samedi 24 septembre 2016

« Intégrer les nouvelles énergies en douceur » & Méditation guidée de Sophie Riehl





Depuis hier, je sens encore des changements intérieurs profonds qui se traduisent jusque dans la matière. Comme je ne m’arrête sur rien, comme je n’étiquette rien, comme je me laisse être et agir selon l’élan du moment, les nouvelles énergies font leur œuvre de transformation dans la fluidité. 
Je le constate par un bien-être intérieur qui va grandissant et par des gestes plus fluides, plus doux et cependant plus assurés, plus créatifs. 
J’ai eu du mal à m’endormir hier tellement j’étais remplie d’énergie. La diminution des médicaments ne créé plus les mêmes symptômes qu’avant et ça c’est très bon signe parce que ça prouve que la libération est proche. 

Elle est d’abord mentale, énergétique, dans la façon de concevoir cette situation d’addiction qui n’apparait plus comme un problème majeur. Je vois cela maintenant comme l’expression de l’intelligence des corps qui s’ajustent en permanence selon les croyances, la vibration intérieure qui prédomine. L’écoute des conférences sur l’épigénétique a ouvert des portes, de nouvelles pistes de réflexion et de compréhension qui viennent confirmer mon intuition concernant la sagesse, l’intelligence du corps physique et l’activité des cellules, des gènes. Il semble que la prise des médicaments aide à désactiver certains programmes internes...et ce qui est encourageant c'est de savoir que la vibration intérieure en a aussi le pouvoir et va même au-delà puisqu'elle active simultanément d'autres gènes...recrée l'équilibre par la pacification, la neutralité...
L’idée que les profondeurs recèlent des trésors, met en évidence cette intelligence du corps physique et de ses systèmes internes parfaitement coordonnés. 

Et ce que je peux faire pour l’aider, c’est de maintenir à l’intérieur la vibration de la paix, de l’unité et de la joie. La joie naturelle qui découle de la paix et de l’unité, de la reliance amoureuse, entre tous les corps, les aspects de l’être, de la personnalité.

Être alignée sur le mouvement naturel de la vie qui se déploie, s’expanse de lui-même dès lors qu’on se libère des conditionnements, des croyances du monde.
Je n’attends plus d’être parfaite ou d’être telle que mon mental pourrait le définir selon des croyances, des concepts, selon ce qu’il définit comme juste ou bon, pour Être.
Je suis ce que je suis et dans l’acceptation de ce qui se manifeste j’observe ce changement intérieur de plus en plus évident.

L’écoute de l'interview de Marguerite Yourcenar a fait aussi son effet et ce matin, je me dis que je n’ai pas développé un sujet important dans la libération des conditionnements, des croyances et donc des programmes internes invalidants ou souffrants.

Il est clair que le premier réflexe qui vient d’un trauma, c’est de rechercher la réparation, la justice et parfois cela s’exprime en un désir de vengeance. 
C’est un mécanisme légitime de survie qui va permettre à l’individu de se couper de ses blessures, de ne pas les sentir ou pour le moins de les tenir à distance. 




Cette phase a son importance puisqu’elle va permettre à la personne qui a souffert d’un trauma, de trouver sa force, de cultiver des capacités utiles à son développement, à l'expression de son individualité. 
Cependant, si elle nourrit ce désir de vengeance, elle reste enfermée dans un cycle douloureux qui va fausser sa vision de la réalité et elle se sentira toujours sur la défensive, en état de stress. 

Généralement l’usage de drogues, de médicaments, viendra soulager un peu ce stress permanent. Mais là non plus, il n’y a pas libération ou guérison, il y a seulement un soulagement momentané, le temps que les produits fassent effet. 

Le combat intérieur qui se déroule au niveau de la pensée, des émotions en conflit et de l’énergie entrainera une escalade dans le mal être, une augmentation des doses et même des maladies à long terme. 
Chaque étape entre l’expression du trauma, le fait de reconnaitre qu’on a été victime, qui passe par la colère, jusqu’à celle de la guérison, est utile mais elle doit être seulement une étape. 
Malheureusement, très souvent on reste coincé dans une de ces phases et il faudra que la souffrance devienne insoutenable ou que les schémas de vie douloureux deviennent insupportables du fait de leur récurrence pour qu’on se tourne vers une autre voie de guérison. 
Pour qu’on lâche enfin prise et qu’on décide de passer l’éponge sur le passé.

Mais ce désir n’est qu’un premier pas vers la guérison, il constitue une prise de conscience essentielle qui va nécessiter de faire le choix de changer ses pensées, ses croyances et de travailler ainsi aussi sur le système émotionnel.  
Selon l’individu, selon qu’il se connait plus ou moins bien, il aura besoin d’être aidé, ou au moins de savoir comment il fonctionne au niveau mental, émotionnel et spirituel, de savoir qui il est en vérité.

Tant qu’on ne reconnait pas l’aspect divin de l’être, tant qu’on ne sait pas comment cette part essentielle de l’individu s’adresse à la personne, communique avec elle, il sera difficile de passer du statut de victime à l’autonomie affective.

Tant qu’on n’apprend pas à se tourner vers l’intérieur et à reconnaitre l’intuition, la guidance, l’inspiration de l’âme, sa vibration, on cherchera au dehors, auprès de personnes dites spirituelles pour savoir comment toucher le divin en soi. 

Cela peut aider un temps mais rien ne remplace l’expérience directe, le vécu et ce qui peut être un soutien, c’est le fait d’apprendre à ressentir ce qui fait écho en soi, à trouver la forme, la technique, l’approche qui nous correspond vraiment.

Quand on a souffert de trahison, il sera difficile de faire confiance aux humains et pour cette raison, on aura tendance à se replier sur soi mais nous sommes maintenant dans une période de transparence et de partage de l’info. 
On peut trouver exactement ce qui nous convient en surfant sur le net, en étudiant ce qui nous attire, ce qui nous parle. 
Cette méfiance envers l’humain peut être bénéfique si on le reconnait, si on l’accepte parce que ça peut nous aider à discerner le vrai du faux ou plutôt ce qui justement fait ou non écho en soi.




Puis il est essentiel de savoir ce que l’on veut, de savoir pourquoi on veut se libérer, guérir ou changer. Si on ne le fait pas pour soi-même, pour devenir autonome affectivement, en un premier temps, on ne pourra pas sortir du rôle de victime tout comme si on cherche un sauveur à l’extérieur. Il est nécessaire de changer le regard qu’on porte sur soi-même avant toute chose.

Lorsqu’on a souffert d’injustice dans l’enfance, on nourrit des croyances à propos de nous-même qui nous enferment dans le mépris et le rejet de soi. 
L’ego tente de nous valoriser par des stratégies de séduction qui vont nous épuiser en vain à essayer de plaire aux autres et en plus ça nous maintient encore dans la dépendance. 
Cet aspect de nous tente de nous protéger, de nous aider à nous sentir valable et il faudra subir des échecs, être rejeté, être à nouveau victime, pour prendre conscience que la stratégie est inefficace. 
D’un autre côté, ça nous permet de développer des qualités, des talents qui seront utiles par la suite. 

Tout ce que l’on vit dans la souffrance ou dans la joie, est utile à notre développement mais on peut grandir de façon beaucoup plus confortable.

Déjà, le fait d’avoir tenu le rôle de victime est si douloureux qu’on arrivera à un moment à ne plus le supporter et à se mettre en colère mais la plupart du temps, cette colère est projetée soit vers l’extérieur, soit envers les aspects de soi qu’on juge trop faible, vulnérables, handicapants. En général on accuse ou on rejette les personnes qui font écho à la victime en soi, ce sont les persécuteurs, les bourreaux, les gouvernants injustes, corrompus, qui font les frais de notre colère.

Tant qu’on projette notre mal-être, on ne fait que le nourrir, l’amplifier et lorsqu’on parle d’être responsable de ce que l’on vit, on comprend les choses de travers. 
La psychologie de la victime est particulière parce qu’elle se sent nécessairement coupable consciemment ou inconsciemment et lorsqu’elle entend qu’elle est responsable de son état d’être, il se livre un combat intérieur entre la victime, l’enfant qu’on a été et la conscience de l’adulte qui cherche à obtenir réparation, à guérir. 

L’âme par nature est libre, souveraine et son énergie se heurte avec celle de la victime. 
La souffrance vient de ces dissensions internes, de ses différentes fréquences de l’être qui s’opposent vibratoirement.

L’enfant qui demeure en nous continue de porter les blessures ou disons que l’inconscient, les gènes, la mémoire traumatique est active, la conscience de l’adulte souhaite guérir et l’âme invite à se tourner vers le cœur, à changer de vision. 
On peut l’exprimer autrement, le passé, le présent et le futur sont opposés ou en lutte ou encore sur des fréquences qui s’opposent.

En ce sens, le positionnement au centre de l’être, dans la paix du cœur, réconcilie tous les aspects de soi, toutes les lignes du temps.

La douleur vient de cette déchirure intérieure, du fait que les aspects intérieurs s’opposent mais quand on sait que l’âme est une mère, qu’elle est cocréatrice de l’humain, on comprend qu’elle va pouvoir consoler l’enfant en soi, l’écouter, le rassurer. 




Se confier à son âme, à son propre cœur sacré est précisément ‘l’acte’ de réparation tant attendu par l’enfant en soi, le fait que l’adulte lui parle tendrement qu'il reconnaisse la souffrance passée, inscrite dans la mémoire physique, est exactement ce que l’enfant attend. En ne refoulant plus les pensées émotions liées au trauma, en les offrant à la source, le corps émotionnel va être nettoyé et se stabiliser.

Là encore, en notre cœur, le temps n’est plus séparé, les phases d’évolution ou les étapes de la croissance de l’individu peuvent se rejoindre dans cette communion par le dialogue intérieur. Les différents aspects de la personnalité, de l'être peuvent se réconcilier en la paix du cœur. 

Et cela se réalise aussi au niveau de l’ADN, de la mémoire, certains gènes sont désactivés et d’autres sont activés par le changement de pensées, de fréquences, par l’amour qu’on sait se donner. 
Reconnaitre les souffrances de l’enfant et les offrir à l’âme, à l’amour lumière en soi ou à l’esprit saint comme décrit dans les évangiles, le consolateur, va modifier la vibration, la lecture des codes génétiques et les parties du cerveau qui sont tournées vers l’avenir ou qui sont aptes à initier le changement ou encore le néo cortex sera activé de plus en plus. L'écoute sans jugement, la patience, la reconnaissance des souffrances passées qu'on offre à la source intérieure, c'est l'amour divin en action, l'activation de la triple flamme: la sagesse et l'amour en action. Cette trinité va pacifier et unifier les aspects de l'être, sacraliser le masculin, le féminin et guérir l'enfant, restaurer l'ordre et la justesse. Unifier au lieu d'opposer, le conscient, l'inconscient et le subconscient.


Cette médiation guidée est un outil efficace qui aide à contacter l’enfant en soi. 
Toute émotion qui émerge lors de l’écoute, témoigne que le contact est établi. 
Les émotions de l’enfant, les pensées qu’il a gardé secrètes par peur d’être rejeté, on besoin de s’exprimer librement et d’être entendues sans jugement. 
Mais je vous laisse tenter l’expérience si ça n’est pas déjà fait. 
Ceci dit, il ne suffit pas de le contacter une seule fois parce qu’il est plutôt question d’établir ce contact afin d’apprivoiser cet aspect de soi qui est très précieux
Et c’est la communion, enfant, adulte, âme qui va réaliser peu à peu la guérison, la libération du plein potentiel…
« Méditation de l'enfant intérieur » Sophie Riehl





Quand on comprend comment nous fonctionnons et de quoi nous sommes faits, on peut alors faire confiance à tous nos corps, aux aspects divins, éclairés, à l’amour, à l’essence de l’être. 
L’idée de culpabilité n’a plus de raison d’être parce qu’on sait que les systèmes internes, les stratégies de l’ego sont des réflexes de survie et qu’on n’est pas limité à ce genre de réponses. Ou encore que nous ne sommes pas soumis à nos gènes, aux mémoires traumatiques. 

Mais pour que la mémoire soit désactivée, il faut déjà en prendre conscience et ne plus y répondre de la même façon. Ce qui ne veut pas dire de vouloir changer en force, d'agir sur le comportement mais d'aller à l'origine de celui-ci, au niveau de la pensée qui nourrit le geste. 

Le potentiel de guérison, de résilience, est là mais il demande de faire des choix. Celui de ne plus nourrir la division et le rejet de soi. C'est la seule façon de casser les réflexes conditionnés, de sortir de la lutte, du conflit interne. 

Pour que la structure psychologique change, pour que les schémas de pensées n’amènent plus les mêmes réponses stratégiques, les mêmes comportements douloureux, punitifs, il est nécessaire de ne plus les nourrir. 
Cela demande d’être attentif à ses pensées. 

La victime se construit sur le système de punition et de récompense, en mode duel à tous les niveaux. Elle se sent coupable d’une part alors elle se punit et comme un aspect interne revendique le droit au bonheur, à la guérison, à la justice, elle a besoin de récompense, d’attirer l’amour des autres. 
En ce sens, les drogues, l’alcool, tous psychotropes répondent parfaitement à ce schéma de pensées puisqu’on trouve la récompense et juste derrière la punition ou dit autrement l’extase et la redescente ou la descente aux enfers. 
On sait que le produit altère le corps physique mais le besoin de plénitude, d’extase, d’amour, de bien-être, est si fort qu’on en accepte le côté morbide qui en plus correspond à la logique de la punition. 

Il est clair qu’à l’intérieur, c’est un conflit permanent qui se joue et pour trouver la paix, il est nécessaire de se centrer, de neutraliser la vision, de pacifier les émotions et de lâcher toute forme de jugement qui nourrit le conflit, la dualité et tous les systèmes qui en découlent.  
S'autoriser à guérir sans souffrir, se donner le droit de vivre ce qui a besoin de s'exprimer et l'offrir à l'amour lumière intérieur, libère de ce cycle infernal de punition/récompense. On vit alors dans la grâce,la reconnaissance que nous sommes aimés, guidés en permanence, soutenus par l'âme, la source, les guides...




Mais pour cela, il faut être convaincu d’être essentiellement amour et lumière. 
En ce sens porter un regard bienveillant, remplit de compassion envers l’enfant qu’on a été, ou simplement le vouloir, va activer l’amour en soi, le réveiller et en abandonnant toute forme de jugement envers soi, la conscience va s’éclairer. 

Changer le regard qu’on porte sur soi est essentiel et comme le monde des pensées et associé à celui des émotions, apprendre à confier à la source toute réaction, toute pensée difficile, toute émotion va pacifier ces corps et restaurer la reliance, l’amour, la plénitude, l’unité de l’être. 

La confiance en soi va grandir et comme elle s’appuie sur la vibration de paix, d’unité, de l’amour divin ou inconditionnel, le besoin de reconnaissance, la dépendance affective n’existeront plus
Au lieu de ça, on aura envie de contribuer, d’offrir, de rayonner l’amour et la paix. 

Quand on goûte ces énergies en soi, quand on sait qu’elles rayonnent librement lorsqu’on cesse de lutter contre soi, on constate que quelque chose de plus grand que la personnalité est à l’œuvre. 
Toute la tendresse qu’on cultive envers soi-même, envers les aspects vulnérables, renforce l’amour à l’intérieur tout comme la sensation de plénitude qui vient de la paix et de l’unité des corps, de l’harmonisation des énergies.

Cette connaissance intime de soi, de tous les aspects de l’être est un formidable apprentissage au sujet de la liberté d’être, du pouvoir intérieur et de la compassion véritable. Il ne s’agit pas de pitié mais d’amour par la reconnaissance intime du divin en soi ; une connaissance qui s’appuie sur l’expérience, sur le ressenti, la communion intérieure. Elle est indestructible !

Pour en revenir à mon ressenti du moment, le trop plein d’énergie est la conséquence du lâcher prise, de l’accueil, de l’abandon en confiance à la source intérieure, de l’unité et de la paix qui laisse l’énergie de vie s’écouler librement. La confiance, la gratitude sont des fréquences d'ouverture qui permettent de recevoir les nouvelles énergies.
C’est puissant, étourdissant ! Ça m’invite à une petite relaxation pour ancrer l’énergie.

Je viens à l’instant de lire le dernier message de Sandra Walter et ça résonne fortement, ça correspond à mon ressenti.
Et ce court message mais néanmoins chargé de sens est aussi en parfaite résonance avec mon expérience, ressenti intérieur. 
Là encore, je comprends pourquoi ces derniers temps j’étais invitée à suivre aveuglément l’élan de l’instant puisque l’assurance, la confiance sont installés et me préparent à accueillir ce qui vient avec un regard beaucoup plus neutre et élargit. 



"Depuis 2012, au cours des années, le changement et la transformation ont été incessants. Cette année, nous avons vu ces transformations / changements intérieurs devenir de plus en plus importants.
Une conscience plus profonde de votre cœur et de votre âme apporte un grand changement dans votre vie. 
Les aspects intérieurs de votre âme deviennent de plus en plus évidents, donc votre vie est en train de changer en conséquence.
L’Équinoxe de cette semaine vous conduit à travers un portail puissant et vers une nouvelle vie, une nouvelle réalité.
Préparez-vous à une accélération de l’énergie de votre âme alors que les codes de lumière qui arrivent amplifient votre champ énergétique et augmentent le processus de nettoyage et de clarification.
Vous êtes dans la dernière partie de ce processus particulier. Ces prochains jours, maintenez votre focalisation sur votre cœur et permettez à la sagesse et à la guidance de votre âme de vous guider afin d’avancer.
Kate Spreckley
http://www.spiritpathways.co.za/
Traduit / Transmis par TransLight https://www.facebook.com/TransLight


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr