La
sensation que nous avons atteint un nouveau seuil est de plus en plus intense. L’élévation
ou expansion de cœur-conscience est la nature même de l’humain puisqu’en
essence il est amour et lumière.
Tout le démontre, sa façon de croitre
physiquement, intellectuellement, de gagner en sagesse, en stature, en
intelligence et en capacité d’aimer, au fil du temps.
L’évolution est liée à la notion d’unité,
à la conscience que nous sommes tous interdépendants, interconnectés, et par l’application
dans le quotidien de cette connaissance intuitive maintenant prouvée
scientifiquement.
Le
mental s’ouvre peu à peu à la grandeur de l’être, il est le témoin de ce qui se
vit à l’intérieur et sa bonne volonté à coopérer lorsqu’il est reconnu
comme un partenaire fidèle qui ne demande qu’à comprendre, évoluer, se révèle être
un outil précieux.
Je
suis chaque jour un peu plus émerveillée par le potentiel humain, par les
découvertes, les sensations et l’inspiration ou guidance de l’âme. J’ai eu la
nette sensation que les voiles entre les mondes se déchirent et bien que ce
soit difficile à décrire, le résultat c’est que j’ai parlé en confiance aux
guides hier soir.
En regardant un film un peu raté dont le sujet était le
voyage dans le temps, j’ai eu nettement cette impression qu’il n’y a pas de
limites, que l’espace temps est une notion très relative et que nous voyageons
continuellement dans différentes dimensions.
Idem
entre les différents règnes, la proximité avec la chienne, le fait qu’elle perçoive
ma vibration, y réagisse et que la communication bien que silencieuse soit une
réalité, tout cela me conforte dans l’idée que les voiles se dissolvent. et la présence du chat ce matin alors qui se fait rare en été m'indique la stabilité émotionnelle interne.
Et
c’est à chaque fois le même processus, les énergies se bousculent à l’intérieur,
suite à des flux solaires conséquents, un afflux de lumière qui vient mettre en
évidence quelques croyances obsolètes, une disharmonie, un déséquilibre interne et
selon notre attitude on va s’élever, ou souffrir.
Malgré
tout comme tout se réalise à plusieurs niveaux de l’être, l’élévation de
fréquence impact tout le monde et si on est encore soumis à la croyance en la
dualité comme point de référence ou vérité, on sera poussé à l’excès, au bout
de nos croyances difficiles.
Et c’est toujours pour ouvrir sa conscience aux
lois universelles, pour s’éveiller à qui nous sommes au-delà des masques qu'on vit ses face à face avec soi-même.
Quand
on sait que nous sommes une âme incarnée dans un corps de chair qui vient
manifester les énergie de la source, l’amour, la lumière ou l’intelligence du
vivant et la capacité de communier, d’aimer, on se désidentifie peu à peu de la
personnalité au profit de l’unité intérieure. On se laisse guider par l’âme ou
l’amour et par l’esprit.
Les termes sont des repères pour indiquer des
vibrations spécifiques et surtout l’aspect énergétique, lumineux de l’humain,
de son essence. Ces énergies sont en nous et à l’extérieur, elles sont
incarnées ou rassemblées en êtres, en entités, en collectifs, elles ont leur
existence et leur fréquence selon le degré de conscience.
J’ai toujours été
attiré par les messages des guides, des maitres, dans lesquels je me retrouvais mais la peur d’être manipulée,
abusée, m’empêchait de les contacter franchement. Je n’ai donc jamais nié leur existence
sans pour autant en avoir une nette confirmation ou alors seulement de façon ponctuelle et jamais aussi claire qu'hier soir.
Le sentiment d’indignité, la
peur, la façon de voir mes propres mondes intérieurs, de tenir à l’écart les
pensées émotions dites négatives, en bref la croyance en la dualité créaient
une forme de distance avec ces êtres.
Puis,
hier soir, alors que je venais de lire quelques pages du livre " 13 rayons sacrés pour harmoniser l'humanité " reçus par Joéliah, je me suis interrogée à haute voix en ces termes alors que je me demandais
si tout cela était bien réel.
« Étant
donné la puissance vibratoire de l’âme, il semble logique qu’il y ait des "intermédiaires",
des entités de "composition énergétique" qui se situent entre l’âme et l’humain ».
La densité du corps humain et son taux vibratoire est si bas que la communion
directe avec l’âme semble trop différente. A moins évidemment d’élever la fréquence, d’intégrer
ou de laisser rayonner l’amour, l’harmonie, l’unité, la lumière de la source,
il semble impossible de pouvoir percevoir l’âme.
D’ailleurs selon ce taux
vibratoire, la foi est plus ou moins forte et la conscience de qui nous sommes
en essence plus ou moins claire. Idem pour la compréhension des lois
universelles et la foi en elles au point de s’y fier plus qu’à celles des
humains.
Le
dialogue a été très court mais suffisant pour me donner plus de confiance et
surtout pour être plus attentive aux inspirations des guides puisqu’en fait,
ils nous parlent continuellement.
J’avais aussi du mal à accepter l’idée que
quelqu’un puisse pénétrer ma conscience, s’infiltrer dans mon mental puisque jusqu’à
maintenant c’était le seul endroit qu’aucun humain ne pouvait pénétrer. Je le
considérais comme un sanctuaire et comme ce qui me définissait en tant qu’individu.
Plus que mon corps physique, je m’identifiais à mes pensées lumineuses et
amoureuses. Ou à l’esprit, à l’âme et bien entendu le mental faisait partie de
ce à quoi je m’identifiais.
Une
identification par rejet de ce que je considérais comme corruptible, méprisable
et inférieur. Bien évidemment en vibrant ces énergies de rejet, de division, je
ne pouvais élever ma fréquence et accéder à une vision plus large de la réalité
multidimensionnelle, de la source Une.
Pourtant je sentais bien le caractère
universel de l’humain mais tant que je rejetais des aspects intérieurs, tant
que l’unité n’était pas réalisée du moins reconnue et acceptée, tant que l’amour
ne circulait pas entre tout mes corps, entre tout ce que je suis, des cellules
aux aspects de l’être, je restais ‘enfermée’ dans le monde duel, celui de la
division, de la troisième dimension dissociée. J'étais reliée aux autres par la souffrance de l'enfant intérieur, par les vibrations lourdes des croyances invalidantes.
Le
fait de nourrir le désir de manifester la paix et l’unité intérieure en lâchant
la dualité, en abandonnant toute forme de jugement puisque ça voile la vision,
limite la compréhension et surtout ça maintient dans un état de division
interne difficile à soutenir lorsqu’on cherche la paix et le bien-être, a élevé
mon taux vibratoire.
Tout naturellement la vision a changé et l’idée d’interdépendance
avec toute vie n’apparait plus comme un danger ou une situation contre laquelle
je devrais me défendre ou me protéger.
Maintenant que je sais, que j’ai constaté
qu’en offrant à la source le soin de gérer mes mondes intérieurs, enfin en n’y
résistant plus, en lui confiant tout ce qui me perturbe, m’interroge, je n’ai
plus besoin de craindre quoi ou qui que ce soit et la vibration de paix qui demeure en témoigne.
Même si la maitrise
énergétique n’est pas totalement acquise, au moins le fait de pouvoir revenir à
la paix du cœur en toutes circonstances et de façon quasiment automatique, me
permet de ne plus être manipulée par les égrégores de fréquence vibratoire
inférieure.
Quand
j’ai demandé aux guides de me parler, la réponse à ma question relative à leur
forme, les émissaires qu’ils enverraient pour ce faire, quand je leur ai demandé
de faire en sorte que je sois en contact avec des êtres d’apparence proche de l’humain,
j’ai rigolé en entendant "t’inquiète". C'est un terme que j'aurais pu m'attribuer mais la sensation qui l'accompagnait ne laisse aucun de doute quand à l'origine du mot prononcé.
On s'imagine que les guides nous parlent en vers, en des termes compliqués, sophistiqués, mais ils savent parfaitement s'adapter à notre langage, notre personnalité puis ils ne manquent pas d'humour. Ils nous connaissent parfaitement et savent où nous en sommes au niveau compréhension, intégration, vibration.
J’ai aussi demandé comment reconnaitre
quand ce sont eux qui me parlent et j’ai entendu : « la pureté de cœur ».
Ce qui veut dire de demander en confiance, sans attentes, sans vouloir combler
un manque, donc de revenir à la paix pour communiquer avec eux.
Je leur ai aussi
demandé de m’aider à ne pas me vanter de cela. De ne pas croire que ce qu’ils
me disent s’adresse à l’humanité entière.
On se ressemble à beaucoup de niveaux
mais le contact qu’on établit avec différente sphère est intime, ce que nous
recevons s’adresse à nous-même avant tout. Par les ressemblances de systèmes
internes, de stratégies et de désir de vivre dans la paix, l’unité et l’harmonie,
les messages peuvent être universels mais il est bon de reconnaitre qu’on peut
aussi jouer un rôle du " Triangle de Karpman " en matière de spiritualité.
D’autant
plus que ce genre de perceptions et de foi nous écarte des autres
systématiquement puisque les gens en général font tout pour être admis par leurs
pairs, accepté et reconnu, donc pour être conforme à la norme établie.
Cela entraine
nécessairement le sentiment de rejet qui doit être vu et guéri sinon, on va se
prendre pour un sauveur élu des dieux, s’attacher au rôle pour être reconnu
par ceux qui s’intéressent au sujet. Le fait que de plus en plus de gens reconnaissent cette guidance intérieure et en témoignent est une bonne chose puisque tout le monde peut alors se rendre compte aussi de ce contact interne.
Nous recevons toutes sortes d’infos, d’énergies,
selon notre taux vibratoire du moment et donc nous sommes obligatoirement
inspirés "d’en haut" comme nous le sommes par les égrégores relatifs à l’ignorance et la peur.
Plusieurs
fois avant, quand je les appelais à communiquer, je ne percevais pas leur voix,
leur présence, parce que craignais de me perdre en tant qu’individu, de perdre
le sens de l’individualité. Je craignais aussi d’être trop décalée avec les
humains, de passer pour une folle mais à mesure que je prends conscience de la
façon dont fonctionnent les énergies et les lois universelles, d’attraction et
de résonance, on ne peut pas dire qu’on soit isolé à aucun moment.
Et ce qui
définit notre individualité dans cette incarnation, outre le corps physique, c’est
la vibration qu’on émane. Le fait d’être de plus en plus conscient de qui nous
sommes et comment nous fonctionnons puis de choisir la vibration qu’on veut
émaner.
Selon
sa fréquence elle nous relie avec les autres soit au niveau de l’inconscience
collective, des croyances donc de la conscience identifiée à la personnalité,
soit au niveau du cœur, de la conscience d’être une unité dans l‘unité.
Bref, il
y a des multitudes de dimensions, de fréquences, de façons d’être connecté et
chaque choix de chaque instant nous connecte aux énergies et mondes
correspondants. Enfin on est plus connecté par un centre énergétique qu’un
autre tant qu’on est divisé intérieurement mais lorsqu’on vibre dans le cœur, l’unité,
ce sont tous les chakras qui s’alignent et on est relié au tout.
Cette vidéo
est assez parlante et ça me fait penser justement à la reliance entre tout ce
qui vit, au fait d’être influencé par l’environnement. L’insecte pour se
protéger, par instinct de survie va adopter l’apparence de son environnement
comme l’humain qui lorsqu’il veut être accepté par sa communauté, sa famille,
se conforme à leurs croyances, leurs rituels, leur mode, leur culture…
"Camouflage"
J’ai
senti qu’un choix important avait été fait en décidant de ne pas aller en
vacances chez ma mère avec ma sœur, comme je l’ai fait l’année dernière. Déjà,
quand elle me l’a proposé, j’ai dit "non" spontanément et comme c’est venu de
cette façon, je n’ai pas cherché à argumenter.
Je peux constater que
le fait de vouloir prendre soin de tout ce que je suis, de vouloir réunifier
les aspects de l’être, la famille intérieure, me libère de l’attachement
affectif sans pour autant rejeter ma famille.
Le travail de libération des
pensées émotions relatives à l’enfance porte ses fruits parce que je ne me sens
plus liée par le drame passé à ceux qui ont participé à ce qui pour moi
maintenant est une simple histoire.
Le fait que l’année dernière j’ai accepté
spontanément d’y aller était guidé par l’âme puisque j’ai senti que je devais
actualiser la vision que j’avais de mes parents qui datait encore de l’enfance,
de l’adolescence. Tous les soirs, j’offrais à la source les pensées émotions
douloureuses et avec le recul je peux constater que cela m’a permis de couper
les liens toxiques.
La
guérison de l’enfant en soi, l’acceptation du mental en tant que partenaire,
outil, de l’émotionnel comme un guide, un réservoir de potentiel, du cœur comme
le chef d’orchestre, restaure l’intégrité, l’unité intérieure et le sentiment d’être
complet.
Cette sensation était nécessaire à ancrer avant de me tourner vers ma
famille de cœur, enfin vers les êtres qui m’accompagnent dans l’invisible.
Il
y a une différence entre demander à être protégé depuis la peur et l’esprit de division,
le rejet de ce qui se vit en soi et donner les rênes à son âme dans la confiance
totale en sa capacité et sa volonté d’harmoniser les énergies, la vibration n’est
pas du tout la même et le résultat sera en conséquence.
Le
piratage du blog semble avoir été le test ultime qui visait justement à faire
la différence entre les solutions mentales et le lâcher prise. Il semble que ce
soit résolu. Et si ça ne l’est pas, je continuerais de demander à la source de
gérer le truc. Quand je dis demander à la source, c’est justement arriver à ce
taux de confiance qui me permet d’envoyer la vibration qui amène la solution.
Pas
facile d’expliquer ce qui est de l’ordre du ressenti et les mots peuvent être
interprétés de façon différente de l’intention originelle. Remarque si je me cale sur la
vibration de paix et d’unité, ça devrait être cohérent, aligné. Puis chacun est
libre de recevoir, de lire comme il l’entend.
Mon
"rôle" ici, c’est de jouer la transparence, une façon de témoigner de ce que je
vis intérieurement tout en restant connectée à la conscience de l’humanité une,
c'est-à-dire sans me croire supérieur aux autres.
Nous avons tous les mêmes aspirations
et les stratégies de l’ego sont toutes les mêmes, en ce sens on peut
difficilement s’y identifier. L'unité est permanente, nous ne sommes jamais séparés des autres mais on peut choisir le mode de communion qui nous relie dans la paix, l'équité, la joie, le respect mutuel.
Le fait d’être sensible aux énergies, de
percevoir celles des autres par effet de résonance, amène à vouloir se protéger
et cette idée par elle-même est une façon d’affirmer son impuissance.
L’idée de
vouloir se couper des autres en se coupant de son ressenti n’a plus de raison d’être
quand on peut revenir eu centre, à la paix et l’unité intérieure.
Lorsque l’harmonie
s’installe en soi, l’extérieur n’impacte plus autant et comme la sensation d’être
uni à la source surpasse la peur d’être absorbé par l’inconscient collectif,
enfin comme on devient plus conscient du pouvoir de l’amour en soi, comme on
est davantage présent et focalisé en son centre, par la résonance, on attire des
fréquences similaires. Tout cela vient nourrir le désir de lâcher le geste
cachet. Il est clair que cela ne peut pas se faire par la force mais par la
confiance en soi, en son cœur et sa capacité d’harmoniser les énergies.
Bon
le jardin m’appelle...
Le repas de la mi-journée est exclusivement constitués de produits du jardin, j'adore! Finalement pouvoir se nourrir de cette relation à la Terre Mère, de l'idée, de la graine, aux fruits, en suivant l'intuition, l'élan de l'instant pour agir, mène à l'autonomie d'une façon qui me correspond tout à fait. C'est la nature qui commande et qui par ce fait me réconcilie avec l'incarnation, ses conditions que l'humain a rendues difficiles par les jeux de pouvoir, de domination. La nature évolue, progresse, dans la douceur, l'harmonie même si les forces qui la régissent sont immenses. C'est du pur amour, de l'énergie de la terre associée à celle du ciel, un équilibre entre les forces cosmo-telluriques et une façon d'être reliée à la source à travers le corps physique. C'est magique!
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr