mardi 2 août 2016

« Ce qui définit notre individualité dans cette incarnation, outre le corps physique, c’est la vibration qu’on émane »





La sensation que nous avons atteint un nouveau seuil est de plus en plus intense. L’élévation ou expansion de cœur-conscience est la nature même de l’humain puisqu’en essence il est amour et lumière. 
Tout le démontre, sa façon de croitre physiquement, intellectuellement, de gagner en sagesse, en stature, en intelligence et en capacité d’aimer, au fil du temps. 

L’évolution est liée à la notion d’unité, à la conscience que nous sommes tous interdépendants, interconnectés, et par l’application dans le quotidien de cette connaissance intuitive maintenant prouvée scientifiquement.

Le mental s’ouvre peu à peu à la grandeur de l’être, il est le témoin de ce qui se vit à l’intérieur et sa bonne volonté à coopérer lorsqu’il est reconnu comme un partenaire fidèle qui ne demande qu’à comprendre, évoluer, se révèle être un outil précieux.

Je suis chaque jour un peu plus émerveillée par le potentiel humain, par les découvertes, les sensations et l’inspiration ou guidance de l’âme. J’ai eu la nette sensation que les voiles entre les mondes se déchirent et bien que ce soit difficile à décrire, le résultat c’est que j’ai parlé en confiance aux guides hier soir. 
En regardant un film un peu raté dont le sujet était le voyage dans le temps, j’ai eu nettement cette impression qu’il n’y a pas de limites, que l’espace temps est une notion très relative et que nous voyageons continuellement dans différentes dimensions.


Idem entre les différents règnes, la proximité avec la chienne, le fait qu’elle perçoive ma vibration, y réagisse et que la communication bien que silencieuse soit une réalité, tout cela me conforte dans l’idée que les voiles se dissolvent. et la présence du chat ce matin alors qui se fait rare en été m'indique la stabilité émotionnelle interne.

Et c’est à chaque fois le même processus, les énergies se bousculent à l’intérieur, suite à des flux solaires conséquents, un afflux de lumière qui vient mettre en évidence quelques croyances obsolètes, une disharmonie, un déséquilibre interne et selon notre attitude on va s’élever, ou souffrir.

Malgré tout comme tout se réalise à plusieurs niveaux de l’être, l’élévation de fréquence impact tout le monde et si on est encore soumis à la croyance en la dualité comme point de référence ou vérité, on sera poussé à l’excès, au bout de nos croyances difficiles. 
Et c’est toujours pour ouvrir sa conscience aux lois universelles, pour s’éveiller à qui nous sommes au-delà des masques qu'on vit ses face à face avec soi-même.

Quand on sait que nous sommes une âme incarnée dans un corps de chair qui vient manifester les énergie de la source, l’amour, la lumière ou l’intelligence du vivant et la capacité de communier, d’aimer, on se désidentifie peu à peu de la personnalité au profit de l’unité intérieure. On se laisse guider par l’âme ou l’amour et par l’esprit. 

Les termes sont des repères pour indiquer des vibrations spécifiques et surtout l’aspect énergétique, lumineux de l’humain, de son essence. Ces énergies sont en nous et à l’extérieur, elles sont incarnées ou rassemblées en êtres, en entités, en collectifs, elles ont leur existence  et leur fréquence selon le degré de conscience. 

J’ai toujours été attiré par les messages des guides, des maitres, dans lesquels je me retrouvais mais la peur d’être manipulée, abusée, m’empêchait de les contacter franchement. Je n’ai donc jamais nié leur existence sans pour autant en avoir une nette confirmation ou alors seulement de façon ponctuelle et jamais aussi claire qu'hier soir. 

Le sentiment d’indignité, la peur, la façon de voir mes propres mondes intérieurs, de tenir à l’écart les pensées émotions dites négatives, en bref la croyance en la dualité créaient une forme de distance avec ces êtres.
Puis, hier soir, alors que je venais de lire quelques pages du livre " 13 rayons sacrés pour harmoniser l'humanité " reçus par Joéliah, je me suis interrogée à haute voix en ces termes alors que je me demandais si tout cela était bien réel.
« Étant donné la puissance vibratoire de l’âme, il semble logique qu’il y ait des "intermédiaires", des entités de "composition énergétique" qui se situent entre l’âme et l’humain ». 
La densité du corps humain et son taux vibratoire est si bas que la communion directe avec l’âme semble trop différente. A moins évidemment d’élever la fréquence, d’intégrer ou de laisser rayonner l’amour, l’harmonie, l’unité, la lumière de la source, il semble impossible de pouvoir percevoir l’âme. 
D’ailleurs selon ce taux vibratoire, la foi est plus ou moins forte et la conscience de qui nous sommes en essence plus ou moins claire. Idem pour la compréhension des lois universelles et la foi en elles au point de s’y fier plus qu’à celles des humains.  




Le dialogue a été très court mais suffisant pour me donner plus de confiance et surtout pour être plus attentive aux inspirations des guides puisqu’en fait, ils nous parlent continuellement. 
J’avais aussi du mal à accepter l’idée que quelqu’un puisse pénétrer ma conscience, s’infiltrer dans mon mental puisque jusqu’à maintenant c’était le seul endroit qu’aucun humain ne pouvait pénétrer. Je le considérais comme un sanctuaire et comme ce qui me définissait en tant qu’individu. Plus que mon corps physique, je m’identifiais à mes pensées lumineuses et amoureuses. Ou à l’esprit, à l’âme et bien entendu le mental faisait partie de ce à quoi je m’identifiais. 

Une identification par rejet de ce que je considérais comme corruptible, méprisable et inférieur. Bien évidemment en vibrant ces énergies de rejet, de division, je ne pouvais élever ma fréquence et accéder à une vision plus large de la réalité multidimensionnelle, de la source Une. 
Pourtant je sentais bien le caractère universel de l’humain mais tant que je rejetais des aspects intérieurs, tant que l’unité n’était pas réalisée du moins reconnue et acceptée, tant que l’amour ne circulait pas entre tout mes corps, entre tout ce que je suis, des cellules aux aspects de l’être, je restais ‘enfermée’ dans le monde duel, celui de la division, de la troisième dimension dissociée. J'étais reliée aux autres par la souffrance de l'enfant intérieur, par les vibrations lourdes des croyances invalidantes. 

Le fait de nourrir le désir de manifester la paix et l’unité intérieure en lâchant la dualité, en abandonnant toute forme de jugement puisque ça voile la vision, limite la compréhension et surtout ça maintient dans un état de division interne difficile à soutenir lorsqu’on cherche la paix et le bien-être, a élevé mon taux vibratoire. 
Tout naturellement la vision a changé et l’idée d’interdépendance avec toute vie n’apparait plus comme un danger ou une situation contre laquelle je devrais me défendre ou me protéger. 
Maintenant que je sais, que j’ai constaté qu’en offrant à la source le soin de gérer mes mondes intérieurs, enfin en n’y résistant plus, en lui confiant tout ce qui me perturbe, m’interroge, je n’ai plus besoin de craindre quoi ou qui que ce soit et la vibration de paix qui demeure en témoigne. 
Même si la maitrise énergétique n’est pas totalement acquise, au moins le fait de pouvoir revenir à la paix du cœur en toutes circonstances et de façon quasiment automatique, me permet de ne plus être manipulée par les égrégores de fréquence vibratoire inférieure. 




Quand j’ai demandé aux guides de me parler, la réponse à ma question relative à leur forme, les émissaires qu’ils enverraient pour ce faire, quand je leur ai demandé de faire en sorte que je sois en contact avec des êtres d’apparence proche de l’humain, j’ai rigolé en entendant "t’inquiète". C'est un terme que j'aurais pu m'attribuer mais la sensation qui l'accompagnait ne laisse aucun de doute quand à l'origine du mot prononcé. 
On s'imagine que les guides nous parlent en vers, en des termes compliqués, sophistiqués, mais ils savent parfaitement s'adapter à notre langage, notre personnalité puis ils ne manquent pas d'humour. Ils nous connaissent parfaitement et savent où nous en sommes au niveau compréhension, intégration, vibration. 

J’ai aussi demandé comment reconnaitre quand ce sont eux qui me parlent et j’ai entendu : « la pureté de cœur ». Ce qui veut dire de demander en confiance, sans attentes, sans vouloir combler un manque, donc de revenir à la paix pour communiquer avec eux. 
Je leur ai aussi demandé de m’aider à ne pas me vanter de cela. De ne pas croire que ce qu’ils me disent s’adresse à l’humanité entière. 
On se ressemble à beaucoup de niveaux mais le contact qu’on établit avec différente sphère est intime, ce que nous recevons s’adresse à nous-même avant tout. Par les ressemblances de systèmes internes, de stratégies et de désir de vivre dans la paix, l’unité et l’harmonie, les messages peuvent être universels mais il est bon de reconnaitre qu’on peut aussi jouer un rôle du " Triangle de Karpman " en matière de spiritualité. 
D’autant plus que ce genre de perceptions et de foi nous écarte des autres systématiquement puisque les gens en général font tout pour être admis par leurs pairs, accepté et reconnu, donc pour être conforme à la norme établie. 
Cela entraine nécessairement le sentiment de rejet qui doit être vu et guéri sinon, on va se prendre pour un sauveur élu des dieux, s’attacher au rôle pour être reconnu par ceux qui s’intéressent au sujet. Le fait que de plus en plus de gens reconnaissent cette guidance intérieure et en témoignent est une bonne chose puisque tout le monde peut alors se rendre compte aussi de ce contact interne. 




Nous recevons toutes sortes d’infos, d’énergies, selon notre taux vibratoire du moment et donc nous sommes obligatoirement inspirés "d’en haut" comme nous le sommes par les égrégores relatifs à l’ignorance et la peur.

Plusieurs fois avant, quand je les appelais à communiquer, je ne percevais pas leur voix, leur présence, parce que craignais de me perdre en tant qu’individu, de perdre le sens de l’individualité. Je craignais aussi d’être trop décalée avec les humains, de passer pour une folle mais à mesure que je prends conscience de la façon dont fonctionnent les énergies et les lois universelles, d’attraction et de résonance, on ne peut pas dire qu’on soit isolé à aucun moment. 
Et ce qui définit notre individualité dans cette incarnation, outre le corps physique, c’est la vibration qu’on émane. Le fait d’être de plus en plus conscient de qui nous sommes et comment nous fonctionnons puis de choisir la vibration qu’on veut émaner.
Selon sa fréquence elle nous relie avec les autres soit au niveau de l’inconscience collective, des croyances donc de la conscience identifiée à la personnalité, soit au niveau du cœur, de la conscience d’être une unité dans l‘unité. 
Bref, il y a des multitudes de dimensions, de fréquences, de façons d’être connecté et chaque choix de chaque instant nous connecte aux énergies et mondes correspondants. Enfin on est plus connecté par un centre énergétique qu’un autre tant qu’on est divisé intérieurement mais lorsqu’on vibre dans le cœur, l’unité, ce sont tous les chakras qui s’alignent et on est relié au tout. 
Cette vidéo est assez parlante et ça me fait penser justement à la reliance entre tout ce qui vit, au fait d’être influencé par l’environnement. L’insecte pour se protéger, par instinct de survie va adopter l’apparence de son environnement comme l’humain qui lorsqu’il veut être accepté par sa communauté, sa famille, se conforme à leurs croyances, leurs rituels, leur mode, leur culture…
"Camouflage"



J’ai senti qu’un choix important avait été fait en décidant de ne pas aller en vacances chez ma mère avec ma sœur, comme je l’ai fait l’année dernière. Déjà, quand elle me l’a proposé, j’ai dit "non" spontanément et comme c’est venu de cette façon, je n’ai pas cherché à argumenter. 
Je peux constater que le fait de vouloir prendre soin de tout ce que je suis, de vouloir réunifier les aspects de l’être, la famille intérieure, me libère de l’attachement affectif sans pour autant rejeter ma famille. 
Le travail de libération des pensées émotions relatives à l’enfance porte ses fruits parce que je ne me sens plus liée par le drame passé à ceux qui ont participé à ce qui pour moi maintenant est une simple histoire. 
Le fait que l’année dernière j’ai accepté spontanément d’y aller était guidé par l’âme puisque j’ai senti que je devais actualiser la vision que j’avais de mes parents qui datait encore de l’enfance, de l’adolescence. Tous les soirs, j’offrais à la source les pensées émotions douloureuses et avec le recul je peux constater que cela m’a permis de couper les liens toxiques.   

La guérison de l’enfant en soi, l’acceptation du mental en tant que partenaire, outil, de l’émotionnel comme un guide, un réservoir de potentiel, du cœur comme le chef d’orchestre, restaure l’intégrité, l’unité intérieure et le sentiment d’être complet. 
Cette sensation était nécessaire à ancrer avant de me tourner vers ma famille de cœur, enfin vers les êtres qui m’accompagnent dans l’invisible.

Il y a une différence entre demander à être protégé depuis la peur et l’esprit de division, le rejet de ce qui se vit en soi et donner les rênes à son âme dans la confiance totale en sa capacité et sa volonté d’harmoniser les énergies, la vibration n’est pas du tout la même et le résultat sera en conséquence.

Le piratage du blog semble avoir été le test ultime qui visait justement à faire la différence entre les solutions mentales et le lâcher prise. Il semble que ce soit résolu. Et si ça ne l’est pas, je continuerais de demander à la source de gérer le truc. Quand je dis demander à la source, c’est justement arriver à ce taux de confiance qui me permet d’envoyer la vibration qui amène la solution. 
Pas facile d’expliquer ce qui est de l’ordre du ressenti et les mots peuvent être interprétés de façon différente de l’intention originelle. Remarque si je me cale sur la vibration de paix et d’unité, ça devrait être cohérent, aligné. Puis chacun est libre de recevoir, de lire comme il l’entend.

Mon "rôle" ici, c’est de jouer la transparence, une façon de témoigner de ce que je vis intérieurement tout en restant connectée à la conscience de l’humanité une, c'est-à-dire sans me croire supérieur aux autres. 
Nous avons tous les mêmes aspirations et les stratégies de l’ego sont toutes les mêmes, en ce sens on peut difficilement s’y identifier. L'unité est permanente, nous ne sommes jamais séparés des autres mais on peut choisir le mode de communion qui nous relie dans la paix, l'équité, la joie, le respect mutuel.

Le fait d’être sensible aux énergies, de percevoir celles des autres par effet de résonance, amène à vouloir se protéger et cette idée par elle-même est une façon d’affirmer son impuissance. 
L’idée de vouloir se couper des autres en se coupant de son ressenti n’a plus de raison d’être quand on peut revenir eu centre, à la paix et l’unité intérieure. 
Lorsque l’harmonie s’installe en soi, l’extérieur n’impacte plus autant et comme la sensation d’être uni à la source surpasse la peur d’être absorbé par l’inconscient collectif, enfin comme on devient plus conscient du pouvoir de l’amour en soi, comme on est davantage présent et focalisé en son centre, par la résonance, on attire des fréquences similaires. Tout cela vient nourrir le désir de lâcher le geste cachet. Il est clair que cela ne peut pas se faire par la force mais par la confiance en soi, en son cœur et sa capacité d’harmoniser les énergies.
Bon le jardin m’appelle...




Le repas de la mi-journée est exclusivement constitués de produits du jardin, j'adore! Finalement pouvoir se nourrir de cette relation à la Terre Mère, de l'idée, de la graine, aux fruits, en suivant l'intuition, l'élan de l'instant pour agir, mène à l'autonomie d'une façon qui me correspond tout à fait. C'est la nature qui commande et qui par ce fait me réconcilie avec l'incarnation, ses conditions que l'humain a rendues difficiles par les jeux de pouvoir, de domination. La nature évolue, progresse, dans la douceur, l'harmonie même si les forces qui la régissent sont immenses. C'est du pur amour, de l'énergie de la terre associée à celle du ciel, un équilibre entre les forces cosmo-telluriques et une façon d'être reliée à la source à travers le corps physique. C'est magique! 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr