Je
suis encore émerveillée par la rencontre d’hier soir ! J’ai attrapé la
vibraconférence juste avant la méditation proposée par Sophie Riehl et j’ai
bien fait de suivre l’élan de vie qui m’y a conduite. Déjà, j’avais reçu l’appel
par des petits signes, une attraction particulière pour la licorne, pour les
chevaux et bien sûr le désir d’unité intérieure qui amène à reconnaitre et à rassembler tous les
aspects de l’être.
Chaque animal symbolise des qualités, ce qui le caractérise
est une expression sacrée de la vie et nous portons tout en nous. C’est en
latence et lorsqu’un animal nous "touche", c’est une invitation à explorer ses
mondes intérieurs, à développer une fréquence spécifique, un rayon ou
plusieurs.
Mon intuition était la bonne puisque je m’étais dit que je n’écouterais
pas la partie historique de la conférence afin de laisser l’écran du mental
totalement vide.
Ce
monde est conçu pour que nous n’ayons pas à réfléchir, notre imagination est
bridée et manipulée par toutes les images, les infos, les médias, les films…alors comme je
suis consciente que je suis un être complet, comme je suis en paix avec mon
mental, comme j’ai envie et même besoin de développer mon imaginaire, je compte
sur tous les corps qui me constituent pour avancer sur le chemin qui mène à la
découverte de soi, à la source, à l’unité. En plus, l’histoire ne m’a jamais
attirée parce que d’emblée, je sais et j’ai toujours su qu’elle est falsifiée.
C’est comme si on recherchait dans 50 ans, dans les journaux people d’aujourd’hui,
les infos pour connaitre le monde et qu'on appelait ça l'histoire.
L’histoire ne reflète qu’une infime part de la réalité
et elle a toujours été écrite pour valoriser les ‘grands’ de ce monde afin d’asseoir
le système pyramidal, patriarcal, d’en faire une réalité immuable. L’élite a définit l’intelligence
selon des critères restrictifs afin de formater l’ensemble et surtout de leur
donner le sentiment d’être inférieur, d’avoir besoin de chef, de dirigeants, de
maitres.
Les jeux de rôles ont permis de considérer la vie sous différents
angles et ont poussé les individus à chercher la vérité au-delà des masques,
des postures, des conditionnements.
On
a tout étiqueté, compartimenté, séparé, afin d’étudier avec précision chaque
aspect du vivant mais maintenant, l’heure est venue de tout pacifier et
de rassembler.
L’heure de pardonner ou disons plutôt de tourner la page, ce qui
implique de faire la paix avec son passé, d’accepter ce qui a été vécu afin d’en
percevoir la richesse et de pouvoir créer autre chose, en conscience.
D’utiliser
toutes les connaissances, les leçons tirées des expériences pour devenir le
nouvel humain, conscient, complet, souverain. Conscient de sa multiple nature, de ses
potentiels infinis et de l’interconnexion, l’interdépendance même entre tout ce
qui est.
J’ai
été épatée de voir les images lors de la méditation, avant que Sophie les
décrive.
Le point lumineux, bleu diamant sur la corne de la licorne, la chevauchée
fantastique précédée d’une promenade au pas puis au galop. J’entendais le son des sabots et j’ai
tout de suite collé ma tête sur le cou de cet être dont la présence m’était
totalement familière. Il faut dire que j'ai toujours été attirée par les chevaux et comme j'ai travaillé au crique Gruss, dont le spectacle est axé sur la relation homme/cheval, le contact avec les chevaux est naturel, familier.
J’ai vraiment eu la sensation de retrouvailles et les
larmes n’arrêtaient pas de couler. Des larmes purificatrices, des larmes de joie, dues à
ces retrouvailles. Jusqu’à l’odeur qui au départ était celle d’un cheval puis
qui s’est transformée en un parfum subtil que je ne saurais décrire
précisément.
C'est très encourageant de constater que la mémoire olfactive de souvenirs précieux se manifeste maintenant. Cela témoigne de la guérison profonde effectuée au niveau des mémoires traumatiques.
J’ai dû rassurer le mental à un moment et lui dire de lâcher le
contrôle, que tout était parfait, mais ça n’a duré qu’une fraction de seconde, juste le temps de le penser
puisque cette rencontre avait été préparée depuis quelques jours déjà. Ça aussi, c'est magnifique de constater combien le mental prend confiance en l'intuition, comment il apprend à reconnaitre et à traduire les messages de l'âme!
Sans aucune idée préconçue, je me suis retrouvée dans une forêt magique, vivante, illuminée,chaleureuse, familière, avec des lucioles, des êtres féériques mais je n’ai pas cherché à détailler cela, j’ai préféré ressentir les choses, être juste réceptive, ouverte à ce qui se présentait.
Très souvent lors de méditation, je fume ou bois de l’eau comme
si le mental s’accrochait à ses stratégies habituelles sécurisantes afin de ne pas se sentir
perdu, de garder le contrôle mais là, aucune envie, aucune peur, rien ne me distrayait, j’étais
pleinement présente.
Je n’avais pas encore mangé mais je ne sentais pas la faim.
J’ai déjà eu ces sensations d’être dans une autre dimension, de ne plus avoir
de besoins, de ne pas sentir le temps passer, lorsque je parlais du christ, de
l’amour divin. Maintenant je sais que dans ces moments là, je suis sur d’autres
plans de conscience.
La licorne est déjà le symbole de la pureté et en ce sens,
les larmes versées juste avant l’accolade ont été purificatrices. J’ai vraiment
senti que le canal central, que les chakras était désencombrés, que l’énergie s’écoulait
librement, que tout était fluide.
Un peu avant et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai rassuré le mental,
je sentais mon plexus solaire crispé. J’ai associé par l’observation, l’expérience,
ces crispations à la peur, au besoin de contrôle et en respirant calmement,
profondément, généralement ça se dissout.
Je
ne peux pas raconter tout ce qui s’est passé parce que c’est intime et ça n’a d’intérêt
que pour moi mais ce qui est sûr, c’est que c’est à la portée de tous, naturellement, sans psychotropes.
Il
est clair que pour nourrir la joie de vivre, il faut apprendre à explorer ses
mondes intérieurs, à utiliser son imagination parce que tout est fait pour nous
réduire, pour nous limiter et nous maintenir dans la peur, la culpabilité et le
sentiment de petitesse, d’impuissance.
Tout est fait pour qu’on se valorise au
détriment des autres, de la vie, en étant compétitif, combattant, dans tous les
domaines de la vie.
Pourtant la puissance, le pouvoir et la valeur d’un être ne
se trouvent certainement pas dans la domination.
Elle se découvre et se révèle
dans la paix du cœur, l’acceptation de ce qui est, l’humilité de reconnaitre
que la vie nous enseigne, nous guide, nous porte. Le monde animal ne vit pas
dans la compétition, il n’est en concurrence que pour perpétuer la race et ne
tue que pour se nourrir.
Je
remets la rediffusion de la vibraconférence que je vais regarder à nouveau et
cette fois ci entièrement.
« À la Rencontre des Licornes... » Avec
Sihame et Sophie Riehl
Ce
que cette expérience m’a apprise, c’est ce que je peux accéder au monde de mes
rêves, contacter les êtres qui me soutiennent dans d’autres sphères, simplement
en me laissant guider par l’âme, par l’imaginaire. C’est énorme puisque jusque
là, je connaissais d’autres dimensions en changeant mon point de vue par l’utilisation
de drogues.
Le retour au cœur, l’alchimie intérieure permet de modifier l’état d’être mais jusqu’à maintenant, je ne m’autorisais pas à voyager dans les mondes imaginaires par peur d’y rester bloquée. Tout comme lorsque je prenais de fortes drogues et faisais tout pour ne pas devenir inconsciente.
Maintenant que je ne crains plus mes ombres, les énergies dites sombres puisque ce sont des énergies issues de la source, des énergies neutres que seule ma vision, ma résistance colorent, je peux pénétrer les mondes subtils sans crainte et aller à la rencontre de mon équipe au ‘ciel’ en étant parfaitement ancrée et unifiée au niveau de l’équipe au sol, c'est-à-dire mes corps subtils et physique.
Il fallait aussi que je valide les visions intérieures que j’accorde du crédit à l’enfant en moi, à sa vision de la vie et que je reconnaisse, accepte ses besoins qui sont vitaux pour l'adulte que je suis. Le besoin de rêver, de créer, de jouer, de se réjouir, de s’émerveiller, de se laisser aller à être, de retrouver l’innocence, l’insouciance.
Le retour au cœur, l’alchimie intérieure permet de modifier l’état d’être mais jusqu’à maintenant, je ne m’autorisais pas à voyager dans les mondes imaginaires par peur d’y rester bloquée. Tout comme lorsque je prenais de fortes drogues et faisais tout pour ne pas devenir inconsciente.
Maintenant que je ne crains plus mes ombres, les énergies dites sombres puisque ce sont des énergies issues de la source, des énergies neutres que seule ma vision, ma résistance colorent, je peux pénétrer les mondes subtils sans crainte et aller à la rencontre de mon équipe au ‘ciel’ en étant parfaitement ancrée et unifiée au niveau de l’équipe au sol, c'est-à-dire mes corps subtils et physique.
Il fallait aussi que je valide les visions intérieures que j’accorde du crédit à l’enfant en moi, à sa vision de la vie et que je reconnaisse, accepte ses besoins qui sont vitaux pour l'adulte que je suis. Le besoin de rêver, de créer, de jouer, de se réjouir, de s’émerveiller, de se laisser aller à être, de retrouver l’innocence, l’insouciance.
En ce sens une des qualités de la Licorne, qui purifie, unifie et guérit, celle de pouvoir voyager dans d’autres dimensions, était en attente d’être intégrée depuis un certain temps. Il fallait que le mental ressente la détresse face aux injustices de ce monde, qu’il regarde la mort en face, pour admettre la valeur de la vie, de la joie, du rêve et de l’imaginaire.
Loin d’être un désir de fuir la réalité, il s’agit au contraire d’intégrer d’autres dimensions de l’être dans son quotidien. Il a fallu aussi admettre les besoins du mental d’écrire et ne plus critiquer cela pour que le juste équilibre soit trouvé.
Et bien sûr, apprendre à faire confiance à la source intérieure, à la guidance et à l’élan porté par le désir.
L’impulsion qui nait de la peur, n’a pas la même fréquence que le désir qui vient du cœur et ça aussi, il me fallait apprendre à ressentir la différence. A constater que l’offrande de toute impulsion à la source intérieure la transforme en désir d’agir, d’être, de créer, de réaliser.
Et
enfin cesser de m’en vouloir d’être addict aux médicaments pour me rendre
compte de l’illusion des croyances qui nourrissent le geste. Pour prendre conscience que ça n'est pas si grave et réaliser que les faibles quantités que je prends ne me classent pas dans la catégorie des toxicomanes. A vrai dire, même si je voulais m'en libérer avec une aide médicale, un sevrage à l’hôpital, on me rirait au nez tellement les doses sont infimes. Là encore la vision négative due au manque d'amour de soi faussait totalement la réalité! L'attachement au rôle de victime, à mon histoire passé est la véritable raison de cette addiction finalement.
Si le geste perdure, c’est tout simplement parce que la peur de l’ennui, d’être totalement moi-même et de ne pas être capable de créer ma vie selon ma vision et mes vrais besoins, toutes ces croyances ont besoin d’être lâchées.
Déjà, le fait de sentir la paix, l’unité des corps, de ne plus rejeter ce que je suis et donc de ne plus créer de failler au niveau énergétique, ça constitue une assise solide.
J’apprends à connaitre le potentiel énergétique, les outils de perceptions et à travailler depuis l’unité intérieure. Je demande régulièrement à mes corps de s’unir, de s’associer pour créer une journée qui corresponde aux qualités de chacun d’eux réunies.
Si le geste perdure, c’est tout simplement parce que la peur de l’ennui, d’être totalement moi-même et de ne pas être capable de créer ma vie selon ma vision et mes vrais besoins, toutes ces croyances ont besoin d’être lâchées.
Déjà, le fait de sentir la paix, l’unité des corps, de ne plus rejeter ce que je suis et donc de ne plus créer de failler au niveau énergétique, ça constitue une assise solide.
J’apprends à connaitre le potentiel énergétique, les outils de perceptions et à travailler depuis l’unité intérieure. Je demande régulièrement à mes corps de s’unir, de s’associer pour créer une journée qui corresponde aux qualités de chacun d’eux réunies.
Il est nécessaire aussi de lâcher toute notion de jugement afin de pénétrer dans le nouveau monde parce que lorsqu’on s’enferme derrière des étiquettes, on se prive de la connaissance véritable. Le dialogue avec les corps, l’amour qu’on rayonne sur chacun d’eux, sur les aspects de l’être qu’on qualifiait de défauts, restaure l’équilibre et ces fameux défauts révèlent leur aspect positif. Comme la colère par exemple.
Le texte de Samuel à ce sujet est très révélateur parce qu’on peut tous sentir de sentiment de puissance que cette énergie porte. Longtemps, ça m’a fait peur parce que je voyais les réactions des gens autour de moi et pourtant, cette colère ne s’adressait pas à eux.
On parle de sainte colère parce qu’effectivement c’est un déclic, une prise de conscience et une envie de changer, qui sous-tendent la colère mais trop souvent on ignore comment nous fonctionnons et on ne sait pas la gérer.
On peut être consumé par la colère tout comme par le désir si on ne sait pas orienter ces énergies en direction du cœur et si on ignore qu’il a la capacité d’harmoniser et d’utiliser les énergies à leur juste mesure.
Une
fois de plus, je suis fascinée par tout le potentiel intérieur, tous les
possibles qui sont face à moi. Et ce conseil pioché tout à l’heure dans la boîte à idées de Lulumineuse m’invite à poursuivre l’exploration, la purification des
corps subtils et l’alchimisation des énergies.
"Nous
vous invitons à bien définir vos projets pour épurer votre rayon créateur"
--
Lulumineuse
Pour le moment, je focalise mon attention sur la paix, le désir d’unité et prête attention à l’enfant intérieur, aux images, aux désirs qui émergent. Je nourris la créativité en chaque chose que je fais, agissant en conscience et en paix.
Il est vrai que l’idée de m’inscrire à l’association d’aide à la personne suscite pas mal de réflexions mais ma vision change à mesure que je confie tout au cœur.
Pendant longtemps, je refusais de faire du ménage pour les autres parce que je voyais ça comme quelque chose de dégradant, comme une régression, une punition même et ça ne faisait que réveiller les regrets, l’amertume. Je restais bloquée sur les à priori, j’associais cela à de l’esclavage, aux inégalités hommes/femmes, aux inégalités sociales aussi entre les différentes classes.
Puis, peu à peu, ma vision change, déjà, il y a le désir d’être plus autonome financièrement, de participer à la vie de la société puis l’idée majeure que tout dépend de la vibration sur laquelle on fait les choses.
Et maintenant, à mesure que je maintiens en place le désir d’unité, que je parle à mes corps et leur demande de donner le meilleur d’eux-mêmes, simplement pour honorer cette vie, cette occasion de manifester la source dans la matière, ça change tout, la vibration n'est plus la même.
Le temps de créer véritablement, c'est-à-dire de poser une intention et de la mettre en œuvre n’est pas encore venu mais ça s’approche à grands pas. Il faut déjà, définir plus précisément ce que je veux dans la forme et pour ça être à l’écoute de ce qui m’anime le plus, d’observer ce qui me procure le plus de joie dans la vie.
Tout dépend de la façon dont on voit les choses. Une situation peut être un moteur alors même qu’elle est perçue comme un frein. Si on se dit que c’est une occasion de mieux se connaitre, de sonder ses profondeurs afin d’y mettre de l’amour et de la lumière, on va effectivement constater que tout ce qu’on vit est pertinent que c’est une occasion de progresser, de s’ouvrir, de s’épanouir.
Là encore en balayant les à priori on s’ouvre, on élargit le champ des potentiels en reconnaissant nos qualités intrinsèques, notre propre géométrie sacrée, les énergies, les rayons, les fréquences intégrées qui sont à notre disposition et qui n’attendent que notre accord pour se manifester, se concrétiser dans la matière.
L’expérience ‘service aux autres’ sous forme de ménage extérieur peut très bien booster mes désirs réels et profonds et me donner le courage d’oser proposer mes services afin d’aider les gens à faire le ménage intérieur.
Rien n’est figé, arrêté et en percevant au-delà de la forme, on peut voir tout ce qu’une situation peut contenir de bénéfique.
Ce petit texte est venu à point et il nourrit ma pensée du moment, la vision de l’instant et ce qui est à venir. En commençant par reconnaitre et offrir à la source toute les pensées limitantes, les résistances à recevoir, le sentiment d’indignité, de petitesse, les énergies se placent et préparent le terrain.
Et cette exploration des mondes intérieurs, des mondes de l’imaginaire, de l’éther, ces retrouvailles avec des aspects internes tels que la pureté, l’innocence, le goût pour ce qui est beau, doux, tendre, féérique, la reconnaissance du caractère magique de la vie, y participent concrètement.
Vous
pouvez avoir l’impression que quelque chose vous retient, ou bien vous pouvez
vous sentir frustré ou en colère ou anxieux.
Sachez
que tout va bien.
Votre
Soi Supérieur attend simplement la vague montante d’une nouvelle énergie
créatrice qui va être initiée lors de l’Équinoxe afin de commencer à créer
votre nouveau rêve.
Il
est temps maintenant d'aller à l'intérieur et d’être dans votre propre espace
de Silence et de Paix.… en rêvant à ce qui est en train de venir alors que vous
commencez à manifester votre prochain cycle de vie.
Aucun
rêve n’est trop grand, aucun miracle n’est trop extrême.
Ayez
confiance en sachant que ce que désire votre cœur vous sera délivré au bon
moment.
Celia
Fenn
http://www.starchildglobal.com/
Transmis / Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight☼
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Transmis / Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight☼
Très
souvent pour ne pas dire toujours, on bloque sur ce qu’on aurait pu faire,
surtout quand on a un demi siècle, lol ! Et de cette façon on se coupe de
notre potentiel, alors au lieu de nourrir les regrets en se focalisant sur tout
ce qu’on n’a pas pu faire, autant cultiver l’imagination et se projeter en ce
qu’on aime profondément.
Je devrais dire s’immerger en ce qu’on aime et c’est l’élan porté par la joie qui nous trace la voie.
Comme le dit Sophie Riehl, le fait de se croire séparé de la source, des autres, a mené l’humain à être nombriliste, cynique, à mépriser ce qui est beau, ce qui est tendre, ce qui est doux.
On infantilise les gens en les poussant sans cesse à se déresponsabiliser afin de mieux les gouverner alors qu’en osant reconnaitre et embrasser l’enfant en soi, en osant l’écouter dans ses peines et dans ses joies, en osant mettre en valeur toutes ses caractéristiques, on retrouve le pouvoir de rêver, d’imaginer, de créer et la joie d’être, tout simplement.
Je devrais dire s’immerger en ce qu’on aime et c’est l’élan porté par la joie qui nous trace la voie.
Comme le dit Sophie Riehl, le fait de se croire séparé de la source, des autres, a mené l’humain à être nombriliste, cynique, à mépriser ce qui est beau, ce qui est tendre, ce qui est doux.
On infantilise les gens en les poussant sans cesse à se déresponsabiliser afin de mieux les gouverner alors qu’en osant reconnaitre et embrasser l’enfant en soi, en osant l’écouter dans ses peines et dans ses joies, en osant mettre en valeur toutes ses caractéristiques, on retrouve le pouvoir de rêver, d’imaginer, de créer et la joie d’être, tout simplement.
Le désir d’unité nous permet de connaitre et de manifester les couleurs de notre âme, d’être aligné à la source, "des pieds à la tête". Il suffit pour cela de s’aligner à cette fréquence d’unité et de paix intérieurs.
On a collé l’étiquette sexualité à l’énergie du désir alors qu’elle est la substance créatrice qui intervient dans toute création et premièrement dans la faculté d’imaginer, de concrétiser une pensée. Mais ce thème est si vaste qu’il sera l’objet d’un autre article même si j’en parle tous les jours puisque tout commence en soi, dans la façon de se voir et de se traiter…Tout commence par la purification et à ce propos, je vais prendre une douche agrémentée de rayons doré et argenté…enfin on verra dans l’instant ce qui me vient...
Une
douche très inspirante comme toujours, lorsqu’on purifie en conscience, le
corps physique, le mental et l’émotionnel, de nouvelles idées, images, émergent…
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr