Je
suis toujours focalisée sur l’auto-guérison puisque ça fait partie des
attributs divins de l’humain et ce conseil des guides canalisés par Lulumineuse,
tiré au hasard (en cliquant sur ce lien) me parle évidemment.
"Seule
ton interprétation t'amène à la peur. Veille à la manière dont tu gères
les informations, avec ton émotionnel."
--
Lulumineuse
Cette
affirmation est venue me ramener à la conviction que je peux guérir parce qu’il
est naturel que le mental émette des doutes puisque toute sa vie il a nourrit l’idée
d’impuissance et d’indignité. Enfin je devrais dire que ces programmes
invalidants inhérents à l’humain ont agi en sourdine tant que je n’étais pas
consciente de ma nature véritable, multidimensionnelle.
L’idée
que le lâcher prise soit indispensable dans le processus de création délibérée,
de guérison, apparait pour des raisons tout à fait logiques. L’attente est un
signe que le mental est en état de stress, que la peur commande et bien évidemment
si elle est dominante dans l’inconscient, elle va s’opposer au processus de guérison, en annuler
les effets.
J’ai
demandé spontanément à mes guides, enfin aux aspects multidimensionnels qui
sont dans des sphères lumineuses, comme l’explique Kreyon dans ce message, de
procéder à un soin sur mes artères hier soir.
Je sais que ce que je peux faire
pour favoriser la circulation sanguine, c’est de nourrir la joie donc d’accueillir
et d’offrir à l’amour lumière intérieurs toute pensée pessimiste, toute peur,
toutes croyances passées d’impuissance, d’indignité. D’être vigilante à la
fréquence sur laquelle je suis à chaque instant.
Ceci dit, il ne s’agit pas de
se fliquer mais juste de revenir au centre, de se positionner en observateur
quand on sent que quelque chose est troublant en soi.
Malgré que ces pensées
apparaissent je ressens que la guérison fait partie de mon parcours de vie, je
ne peux pas l’expliquer mais c’est une forme d’assurance intérieure.
Il se peut
aussi que ce soit seulement une vision du mental qui comprend la puissance de l’amour,
des croyances, mais c'est un ressenti qui émane dans la paix et l’unité intérieures.
Les synchronicités placent sur ma route des messages, des vidéos qui parlent de
la puissance du subconscient, des aspects multidimensionnels divins, sans parler de mes deux livres de chevet actuels ; les « 13 rayons sacrés » de Joéliah et celui du docteur Lissa Rankin : « Quand le
pouvoir de la pensée l’emporte sur les médicaments ».
Je
constate que contrairement à mon habitude, je ne me précipite pas pour lire ce
livre qui peut m’amener à amplifier la foi en ce processus interne et naturel
de guérison et en cela je reconnais des peurs encore actives.
Mais je ne force
rien, je laisse les pensées émerger et je les offre à la source puis je suis
toujours l’élan spontané. La peur de trouver en cette lecture des idées qui
viennent diminuer ma foi, comme par exemple le fait qu’il faudrait forcer quelque
chose ou encore qu'elle affirme des idées qui ne résonnent pas avec ma vision, mon ressenti. Le fait qu'elle soit médecin est à double tranchant.
Par expérience, je constate que
lorsque je suis connectée à la source ou aligné aux fréquences de la paix, de l’unité,
de la joie, tout s’écoule facilement et naturellement.
En ce sens la seule
chose à faire, c’est d’être conscient ouvert et réceptif.
Le
mental est très utile lorsqu’il a reconnu la puissance de l’amour sans
conditions, la valeur de l’intuition et surtout lorsqu’il n’est plus méprisé ou
rejeté comme un mal propre, un aspect inférieur de l’être. Il est utile lorsqu'on sait reconnaitre l'énergie qui porte les pensées mais là encore, cette perception se cultive et se développe par la pratique, l'attention à ses mondes intérieurs, patiemment.
Au début du
parcours, c’était laborieux parce qu’il essayait de s’adapter aux nouvelles
croyances, en rejetant les émotions dites négatives, en essayant de suivre le
modèle de l’être spirituel qu’il s’était imaginé.
Mais
en prenant l’habitude d’agir par instinct, ou par intuition, de façon spontanée
tout en sachant que le but n’est pas de savoir si l’élan émane du cœur ou de la
tête, il a pris confiance en la source, en l’intelligence du cœur, du corps
physique et même vis-à-vis de l’inconscient.
Cette attitude permet de libérer
les pensées relatives aux croyances anciennes et chose essentielle d’intégrer
la liberté véritable. Cette liberté d'être est indispensable pour pouvoir agir selon ses propres visions et son ressenti.
C’est
une façon d’être qui permet à tous les
corps d’être nettoyés, équilibrés, à l’inconscient d’être éclairé ce qui a pour
effet de désactiver peu à peu les croyances invalidantes et de limiter les
stratégies de survie qui alors sont cantonnées aux fonctions naturelles du
corps physique.
La
capacité à prendre du recul permet au mental d’adopter de nouvelles stratégies
qui sont élaborées en association avec tous les corps, selon la vibration de l’unité,
de la paix.
Elles ne sont plus établies selon la peur mais selon l’amour sans
conditions et la certitude que chaque corps, chaque système interne est précieux,
que chaque organe est aussi nécessaire et qu’il n’y a pas de notion d’infériorité
et de supériorité. Comme le note aussi Kreyon dans le message cité plus haut.
Il
est clair que ce changement de positionnement interne entraine des ajustements,
et cet afflux de lumière permet au mental de retrouver sa juste place, celle d’observateur.
De ce point de vue il va pouvoir déduire selon sa logique de comparaison en
utilisant aussi la notion de temps, de linéarité, passé et présent, les corrélations
entre le mode de pensée et l’état d’être.
Il va comprendre l’intérêt de suivre
l’intuition et pouvoir interpréter avec plus de clarté ces processus internes
si complexes de l’accueil, de l’acceptation, du lâcher prise.
Il reconnait
aussi les facteurs "risque" et "erreur d’interprétation" non plus comme des freins,
des contraintes mais comme quelque chose de naturel qui en plus lui permet de
se détendre, de lâcher le besoin de convaincre, de plaire, de performer.
Cet
outil de la conscience est essentiel puisqu’il est le lien entre les mondes
invisibles de la pensée et celui de la matière, du geste. Le pont entre l’idée
et sa manifestation, le concept et sa réalisation. Il est aussi le pont entre
la conscience source et le monde des croyances, de la pensée humaine, de la
personnalité.
Ceci dit, ça n’est pas lui qui agit mais il est nécessaire au
plan puisque c’est aussi selon le choix de focalisation que l’énergie s’oriente
et change de forme.
C’est vrai que ça n’est pas évident de parler de choses
spirituelles depuis la personnalité humaine mais c’est normal et logique
puisque nous sommes multidimensionnels ; nous existons sur différents
plans de conscience. Ça aussi ça pose problème au mental mais comme il n’est
pas séparé de la source, de l’intelligence du cœur, déjà, s’il est en
confiance, il peut recevoir l’inspiration qui va lui permettre de lâcher le
besoin de comprendre et ainsi de pouvoir recevoir de nouvelles infos.
Dans
mon désir de manifester la santé parfaite et la jeunesse éternelle juste pour
être bien avec tous mes corps, en ce temple de chair, dans cette incarnation et
pas dans l’idée de durer, les pensées invalidantes, d’impuissance et d’indignité
apparaissent mais comme elles sont harmonisées dans la vibration du cœur, de
nouvelles idées émergent.
Par exemple le fait que la mort soit un portail vers
d’autres mondes ou un changement d’apparence comme l’eau qui peut passer de l’état
liquide à celui de vapeur, vient comme une évidence logique sans émotions.
L’idée que la
personnalité ne peut pas contrôler la vie vient relativiser la notion de
pouvoir qui se libère ainsi du besoin de dominer, de se valoriser en s’appropriant
les mérites de toute réussite ou de ce qu’elle peut considérer comme une
victoire.
Il
ne s’agit pas de combattre quoi que ce soit ou de gagner contre quelque chose
mais juste de laisser la nature véritable de l’être se manifester et d’être
conscient que quelque chose de plus grand que la personnalité est à l’œuvre.
Le
concept de hiérarchisation est abandonné au profit de l’association, de l’unité
où on reconnait à chaque cellule, chaque énergie, le droit d’être et son ‘utilité’.
Là aussi ce concept d’utilité est en lien direct avec les croyances qui se
basent sur la notion de mérite et de récompense, de besoin d’être productif. C'est aussi ce qui donne un sentiment d'urgence et colle la pression alors que je constate qu'en agissant en conscience, en prenant le temps de faire les choses, tout est simplifié et coule de source.
Ces
notions sont réajustées, équilibrées à mesure qu’on vibre sur la fréquence de
la paix et de l’unité. Le mental perçoit les choses sous un angle nouveau et
toujours selon le même principe de lâcher prise et d’ouverture, de capacité à
recevoir.
En
repensant à la notion de prospérité, je me suis demandée si j’avais définit ma
vision de cela dans ce que j'ai publié hier mais comme je n’ai pas l’envie de relire ce que j’ai
écris à ce sujet puis comme ces concepts sont nouveaux, je suis l’élan qui me
pousse à développer ce thème qui touche tellement de domaines.
On
associe en général la prospérité, l’abondance, à l’aspect matériel et financier
de la vie mais selon ma vision, c’est beaucoup plus vaste, à l’image de ce que
nous sommes.
La richesse à mon sens est énergétique, vibratoire, elle est liée
à la conscience d’être l’amour et la lumière. Ou la substance du vivant,
intelligente, évolutive, le tout harmonieusement orchestré est en perpétuel
mouvement.
Cette
connaissance est la plus grande richesse que puisse détenir un être humain
puisque de cela découle une vision, un état d’être et un comportement en
conséquence.
Selon notre vibration on attire des fréquences, des situations,
des personnes en résonance alors quand on peut vibrer l’amour, la paix, l’harmonie
et l’unité, on ne manque de rien, on est déjà comblé.
La
puissance nous fait peur parce qu’on l’a associée à la domination tout comme l’argent
est très souvent perçu comme un de ces facteurs de dominance sur les autres et
même sur la vie. Ce sont les pensées qui ont émergé en écoutant le livre audio
de Louise Hay.
Ce n’est pas nouveau puisque j’ai déjà reconnu que je portais
ces croyances et qu’elles étaient bien ancrés et de plus nourries
continuellement par le collectif de façon consciente et inconsciente.
Là
encore, il ne s’agit pas de se raisonner, de se dire que ce sont de fausses
croyances à éliminer mais plutôt de se tourner vers le cœur, de lui offrir ces énergies afin qu’il les
harmonise et qu’émergent de nouvelles idées, une nouvelle vision.
Lorsque
notre cœur déborde, on attire le meilleur autant pour nous même que pour les
autres puisque la vibration n’a aucune limite et elle affecte tout ce qui nous
entoure, personnes, animaux et objets compris.
On peut même constater que ça
change notre apparence physique.
Je fais un break pour aller cueillir les fraises
et les framboises. Si j’en parle c’est parce que j’ai remarqué que les pensées
liées à la peur du manque mais aussi à la peur de l’abondance sont apparues dans
cette situation de surabondance de récolte. J’ai vu comment la
production avait diminué quand j'ai compris que je me sentais dépassée et que ça m’amenait à devoir donner.
J’aime donner mais pas pour les mauvaises raisons si on peut dire. Déjà ça m’agaçait
de donner le meilleur aux autres et de garder les fruits et légumes les moins
jolis.
Puis ça me prenait trop de temps de devoir récolter et j’ai bien l’impression
qu’une stratégie s’est mise en place pour limiter la production.
L’idée que je
ne mérite pas le meilleur a été mis en évidence aussi dans cette situation
parce qu’il n’est pas juste de donner aux autres ce qu’on a de mieux. Même si
je le faisais spontanément, avec le recul, je voyais que je ne donnais pas
toujours sur la bonne fréquence.
Donner parce qu’on veut être reconnu comme
quelqu’un de généreux nourrit le manque d’amour de soi. Il y a un déséquilibre qui se créé à l'intérieur et en même temps c'est une façon d'affirmer qu'on ne mérite pas ce qu'on a, que le travail qu'on fournit n'a pas de valeur.
La peur de ne pas
savoir gérer le surplus est aussi mise en relief et ça correspond à mon ancienne
façon de faire. Je dépensais tout ce que j’avais
dans l’achat de drogue et bien
évidemment je me serais tuée dans de telles conditions. Mais même si je vois
cela, si c’est encore ancré en profondeur le seul fait que ça puisse émerger
sous forme de pensées et que je l’offre à la source, change peu à peu les
choses, je suis plus neutre. Je continue de donner mais je ne trie plus, je donne tel que c'est.
Tout
a besoin de trouver l’équilibre et c’est toujours en confiant au cœur ces
pensées que cela se réalise. C’est la seule chose dont je sois certaine parce
que même mes interprétations sont subjectives et changeantes. Ceci dit, plus je
fais confiance à ce processus d’accueil et moins j’ai besoin de m’accrocher aux
interprétations.
Le sentiment que la guérison est à portée de main ou que ce
processus naturel intérieur découle de la vibration de paix, d’unité et d’harmonie
nourrit la foi en cela. Ce qu’on appelle résurrection peut être interprété en
termes de régénération cellulaire. La vie éternelle est en nous et lorsqu’on
laisse le cœur harmoniser l’intuition et la logique, toutes ces notions
spirituelles apparaissent comme évidentes mais ça ne veut pas dire non plus que
ce soit accessible dans cette vie. Il est clair que la vie ne s’arrête pas mais
qu’elle se transforme et en ce sens vouloir guérir soulève aussi la question de
l’appropriation, de l’identification.
Je
sais que je ne suis pas ce corps physique, que les cellules sont autonomes et
intelligentes, je sais que mes pensées vont et viennent et qu’elles ne
définissent pas non plus qui je suis mais un aspect superficiel de l’être. Je
suis donc locataire des lieux et c’est pour vivre dans la paix, l’unité, la
joie, pour vibrer sur la fréquence de la source que le désir de guérir se
manifeste.
Cette situation est une expérience qui me donne l’occasion de voir
et de libérer les peurs, croyances et conditionnements et c’est peut-être sa
seule raison d’être. La finalité ne m’appartient pas mais je peux choisir ma
vision à ce sujet et l’état d’être que je nourris dans ce voyage
Cette
fois-ci j’interromps l’écriture pour aller en courses...
J’ai
pu expérimenter la force de l’offrande à la source des pensées de jugement, de
critique qui viennent lorsqu’on est dans une file d’attente. À peine j’avais
rejoint la neutralité, la paix du cœur, j’ai entendu une caissière en
appeler une autre à la rescousse. Pourtant personne n’a fait de réflexion
désagréable du fait de devoir attendre.
Là encore, c’est insignifiant comme
situation, ce qui est remarquable, c’est la synchronicité.
Je sens que je suis appelée
à regarder en face le pouvoir, la force intérieure et à laisser émerger des
dons. Il y a toujours la peur de mal faire ou d’abuser de ce pouvoir parce que
je sens que la tendance à se sentir supérieur vient vite quand je constate
cette puissance intérieure.
La seule
chose à retenir dans tout cela, c’est que ce sont les aspects connecté à la
source, les aspects divins de l’être qui mènent la danse et il est question d’en
prendre conscience peu à peu.
Pour
revenir sur le sujet de la prospérité, ces dons intérieurs en font partie et ce
sont des outils qui permettent d’accéder à l’abondance dans la libre
circulation de l’énergie de façon harmonieuse, équilibrée. Et selon ma vision,
il s’agit déjà de reconnaitre tout ce qu’il y a de bon dans ma vie puis de
constater que malgré la croyance basée sur l’idée de manque, je n’ai jamais
manqué de rien.
L’abondance, c’est aussi cela, avoir ce qu’il faut quand il le
faut.
Ceci dit, je sens qu’il est temps de passer à un cap supérieur et de s’autoriser
à recevoir davantage. Mais je laisse la source, la vie, les élans spontanés me
guider parce que c’est aussi de cette façon que la responsabilisation perd son
caractère culpabilisant et dramatique. La peur de faire les mauvais choix ou d’échouer
reconnue et offerte à la source se dissout dans le constat que tout est guidé d’en
haut. Qu’il n’y a pas de mauvais choix
mais simplement différentes façons d’interpréter la réalité. Avec le recul on
constate que tout est une occasion d’apprendre, de grandir, d’élargir son cœur et
sa conscience.
Je viens de regarder le film " Intouchables " que j'ai découvert aujourd'hui et ça me ramène encore à la notion de pouvoir, au potentiel de l'humain de créer sa vie selon ses désirs profonds, à la puissance de la vibration, de la détermination et au caractère éphémère de la vie... Beaucoup de croyances passées sont en train de se dissoudre et la sensation intérieure lorsque je confie à la source tout ce qui émerge, me donne confiance que le meilleur est à venir. C'est indescriptible comme d'habitude mais c'est puissant!
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr