lundi 5 septembre 2016

« S’ancrer dans la paix, le silence et s’hydrater pour faciliter l'intégration des énergies »





4/09 C’est encore bien mouvementé ces dernières 24 heures. Les mêmes symptômes apparaissent, qu’ils soient physiques ou énergétiques et bien sûr, les pensées émotions sont exacerbées. A chaque fois que j’ai du mal à éliminer c’est le signe que des vagues de nouvelles énergies arrivent et ça se traduit par des bouffées de chaleur. J’ai dû rentrer du jardin tellement ma peau était agressée par le soleil. J’ai constaté qu’il y avait beaucoup de chemtrails dans le ciel et l’idée que c’était la raison de cette sensation de brûlure est apparue comme une évidence. Puis je me suis souvenue que l’hypersensibilité venait du fait que j’avais diminué les cachets. Il suffit que je supprime une infime quantité pour que l’extérieur m’agresse. Mais le progrès si on peut dire c’est que dans ces cas là, je me centre maintenant systématiquement et ça reste dans le subtil, au niveau énergétique pas dans la relation aux autres. Je me contente de laisser toutes pensées émotions de colère, de peur, s’exprimer, en gardant en mémoire mon désir d’unité et de paix.

J’ai commencé à me décourager de constater que je pouvais encore être déstabilisée puis en accueillant aussi ces pensées, ma vision a changé, j’ai pu voir l’aspect positif des choses et le fait que je n’avais pas cédé à la peur.

Plutôt que de lutter ou d’essayer de me rassurer par des raisonnements, j’ai écouté mon corps et suis allée m’allonger. J’ai dormi toute l’après midi de samedi ! Et ça ne m‘a pas empêchée de m’endormir le soir. 
J’ai simplifié les choses et je me suis souvenue de l’importance de boire de l’eau. 
J’ai pu vérifier l’efficacité de ce simple geste parce que les pensées émotions étaient moins envahissantes, les énergies plus fluides et l’élimination évidemment plus facile. 
C’est hallucinant comment je n’arrive plus à éliminer quand les énergies sont puissantes. Comme j’ai associé ce blocage à l’énergie qui peine à circuler, déjà, je ne me prends plus la tête à ce sujet. Dans ces moments, les bouffées de chaleur reviennent, elles sont fréquentes, intenses et les granulés homéopathiques que je prends une fois par semaine pour calmer les symptômes ne font plus aucun effet.


Je constate que les cachets me sont encore utiles parce qu’ils me protègent de l'impact des pollutions extérieures et de plus en plus, la confiance en la source m’invite à lâche prise, à ne plus chercher à comprendre lorsque ça bouscule mais plutôt à faire silence. Même si je le trouve dans le sommeil, c’est déjà une façon d’intégrer les énergies en douceur et de lâcher peu à peu les raisonnements qui deviennent obsolètes parce que dans ces moments, seule la confiance peut ramener la paix en soi. 
Au réveil, le silence mental a été reposant et la sensation que les énergies avaient été intégrées, stabilisées, a été confirmée par le fait que je n’ai pas éprouvé le besoin de prendre un bout de cachet supplémentaire. Avant, après une longue sieste, je me réveillais souvent de mauvaise humeur et c'est aussi en constatant que maintenant je suis en paix et ragaillardie après avoir dormi l'après midi, que je mesure ma progression. 
L’envie de faire du ménage sur le bureau comme pour libérer l’espace puis de laisser le blog, les lectures spirituelles de côté, a aussi confirmé cette intégration énergétique. Et ce qui m’a aussi encouragée dans mon désir de poursuivre le sevrage, c’est le fait d’avoir nourrit la joie et la légèreté. 




Moins je me prends la tête et plus cela témoigne de la confiance intérieure qui s’installe en profondeur vis-à-vis de la source. Même si j’essaie de donner un sens à ce que je ressens, c’est plus par l’observation et la déduction puis par inspiration que ça vient. Je ne cherche pas à raisonner, à trouver un sens selon la logique du mental qui est complètement dépassé puisque sa compréhension est limitée à ce qu'il connait.

L’idée de laisser de côté les raisonnements et de continuer à faire aveuglément confiance à la source a maintenu la paix et la foi en la guérison, la libération des addictions par l’accueil plutôt qu’en forçant. 
Ce n’est pas évident de comprendre que la volonté dans ce désir de libération se situe seulement dans le maintient de la paix en soi par l'accueil de ce que ça fait émerger. 
Et d’accepter que ce soit un processus long qui passe par de toutes petites victoires. Des résultats infimes qui sont avant tout dans la façon de gérer les énergies et pas dans le geste. 
Les progrès se situent dans la façon de réagir intérieurement, dans le fait de revenir au centre, de confier à la source toutes les peurs, les émotions, que le manque laisse émerger. Et c’est en le faisant que le mental se calme, qu’il ne cherche plus à comprendre, qu’il admet qu’il est dépassé et donc qu’il ne cherche plus à contrôler ce qui émerge.

Puis il faut avoir la patience de vivre ce lâcher prise, de vivre les émotions qui émergent en ayant confiance en la capacité du cœur à alchimiser les énergies. Et c’est seulement quand le calme revient qu’on constate l’efficacité du processus qui nourrit alors la confiance.


Un autre signe qui me fait penser que de nouvelles énergies sont intégrées ce sont les symptômes physiques, ces douleurs qui apparaissent, disparaissent et qui n'ont pas de raison d'être. Elles sont ressenties mais les pensées de peur ne leurs sont plus associées, au contraire, la sensation  que c’est "normal", passager, et que le corps s’ajuste, remplace les pensées de peur ou de doute.
C’est une sensation et une conviction intimes que j’interprète à ma façon tout en sachant que la façon dont le mental traduit cela est subjective. D’ailleurs je ne m‘y attache pas, je me fie à la sensation et c’est elle qui me permet d’être rassurée, de relativiser, de ne pas dramatiser. 




Avant cet épisode chaotique, la sensation que tout ceci n’est qu’un jeu du Je, une expérience de retour à la source, apparaissait comme une évidence et face à cette hypothèse, il semble logique qu’il y ait eu des remous.
En général, avec le recul je constate que lorsque la conscience s’ouvre, de nouvelles fréquences/idées apparaissent puis elles doivent être intégrées par l’application au quotidien de ces nouvelles idées afin qu’elle devienne une réalité vécue.

Cela demande d’être attentif aux pensées qui émergent afin de les pacifier, de laisser le cœur les harmoniser. Pour le moment, je me rends compte à postériori que ce sont ces pensées difficiles, ces pensées de critique, de jugement, d’accusation, de dévalorisation, qui ont suscité des émotions et engendré le déséquilibre interne. Ce constat m’amène à lâcher les raisonnements et à aller à l’essentiel.
En associant le mal-être à la nécessité de se centrer, sans avoir besoin d’observer les pensées émotions, le processus d’intégration est facilité puisque moins le mental intervient et plus c’est fluide.

C’est important de vérifier la corrélation entre le mal être, le déséquilibre émotionnel et les pensées de jugement puis de constater l’effet du centrage mais une fois qu’on est convaincu de cela, et donc quand il n’y a plus de résistance mentale, tout se fait dans le silence. On place sa conscience directement sur le cœur, le ressenti intérieur, l’observation silencieuse de son corps physique sans plus intervenir mentalement.

Quand on est hypersensible, il est important d’apprendre à protéger son espace vital, énergétique, de la même façon qu’on se protège physiquement. Même si l’idéal, c’est de pouvoir se maintenir sur la fréquence de l’amour, de la paix et de l’unité, savoir dire "non" aux énergies "extérieures" est important. 
Cela revient à dire "non" aux pensées qui nourrissent la peur, les croyances obsolètes. 

On associe souvent l’amour à une attitude un peu mièvre mais l’amour qu’il est nécessaire de nourrir en soi,  demande de la fermeté vis-à-vis des pensées relatives à la personnalité qui se croit séparée de la source ou victime des circonstances. 
Au niveau énergétique nous sommes reliés à l’inconscient collectif lorsque nous croyons les pensées difficiles, injustes, dévalorisantes. Parfois on peut sentir ces énergies autour de soi et ce sont nos propres pensées qui les attirent mais comme on est conscient d’un  faible pourcentage d’entre elles on peut avoir l’impression d’être agressé de l’extérieur. Et si on tente de s’en protéger en accusant les autres, c’est pire, on entre alors dans un cercle infernal, une spirale qui va abaisser notre taux vibratoire et nous maintenir dans l’état de victime.
Quand on se sent agressé de l’extérieur, on peut affirmer « je choisi la paix, l’unité, l’harmonie » afin de calmer le mental, de l’orienter dans la direction voulue. C’est souvent quand ces sensations sont exacerbées, quand les émotions me submergent que j’oublie le pouvoir du centrage, de l’intention, de l’ancrage dans la paix du cœur et que je retombe dans les pensées, les croyances liées au rôle de la victime.
Bon je vais en courses…un dimanche...ça change les habitudes et c'est très bien comme ça




Le soleil est encore très agressif enfin les particules chimiques répandues en masse le rendent agressif et les pensées émotions de colère surgissent avec force.
Je me contente de les exprimer en restant focalisée sur le désir de paix, d’unité et d’harmonie intérieure.
Ce n’est pas le moment de se perdre dans des lectures dites spirituelles, la meilleure chose que je puisse faire, c’est d’être attentive à ce qui se passe en moi sans être sur la défensive. Juste être, simplifier les choses en agissant comme toujours dans l’élan spontané et en revenant au centre, jusqu’à retrouver la paix et la neutralité.

Inutile d’attendre une vision ou d’y voir plus clair ou de chercher à comprendre tant que ça remue à l’intérieur. A l’image des cercles produits par le jet d’une pierre dans l’eau, la seule chose à faire c’est d’attendre que ça passe. Ce qui revient à ne pas s’attacher à ce qui se manifeste en soi, à ne pas accorder d’importance aux pensées qui émergent.

Ce que les autres vivent et ce qu’ils écrivent à propos de leur vision ne peut pas m’aider parce que la seule vérité qui ait de l’importance, de la valeur pour moi, c’est celle qui vient de l’intérieur. Et le fait d’accepter de ne rien ‘voir’ momentanément nourrit la confiance, la foi. Ne pas chercher à comprendre libère du mental et la vision n’est plus nécessaire, seul le ressenti, la paix qui revient me suffit. 
Alors je respire en profondeur, en silence et c’est largement suffisant pour aujourd’hui. Puis ce que je peux faire pour affirmer mon désir de paix, c’est de faire des choses légères, joyeuses, de faire en sorte de nourrir ces énergies. Chacun a ses petits trucs, ses goûts particuliers, sa façon de nourrir le plaisir et la joie et c’est l’occasion de laisser l’enfant intérieur s’exprimer. Le désir d’unité et de neutralité permet d’agir selon sa propre guidance intérieure, selon son envie et dans le respect des autres.

« Présence divine, merci d’accueillir dans ton amour et ta lumière tous les aspects de l’être qui sont encore soumis à la peur, au doute, qui nourrissent la croyance en la séparation, l’idée de manque ou qui veulent contrôler la vie. 
Merci mon cœur sacré de rayonner la paix, l’unité et l’harmonie, d’activer la régénération cellulaire, de vibrer l’amour lumière sur tout ce que je suis. Merci mes corps subtils de rester unis, solidaires, afin de canaliser les énergies de la terre et du ciel dans l’harmonie et la paix. Merci de laisser l’énergie de vie circuler librement. Je Nous aime. » 




5/09 L'après midi a été calme et j'étais pleine d'énergie certainement électrique parce que le sommeil a tardé à venir. Maintenant, je me sens ailleurs sans pour autant me désintéresser de ce que j'ai à faire dans ce monde. Les signes de la connexion avec la source m'ont aidé à maintenir la paix et la neutralité mentale. Le processus d'abandon en confiance à la source montre une fois de plus son efficacité et je deviens de moins ne moins sensible à ce qui se passe en moi et à l'extérieur. 
Voyons où en est la jardin que je n'ai pas pu arroser hier puisque le canal était fermé. 
encore je peux voir que ça ne m'a pas affecté puisque la nature est autonome et la confiance en la vie grandit dans ce lâcher prise, ce détachement. 
Les douleurs ont quasiment disparu et malgré le sommeil irrégulier, je me sens en forme.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr