mercredi 18 janvier 2017

« Accélération et fluidité » & vidéos d'Ouverture



 

17/01 C’est plutôt rare que je ne publie pas ce que j’écris le jour même ou le lendemain mais le besoin d’intériorisation de ces derniers jours a été intense et les synchronicités me poussent à partager cela. J’ai tout de même dû offrir à la source les critiques et reproches envers le mental comme j’en ai parlé dans le texte d’hier.

Il faut dire que ça va très vite, tout évolue rapidement quand on est convaincu que l’unité et l’harmonie sont les voix d’élévation les plus simples et directes.
L’accueil ou la reconnaissance et l’offrande de toutes pensées, émotions de critique, d’accusation, de jugement, en bref tout ce qui n’est pas l’amour inconditionnel, voir aveugle à ce stade, facilite l’harmonisation et l’élévation du taux vibratoire qui mène de palier en palier, à grimper toujours plus haut, au-delà de cette dimension duelle…tout en étant pleinement ancré. C’est magique !

16/01Ce matin j’ai encore une belle pêche parce que je constate clairement comment l’intégration de l’amour et de la lumière élèvent ma vibration continuellement. 
C’est un processus inconnu de la majorité des gens mais quand on commence à comprendre/sentir/constater comment ça fonctionne, on s’émerveille de tout le potentiel à notre portée, de ce pouvoir dans la paix et l’amour, dans ce choix essentiel d’abandonner le jugement, d’appeler l’unité à se manifester.


Lâcher les peurs et conditionnements demande d’abandonner les références mentales, de confier à la source en soi, le soin d’alchimiser les énergies et déjà l’effet de l’amour lumière, c’est de changer notre regard sur ce qui est, sur nous-même et sur la vie. 

Étant donné l’écart immense entre les croyances et références collectives et la vision de l’âme, il n’est pas étonnant que ce soit un processus graduel et qui semble parfois infini.

Le mode de jugement, de comparaison, la notion de bien et de mal, tout cela est laissé derrière et on sait que ça n’est que le point de vue de la personnalité qui ignore qui elle est et qui s’est construite sur les croyances familiales, ancestrales, sociétales et culturelles.

On comprend que c’est une façon de percevoir le monde qui nous limite et qui fausse notre vision de la réalité, on reconnait que ce sont des croyances adoptées dans l’enfance qu’il est bon d’actualiser et de laisser l’amour lumière intérieur agir, rétablir l’ordre, l’équilibre et l’harmonie.

On comprend que tout ce qu’on a cherché au dehors, est en nous-même et qu’il suffit de maintenir le désir ferme de vivre dans l’amour inconditionnel pour que cette vibration se révèle et qu’elle soit reconnue à sa juste valeur.
Au-delà des croyances et des définitions habituelles, on commence à comprendre ce qu’est véritablement l’amour.

Déjà si on considère que nous sommes des êtres spirituels, vibratoires, énergétiques et si on envisage les pensées, les émotions, les sentiments et le plan matériel de ce point de vue, on comprend que cette vie nous donne l’occasion d’apprendre la maitrise de l'énergie.

Que chaque expérience nous invite à choisir le cœur, l’amour, la paix, l’unité, afin que cette vibration puisse se maintenir en nous de sorte qu’elle libère l’inconscient des programmes relatifs à la personnalité conditionnée. Ou disons que le fait d'être conscient de cela fait qu'on ne s'y identifie plus.

On ne cherche plus l’amour à l’extérieur, on se l’offre, on s’autorise à porter ce regard bienveillant sur tout ce que nous sommes, sur nos peurs, nos doutes, nos supposés défauts, même sur nos jugements, sur nos croyances passées ou récentes parce qu’on sait que c’est de cette façon que l’amour se manifeste, se révèle en tant qu’essence, énergie, vibration et qu’il harmonise, restaure, actualise tout. 
Le moteur et le guide c’est la Joie, l’ingrédient nécessaire à la création, à la réalisation de soi.

Mes références actuelles, les seules que je garde comme une certitude, c’est la multidimensionnalité de l’être vibratoire, composé et traversé d'énergies, la présence bienveillante de l’âme et de l’esprit christique qui se révèlent dans le choix de la paix et de l’amour. Mon ancre c’est la confiance maintenant aveugle en la source.

J’ai enfin compris par quel phénomène extraordinaire, j’avais changé ma façon de vivre du jour au lendemain lorsque j’ai cru en Jésus Christ, en son message d’amour. 
J’ai simplement décidé fermement, de choisir l’amour.Enfin décidé, c'était évident.

Tout est là, dans ce choix qui naturellement va demander de l’attention et d’être réitéré chaque fois qu’on est troublé, dans la peur, le doute, la confusion, la division, le rejet, le jugement et l’accusation. 




Quand la confiance en l’âme est acquise, il n’y a plus qu’à se laisser porter par le désir qui se manifeste dans l’instant. Évidemment, le processus est simple en théorie mais dans la pratique, c’est autre chose.

Cela demande d’être conscient de soi, de ce qu’on ressent et de revenir toujours au centre, dans la neutralité en sachant que notre âme, notre cœur sacré, ont tous pouvoirs. 

En prenant l’habitude de porter attention à ce qui se passe en soi au lieu de projeter nos réactions sur les autres, on s’installe dans la paix, une paix durable et stable.

Le rôle de la victime est facile à reconnaitre parce que c’est la manifestation de l’impuissance, on se plaint de son sort, on trouve que la vie est injuste, on se sent incompris, malaimé, seul et misérable, on accuse les autres de notre mal-être. 
Quand on peut déjà reconnaitre que les accusations, les jugements envers soi ou envers les autres, sont l’expression de la victime, on aura plus de facilité à ne pas s’identifier aux pensées de ce genre.
Mais pour ne plus juger, pour lâcher les rôles, il nous faudra apprendre à tout confier à la source intérieure, à l’amour lumière, à lui offrir chaque pensée de jugement, chaque critique, ce qui revient à ne pas croire en ses pensées émotions. 

On ne s’y attache plus parce qu’on reconnait que c’est de l’énergie contrariée ou étiquetée, contrainte, polarisé, distorsionnée. Elle n’est pas mauvaise en soi puisque l’énergie est neutre mais elle est déviée de son cours naturel, elle est en disharmonie, elle est colorée par le regard critique, négatif, qu’on porte sur elle.
Notre vision duelle nous empêche de savoir le véritable sens des choses mais quand on décide de se laisser guider par l’âme, de choisir la paix et l’amour, on élargit sa vision et sa compréhension.

Quand on choisit de manifester l’amour, de cesser de se juger et de se critiquer, on sera troublé par les pensées de jugement parce qu’on se réfère encore à nos anciens modes de fonctionnement. 
La lumière nous montre tout ce qui en nous est encore caché, polarisé, rejeté, afin qu’on puisse rayonner l’amour sur ces aspects internes. 

Ce n’est pas le mental qui réalise cette prouesse mais le fait de ne pas juger les pensées qui émanent. Le jugement donne un sens à ce qui est mais c’est toujours relatif à notre passé, à la façon dont nous avons compris et interprété notre vie en tant qu’enfant. 
Le mental ne peut pas changer son mode de fonctionnement qui consiste à soupeser, évaluer, juger, mais si on ne s’attache pas à sa vision, si on confie à la source le soin de l’éclairer, on va commencer à voir les choses avec objectivité et plus d'ouverture.

Les énergies féminines et masculines en nous sont en conflit tant qu’on croit être notre mental, tant qu’on s’identifie à la personne en souffrance, à l’enfant qu’on a été. 
On associe le comportement des hommes à l’énergie masculine et celui des femmes à l’énergie féminine mais c’est une "première erreur". Une association malheureuse que nous faisons tous durant notre enfance.

Le mental fonctionne de cette façon, il considère les choses selon ce qu’il expérimente et en tire des conclusions en se référant aux croyances communes et à ce qu’il voit. 
Mais il lui manque tant de données…
Tant qu’on ne purifie pas nos pensées, tant qu’on ne laisse pas la charge émotionnelle s’exprimer dans la confidence avec notre âme, on reste soumis aux croyances basées sur l’idée de division, de séparation.
Lâcher prise, c’est reconnaitre que le mental, l’intellect n’a pas la réponse et avoir suffisamment confiance en notre âme, au fait qu’elle éclairera notre vision.
Le mental est un outil formidable tout comme le corps émotionnel mais comme on s’identifie aux outils plutôt qu’à l’être, on se sent incomplet et impuissant, tout naturellement.

On a peur de ne pas savoir, de ne pas connaitre l’avenir, de faire des erreurs et quand on a la foi, on a encore plus d’attentes parce qu’on voudrait tout voir, tout comprendre d’un seul coup. 
On  peut néanmoins se détendre quand on sait comment la source communique avec nous et dans la confiance en son omniscience, la certitude de ne pas être séparé de cet amour lumière.

La connaissance utile, c’est celle qui permet de savoir qui on est et ce qu’on veut. 
Quand on sait que nous sommes multidimensionnel et avant tout spirituel et qu’il  n’y a pas de séparation, quand on sait que nous sommes l’amour et la lumière, le désir de paix et d’unité suffisent à remettre de l’ordre et à recréer du lien en nous.

Au lieu de considérer les aspects de l’être comme des ennemis potentiels, des aspects indésirables, et les énergies dites négatives comme des obstacles, des entités malveillantes, la communion avec la source nous révèle que tout ce que nous sommes est parfait, utile et sensé. Orchestré par l'âme et la conscience qui éclaire notre entendement dans la communion constante, la reconnaissance de cette présence permanente.
On manifeste notre essence dans le fait de cesser de rejeter ce que nous sommes, de vouloir être autrement ou quelqu’un d’autre.
En restant ancré dans la confiance en l’amour lumière intérieurs, en communiquant avec elle, en parlant à nos corps, aux différents aspects de l’être, on rétablit la libre circulation de l’énergie d’amour et on peut alors percevoir la lumière en chaque aspect de ce que nous sommes.





C’est difficile pour le mental d’abandonner sa vision duelle des choses mais si on cesse d’attendre de lui ce qu’il ne peut pas faire et qu’on l’aime tel qu’il est, sans lui coller la responsabilité de la gestion de notre vie, l’amour et la confiance en soi vont grandir.

On peut savoir qu’il est stressé, sous pression, donc qu’il a besoin de notre amour, lorsqu’on ressasse, lorsqu’on est dans le jugement et la confusion ou lorsqu’on cherche à se distraire, à fuir la réalité. A ce moment là, plutôt que de le critiquer ou de lui faire des reproches, on peut simplement dire
« Merci mon âme de rayonner l’amour et la lumière sur le corps mental » ou encore plus simple « Merci de rétablir la paix, l’ordre et l’harmonie intérieurs »

Le fait de dire ‘Merci’ c’est une façon de témoigner de la confiance qu’on a envers l’âme et sa capacité d’aimer, d’harmoniser et en même temps de reconnaitre cette harmonie intérieure au présent. Tout en nous est toujours en harmonie mais on ne le voit pas lorsqu'on est identifié à nos pensées émotions de peur et de jugement.
Dire Merci, c’est affirmer la certitude en la puissance d’harmonisation et d’amour de la source en soi, la certitude d’être cette source avant d’être un individu. La conviction d’être Un, la reconnaissance de tout ce que nous sommes et de la valeur de chaque aspect de l’être. Une façon de revenir au centre de soi, dans l’unité, la communion, l’unification de tout ce qui nous constitue. 
C’est reconnaitre notre nature véritable sans exiger ou demander quelque chose puisque c’est ce que nous sommes déjà. C’est ramener le mental à la maison, à la conscience d’être ce tout.

Le premier effet bénéfique, c’est que le mental cesse de ressasser, de s’interroger et le calme s’installe parce qu’on n’attend rien. On est et c’est suffisant.

Là encore je ne peux pas exprimer quelque chose qui est ressenti et intime.
Mais ce dont je peux témoigner, c’est que le désir de maintenir la paix et l’harmonie en soi restaure l’intégrité de l’être, l’ordre (la vision de l'harmonie) et la joie en émane naturellement.

Je ne m’arrête plus sur les sensations physiques qualifiées de symptômes, je reviens à la paix du cœur, la confiance et je note les améliorations dans ce domaine.
Je parle naturellement aux guides, comme si je les voyais sans avoir besoin de cela puisque le seul fait que j’en ai conscience et que je désire leur parler suffit à ce que cela se fasse. 

Et quand je dis que je leur parle c’est simplement une façon de me familiariser avec les mondes invisibles. Une façon de manifester cette conscience élargie qui ne se limite pas à ce qu’elle voit ni aux croyances communes.
C’est aussi la conséquence de la confiance envers l’âme, je me fie à ce que je sens et je vis selon ma vision de la réalité. 
Ce ne sont pas les témoignages des autres, le fait que certaines personnes canalisent qui me donne cette certitude, c’est plus une conviction intime qui trouve résonance en ce mode de communication mais surtout dans les messages qui sont véhiculés. 
J’ai même demandé à être en contact avec ma famille d’origine en précisant tout de même que si leur aspect est trop éloigné du mien, une préparation serait bienvenue.

Ce sont des demandes qui émergent naturellement mais je n’attends aucune réponse, aucun résultat, c’est encore une fois, une façon d’élargir la vision du mental, de se familiariser avec les dimensions subtiles, d’en faire une réalité pour lui. 
Et c’est aussi parce que ça vient spontanément et crescendo que je ne bloque pas ces envies. J’y accorde foi en voyant cela comme la suite logique, la conséquence de l’ouverture de cœur et de conscience. 
Cela m’habitue à me fier à la guidance interne, à suivre l’enthousiasme, sans rien attendre mais en jouissant du moment présent. Je laisse venir des images et de cette façon, j’apprends à reconnaitre ce qui émerge tout seul, à faire la différence entre la projection mentale, l’image qui vient avec une pensée ou suite à un raisonnement et l’intuition ou les images venant spontanément de l’esprit sans qu’aucun raisonnement logique les ait amenées.




Je n’en fais pas non plus un rituel ou une expérience, je laisse l’élan me guider aussi bien dans l’action que dans les idées. Et en suivant l’élan porté par la joie, je sors du cycle horaire commun, de la routine et même du cycle solaire, parce que je me fie à l’envie du moment, je me lève parce que la joie me pousse hors du lit même si j’ai peu dormi. 

Parfois, le manque de sommeil me met à fleur de peau et avec le recul je constate que ça me permet de ne pas bloquer l’émotion, de pouvoir libérer la charge énergétique de la colère. Comme c’est une émotion qu’on se refuse d’exprimer, on a tendance à la refouler et lorsqu’elle nous échappe, on culpabilise. Alors si c’est le cas, j’offre à la source ces pensées d’auto accusation.

Par expérience, par déduction et par intuition, je sais que tout ce qui arrive, émerge, a sa raison d’être et qu’en suivant l’envie du moment, je suis toujours au bon endroit ou guidée par l’âme. 
Quand quelque chose de désagréable arrive, je sais que c’est parce qu’il y a une croyance à lâcher, quelque chose à comprendre, mais je ne cherche pas à raisonner, je confie cela à l’amour lumière en sachant que la compréhension viendra au moment opportun et qu’il est inutile de focaliser sur les réponses puisque je sais l’essentiel qui consiste à être transparente et présente. 
J’ai admis l’idée que ces changements de dimension ou de conscience demandent du temps pour que tous les corps s’ajustent, s’accordent aux nouvelles fréquences et que cela créé des réactions émotionnelles, psychiques, physiques.

Je ne cherche pas à savoir quelles sont les émanations de mon âme et l’idée que plus je suis en contact conscient avec elle, plus je m’ouvre aux autres incarnations, élargit ma vision et amène des réflexions.
Comme je considère qu’une âme s’incarne en de multiples êtres, je me dis que c’est logique que ma personnalité ou le vrai moi, puisse contacter les êtres issus de l’âme commune, selon ma fréquence vibratoire. Plus je m’ouvre à la vibration de l’unité et plus j’accède à des plans en résonance.

Cet intérêt pour les incarnations de l’âme ou cette envie de connaitre ma famille galactique ou stellaire, vient seulement maintenant alors que je sais que certaines personnes donnent ces infos et proposent ce service depuis pas mal de temps. 
Jusqu’à maintenant, je n’en voyais pas l’intérêt parce qu’en plus c’était présenté sous le schéma des méchants reptiliens manipulateurs et des humains victimes soumis à la matrice falsifiée à l’insu de la source ou sans son accord. 
Une théorie qui à mon sens ne tient pas debout puisque la source étant omnisciente, omniprésente et omnipotente, rien ne peut se faire sans sa volonté ou son accord. 

Puis tant quand on choisi d’aller vers l’unité, il est inutile de s’aventurer dans des chemins qui ne font qu’augmenter la confusion et la division. L’humain veut tout savoir, connaitre les mystères de l’univers, alors qu’il ne sait même pas comment il est fait à l’intérieur. 
On le voit dans les programmes spatiaux où sont dépensées des sommes faramineuses alors que les trois quart des habitants de cette planète ne mangent pas à leur faim. 
C’est le parfait reflet de notre incohérence…

Maintenant, cette envie de contacter ma famille stellaire me semble être l’occasion d’agrandir le cercle, de lâcher le sentiment d’indignité et la peur de ce qui est totalement différent ou inconnu. 
C’est en ce sens que ça m’interpelle, dans le désir d’amplifier ma capacité d’aimer, d’accepter les différences, d’aller au-delà de la peur et des préjugés. 
J’évite donc de regarder les représentations d’extra-terrestres pour ne pas être influencée et surtout, je me laisse guider. Et comme "par hasard", Yvan Poirier propose une conférence ce soir à ce sujet. Je reçois les mails du site du grand changement mais je ne regarde que rarement les conférences et je le fais selon l’élan.

J’ai été interrompu dans mon écriture par plusieurs choses, déjà l’envie de bouger, de m’occuper de l’aspect matériel des choses et le besoin de m’intérioriser ou du moins de continuer d’appeler l’âme à harmoniser les énergies en moi.

La pacification du masculin ne se fait pas en une seule prise de conscience et il ne s’agit pas d’accueillir la colère d’un bloc puisque les croyances négatives ou limitantes ainsi que les conditionnements au sujet du masculin sont ancrées depuis des siècles dans l’inconscient et la conscience collective.
D’ailleurs si on considère que l’humanité est née dans le contexte de la dualité, comme elle a toujours été conflictuelle, revenir à l’unité, à la conscience Une, demande une attention constante et cela se réalise en étapes successives. 




L’énergie par nature est mouvement mais on interprète cela en termes de temps linéaire, de passé de présent et de futur alors que le seul moment qui soit réel, c’est le maintenant.

Au début, on peine à lâcher la notion de bien et de mal parce qu’on est attachée à ce qu’on appelle le bien et on est imprégné des notions de mérite, de récompense et de sacrifice. On pense qu’il nous faut mériter l’amour, gagner le ciel…alors qu’il est plutôt question de retrouver la mémoire de nos origines divines non pas de façon intellectuelle mais en tant qu’essence, pure énergie.
Je constate que plus on élève sa vibration et plus on élargit sa conscience, plus on lâche les croyances et plus on simplifie les choses, on épure, on se débarrasse du superflu.

Maintenant, le seul guide ou repère mis à part la conscience d’être multidimensionnel et la connexion avec l’âme, c’est la joie. Plus cette connexion, cette présence vibratoire est consciente et moins on a besoin de s’attacher aux repères intellectuelles d’autant plus qu’on se rend compte que beaucoup de concepts sont faux ou du moins obsolètes. 

Comme on va vers quelque chose d’inconnu puisque les personnes qui étaient consciente de l‘étincelle divine en elles l’ont vécu de façon isolée, en marge de la société et très souvent protégés par des enceintes, dans des couvents…il est impossible de prédire quoi que ce soit à l’heure actuelle. Du moins en termes de dates. 
Il est plutôt question à mon sens, d’apprendre à surfer sur la vague, à percevoir la vibration interne, à la maintenir sur la fréquence souhaitée et à naviguer en confiance en ayant la joie pour guide. 
Elle nourrit l’espérance, et en plus, elle ouvre l’horizon de tous les possibles. 
C’est aussi ce qui nous permet de ne pas être happé par l’inconscient et la conscience collective, de lâcher la souffrance en permettant à l’enfant en soi de s’exprimer librement. 

Dans l’intimité, l’écoute des aspects intérieurs, l’enfant devient le guide lorsqu’il est libéré du poids du passé. Il détient toutes les qualités qui permettent de s’adapter, d’être ouvert, fluide, souple et aussi de pacifier le masculin et le féminin en soi, d’actualiser ces énergies parce que le regard de l’enfant est neutre, innocent. 
Dans l’accueil des émotions polarisées, le masculin et le féminin sont purifiés par la communion avec la source. 

C’est ce qui semble se passer à chaque fois que je choisi d’abandonner les jugements et à priori. L’enfant libère les énergies refoulées, le masculin, le mental, oriente les pensées émotions, vers le cœur et le féminin, l’âme les harmonise. Puis on s’installe de plus en plus dans la vibration d’unité, de paix et d’harmonie.

J’ai écouté récemment le récit de la découverte et de la restauration de l’évangile de Judas et cela m’a semblé juste, du moins ce point de vue où Judas était appelé à jouer ce rôle spécifique. Mais je vous laisse regarder le document et vous faire votre propre opinion. « L'évangile Selon Judas »




 
J’ai apprécié leur façon d'aborder ce sujet et le fait qu’ils parlent de la façon dont l’association juif/traitre a influencé le comportement des gens, des chrétiens, comment cela a conduit au génocide en 39/45... 
Pouvoir prendre du recul sur l’histoire et surtout obtenir de nouvelles infos permet de comprendre l’effet de certaines croyances, de la rumeur et les rôles universels qui se jouent depuis le commencement. 
D’un autre côté, rien n’est le fruit du hasard et les évènements passés ont permis aussi de préparer les consciences à comprendre un peu mieux la valeur de l’amour, de la paix, de l’unité et à connaitre les nombreux aspects de la personnalité humaine. Ce n'est pas par hasard si on retrouve les 12 apôtres et le Christ, les 12 signes astrologiques et le dernier récemment "ressorti du placard"...

Quand je peine à me concentrer sur quelque chose ou quand je commence la journée en jouant de la musique, c’est que des énergies sont en phase d’intégration. 
Le fait de libérer des énergies qui avaient été refoulées, amène à en recevoir de nouvelles qui poussent à se tourner vers d'autres infos. En général avant, quand je recevais de nouvelles fréquences, ça bloquait et ça me constipait. J'en déduisais que des énergies demandaient à être libérées, pacifiées et j'étais plus attentive à ce qui se passait en moi. 
Mais depuis que je ne retiens plus les émotions, et que je ne m'y accroche plus, ça n’affecte plus mon état d'être ni mon transit intestinal. Je ne suis plus ballotée d'un extrême à l'autre et c'est très reposant!

Des petits détails m’indiquent qu’un ajustement se fait comme le chat qui ne m’approche pas ou encore la chienne qui m’agace. Puis il y a aussi ces sons stridents qui apparaissent ponctuellement. Sans être gênant, à chaque fois, ils me ramènent à l’idée que je télécharge de nouvelles infos, codes, énergies…et il s'en suit des élans à revisiter des croyances, à affirmer ma foi.
Je viens de regarder cette courte vidéo d’Anne Givaudan.
Anne Givaudan - "La réincarnation"



C'est un point de vue que je partage mais qui à mon avis est encore imprégné de croyances obsolètes. La réincarnation qui est reconnue en Inde n'empêche pas les injustices, au contraire cela amène un système de castes.
Ce n'est pas parce qu'on porte la mémoire de l'âme qu'on doive s'identifier à ce que ses autres incarnations ont vécu. Par contre on peut choisir de faire la paix avec tout ce qu'on est, avec ces mémoires et laisser l'âme harmoniser ces énergies. Il me semble de plus en plus logique qu'on accède aux mémoires de l'âme à mesure qu'on libère les émotions refoulées mais ça ne nous définit pas en tant qu'individu.  

Bon je vais me faire de la mousse au chocolat parce que je sens que ça travaille à l’intérieur. Une petite douceur met toujours l’enfant intérieur en joie…

Aujourd’hui, 17 janvier, j’ai essayé d’écouter la conférence d’Yvan Poirier mais je bloque. Je bloque pour plusieurs raisons liées à l’association inconsciente entre l’homme et l’énergie masculine. Puis je me dis que tout ce que je perçois est la projection de ce que je porte alors je me tourne vers l’intérieur pour entendre les voix critiques, celles de la victime qui ne supporte pas l’injustice, les manipulations…bref, ça cogite trop.

J’ai donc offert à la source tout ce qui montait et en plus des sons intérieurs très aigus m’ont poussés à arrêter d'écouter la vidéo pour me tourner vers l'intérieur.
Puis tout à l’heure je tombe sur cette capsule de Jérôme Matanaël que j’apprécie beaucoup pour son authenticité, sa simplicité, son franc parlé et comme il aborde le thème des sons qu’on perçoit, ça confirme mon ressenti parce que le sens qu’il en donne est en résonance avec ma perception et mon interprétation. Cela explique aussi l'intérêt actuel pour le contact avec ma famille stellaire. Et bien entendu le fait que je sois toujours guidée...

« Les sons dans vos oreilles » Jérôme Matanaël: http://guidancelumiere.com



Pour le moment, je passe à autre chose et l’écoute de contes va alléger le mental, réjouir l'enfant intérieur…

Et bien ce matin, mercredi, le réveil a 5h30 avec un sourire encore accroché aux lèvres et le souvenir d’une rencontre très agréable durant mon sommeil, me confirme l’idée que le contact avec ma famille stellaire est imminent (les sons internes au moment où j'édite cet article et où j'écris cette phrase, me confirment une fois de plus ce contact...actuel en fait). 
Même si cela se passe pendant le sommeil le souvenir que j’en ai ce matin est encore très présent. C’est la vibration de joie intense que j’en garde plutôt que des images précises. 

Je vais de surprises en surprises avec la sensation que le meilleur est à venir même si le présent est déjà magique. 
J’ai éclaté de rire en voyant par la fenêtre, un gendarme, mitraillette à la main ! 
J’avais entendu tambouriner avec insistance, à la porte du troisième étage mais j’étais loin d’imaginer ce qui se passait. Un véritable film ! 
Ce que je retiens, c’est le fait que ça ne m’ait pas perturbée, je ne me suis pas sentie affectée ni par celui qui risquait d’être pris ni par ce déploiement de gendarmes. 
Mon rire était plus nerveux qu’autre chose mais malgré tout, le fait de ne pas avoir pris partie pour les uns ou les autres, témoigne de l’unité qui se met en place en moi. 

Avant, j’aurais eu de la compassion pour les bandits et de la colère envers l’autorité, le système très souvent injuste mais là, ça m’est égal. Un des gendarmes m’a demandé au moment où j’ouvrais les volets de la chambre si je savais si les jeunes étaient chez eux et je lui ai répondu que je ne m’occupais pas de ce qui se passait dans le bâtiment, sans émoi, sans arrière pensée.
Ça me ramène à l’idée que je ne me sens plus concernée par ce qui se passe dans le monde, du moins par ce qu’on appelle les drames. Et même quand c'est à ma porte! L'autorité incarnée par les gendarmes qui ne me perturbe pas, voilà un signe que le masculin en moi est en phase de pacification. Enfin c'est ce que je ressens et la façon dont j'interprète les choses d'autant plus qu'à cette heure si matinale, je n'avais pas encore pris de médicaments. Même l'effet miroir n'est plus aussi nécessaire quand on est de plus en plus présent à soi.

Il y a tellement à découvrir et à créer à l’intérieur que ce qui se passe au dehors n’a plus d’importance.
A ce propos, Magali propose la 9ème séance de reconnexion âmique ce soir, à 20h. 
Je ne sais pas si je la suivrais en direct puisque je ne planifie plus rien du tout mais je vous transmets tout de même le lien et la présentation qu’elle en fait sur le site du grand changement.

...La 8ème séance s’est déployée dans le monde éthérique, dans le domaine du feu et de l’eau, avec l’être des Niflumards et celui des Suinades.


La 9ème se poursuit dans le monde éthérique avec le domaine de l’air et de la terre.

Si vous avez des doutes sur votre participation, écoutez votre cœur ou réécoutez la vibra-conférence de présentation du 5 septembre 2016. Ressentez. Vous n’avez aucune obligation de faire toutes les séances.
Avant de commencer la séance, buvez un verre d’eau et placez-vous de façon que votre corps soit totalement à l’aise, disponible, qu’il puisse se détendre.
De même, à la suite de ce voyage, si vous sentez avoir besoin d’un soutien je vous propose des séances collectives de consolidation.
Toutes les séances de consolidation sont disponibles en replay à faire autant de fois qu’il vous plaira et se font sur la base de votre libre contribution. Elles ne sont pas indispensables, à vous de sentir si ça vous appelle :






Le fait qu’on aborde ce soir le thème de l’air me parle puisque le vent est très violent en ce moment et cela m’électrise. J’ai les cheveux qui collent au visage et je m’électrocute en retirant la polaire, lol ! Ça fait même parfois des étincelles que je peux voir dans la nuit! 
Il semble qu’il soit moins violent aujourd’hui et c’est une très bonne chose parce que je devrais aller faire des courses à vélo. J’ai reporté pour ne pas avoir à pédaler contre des rafales qui atteignent les 100km/heure. 
Je ne me créé plus de contraintes ni de pression parce que cela affecte ma fréquence vibratoire et en plus ça limite mon potentiel. Je m'adapte au mouvement, aux situations en les considérant comme des guides, des miroirs.
Les choses qui se font dans l’aisance sont beaucoup plus productives que lorsqu’on agit en force, dans la contrainte, l’obligation. 
Là aussi c’est un comportement issus de l’ancien monde qu’il est bon de laisser tomber. 
Et si je sens de la culpabilité, j'en fais cadeau à mon âme. 
Pour ceux qui ont eu le courage de lire jusqu’au bout, bravo pour votre patience! 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, (par soucis de cohérence, lol) l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr