domination, du conflit…

C’est une évidence depuis longtemps mais aujourd’hui, je me dis que c’est vraiment ce que je suis venu apprendre sur terre. Au-delà des connaissances des mondes, des univers, des étoiles…connaitre les mondes intérieurs nous relie automatiquement aux autres sphères, mondes et cette connaissance intime est déjà conséquente.

Dans cette optique, considérer la peur, la violence, les émotions de cette dimension duelle, comme des portes intérieures et vers l’extérieur, vers les mondes unifiés, vers l'âme, la source, change l’approche et la vision.

Puis avec un peu de recul, je me dis que la masse de colère que j’ai offerte à la source m’aurait complètement déstabilisée il y a quelques temps alors qu’aujourd’hui, ça ne m’a pas empêché d’agir. 
J’ai seulement dû me centrer et réitérer mes choix, après avoir exprimé tout ce que j’avais sur le cœur, les pensées de l’enfant, mais aussi celles de l’adulte qui adapte sa vie à la vision multidimensionnelle et vibratoire de l’humain.

Vision qui est loin d’être la norme et comme c’est quelque chose qu’on ne peut valider qu’en soi, dans la relation à son âme, il est inutile d’essayer de comprendre en lisant des messages canalisés. 
D’ailleurs, quand je le fais maintenant, c’est le signe que je reçois de nouvelles fréquences ou codes et que le mental ne sait pas encore les interpréter. 
Le mental est en hyperactivité, il tente de comprendre quelque chose qui n’est pas encore inscrit dans sa mémoire et qu’il ne peut gérer sans l’intuition, l’inspiration et donc dans l’état de réceptivité, le silence.

Mais pour lui, le silence, c’est comme une forme de reddition, d’abandon, de démission, il perçoit les nouvelles fréquences et il essaie de les décoder en vain et comme il n’y arrive pas ça donne un sentiment d’échec. 
C’est normal aussi  puisqu’on lui a toujours demandé de gérer notre vie. Et il n’est pas non plus question de l’exclure, de faire sans lui puisqu’il fait partie du jeu.

J’ai essayé de me distraire en regardant des spectacles d’humour mais je n’ai pas ri une seule fois ! J’ai eu au contraire la sensation d’être totalement décalée, étrangère à ce monde. Même les conférences ou des interviews de personnes qui abordent le thème de la spiritualité ne m’attirent plus. 




Dans ces moments, la seule chose à faire c’est de laisser les émotions s’exprimer et de réitérer ses choix de paix, d’unité et d’harmonie.

J’ai eu la sensation que des ajustements se faisaient au niveau subtil, au-delà du mental et de l’émotionnel et c’est pour cette raison que j’ai commencé à vouloir comprendre ce que sont les corps astral, causal, éthérique et céleste mais ça m’a gavé d’autant plus que c’est une vision qui date de si longtemps que ça ne peut pas me satisfaire ou rentrer dans mes références. Ces corps sont à mon avis des aspects de la mémoire de l'âme, des mémoires plus ou moins proches de la source Une, plus ou moins denses. 
Ma vision c'est plutôt celle d'une géométrie en cercle et en mouvement...

L’idée que ces corps s’emboitent dans le sens où ils sont plus ou moins larges/denses, me semble juste mais là encore, c’est plus comme une sorte de mandala que des poupées russes. Parce que la mémoire se situe dans différentes strates, dimensions, jusque dans la chair, les gènes.
La dimension éthérique ou énergétique est encore très floue, difficile à distinguer pour moi. Et je ne peux pas exprimer ma façon de le voir parce que c’est comme des formes, des cercles, des mandalas, j’en reviens toujours à la même chose.

Mais je sens que pour le moment c'est surtout la maitrise des énergies qui importe parce que c'est cela qui élargit la vision et qui permet de savoir, sans avoir besoin de comprendre mentalement. Il est question de se réapproprier son espace énergétique, vibratoire, sa vision intérieure, de s'y ancrer et de laisser venir l'inspiration...

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr