Ce
matin après une nuit de bon repos, c'est-à-dire sans être réveillée en sueur
toutes les trois heures, je retrouve la paix et la joie simple d’être, sans se
poser de question.
Ces
derniers jours ont été très mouvementés et j’ai bien cru à un moment que je
n’en sortirais pas. Les émanations solaires ont été puissantes et
déstabilisantes.
C’est
toujours le même processus qui se déroule, des énergies viennent nous bousculer
à l’intérieur et selon notre façon de les aborder, on pourra soit amplifier
l’amour lumière en soi, soit souffrir de la division intérieure qui nait de
l’identification à la dualité, à la personnalité humaine.
La
notion de bien et de mal apparait de plus en plus obsolète parce que c’est une
vision du mental qui est limité par son système de croyances à moins qu’on se
tourne vers le cœur et qu’on s’abandonne à sa guidance.
Oui
je sais, je répète cela depuis pas mal de temps déjà mais comme c’est une
notion spirituelle difficile à admettre pour la personnalité, ce rabâchage est
nécessaire pour pouvoir l’intégrer par la pratique.
C’est une façon de préparer
le mental à se tourner vers le cœur, à lâcher prise plutôt que de lutter contre
ce qui se manifeste à l’extérieur et à l’intérieur simultanément.
La
vidéo qui suit est venue comme une réponse apaisante pour le mental, un message
de l’âme afin que la personnalité soit en cohérence, alignée à la source.
La
paix ne peut venir que de l’intérieur tout comme la compréhension des principes
et lois universelles inconcevables pour le mental humain qui n’est pas connecté
à l’âme ou à la source. Ceci dit ça n’est pas nécessaire que cette connexion
soit consciente mais ce qui l’est, c’est de maintenir la paix et l’unité en soi, de ne pas
s’identifier à la dualité apparente.
C’est
sûr qu’il est plus confortable d’être connecté consciemment à l’âme mais ça
peut aussi nourrir l’ego si l’amour de soi se base sur l’aspect superficiel de
l’être, la comparaison et la poursuite d’un modèle idéal forgé par
l’inconscient, la croyance que l’amour vient de l’extérieur. Toutes les
associations d’idées concernant le divin et qui nourrissent les croyances
duelles, polarisées, excessives, erronées, ont besoin d’être harmonisées dans
le cœur.
Ce
qui est remarquable dans cette vidéo, c’est qu’elle confirme plusieurs notions
spirituelles auxquelles j’adhère. Le fait que le mouvement des planètes qui
suivent la course du soleil soit cyclique et qu’il nous amène à traverser
la ceinture de photons est chargé de sens.
Si on considère que la lumière ce
sont des infos et que celle-ci montre ce qui est en vérité, il est logique que
nous soyons tous amenés à voir ce que nous sommes en vérité et en totalité,
c'est-à-dire jusque dans les moindres recoins.
Le caractère obligatoire du
processus démontre aussi que ça n’est pas dépendant de la volonté, de l’ego et
encore moins dans ses compétences.
Seule l’intelligence du vivant, de la
source, de l’âme, du cœur, peut gérer ce phénomène évolutif naturel. D’où
l’importance de se fier au ressenti, aux messages du corps physique et de faire
confiance à son intelligence. Il est constitué des mêmes éléments que ceux qui
sont dans la nature, le cosmos et il obéit aux cycles et aux mouvements
cosmiques
Le lâcher prise apparait comme étant la seule voie possible tout
comme le fait de se laisser porter par le courant d’un fleuve déchainé peut
nous sauver la vie.
Plus on lutte et plus c’est difficile alors que si on
s’abandonne en confiance à la source en soi, au mouvement de la vie, aux élans
qu’elle suscite en nous, en offrant à l’amour lumière intérieur toute forme de
conflit, de division, de jugement, de critique, ce processus est non seulement
facilité mais en plus on sera en mesure de comprendre les nouvelles infos.
Les
pensées émotions douloureuses appartiennent au passé, aux croyances
invalidantes et totalement obsolètes basées sur l’idée de séparation, d'impuissance.
Comment
peut-on croire qu’on est seul, isolé, lorsqu’on voit ce mouvement
cosmique ? Comment peut-on croire que le mental puisse avoir une quelconque influence sur ce cycle ? Comment peut-on douter de l'intelligence de la source, du corps physique dans la capacité de gérer au mieux ces fréquences tant terrestres que cosmiques ?
« Accélération vibratoire terrestre » ( le
cycle actuel )
On n’a pas vraiment d’autre choix que de se laisser guider par
l’âme, la vie et donc de leur faire confiance. D’être à l’écoute des besoins
immédiats du corps physique et de les honorer. Ce qui demande de laisser de
côté les pensées, de prendre du recul.
Ces
derniers jours ont été mouvementés parce que les interactions ont révélé des
attitudes qui demandaient à être vues avec du recul, notamment l’idée de
récompense, le fait de s’attendre à être validé par la source quand on
« fait le bien ».
J’ai
eu quelques élans spontanés à aider et j’ai pu voir que l’ego commençait à
s’enorgueillir. La sensation que ça n’était pas juste m’a amenée à offrir à la
source ces pensées de gloriole qui n’ont pas lieu d’être puisque ça n’est pas
la personnalité qui agit dans ces cas là. Même si l’éducation peut amener à
être altruiste, s’attendre à recevoir une récompense ou à être validé par l’âme
alors que c’est l’amour en soi qui agit n’est pas approprié. C’est le signe que
l’amour de soi est encore basé sur la notion de mérite, qu’il tient grâce aux
stratégies inconscientes qui visent à adopter un certain comportement afin de
plaire aux autres.
L’amour
ne se mérite pas, il se manifeste naturellement lorsque les corps subtils sont
alignés à la source en soi, lorsqu’on est en paix avec soi-même.
Je n’ai jamais
autant ressenti l’amour de la source que lorsque j’ai lâché les jugements, les
critiques et l’accusation.
Et ça se manifeste par la paix, la sensation de
clarté, la joie simple qui dessine un sourire confiant sur le visage. Un sourire
qui ne nait pas d’une quelconque victoire mais de la sensation de savoir
intimement ce qu’on est, ce qui est réel et éternel en soi. Ce qui traverse
toute vie sans exception, qui anime tout être, indépendamment du comportement
et des croyances.
Savoir
qui on est, se découvre à l’intérieur et on peut utiliser le système de
comparaison en observant les différents états d’être liés aux pensées
émotions.
Mais ça ne sont pas non plus
les pensées et les émotions qui sont à
l’origine du bien-être, elles en sont la conséquence et elles nous amènent à nous centrer.
Ce n’est pas
facile à comprendre pour le mental qui raisonne en terme de punition et de
récompense, de bien et de mal, mais ce système de pensée peut s’harmoniser en
revenant systématiquement au cœur, en ne croyant pas ces pensées émotions.
Peu
à peu on perçoit les pensées, les émotions comme des énergies qui nous
indiquent quel est notre point de focalisation, d’identification.
Pour faire
simple, lorsque ça bouscule en soi, c’est parce qu’on n’est plus centré dans le
cœur. L’énergie ne circule plus de façon fluide dès lors qu’il y a jugement,
identification aux pensées sombres et mêmes positives.
Chaque
fois qu’on est dans l’excès, que notre attention est polarisée, soit du côté
négatif, soit du côté positif, chaque fois qu’on n’est plus dans le cœur,
l’équilibre et la neutralité. L'élévation de la fréquence vibratoire de la terre amplifie la puissance d'attraction et les fréquences solaires mettent tout en lumière. Leur effet conjoint exacerbe tout en nous et lorsqu'on revient à la paix du cœur, on trouve l'équilibre entre le féminin et le masculin, entre ses deux forces cosmiques et telluriques. Les conséquences sont gigantesques et remettent en question toutes les croyances. Le masculin et le féminin sont pacifiés, retrouvent leur pureté originelle non plus selon les lois des humains mais selon l'ordre divin, cosmique. C'est une immense révolution intérieure, une expansion de cœur et de conscience que seule la source et l’unité intérieure peuvent mener à bien.
Le
temps orageux a été éprouvant et il reflétait les flux d’énergies électriques
donnant la sensation d’urgence, de pression. Je me demande si ça n’est pas lié
au fait que beaucoup de personnes étaient bloqués dans les embouteillages.
J’ai
remarqué que j’étais sensible aux évènements extérieurs, aux énergies du
collectif comme les périodes où on fête les victoires, le 14 juillet,
l’armistice, le sacrifice du christ, toutes ces énergies inconscientes qui
nourrissent de fausses croyances basées sur la division, la séparation, le sacrifice, le déni de soi...des interprétations faussées et polarisées de la réalité.
Et
c’est quand je reviens à la paix du cœur, à la neutralité, quand je rassemble mes
énergies en portant mon attention sur le cœur, qu’elles n’impactent plus sur mon
état d’être.
Je
peux remercier les médicaments qui m’aident en ce sens même si c’est une
stratégie du mental parce que ça me permet de ne pas passer mes journées à
surveiller mes pensées, mes émotions. Le mental ego continue de vouloir gérer les énergies mais en reconnaissant cela, et en l'acceptant comme un phénomène naturel, en maintenant l'attention sur le désir d'unité intérieure, il lâche le contrôle peu à peu.
Il est clair que cette stratégie médicaments n’est
pas la meilleure puisque c’est encore une façon de nourrir la croyance que le
mental a le pouvoir de gérer les énergies de façon juste. Mais si je lutte
contre ça, je le nourris, l’amplifie, lui donne du pouvoir. En me fiant au
ressenti physique, en suivant l’élan de l’instant, j’intègre une forme de
liberté d’être qui nourrit la confiance en soi. Et surtout le fait de ne pas
juger cette stratégie m’en libère doucement mais sûrement.
Par
exemple, hier après midi alors que j’étais au fond du gouffre, submergée par
les pensées de victime, je n’ai pas eu envie de prendre un bout supplémentaire
pour ne plus sentir le mal-être. Je n’ai pas lutté non plus mentalement pour ne
pas craquer, j’ai juste reconnu que ça ne servirait qu’à repousser le problème.
Une fois l’effet du médicament passé, le même conflit interne aurait émergé.
Alors j’ai tout confié à la source, j’ai laissé sortir toutes les pensées de colère,
de tristesse, de désespoir, tout ce qui montait, sans rien retenir, sans trop y
croire bien que c’était intense.
Puis
je me suis laissée guider et suis tombée sur l'article que j’ai publié.
Avec
le recul, je vois que le fait de ne pas avoir publié ce que j’avais écrit durant trois jours n’a
pas nourrit la confiance en soi qui nait du fait d’oser exprimer sa vision.
Il
ne s’agit pas d’avoir tort ou raison, de convaincre qui que ce soit mais
d’affirmer son point de vue, d’oser être soi.
Il est clair que la personnalité
humaine ne perçoit qu’une infime part de la réalité qui en plus est toujours
subjective, filtrée par les croyances, le vécu, l’état d’être du moment.
L’intérêt de s’affirmer c’est de développer l’individualité, d’apprendre à se
faire confiance, à reconnaitre en sa vision, l’influence de l’âme, ou à savoir quand c’est elle qui s’exprime à
travers la personnalité ou si c’est le mental seul, les croyances basées sur l’idée
de séparation. Ou dit autrement, si c’est l’amour ou la peur qui s’exprime.
Agir
selon l’élan spontané permet avec le retour, selon l’effet sur l‘entourage et
la sensation que ça créé en soi, de reconnaitre si le geste est juste, s’il
est perçu de la même façon qu’on a voulu l’exprimer consciemment et de voir la croyance qui le motive inconsciemment. Même si l’autre interprète
selon ses propre filtres, selon notre ressenti intérieur, si on est à l’aise ou non, on pourra rectifier le
comportement.
Je me suis habillée d’une façon un peu plus sexy que d’habitude
et les retours m’ont un peu gênée parce que je pensais que mon élan était celui
d’être naturelle alors que ce que j’ai perçu en retour était plutôt équivoque.
Le fait que le blog semble piraté puisque j’ai repéré dans les statistiques qui
indiquent les sources des lecteurs, c'est-à-dire les liens qui les mènent au
blog, des adresses de sites porno, m’a dégoûté au départ. J’ai commencé à me
sentir victime, comme violée dans mon intégrité puis en offrant à la source les
pensées de victime, j’en suis venue à me dire que j’avais attiré cela par mon
attitude. Au début, j’ai eu la sensation de régresser en attirant encore des
situations qui me plaçaient dans le rôle de victime puis peu à peu, en confiant
à la source toutes les pensées qui émergeaient comme la culpabilité, j’ai senti que c’était un retour
de vibration.
Il
n’y a rien de mal à s’habiller de façon sexy mais tout dépend de l’intention
inconsciente derrière cette attitude. Enfin quand je dis sexy, c’est juste
parce que je ne mets pas de soutient gorge, je n’en ai jamais mis et que le tee-shirt a un large décolleté.
Les arguments
plutôt enfantin et même rebelles, c’est de me dire qu’il n’y a pas de raison
que je me cache sous prétexte que les hommes sont affolés par un bout de peau
et voient cela comme un appel séducteur alors que j’ai juste envie d’être
libre, vraie.
Et
le plus drôle, c’est que ce qui m’a mise mal à l’aise, ça n’est pas le
comportement d’un homme mais celui d’une femme qui depuis que je m’affiche
librement, me regarde d’une drôle de façon.
En plus, une chose est claire,
c’est le fait que ces envies de m’habiller de cette façon viennent seulement le
matin lorsque les médicaments font effet. C’est un comportement stratégique
inconscient qui vise à se nourrir de l’approbation extérieure, de s'affirmer par le jeu de séduction, une attitude
issue des croyances passées. Il est clair que le féminin tout comme le masculin, en tant qu'énergie, demandent à être pacifiés et harmonisés. Les croyances au sujet des genres sont totalement faussées.
En
plus, la liberté d’être est intérieure et ça n’est pas en affichant mes formes
sous prétexte de besoin d’être libre ou parce qu’on vit dans un pays où les
femmes ne sont pas voilées, où on prône l’égalité des sexes, les droits de la
femme, que c’est juste.
Le retour est nécessairement en accord avec la
vibration émise qui est celle du besoin de reconnaissance qui passe par la
séduction, le besoin de plaire.
On
confond liberté d’être et besoin de plaire, de séduire.
Même si c’est une
stratégie de séduction qui pourrait être perçue comme légitime dans
une société qui se dit libre, ça reste une stratégie qui comme toute stratégie
ne peut pas amener à recevoir de l’amour ou une reconnaissance juste. Et plus
je cherchais à me justifier, plus je me sentais mal parce que les arguments
révélaient encore plus le manque et la mauvaise foi.
Tout
ceci m’amène à vouloir encore plus lâcher la dépendance aux médicaments mais
pas en forçant ou en contrôlant mes gestes. Pour le moment, il s’agit de
devenir consciente de l’impact des médicaments, du fait que ça nourrit des
stratégies qui sont devenues obsolètes. Et la solution est toujours dans la
reconnaissance honnête de ce qui est puis dans l’offrande à l’amour lumière en
soi des pensées qui nourrissent les croyances donc les comportements.
Être conscient sans juger, c’est l’amour lumière de la source intérieure qui est à l’œuvre.
Si
donc vous êtes redirigé sur un site porno, ça n’est pas une volonté consciente
de ma part même si la vibration que j’ai émané à induit cela. Apparemment c'est en Russie que ça se passe...
Là encore, si je
m’en était voulu d’avoir attiré cela, je serais encore engluée dans la
culpabilité et donc de le rôle de victime. J’ai tout confié à la source et
l’idée d’activer "le protocole https" est venue ; je ne sais pas si ça
suffira à cesser les redirections parce que je n’ai pas eu le courage de lire
les explications à rallonge à ce sujet mais comme l’idée est venue une fois que
le calme s’est à nouveau installé à l’intérieur, je suppose que c’est une bonne
idée.
Ceci
dit, une des raisons pour lesquelles j’étais engluée dans le rôle de victime
hier, c’est que j’ai essayé de trouver des solutions mentalement en utilisant
tous les logiciels anti-virus, anti rootkit, anti malaware…Et bien évidemment,
ça n’a fait que nourrir la peur, le rôle de victime, sans amener de solution
véritable.
Maintenant,
même si le fait d’avoir activé le truc https ne fonctionne pas, au moins, je ne
stress plus à l’idée d’être piratée.
De toute façon le fait de s’afficher sur
la toile comporte nécessairement des risques et celui d’être piraté en fait
partie. J’ai eu envie de fermer le blog, de tout arrêter mais d’un autre côté,
je vois bien que c’est un outil de progression qui m'est encore utile.
Tant par le fait d’écrire
quotidiennement, ce qui permet d’aligner le mental, de structurer la pensée et
d’intégrer la foi, que par le fait d’oser exprimer ma vision. Et le fait d'être lue nourrit l'espoir, la sensation d'être utile, la joie de partager ce qui est le plus précieux à mes yeux. C'est un soutien pour le mental et une façon de contribuer à ma mesure, en partageant ce qui m'est le plus cher, une façon de nourrir les vibrations et de les amplifier par la reliance invisible, énergétique, avec vous, avec des personnes qui partagent les mêmes valeurs. Une façon de se situer dans le monde et quand j'ai des retours agréables, ça amplifie l'amour.
Puis le risque, la peur, font partie de cette incarnation, ce sont des outils de positionnement, et la solution,
c’est toujours de se centrer, de continuer de faire confiance à la puissance de
l’amour lumière et de lâcher prise.
Je sens bien que la force intérieure augmente à mesure que j'offre à la source tout ce qui me perturbe. Mais c'est une force qui ne repose pas sur l'ego sans pour autant l'exclure. Une force qui vient de l'unité intérieure et pas des jeux de pouvoirs, des rôles.
J’ai
pu constater une fois de plus, le cinéma qu’engendre la peur, la spirale
descendante des pensées sombres qu’on nourrit, la paranoïa qui s’installe, et
enfin, la paix qui revient lorsqu’on lâche prise, lorsqu’on confie tout à la source.
C’est une façon de baisser la garde, de rendre les
armes, de reconnaitre l’impuissance des stratégies du mental et ce faisant d’intégrer
l’unité et la paix intérieures seules remparts contre les influences des
égrégores sombres, des pensées émotions négatives en soi et celles qui viennent
de l’inconscient et de la conscience collective.
Puis le fait de me tourner
vers des messages encourageants en résonance avec l’âme plutôt que de ressasser
a été bénéfique parce qu’entre le moment où on offre à la source les pensées
sombres et celui où la joie, la confiance reviennent, on est fragilisé.
Les
énergies extérieures sont reliées à celles qu’on porte et tant que la foi n’est
pas maintenue entre l’identification au rôle de victime et le moment où la paix revient, les
influences sombres extérieures peuvent nous ramener vers le bas.
Et tant que la
confiance en la puissance de l’amour lumière, du centrage, du lâcher prise, ne
sont pas complètement ancrés, il peut être utile de se tourner vers des
énergies qui activent la foi.
Une
fois que la paix est revenue, un bel orage est venu rafraichir l’atmosphère. Il
a beaucoup plu et c’est une bonne chose parce que j’ai pas mal de choses à
faire au jardin avec les récoltes à conditionner alors une heure d’arrosage en
moins, c’est autant de temps pour pouvoir écrire.
Là encore, j’ai senti que je
me collais la pression par peur de gaspiller. J’ai passé la journée à m’activer
et à râler contre le fait que je n’avais pas le temps de me détendre.
Je vais
faire autrement aujourd’hui en offrant déjà à la source les pensées liées à la
perte, à la peur de gaspiller, de manquer.
Ce sont vraiment des croyances parce
que si je regarde honnêtement avec du recul, je n’ai jamais manqué de rien. Et
si je n’ai jamais eu de superflu, c’est autant par instinct de survie puisque
chaque fois que j’avais plus que d’ordinaire, je courrais acheter de la drogue,
que par inspiration de l’âme.
Je remarque qu’elle me préserve de nombreux
pièges liés à l’amour conditionné.
On peut se croire victime quand on n’a pas
de fortune, de compagnon, de position sociale enviable ou de succès mais du
point de vue de l’âme, ce sont autant de garde fous et d’occasions de trouver
l’amour véritable plutôt que de s’accrocher à des chimères, des fausses
croyances.
La
réussite sociale, financière, la popularité sont des leurres, des stratégies de
l’ego qui visent à nourrir l’estime de soi mais qui en fait éloignent du cœur,
de l’amour véritable tout en maintenant la personne dans l’illusion et
l’attachement à l’éphémère.
C’est d’abord en nourrissant l’amour lumière en
soi, en reconnaissant que nous sommes essentiellement cela et en étant dans
l’acceptation totale de soi, que viennent naturellement l’abondance à tous les
niveaux.
Lorsqu’on
vibre l’amour sans conditions, l’unité et la paix, on attire des personnes, des
situations et des vibrations de même fréquence. On n’a pas besoin de plaire
mais le rayonnement qu’on émane attire naturellement les autres. La lumière,
l’amour et la paix qui se dégage de la personne attire l’attention positive des
autres.
Déjà
la curiosité parce que justement on ne fonctionne pas selon les stratégies
habituelles de séduction et au niveau énergétique même si les autres n’en sont
pas conscients, il y a l’effet de résonance. Cela éveille en l’autre sa propre
essence et la sensation de bien-être qui s’en dégage.
La
façon de s’habiller reflète directement la vibration qu’on porte et on peut
utiliser cela pour devenir plus conscient de ce qu’on émane, de ce qu’on porte
et nourrit.
Je
vais faire attention à cela maintenant. Non pas en m’interdisant de porter
certaines tenues mais plutôt comme un outil de révélation de ce que je vibre.
Une façon de nourrir la confiance en ce processus d’accueil et de voir ce qui en émerge une fois
que je me suis centrée et que j’ai observé les processus inconscients, repéré
les stratégies à l’action bien évidemment en dehors de tout jugement, dans la
neutralité révélatrice.
Déjà, des pensées critiques de jugement, de dévalorisation telles que "c'est débile ce que tu écrit", "tu te rabaisses encore", "tu rabâches"... se pointent à la relecture avant publication! Je m'en vais au jardin les offrir au soleil, à la Terre Mère, afin que ces forces de la source en harmonisent les énergies...et que je puisse oser publier librement cela...sans auto-censure.
L'ego est soumis à rude épreuve en ce moment mais dans la paix du cœur la vision change et des pensées telles que "tout ceci n'est qu'un jeu", "nous sommes tous dans le même bateau", "tous secoués afin que les masques tombent et que notre nature véritable émerge"... remplacent les critiques.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr