lundi 1 août 2016

« Être conscient sans juger, c’est l’amour lumière de la source intérieure qui est à l'oeuvre ».






Ce matin après une nuit de bon repos, c'est-à-dire sans être réveillée en sueur toutes les trois heures, je retrouve la paix et la joie simple d’être, sans se poser de question.
Ces derniers jours ont été très mouvementés et j’ai bien cru à un moment que je n’en sortirais pas. Les émanations solaires ont été puissantes et déstabilisantes.

C’est toujours le même processus qui se déroule, des énergies viennent nous bousculer à l’intérieur et selon notre façon de les aborder, on pourra soit amplifier l’amour lumière en soi, soit souffrir de la division intérieure qui nait de l’identification à la dualité, à la personnalité humaine.

La notion de bien et de mal apparait de plus en plus obsolète parce que c’est une vision du mental qui est limité par son système de croyances à moins qu’on se tourne vers le cœur et qu’on s’abandonne à sa guidance.

Oui je sais, je répète cela depuis pas mal de temps déjà mais comme c’est une notion spirituelle difficile à admettre pour la personnalité, ce rabâchage est nécessaire pour pouvoir l’intégrer par la pratique. 
C’est une façon de préparer le mental à se tourner vers le cœur, à lâcher prise plutôt que de lutter contre ce qui se manifeste à l’extérieur et à l’intérieur simultanément. 

La vidéo qui suit est venue comme une réponse apaisante pour le mental, un message de l’âme afin que la personnalité soit en cohérence, alignée à la source.
La paix ne peut venir que de l’intérieur tout comme la compréhension des principes et lois universelles inconcevables pour le mental humain qui n’est pas connecté à l’âme ou à la source. Ceci dit ça n’est pas nécessaire que cette connexion soit consciente mais ce qui l’est, c’est de maintenir la paix et l’unité en soi, de ne pas s’identifier à la dualité apparente.

C’est sûr qu’il est plus confortable d’être connecté consciemment à l’âme mais ça peut aussi nourrir l’ego si l’amour de soi se base sur l’aspect superficiel de l’être, la comparaison et la poursuite d’un modèle idéal forgé par l’inconscient, la croyance que l’amour vient de l’extérieur. Toutes les associations d’idées concernant le divin et qui nourrissent les croyances duelles, polarisées, excessives, erronées, ont besoin d’être harmonisées dans le cœur.

Ce qui est remarquable dans cette vidéo, c’est qu’elle confirme plusieurs notions spirituelles auxquelles j’adhère. Le fait que le mouvement des planètes qui suivent la course du soleil soit cyclique et qu’il nous amène à traverser la ceinture de photons est chargé de sens. 
Si on considère que la lumière ce sont des infos et que celle-ci montre ce qui est en vérité, il est logique que nous soyons tous amenés à voir ce que nous sommes en vérité et en totalité, c'est-à-dire jusque dans les moindres recoins. 
Le caractère obligatoire du processus démontre aussi que ça n’est pas dépendant de la volonté, de l’ego et encore moins dans ses compétences. 
Seule l’intelligence du vivant, de la source, de l’âme, du cœur, peut gérer ce phénomène évolutif naturel. D’où l’importance de se fier au ressenti, aux messages du corps physique et de faire confiance à son intelligence. Il est constitué des mêmes éléments que ceux qui sont dans la nature, le cosmos et il obéit aux cycles et aux mouvements cosmiques 

Le lâcher prise apparait comme étant la seule voie possible tout comme le fait de se laisser porter par le courant d’un fleuve déchainé peut nous sauver la vie. 
Plus on lutte et plus c’est difficile alors que si on s’abandonne en confiance à la source en soi, au mouvement de la vie, aux élans qu’elle suscite en nous, en offrant à l’amour lumière intérieur toute forme de conflit, de division, de jugement, de critique, ce processus est non seulement facilité mais en plus on sera en mesure de comprendre les nouvelles infos.

Les pensées émotions douloureuses appartiennent au passé, aux croyances invalidantes et totalement obsolètes basées sur l’idée de séparation, d'impuissance. 
Comment peut-on croire qu’on est seul, isolé, lorsqu’on voit ce mouvement cosmique ? Comment peut-on croire que le mental puisse avoir une quelconque influence sur ce cycle ? Comment peut-on douter de l'intelligence de la source, du corps physique dans la capacité de gérer au mieux ces fréquences tant terrestres que cosmiques ?
« Accélération vibratoire terrestre » ( le cycle actuel )



On n’a pas vraiment d’autre choix que de se laisser guider par l’âme, la vie et donc de leur faire confiance. D’être à l’écoute des besoins immédiats du corps physique et de les honorer. Ce qui demande de laisser de côté les pensées, de prendre du recul.

Ces derniers jours ont été mouvementés parce que les interactions ont révélé des attitudes qui demandaient à être vues avec du recul, notamment l’idée de récompense, le fait de s’attendre à être validé par la source quand on « fait le bien ».
J’ai eu quelques élans spontanés à aider et j’ai pu voir que l’ego commençait à s’enorgueillir. La sensation que ça n’était pas juste m’a amenée à offrir à la source ces pensées de gloriole qui n’ont pas lieu d’être puisque ça n’est pas la personnalité qui agit dans ces cas là. Même si l’éducation peut amener à être altruiste, s’attendre à recevoir une récompense ou à être validé par l’âme alors que c’est l’amour en soi qui agit n’est pas approprié. C’est le signe que l’amour de soi est encore basé sur la notion de mérite, qu’il tient grâce aux stratégies inconscientes qui visent à adopter un certain comportement afin de plaire aux autres.

L’amour ne se mérite pas, il se manifeste naturellement lorsque les corps subtils sont alignés à la source en soi, lorsqu’on est en paix avec soi-même. 
Je n’ai jamais autant ressenti l’amour de la source que lorsque j’ai lâché les jugements, les critiques et l’accusation. 
Et ça se manifeste par la paix, la sensation de clarté, la joie simple qui dessine un sourire confiant sur le visage. Un sourire qui ne nait pas d’une quelconque victoire mais de la sensation de savoir intimement ce qu’on est, ce qui est réel et éternel en soi. Ce qui traverse toute vie sans exception, qui anime tout être, indépendamment du comportement et des croyances.

Savoir qui on est, se découvre à l’intérieur et on peut utiliser le système de comparaison en observant les différents états d’être liés aux pensées émotions.  
 Mais ça ne sont pas non plus les pensées et les émotions qui sont à l’origine du bien-être, elles en sont la conséquence et elles nous amènent à nous centrer. 

Ce n’est pas facile à comprendre pour le mental qui raisonne en terme de punition et de récompense, de bien et de mal, mais ce système de pensée peut s’harmoniser en revenant systématiquement au cœur, en ne croyant pas ces pensées émotions. 
Peu à peu on perçoit les pensées, les émotions comme des énergies qui nous indiquent quel est notre point de focalisation, d’identification. 
Pour faire simple, lorsque ça bouscule en soi, c’est parce qu’on n’est plus centré dans le cœur. L’énergie ne circule plus de façon fluide dès lors qu’il y a jugement, identification aux pensées sombres et mêmes positives.

Chaque fois qu’on est dans l’excès, que notre attention est polarisée, soit du côté négatif, soit du côté positif, chaque fois qu’on n’est plus dans le cœur, l’équilibre et la neutralité. L'élévation de la fréquence vibratoire de la terre amplifie la puissance d'attraction et les fréquences solaires mettent tout en lumière. Leur effet conjoint exacerbe tout en nous et lorsqu'on revient à la paix du cœur, on trouve l'équilibre entre le féminin et le masculin, entre ses deux forces cosmiques et telluriques. Les conséquences sont gigantesques et remettent en question toutes les croyances. Le masculin et le féminin sont pacifiés, retrouvent leur pureté originelle non plus selon les lois des humains mais selon l'ordre divin, cosmique. C'est une immense révolution intérieure, une expansion de cœur et de conscience que seule la source et l’unité intérieure peuvent mener à bien. 




Le temps orageux a été éprouvant et il reflétait les flux d’énergies électriques donnant la sensation d’urgence, de pression. Je me demande si ça n’est pas lié au fait que beaucoup de personnes étaient bloqués dans les embouteillages. 
J’ai remarqué que j’étais sensible aux évènements extérieurs, aux énergies du collectif comme les périodes où on fête les victoires, le 14 juillet, l’armistice, le sacrifice du christ, toutes ces énergies inconscientes qui nourrissent de fausses croyances basées sur la division, la séparation, le sacrifice, le déni de soi...des interprétations faussées et polarisées de la réalité.
Et c’est quand je reviens à la paix du cœur, à la neutralité, quand je rassemble mes énergies en portant mon attention sur le cœur, qu’elles n’impactent plus sur mon état d’être.

Je peux remercier les médicaments qui m’aident en ce sens même si c’est une stratégie du mental parce que ça me permet de ne pas passer mes journées à surveiller mes pensées, mes émotions. Le mental ego continue de vouloir gérer les énergies mais en reconnaissant cela, et en l'acceptant comme un phénomène naturel, en maintenant l'attention sur le désir d'unité intérieure, il lâche le contrôle peu à peu.  
Il est clair que cette stratégie médicaments n’est pas la meilleure puisque c’est encore une façon de nourrir la croyance que le mental a le pouvoir de gérer les énergies de façon juste. Mais si je lutte contre ça, je le nourris, l’amplifie, lui donne du pouvoir. En me fiant au ressenti physique, en suivant l’élan de l’instant, j’intègre une forme de liberté d’être qui nourrit la confiance en soi. Et surtout le fait de ne pas juger cette stratégie m’en libère doucement mais sûrement.

Par exemple, hier après midi alors que j’étais au fond du gouffre, submergée par les pensées de victime, je n’ai pas eu envie de prendre un bout supplémentaire pour ne plus sentir le mal-être. Je n’ai pas lutté non plus mentalement pour ne pas craquer, j’ai juste reconnu que ça ne servirait qu’à repousser le problème. Une fois l’effet du médicament passé, le même conflit interne aurait émergé. Alors j’ai tout confié à la source, j’ai laissé sortir toutes les pensées de colère, de tristesse, de désespoir, tout ce qui montait, sans rien retenir, sans trop y croire bien que c’était intense.
Puis je me suis laissée guider et suis tombée sur l'article que j’ai publié.

Avec le recul, je vois que le fait de ne pas avoir publié ce que j’avais écrit durant trois jours n’a pas nourrit la confiance en soi qui nait du fait d’oser exprimer sa vision. 
Il ne s’agit pas d’avoir tort ou raison, de convaincre qui que ce soit mais d’affirmer son point de vue, d’oser être soi. 
Il est clair que la personnalité humaine ne perçoit qu’une infime part de la réalité qui en plus est toujours subjective, filtrée par les croyances, le vécu, l’état d’être du moment. 




L’intérêt de s’affirmer c’est de développer l’individualité, d’apprendre à se faire confiance, à reconnaitre en sa vision, l’influence de l’âme, ou à savoir quand c’est elle qui s’exprime à travers la personnalité ou si c’est le mental seul, les croyances basées sur l’idée de séparation. Ou dit autrement, si c’est l’amour ou la peur qui s’exprime.

Agir selon l’élan spontané permet avec le retour, selon l’effet sur l‘entourage et la sensation que ça créé en soi, de reconnaitre si le geste est juste, s’il est perçu de la même façon qu’on a voulu l’exprimer consciemment et de voir la croyance qui le motive inconsciemment. Même si l’autre interprète selon ses propre filtres, selon notre ressenti intérieur, si on est à l’aise ou non, on pourra rectifier le comportement. 
Je me suis habillée d’une façon un peu plus sexy que d’habitude et les retours m’ont un peu gênée parce que je pensais que mon élan était celui d’être naturelle alors que ce que j’ai perçu en retour était plutôt équivoque. 
Le fait que le blog semble piraté puisque j’ai repéré dans les statistiques qui indiquent les sources des lecteurs, c'est-à-dire les liens qui les mènent au blog, des adresses de sites porno, m’a dégoûté au départ. J’ai commencé à me sentir victime, comme violée dans mon intégrité puis en offrant à la source les pensées de victime, j’en suis venue à me dire que j’avais attiré cela par mon attitude. Au début, j’ai eu la sensation de régresser en attirant encore des situations qui me plaçaient dans le rôle de victime puis peu à peu, en confiant à la source toutes les pensées qui émergeaient comme la culpabilité, j’ai senti que c’était un retour de vibration.

Il n’y a rien de mal à s’habiller de façon sexy mais tout dépend de l’intention inconsciente derrière cette attitude. Enfin quand je dis sexy, c’est juste parce que je ne mets pas de soutient gorge, je n’en ai jamais mis et que le tee-shirt a un large décolleté. 
Les arguments plutôt enfantin et même rebelles, c’est de me dire qu’il n’y a pas de raison que je me cache sous prétexte que les hommes sont affolés par un bout de peau et voient cela comme un appel séducteur alors que j’ai juste envie d’être libre, vraie.
Et le plus drôle, c’est que ce qui m’a mise mal à l’aise, ça n’est pas le comportement d’un homme mais celui d’une femme qui depuis que je m’affiche librement, me regarde d’une drôle de façon. 
En plus, une chose est claire, c’est le fait que ces envies de m’habiller de cette façon viennent seulement le matin lorsque les médicaments font effet. C’est un comportement stratégique inconscient qui vise à se nourrir de l’approbation extérieure, de s'affirmer par le jeu de séduction, une attitude issue des croyances passées. Il est clair que le féminin tout comme le masculin, en tant qu'énergie, demandent à être pacifiés et harmonisés. Les croyances au sujet des genres sont totalement faussées.

En plus, la liberté d’être est intérieure et ça n’est pas en affichant mes formes sous prétexte de besoin d’être libre ou parce qu’on vit dans un pays où les femmes ne sont pas voilées, où on prône l’égalité des sexes, les droits de la femme, que c’est juste. 

Le retour est nécessairement en accord avec la vibration émise qui est celle du besoin de reconnaissance qui passe par la séduction, le besoin de plaire.
On confond liberté d’être et besoin de plaire, de séduire. 
Même si c’est une stratégie de séduction qui pourrait être perçue comme légitime dans une société qui se dit libre, ça reste une stratégie qui comme toute stratégie ne peut pas amener à recevoir de l’amour ou une reconnaissance juste. Et plus je cherchais à me justifier, plus je me sentais mal parce que les arguments révélaient encore plus le manque et la mauvaise foi. 



Tout ceci m’amène à vouloir encore plus lâcher la dépendance aux médicaments mais pas en forçant ou en contrôlant mes gestes. Pour le moment, il s’agit de devenir consciente de l’impact des médicaments, du fait que ça nourrit des stratégies qui sont devenues obsolètes. Et la solution est toujours dans la reconnaissance honnête de ce qui est puis dans l’offrande à l’amour lumière en soi des pensées qui nourrissent les croyances donc les comportements.
Être conscient sans juger, c’est l’amour lumière de la source intérieure qui est à l’œuvre.

Si donc vous êtes redirigé sur un site porno, ça n’est pas une volonté consciente de ma part même si la vibration que j’ai émané à induit cela. Apparemment c'est en Russie que ça se passe...
Là encore, si je m’en était voulu d’avoir attiré cela, je serais encore engluée dans la culpabilité et donc de le rôle de victime. J’ai tout confié à la source et l’idée d’activer "le protocole https" est venue ; je ne sais pas si ça suffira à cesser les redirections parce que je n’ai pas eu le courage de lire les explications à rallonge à ce sujet mais comme l’idée est venue une fois que le calme s’est à nouveau installé à l’intérieur, je suppose que c’est une bonne idée.

Ceci dit, une des raisons pour lesquelles j’étais engluée dans le rôle de victime hier, c’est que j’ai essayé de trouver des solutions mentalement en utilisant tous les logiciels anti-virus, anti rootkit, anti malaware…Et bien évidemment, ça n’a fait que nourrir la peur, le rôle de victime, sans amener de solution véritable.
Maintenant, même si le fait d’avoir activé le truc https ne fonctionne pas, au moins, je ne stress plus à l’idée d’être piratée. 
De toute façon le fait de s’afficher sur la toile comporte nécessairement des risques et celui d’être piraté en fait partie. J’ai eu envie de fermer le blog, de tout arrêter mais d’un autre côté, je vois bien que c’est un outil de progression qui m'est encore utile. 
Tant par le fait d’écrire quotidiennement, ce qui permet d’aligner le mental, de structurer la pensée et d’intégrer la foi, que par le fait d’oser exprimer ma vision. Et le fait d'être lue nourrit l'espoir, la sensation d'être utile, la joie de partager ce qui est le plus précieux à mes yeux. C'est un soutien pour le mental et une façon de contribuer à ma mesure, en partageant ce qui m'est le plus cher, une façon de nourrir les vibrations et de les amplifier par la reliance invisible, énergétique, avec vous, avec des personnes qui partagent les mêmes valeurs. Une façon de se situer dans le monde et quand j'ai des retours agréables, ça amplifie l'amour. 
Puis le risque, la peur, font partie de cette incarnation, ce sont des outils de positionnement, et la solution, c’est toujours de se centrer, de continuer de faire confiance à la puissance de l’amour lumière et de lâcher prise. 
Je sens bien que la force intérieure augmente à mesure que j'offre à la source tout ce qui me perturbe. Mais c'est une force qui ne repose pas sur l'ego sans pour autant l'exclure. Une force qui vient de l'unité intérieure et pas des jeux de pouvoirs, des rôles. 

J’ai pu constater une fois de plus, le cinéma qu’engendre la peur, la spirale descendante des pensées sombres qu’on nourrit, la paranoïa qui s’installe, et enfin, la paix qui revient lorsqu’on lâche prise, lorsqu’on confie tout à la source. 
C’est une façon de baisser la garde, de rendre les armes, de reconnaitre l’impuissance des stratégies du mental et ce faisant d’intégrer l’unité et la paix intérieures seules remparts contre les influences des égrégores sombres, des pensées émotions négatives en soi et celles qui viennent de l’inconscient et de la conscience collective. 

Puis le fait de me tourner vers des messages encourageants en résonance avec l’âme plutôt que de ressasser a été bénéfique parce qu’entre le moment où on offre à la source les pensées sombres et celui où la joie, la confiance reviennent, on est fragilisé. 

Les énergies extérieures sont reliées à celles qu’on porte et tant que la foi n’est pas maintenue entre l’identification au rôle de victime et le moment où la paix revient, les influences sombres extérieures peuvent nous ramener vers le bas. 
Et tant que la confiance en la puissance de l’amour lumière, du centrage, du lâcher prise, ne sont pas complètement ancrés, il peut être utile de se tourner vers des énergies qui activent la foi.
Une fois que la paix est revenue, un bel orage est venu rafraichir l’atmosphère. Il a beaucoup plu et c’est une bonne chose parce que j’ai pas mal de choses à faire au jardin avec les récoltes à conditionner alors une heure d’arrosage en moins, c’est autant de temps pour pouvoir écrire. 




Là encore, j’ai senti que je me collais la pression par peur de gaspiller. J’ai passé la journée à m’activer et à râler contre le fait que je n’avais pas le temps de me détendre. 
Je vais faire autrement aujourd’hui en offrant déjà à la source les pensées liées à la perte, à la peur de gaspiller, de manquer. 
Ce sont vraiment des croyances parce que si je regarde honnêtement avec du recul, je n’ai jamais manqué de rien. Et si je n’ai jamais eu de superflu, c’est autant par instinct de survie puisque chaque fois que j’avais plus que d’ordinaire, je courrais acheter de la drogue, que par inspiration de l’âme. 

Je remarque qu’elle me préserve de nombreux pièges liés à l’amour conditionné. 
On peut se croire victime quand on n’a pas de fortune, de compagnon, de position sociale enviable ou de succès mais du point de vue de l’âme, ce sont autant de garde fous et d’occasions de trouver l’amour véritable plutôt que de s’accrocher à des chimères, des fausses croyances.
La réussite sociale, financière, la popularité sont des leurres, des stratégies de l’ego qui visent à nourrir l’estime de soi mais qui en fait éloignent du cœur, de l’amour véritable tout en maintenant la personne dans l’illusion et l’attachement à l’éphémère. 

C’est d’abord en nourrissant l’amour lumière en soi, en reconnaissant que nous sommes essentiellement cela et en étant dans l’acceptation totale de soi, que viennent naturellement l’abondance à tous les niveaux.

Lorsqu’on vibre l’amour sans conditions, l’unité et la paix, on attire des personnes, des situations et des vibrations de même fréquence. On n’a pas besoin de plaire mais le rayonnement qu’on émane attire naturellement les autres. La lumière, l’amour et la paix qui se dégage de la personne attire l’attention positive des autres.
Déjà la curiosité parce que justement on ne fonctionne pas selon les stratégies habituelles de séduction et au niveau énergétique même si les autres n’en sont pas conscients, il y a l’effet de résonance. Cela éveille en l’autre sa propre essence et la sensation de bien-être qui s’en dégage.
La façon de s’habiller reflète directement la vibration qu’on porte et on peut utiliser cela pour devenir plus conscient de ce qu’on émane, de ce qu’on porte et nourrit.

Je vais faire attention à cela maintenant. Non pas en m’interdisant de porter certaines tenues mais plutôt comme un outil de révélation de ce que je vibre. 
Une façon de nourrir la confiance en ce processus d’accueil et de voir ce qui en émerge une fois que je me suis centrée et que j’ai observé les processus inconscients, repéré les stratégies à l’action bien évidemment en dehors de tout jugement, dans la neutralité révélatrice. 
Déjà, des pensées critiques de jugement, de dévalorisation telles que "c'est débile ce que tu écrit", "tu te rabaisses encore", "tu rabâches"... se pointent à la relecture avant publication! Je m'en vais au jardin les offrir au soleil, à la Terre Mère, afin que ces forces de la source en harmonisent les énergies...et que je puisse oser publier librement cela...sans auto-censure. 
L'ego est soumis à rude épreuve en ce moment mais dans la paix du cœur la vision change et des pensées telles que "tout ceci n'est qu'un jeu", "nous sommes tous dans le même bateau", "tous secoués afin que les masques tombent et que notre nature véritable émerge"... remplacent les critiques.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr