17/01
C’est plutôt rare que je ne publie pas ce que j’écris le jour même ou le
lendemain mais le besoin d’intériorisation de ces derniers jours a été intense
et les synchronicités me poussent à partager cela. J’ai tout de même dû offrir
à la source les critiques et reproches envers le mental comme j’en ai parlé
dans le texte d’hier.
Il
faut dire que ça va très vite, tout évolue rapidement quand on est convaincu
que l’unité et l’harmonie sont les voix d’élévation les plus simples et
directes.
L’accueil
ou la reconnaissance et l’offrande de toutes pensées, émotions de critique,
d’accusation, de jugement, en bref tout ce qui n’est pas l’amour
inconditionnel, voir aveugle à ce stade, facilite l’harmonisation et
l’élévation du taux vibratoire qui mène de palier en palier, à grimper toujours
plus haut, au-delà de cette dimension duelle…tout en étant pleinement ancré. C’est
magique !
16/01Ce
matin j’ai encore une belle pêche parce que je constate clairement comment
l’intégration de l’amour et de la lumière élèvent ma vibration continuellement.
C’est un processus inconnu de la majorité des gens mais quand on commence à
comprendre/sentir/constater comment ça fonctionne, on s’émerveille de tout le potentiel à notre
portée, de ce pouvoir dans la paix et l’amour, dans ce choix essentiel d’abandonner
le jugement, d’appeler l’unité à se manifester.
Lâcher
les peurs et conditionnements demande d’abandonner les références mentales, de
confier à la source en soi, le soin d’alchimiser les énergies et déjà l’effet de
l’amour lumière, c’est de changer notre regard sur ce qui est, sur nous-même et
sur la vie.
Étant donné l’écart immense entre les croyances et références
collectives et la vision de l’âme, il n’est pas étonnant que ce soit un
processus graduel et qui semble parfois infini.
Le
mode de jugement, de comparaison, la notion de bien et de mal, tout cela est
laissé derrière et on sait que ça n’est que le point de vue de la personnalité
qui ignore qui elle est et qui s’est construite sur les croyances familiales,
ancestrales, sociétales et culturelles.
On
comprend que c’est une façon de percevoir le monde qui nous limite et qui
fausse notre vision de la réalité, on reconnait que ce sont des croyances
adoptées dans l’enfance qu’il est bon d’actualiser et de laisser l’amour
lumière intérieur agir, rétablir l’ordre, l’équilibre et l’harmonie.
On
comprend que tout ce qu’on a cherché au dehors, est en nous-même et qu’il
suffit de maintenir le désir ferme de vivre dans l’amour inconditionnel pour
que cette vibration se révèle et qu’elle soit reconnue à sa juste valeur.
Au-delà
des croyances et des définitions habituelles, on commence à comprendre ce
qu’est véritablement l’amour.
Déjà
si on considère que nous sommes des êtres spirituels, vibratoires, énergétiques
et si on envisage les pensées, les émotions, les sentiments et le plan matériel de ce point de
vue, on comprend que cette vie nous donne l’occasion d’apprendre la maitrise de l'énergie.
Que
chaque expérience nous invite à choisir le cœur, l’amour, la paix, l’unité,
afin que cette vibration puisse se maintenir en nous de sorte qu’elle libère
l’inconscient des programmes relatifs à la personnalité conditionnée. Ou disons que le fait d'être conscient de cela fait qu'on ne s'y identifie plus.
On
ne cherche plus l’amour à l’extérieur, on se l’offre, on s’autorise à porter ce
regard bienveillant sur tout ce que nous sommes, sur nos peurs, nos doutes, nos
supposés défauts, même sur nos jugements, sur nos croyances passées ou récentes
parce qu’on sait que c’est de cette façon que l’amour se manifeste, se révèle
en tant qu’essence, énergie, vibration et qu’il harmonise, restaure, actualise
tout.
Le moteur et le guide c’est la Joie, l’ingrédient nécessaire à la
création, à la réalisation de soi.
Mes
références actuelles, les seules que je garde comme une certitude, c’est la
multidimensionnalité de l’être vibratoire, composé et traversé d'énergies, la présence bienveillante de l’âme et de
l’esprit christique qui se révèlent dans le choix de la paix et de l’amour. Mon
ancre c’est la confiance maintenant aveugle en la source.
J’ai
enfin compris par quel phénomène extraordinaire, j’avais changé ma façon de
vivre du jour au lendemain lorsque j’ai cru en Jésus Christ, en son message
d’amour.
J’ai simplement décidé fermement, de choisir l’amour.Enfin décidé, c'était évident.
Tout
est là, dans ce choix qui naturellement va demander de l’attention et d’être
réitéré chaque fois qu’on est troublé, dans la peur, le doute, la confusion, la
division, le rejet, le jugement et l’accusation.
Quand
la confiance en l’âme est acquise, il n’y a plus qu’à se laisser porter par le
désir qui se manifeste dans l’instant. Évidemment, le processus est simple en
théorie mais dans la pratique, c’est autre chose.
Cela
demande d’être conscient de soi, de ce qu’on ressent et de revenir toujours au
centre, dans la neutralité en sachant que notre âme, notre cœur sacré, ont tous
pouvoirs.
En prenant l’habitude de porter attention à ce qui se passe en soi au
lieu de projeter nos réactions sur les autres, on s’installe dans la paix, une
paix durable et stable.
Le
rôle de la victime est facile à reconnaitre parce que c’est la manifestation de
l’impuissance, on se plaint de son sort, on trouve que la vie est injuste, on
se sent incompris, malaimé, seul et misérable, on accuse les autres de notre
mal-être.
Quand on peut déjà reconnaitre que les accusations, les jugements
envers soi ou envers les autres, sont l’expression de la victime, on aura plus
de facilité à ne pas s’identifier aux pensées de ce genre.
Mais
pour ne plus juger, pour lâcher les rôles, il nous faudra apprendre à tout
confier à la source intérieure, à l’amour lumière, à lui offrir chaque pensée
de jugement, chaque critique, ce qui revient à ne pas croire en ses pensées
émotions.
On ne s’y attache plus parce qu’on reconnait que c’est de l’énergie
contrariée ou étiquetée, contrainte, polarisé, distorsionnée. Elle n’est pas
mauvaise en soi puisque l’énergie est neutre mais elle est déviée de son cours
naturel, elle est en disharmonie, elle est colorée par le regard critique,
négatif, qu’on porte sur elle.
Notre
vision duelle nous empêche de savoir le véritable sens des choses mais quand on
décide de se laisser guider par l’âme, de choisir la paix et l’amour, on
élargit sa vision et sa compréhension.
Quand
on choisit de manifester l’amour, de cesser de se juger et de se critiquer, on
sera troublé par les pensées de jugement parce qu’on se réfère encore à nos
anciens modes de fonctionnement.
La lumière nous montre tout ce qui en nous est
encore caché, polarisé, rejeté, afin qu’on puisse rayonner l’amour sur ces
aspects internes.
Ce n’est pas le mental qui réalise cette prouesse mais le
fait de ne pas juger les pensées qui émanent. Le jugement donne un sens à ce
qui est mais c’est toujours relatif à notre passé, à la façon dont nous avons
compris et interprété notre vie en tant qu’enfant.
Le mental ne peut pas
changer son mode de fonctionnement qui consiste à soupeser, évaluer, juger,
mais si on ne s’attache pas à sa vision, si on confie à la source le soin de
l’éclairer, on va commencer à voir les choses avec objectivité et plus d'ouverture.
Les
énergies féminines et masculines en nous sont en conflit tant qu’on croit être notre
mental, tant qu’on s’identifie à la personne en souffrance, à l’enfant qu’on a
été.
On associe le comportement des hommes à l’énergie masculine et celui des
femmes à l’énergie féminine mais c’est une "première erreur". Une association
malheureuse que nous faisons tous durant notre enfance.
Le
mental fonctionne de cette façon, il considère les choses selon ce qu’il
expérimente et en tire des conclusions en se référant aux croyances communes et
à ce qu’il voit.
Mais il lui manque tant de données…
Tant
qu’on ne purifie pas nos pensées, tant qu’on ne laisse pas la charge
émotionnelle s’exprimer dans la confidence avec notre âme, on reste soumis aux
croyances basées sur l’idée de division, de séparation.
Lâcher
prise, c’est reconnaitre que le mental, l’intellect n’a pas la réponse et avoir
suffisamment confiance en notre âme, au fait qu’elle éclairera notre vision.
Le
mental est un outil formidable tout comme le corps émotionnel mais comme on
s’identifie aux outils plutôt qu’à l’être, on se sent incomplet et impuissant,
tout naturellement.
On
a peur de ne pas savoir, de ne pas connaitre l’avenir, de faire des erreurs et
quand on a la foi, on a encore plus d’attentes parce qu’on voudrait tout voir,
tout comprendre d’un seul coup.
On peut
néanmoins se détendre quand on sait comment la source communique avec nous et
dans la confiance en son omniscience, la certitude de ne pas être séparé de cet
amour lumière.
La
connaissance utile, c’est celle qui permet de savoir qui on est et ce qu’on
veut.
Quand on sait que nous sommes multidimensionnel et avant tout spirituel
et qu’il n’y a pas de séparation, quand
on sait que nous sommes l’amour et la lumière, le désir de paix et d’unité
suffisent à remettre de l’ordre et à recréer du lien en nous.
Au
lieu de considérer les aspects de l’être comme des ennemis potentiels, des
aspects indésirables, et les énergies dites négatives comme des obstacles, des
entités malveillantes, la communion avec la source nous révèle que tout ce que
nous sommes est parfait, utile et sensé. Orchestré par l'âme et la conscience qui éclaire notre entendement dans la communion constante, la reconnaissance de cette présence permanente.
On
manifeste notre essence dans le fait de cesser de rejeter ce que nous sommes,
de vouloir être autrement ou quelqu’un d’autre.
En
restant ancré dans la confiance en l’amour lumière intérieurs, en communiquant
avec elle, en parlant à nos corps, aux différents aspects de l’être, on
rétablit la libre circulation de l’énergie d’amour et on peut alors percevoir
la lumière en chaque aspect de ce que nous sommes.
C’est
difficile pour le mental d’abandonner sa vision duelle des choses mais si on
cesse d’attendre de lui ce qu’il ne peut pas faire et qu’on l’aime tel qu’il
est, sans lui coller la responsabilité de la gestion de notre vie, l’amour et
la confiance en soi vont grandir.
On
peut savoir qu’il est stressé, sous pression, donc qu’il a besoin de notre
amour, lorsqu’on ressasse, lorsqu’on est dans le jugement et la confusion ou
lorsqu’on cherche à se distraire, à fuir la réalité. A ce moment là, plutôt que
de le critiquer ou de lui faire des reproches, on peut simplement dire
« Merci
mon âme de rayonner l’amour et la lumière sur le corps mental » ou encore
plus simple « Merci de rétablir la paix, l’ordre et l’harmonie
intérieurs »
Le
fait de dire ‘Merci’ c’est une façon de témoigner de la confiance qu’on a
envers l’âme et sa capacité d’aimer, d’harmoniser et en même temps de
reconnaitre cette harmonie intérieure au présent. Tout en nous est toujours en harmonie mais on ne le voit pas lorsqu'on est identifié à nos pensées émotions de peur et de jugement.
Dire Merci, c’est affirmer la certitude
en la puissance d’harmonisation et d’amour de la source en soi, la certitude
d’être cette source avant d’être un individu. La conviction d’être Un, la
reconnaissance de tout ce que nous sommes et de la valeur de chaque aspect de
l’être. Une façon de revenir au centre de soi, dans l’unité, la communion,
l’unification de tout ce qui nous constitue.
C’est reconnaitre notre nature
véritable sans exiger ou demander quelque chose puisque c’est ce que nous
sommes déjà. C’est ramener le mental à la maison, à la conscience d’être ce
tout.
Le
premier effet bénéfique, c’est que le mental cesse de ressasser, de
s’interroger et le calme s’installe parce qu’on n’attend rien. On est et c’est
suffisant.
Là
encore je ne peux pas exprimer quelque chose qui est ressenti et intime.
Mais
ce dont je peux témoigner, c’est que le désir de maintenir la paix et
l’harmonie en soi restaure l’intégrité de l’être, l’ordre (la vision de l'harmonie) et la joie en émane
naturellement.
Je
ne m’arrête plus sur les sensations physiques qualifiées de symptômes, je
reviens à la paix du cœur, la confiance et je note les améliorations dans ce
domaine.
Je
parle naturellement aux guides, comme si je les voyais sans avoir besoin de
cela puisque le seul fait que j’en ai conscience et que je désire leur parler
suffit à ce que cela se fasse.
Et quand je dis que je leur parle c’est
simplement une façon de me familiariser avec les mondes invisibles. Une façon
de manifester cette conscience élargie qui ne se limite pas à ce qu’elle voit
ni aux croyances communes.
C’est
aussi la conséquence de la confiance envers l’âme, je me fie à ce que je sens
et je vis selon ma vision de la réalité.
Ce
ne sont pas les témoignages des autres, le fait que certaines personnes
canalisent qui me donne cette certitude, c’est plus une conviction intime qui
trouve résonance en ce mode de communication mais surtout dans les messages qui
sont véhiculés.
J’ai même demandé à être en contact avec ma famille d’origine
en précisant tout de même que si leur aspect est trop éloigné du mien, une
préparation serait bienvenue.
Ce
sont des demandes qui émergent naturellement mais je n’attends aucune réponse,
aucun résultat, c’est encore une fois, une façon d’élargir la vision du mental,
de se familiariser avec les dimensions subtiles, d’en faire une réalité pour
lui.
Et c’est aussi parce que ça vient spontanément et crescendo que je ne
bloque pas ces envies. J’y accorde foi en voyant cela comme la suite logique,
la conséquence de l’ouverture de cœur et de conscience.
Cela m’habitue à me
fier à la guidance interne, à suivre l’enthousiasme, sans rien attendre mais en
jouissant du moment présent. Je laisse venir des images et de cette façon,
j’apprends à reconnaitre ce qui émerge tout seul, à faire la différence entre
la projection mentale, l’image qui vient avec une pensée ou suite à un
raisonnement et l’intuition ou les images venant spontanément de l’esprit sans
qu’aucun raisonnement logique les ait amenées.
Je
n’en fais pas non plus un rituel ou une expérience, je laisse l’élan me guider
aussi bien dans l’action que dans les idées. Et en suivant l’élan porté par la
joie, je sors du cycle horaire commun, de la routine et même du cycle solaire,
parce que je me fie à l’envie du moment, je me lève parce que la joie me pousse hors du lit même si j’ai
peu dormi.
Parfois, le manque de sommeil me met à fleur de peau et avec le
recul je constate que ça me permet de ne pas bloquer l’émotion, de pouvoir
libérer la charge énergétique de la colère. Comme c’est une émotion qu’on se
refuse d’exprimer, on a tendance à la refouler et lorsqu’elle nous échappe, on
culpabilise. Alors si c’est le cas, j’offre à la source ces pensées d’auto
accusation.
Par
expérience, par déduction et par intuition, je sais que tout ce qui arrive,
émerge, a sa raison d’être et qu’en suivant l’envie du moment, je suis toujours
au bon endroit ou guidée par l’âme.
Quand quelque chose de désagréable arrive,
je sais que c’est parce qu’il y a une croyance à lâcher, quelque chose à
comprendre, mais je ne cherche pas à raisonner, je confie cela à l’amour
lumière en sachant que la compréhension viendra au moment opportun et qu’il est inutile
de focaliser sur les réponses puisque je sais l’essentiel qui consiste à être
transparente et présente.
J’ai admis l’idée que ces changements de dimension ou de
conscience demandent du temps pour que tous les corps s’ajustent, s’accordent
aux nouvelles fréquences et que cela créé des réactions émotionnelles,
psychiques, physiques.
Je
ne cherche pas à savoir quelles sont les émanations de mon âme et l’idée que
plus je suis en contact conscient avec elle, plus je m’ouvre aux autres
incarnations, élargit ma vision et amène des réflexions.
Comme
je considère qu’une âme s’incarne en de multiples êtres, je me dis que c’est
logique que ma personnalité ou le vrai moi, puisse contacter les êtres issus de
l’âme commune, selon ma fréquence vibratoire. Plus je m’ouvre à la vibration de
l’unité et plus j’accède à des plans en résonance.
Cet
intérêt pour les incarnations de l’âme ou cette envie de connaitre ma famille
galactique ou stellaire, vient seulement maintenant alors que je sais que
certaines personnes donnent ces infos et proposent ce service depuis pas mal de
temps.
Jusqu’à maintenant, je n’en voyais pas l’intérêt parce qu’en plus c’était
présenté sous le schéma des méchants reptiliens manipulateurs et des humains
victimes soumis à la matrice falsifiée à l’insu de la source ou sans son
accord.
Une théorie qui à mon sens ne tient pas debout puisque la source étant
omnisciente, omniprésente et omnipotente, rien ne peut se faire sans sa volonté
ou son accord.
Puis tant quand on choisi d’aller vers l’unité, il est
inutile de s’aventurer dans des chemins qui ne font qu’augmenter la confusion
et la division. L’humain veut tout savoir, connaitre les mystères de l’univers,
alors qu’il ne sait même pas comment il est fait à l’intérieur.
On le voit dans
les programmes spatiaux où sont dépensées des sommes faramineuses alors que les
trois quart des habitants de cette planète ne mangent pas à leur faim.
C’est le
parfait reflet de notre incohérence…
Maintenant,
cette envie de contacter ma famille stellaire me semble être l’occasion
d’agrandir le cercle, de lâcher le sentiment d’indignité et la peur de ce qui
est totalement différent ou inconnu.
C’est en ce sens que ça m’interpelle, dans
le désir d’amplifier ma capacité d’aimer, d’accepter les différences, d’aller
au-delà de la peur et des préjugés.
J’évite donc de regarder les
représentations d’extra-terrestres pour ne pas être influencée et surtout, je
me laisse guider. Et comme "par hasard", Yvan Poirier propose une conférence ce
soir à ce sujet. Je reçois les mails du site du grand changement mais je ne
regarde que rarement les conférences et je le fais selon l’élan.
J’ai
été interrompu dans mon écriture par plusieurs choses, déjà l’envie de bouger,
de m’occuper de l’aspect matériel des choses et le besoin de m’intérioriser ou
du moins de continuer d’appeler l’âme à harmoniser les énergies en moi.
La
pacification du masculin ne se fait pas en une seule prise de conscience et il
ne s’agit pas d’accueillir la colère d’un bloc puisque les croyances négatives
ou limitantes ainsi que les conditionnements au sujet du masculin sont ancrées
depuis des siècles dans l’inconscient et la conscience collective.
D’ailleurs
si on considère que l’humanité est née dans le contexte de la dualité, comme
elle a toujours été conflictuelle, revenir à l’unité, à la conscience Une,
demande une attention constante et cela se réalise en étapes successives.
L’énergie
par nature est mouvement mais on interprète cela en termes de temps linéaire,
de passé de présent et de futur alors que le seul moment qui soit réel, c’est
le maintenant.
Au
début, on peine à lâcher la notion de bien et de mal parce qu’on est attachée à
ce qu’on appelle le bien et on est imprégné des notions de mérite, de
récompense et de sacrifice. On pense qu’il nous faut mériter l’amour, gagner le
ciel…alors qu’il est plutôt question de retrouver la mémoire de nos origines
divines non pas de façon intellectuelle mais en tant qu’essence, pure énergie.
Je
constate que plus on élève sa vibration et plus on élargit sa conscience, plus
on lâche les croyances et plus on simplifie les choses, on épure, on se
débarrasse du superflu.
Maintenant,
le seul guide ou repère mis à part la conscience d’être multidimensionnel et la
connexion avec l’âme, c’est la joie. Plus cette connexion, cette présence
vibratoire est consciente et moins on a besoin de s’attacher aux repères
intellectuelles d’autant plus qu’on se rend compte que beaucoup de concepts
sont faux ou du moins obsolètes.
Comme on va vers quelque chose d’inconnu puisque
les personnes qui étaient consciente de l‘étincelle divine en elles l’ont vécu
de façon isolée, en marge de la société et très souvent protégés par des
enceintes, dans des couvents…il est impossible de prédire quoi que ce soit à l’heure
actuelle. Du moins en termes de dates.
Il est plutôt question à mon sens, d’apprendre
à surfer sur la vague, à percevoir la vibration interne, à la maintenir sur la
fréquence souhaitée et à naviguer en confiance en ayant la joie pour guide.
Elle nourrit l’espérance, et en plus, elle ouvre l’horizon de tous les
possibles.
C’est aussi ce qui nous permet de ne pas être happé par l’inconscient
et la conscience collective, de lâcher la souffrance en permettant à l’enfant
en soi de s’exprimer librement.
Dans l’intimité, l’écoute des
aspects intérieurs, l’enfant devient le guide lorsqu’il est libéré du poids du
passé. Il détient toutes les qualités qui permettent de s’adapter, d’être
ouvert, fluide, souple et aussi de pacifier le masculin et le féminin en soi, d’actualiser ces énergies parce que le regard de l’enfant est neutre, innocent.
Dans l’accueil
des émotions polarisées, le masculin et le féminin sont purifiés par la
communion avec la source.
C’est ce qui semble se passer à chaque fois que je
choisi d’abandonner les jugements et à priori. L’enfant libère les énergies
refoulées, le masculin, le mental, oriente les pensées émotions, vers le cœur et
le féminin, l’âme les harmonise. Puis on s’installe de plus en plus dans la
vibration d’unité, de paix et d’harmonie.
J’ai
écouté récemment le récit de la découverte et de la restauration de l’évangile
de Judas et cela m’a semblé juste, du moins ce point de vue où Judas était
appelé à jouer ce rôle spécifique. Mais je vous laisse regarder le document et
vous faire votre propre opinion. « L'évangile Selon Judas »
J’ai apprécié leur façon d'aborder ce sujet et le fait qu’ils parlent de la
façon dont l’association juif/traitre a influencé le comportement des gens, des
chrétiens, comment cela a conduit au génocide en 39/45...
Pouvoir prendre du
recul sur l’histoire et surtout obtenir de nouvelles infos permet de comprendre
l’effet de certaines croyances, de la rumeur et les rôles universels qui se jouent depuis le commencement.
D’un autre côté, rien n’est le fruit du hasard
et les évènements passés ont permis aussi de préparer les consciences à
comprendre un peu mieux la valeur de l’amour, de la paix, de l’unité et à connaitre les nombreux aspects de la personnalité humaine. Ce n'est pas par hasard si on retrouve les 12 apôtres et le Christ, les 12 signes astrologiques et le dernier récemment "ressorti du placard"...
Quand
je peine à me concentrer sur quelque chose ou quand je commence la journée en
jouant de la musique, c’est que des énergies sont en phase d’intégration.
Le fait de libérer des énergies qui avaient été refoulées, amène à en recevoir de nouvelles qui poussent à se tourner vers d'autres infos. En
général avant, quand je recevais de nouvelles fréquences, ça bloquait et ça me constipait. J'en déduisais que des énergies
demandaient à être libérées, pacifiées et j'étais plus attentive à ce qui se passait en moi.
Mais depuis que je ne retiens plus les émotions, et que je ne m'y accroche plus, ça n’affecte plus mon
état d'être ni mon transit intestinal. Je ne suis plus ballotée d'un extrême à l'autre et c'est très reposant!
Des petits détails m’indiquent qu’un ajustement se fait
comme le chat qui ne m’approche pas ou encore la chienne qui m’agace. Puis il y
a aussi ces sons stridents qui apparaissent ponctuellement. Sans être gênant, à
chaque fois, ils me ramènent à l’idée que je télécharge de nouvelles infos,
codes, énergies…et il s'en suit des élans à revisiter des croyances, à affirmer ma foi.
Je
viens de regarder cette courte vidéo d’Anne Givaudan.
Anne Givaudan - "La réincarnation"
C'est
un point de vue que je partage mais qui à mon avis est encore imprégné de
croyances obsolètes. La réincarnation qui est reconnue en Inde n'empêche pas les injustices,
au contraire cela amène un système de castes.
Ce
n'est pas parce qu'on porte la mémoire de l'âme qu'on doive s'identifier à ce
que ses autres incarnations ont vécu. Par contre on peut choisir de faire la paix avec tout ce qu'on est, avec ces mémoires et
laisser l'âme harmoniser ces énergies. Il me semble de plus en plus logique qu'on accède aux mémoires de l'âme à mesure qu'on libère les émotions refoulées mais ça ne nous définit pas en tant qu'individu.
Bon
je vais me faire de la mousse au chocolat parce que je sens que ça travaille à
l’intérieur. Une petite douceur met toujours l’enfant intérieur en joie…
Aujourd’hui,
17 janvier, j’ai essayé d’écouter la conférence d’Yvan Poirier mais je bloque.
Je bloque pour plusieurs raisons liées à l’association inconsciente entre
l’homme et l’énergie masculine. Puis je me dis que tout ce que je perçois est la projection de ce
que je porte alors je me tourne vers l’intérieur pour entendre les voix
critiques, celles de la victime qui ne supporte pas l’injustice, les
manipulations…bref, ça cogite trop.
J’ai
donc offert à la source tout ce qui montait et en plus des sons intérieurs très aigus
m’ont poussés à arrêter d'écouter la vidéo pour me tourner vers l'intérieur.
Puis
tout à l’heure je tombe sur cette capsule de Jérôme Matanaël que j’apprécie
beaucoup pour son authenticité, sa simplicité, son franc parlé et comme il
aborde le thème des sons qu’on perçoit, ça confirme mon ressenti parce que le
sens qu’il en donne est en résonance avec ma perception et mon interprétation. Cela explique aussi l'intérêt actuel pour le contact avec ma famille stellaire. Et bien entendu le fait que je sois toujours guidée...
« Les sons dans vos oreilles » Jérôme Matanaël: http://guidancelumiere.com
Pour
le moment, je passe à autre chose et l’écoute de contes va alléger le mental, réjouir l'enfant intérieur…
Et
bien ce matin, mercredi, le réveil a 5h30 avec un sourire encore accroché aux
lèvres et le souvenir d’une rencontre très agréable durant mon sommeil, me
confirme l’idée que le contact avec ma famille stellaire est imminent (les sons internes au moment où j'édite cet article et où j'écris cette phrase, me confirment une fois de plus ce contact...actuel en fait).
Même si
cela se passe pendant le sommeil le souvenir que j’en ai ce matin est encore
très présent. C’est la vibration de joie intense que j’en garde plutôt que des
images précises.
Je vais de surprises en surprises avec la sensation que le
meilleur est à venir même si le présent est déjà magique.
J’ai éclaté de rire en voyant par la fenêtre, un gendarme,
mitraillette à la main !
J’avais entendu tambouriner avec insistance, à la
porte du troisième étage mais j’étais loin d’imaginer ce qui se passait. Un
véritable film !
Ce que je retiens, c’est le fait que ça ne m’ait pas
perturbée, je ne me suis pas sentie affectée ni par celui qui risquait d’être
pris ni par ce déploiement de gendarmes.
Mon rire était plus nerveux qu’autre
chose mais malgré tout, le fait de ne pas avoir pris partie pour les uns ou les
autres, témoigne de l’unité qui se met en place en moi.
Avant, j’aurais eu de
la compassion pour les bandits et de la colère envers l’autorité, le système très
souvent injuste mais là, ça m’est égal. Un des gendarmes m’a demandé au moment
où j’ouvrais les volets de la chambre si je savais si les jeunes étaient chez
eux et je lui ai répondu que je ne m’occupais pas de ce qui se passait dans le
bâtiment, sans émoi, sans arrière pensée.
Ça
me ramène à l’idée que je ne me sens plus concernée par ce qui se passe dans le
monde, du moins par ce qu’on appelle les drames. Et même quand c'est à ma porte! L'autorité
incarnée par les gendarmes qui ne me perturbe pas, voilà un signe que
le masculin en moi est en phase de pacification. Enfin c'est ce que je ressens et la façon dont j'interprète les choses d'autant plus qu'à cette heure si matinale, je n'avais pas encore pris de médicaments. Même l'effet miroir n'est plus aussi nécessaire quand on est de plus en plus présent à soi.
Il y a tellement à découvrir
et à créer à l’intérieur que ce qui se passe au dehors n’a plus d’importance.
A
ce propos, Magali propose la 9ème séance de reconnexion âmique ce
soir, à 20h.
Je ne sais pas si je la suivrais en direct puisque je ne planifie plus
rien du tout mais je vous transmets tout de même le lien et la présentation qu’elle
en fait sur le site du grand changement.
...La
8ème séance
s’est déployée dans le monde éthérique, dans le domaine du feu et de l’eau,
avec l’être des Niflumards et celui des Suinades.
La
9ème
se poursuit dans le monde éthérique avec le domaine de l’air et de la terre.
Si
vous avez des doutes sur votre participation, écoutez votre cœur ou réécoutez
la vibra-conférence de présentation du 5 septembre 2016. Ressentez. Vous n’avez
aucune obligation de faire toutes les séances.
Avant
de commencer la séance, buvez un verre d’eau et placez-vous de façon que votre
corps soit totalement à l’aise, disponible, qu’il puisse se détendre.
De
même, à la suite de ce voyage, si vous sentez avoir besoin d’un soutien je vous
propose des séances collectives de consolidation.
Toutes
les séances de consolidation sont disponibles en replay à faire autant de fois
qu’il vous plaira et se font sur la base de votre libre contribution. Elles ne
sont pas indispensables, à vous de sentir si ça vous appelle :
Magali
: http://www.guerisseuse-d-ame.com/
Stéphane
: http://stephane-colle.com
Le
fait qu’on aborde ce soir le thème de l’air me parle puisque le vent est très
violent en ce moment et cela m’électrise. J’ai les cheveux qui collent au visage et je m’électrocute
en retirant la polaire, lol ! Ça fait même parfois des étincelles que
je peux voir dans la nuit!
Il semble qu’il soit moins violent aujourd’hui et c’est
une très bonne chose parce que je devrais aller faire des courses à vélo. J’ai
reporté pour ne pas avoir à pédaler contre des rafales qui atteignent les
100km/heure.
Je ne me créé plus de contraintes ni de pression parce que cela affecte
ma fréquence vibratoire et en plus ça limite mon potentiel. Je m'adapte au mouvement, aux situations en les considérant comme des guides, des miroirs.
Les choses qui se
font dans l’aisance sont beaucoup plus productives que lorsqu’on agit en force,
dans la contrainte, l’obligation.
Là aussi c’est un comportement issus de l’ancien
monde qu’il est bon de laisser tomber.
Et si je sens de la culpabilité, j'en fais cadeau à mon âme.
Pour ceux qui ont eu le courage de lire
jusqu’au bout, bravo pour votre patience!
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, (par soucis de cohérence, lol) l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr