lundi 25 juillet 2016

« Les réponses viendront, aie confiance » & conférence avec Sylvie, Jérôme Matanaël et Rémi Guyon





24 07 Les jours se suivent et ne se ressemblant pas. J’ai la sensation qu’il devient urgent d’agir en conscience, de savoir de quelle façon nous nous relions aux autres, aux énergies,  selon nos choix. Il est clair pour moi que les égrégores sont une réalité qui impacte notre état d’être et qui peuvent nous manipuler si on agit de façon inconsciente.
Tout ce qui altère la conscience ramène dans les vieux schémas et nous relie aux égrégores correspondants. Il n’est pas vraiment question de morale ou de bien et de mal, mais plutôt de savoir ce qui est bon pour nous et quelles sont les conséquences de nos choix. 
Chacun d’eux nous situe au niveau énergétique dans une dimension plus ou moins élevée. En fait, il y en a deux pour ce qui concerne l'humain, soit la dualité et la division, soit l'unité et la paix. De ce choix découle l'état d'être et la reliance avec différents égrégores et sphères ou dimensions. L'état d'être intérieur qui nous relie automatiquement aux égrégores correspondants. Et cette reliance vent amplifier ce que nous ressentons mais la solution est toujours intérieure, le pouvoir est toujours en soi, en notre cœur et au présent.

On m’a offert de la bière récemment et comme c’est un des rares alcools que j’apprécie puis comme c’est fabriqué artisanalement, je ne me suis pas méfiée. Bien que je n’en aie bu que deux, je me suis réveillée au milieu de la nuit avec des douleurs au ventre, la nausée et des pensées très sombres. La digestion a été bloquée et j’ai dû vomir pour me sentir un peu mieux. 
J’ai toujours eu un regard négatif vis-à-vis de l’alcool et de ceux qui sont alcooliques parce que j’en ai subi les conséquences enfant. Le besoin d’évasion m’a poussée très jeune à tester ce produit mais j’ai vite senti que ça ne m’allait pas du tout. J’avais besoin de fuir les émotions douloureuses mais je voulais rester consciente, alerte et me préserver de toute manipulation extérieure. J’ai senti cette nuit la forte influence des égrégores liés à la consommation d’alcool tout comme dans l’enfance. La sensation d'être habitée par un monstre a refait surface et sur le coup, je n'ai pas pu comprendre ce qui se passait.


Au début, je me suis dit que le malaise ne pouvait pas venir de ça puisque je n’en avais pas bu beaucoup mais en fait, ça n’est pas parce que c’est peu alcoolisé que ça n’impacte pas sur l’organisme. Ce n’est pas tant l’alcool par lui-même qui est mauvais mais l’énergie qu’il sous-tend, l’énergie de fuite, d’inconscience. 
Et par-dessus tout, comme l’enfant que j’étais à fait le rapprochement entre le comportement abusif de mon père et son usage excessif d’alcool, l’inconscient a associé l’alcool à l’excès, au drame, à la perte de contrôle et de la raison. 

Ce qui n’est pas faux non plus mais la réaction de cette nuit semble plus être un cri de l’enfant intérieur, une expression de sa souffrance. Puis au niveau énergétique, il y a aussi une résonance douloureuse.
Si on considère la majorité des gens qui ont été dépendants de cette substance au cours des siècles et les raisons qui les poussaient en ce sens, il est clair que les égrégores qui ont été formés sont non seulement très puissants mais aussi très sombres. 
J’avais été marquée par les livres d’Émile Zola à l’adolescence parce qu’ils relatent la misère humaine et l’alcool constitue un personnage à part entière en chacun d’eux. 
Une force qui manipule les individus et qui amplifie ce qu’il y a de plus souffrant, excessif en l’être humain. Même lorsque c’est consommé dans un cadre festif, ça finit souvent en queue de poisson parce que les masques tombent, l’enfant en souffrance en soi va s’exprimer avec force et dans l’excès. C’est l’impulsif, l’instinctif, l’inconscience qui s’exprime et prend le dessus, le contrôle.  Ce n’est d’ailleurs pas par hasard si ça donne mal au cœur.

Les forces, les énergies en nous sont puissantes et demandent de plus en plus de présence, de conscience et de maitrise. 
Dans la nature, le fruit mûr qui tombe de l’arbre et dont le sucre fermente représente la mort. 
La nature sait recycler et harmoniser les énergies de façon à ce qu’elles nourrissent le vivant, l’expansion, la croissance mais l’humain ne sait pas équilibrer intellectuellement les forces de la vie et de la mort autrement que par le contrôle, la contrainte, la lutte, le déni et le rejet.
Ces différentes attitudes amènent des frustrations, des déviances et l’histoire de l’humanité nous le montre chaque jour. Toutes les perversions, les manipulations viennent de cette tendance à vouloir contrôler la vie, la nature animale de l’humain, ses instincts et pulsions. 

Une autre voie est maintenant possible depuis que nous savons que nous sommes des êtres énergétiques, vibratoires, dont l’essence originelle est l’amour lumière de la source. Plus on devient conscient de cela, plus on apprend à se connaitre, plus on est responsable de ses mondes intérieurs.

Tant qu’on ne sait pas qui on est ni de quoi nous sommes faits, nous agissons selon une certaine morale, selon notre éducation, notre culture mais quand on sait que nous sommes l’amour et la lumière, c'est-à-dire l’intelligence bienveillante, l’âme nous guide de façon à être de plus en plus conscient et responsable de nous-même.

Ce n’est pas en luttant contre nos pulsions animales qu’on s’élève ou qu’on manifeste l’essence de l’être ‘divin’ mais c’est en reconnaissant ces aspects comme des mécanismes internes viables que le cœur peut harmoniser, équilibrer, remettre de l’ordre à l’intérieur. Plus on veut manifester notre essence divine et plus on doit devenir conscient de nos choix et de leur impact sur nous-même et sur le monde.




J’ai pu observer avec un peu de recul ce qui s’est passé hier soir et l’idée que je veuille aller trop vite dans le sevrage apparait comme étant la cause de ce malaise interne. Bien évidemment le même scénario de l'énergie de vie bloquée qui demande à être libérée apparait afin que j'y apporte une autre réponde que celle de la fuite.

Les mécanismes chimiques, hormonaux et neuronaux sont complexes et lorsqu’un déséquilibre s’installe l’inconscient va chercher à ramener l’équilibre. Les médicaments protègent l’estomac et les centres énergétiques qui y sont logés. 
Ils m’aident encore à être centrée intérieurement, à maintenir vivant mon désir de paix, de libération et de guérison par la focalisation intérieure et l’alignement. 
Si je diminue trop vite, les chakras sont déséquilibrés et l’équilibre sera recherché de façon inconsciente, selon l’instinct de survie. Ça risque de créer des frustrations et d’enclencher des stratégies en conséquence. L’enfant intérieur n’a peut être pas pu s’exprimer dans son désir de créer, de jouer, d’aller vers l’autre ? Les énergies étaient sûrement déséquilibrées et la peur du manque encore présente et dissimulée.

Je sens que c’est en continuant d’être à l’écoute du corps physique, de ses signes que la libération est possible et je constate que je n’ai pas tenu compte de cela hier. A la première bière, j’ai senti que l’ivresse venait très vite, trop vite et j’aurais dû tenir compte de cela pour arrêter d’en boire. C’est le piège avec l’alcool et c’est aussi ce qui confirme la puissance des égrégores qui gravitent autour de ce produit ou de tout autre produit qui altère la conscience. 
Le premier verre en appelle un autre et au niveau énergétique ça peut s’illustrer par une faille, une ouverture aux énergies des égrégores. Et quand on est sensible aux énergies, quand l’unité intérieure est encore fragile, on est très influençable. En ce sens, les médicaments font encore office de carapace protectrice et je n’ai pas pris en compte le fait que de diminuer me fragilisait au niveau énergétique. 
Être présent à soi, conscient est essentiel lorsqu’on apprend à s’aligner à la source, à gérer ses monde intérieurs et les énergies qui nous traversent.

Le point positif dans cette expérience, c’est que je n’ai pas culpabilisé. J’ai regardé cela avec neutralité et bien que j’aie du mal à m’expliquer, la nécessité d’être de plus en plus consciente, à chaque instant, des énergies qui me traversent et d’appeler la source à rétablir l’ordre, l’équilibre et l’harmonie chaque fois que je suis troublée, est mis en évidence. 

C’est toujours le même schéma qui se dessine, un manque d’attention aux pensées dévalorisantes ou sombres, un manque de présence, d’écoute et la fréquence vibratoire baisse, les comportements inconscients prennent le dessus.

Je commence à bien me connaitre intérieurement, à savoir quand quelque chose est bon ou pas pour moi et quelques signes auraient pu m’alerter de cette fragilité intérieure, du manque d’équilibre. L’enfant intérieur n’a plus besoin de s’exprimer avec violence pour attirer mon attention et les stratégies de protection de l’ego sont plus subtiles à détecter. 

Quand on n’est pas conscient de soi, des croyances à lâcher, des souffrances à accueillir en son cœur, de l’importance d’être à l’écoute, l’enfant en soi va hurler, utiliser des stratégies afin de se faire entendre mais quand on accepte de l’écouter, de laisser la source en soi gérer les pensées émotions énergies, ça demande de l’attention, de la présence. C’est une présence à chaque instant qui demande de prêter attention aux moindres pensées négatives.
Bon je vais faire un tour au jardin histoire de me rafraichir les idées et d’être au contact de la terre mère.

Un petit bouquet de soleil va égayer le salon et me rappeler qu’il est le reflet de ce que je suis intérieurement. En réfléchissant à ce que j’ai écris et en y revenant, je me dis qu’il serait plus juste de dire "je" plutôt que "on" parce que chacun est unique même si nous avons des origines communes. Il est clair que nous n’avons pas tous le même parcours, le même corps/géométrie, la même combinaison de corps, d’énergies, la même fréquence, les mêmes leçons de vie à intégrer même si l’évolution passe par la maitrise émotionnelle, la présence et la bonne gestion des énergies en soi. 

Mes stratégies inconscientes ne sont pas celles des autres mais les lois énergétiques sont communes, nous devons tous apprendre à orienter l’énergie de vie, à la connaitre et à l’utiliser au mieux
Le même acte n’aura pas le même impact selon le degré d’ouverture de cœur et de conscience, selon le contexte, le parcours spécifique d’un individu, son stade d’évolution. Ce qui me permettait de m’éveiller, de nourrir le désir de vivre en moi avant n’a plus de raison d’être à mesure que je deviens plus consciente. 




Le fait d’être influençable résulte de la difficulté à rassembler ses énergies, à rester ancré et centré, aligné à la source, en conscience. Les expériences de vie nous poussent en ce sens et lorsqu’on observe son comportement sans jugement, on apprend à mieux savoir gérer ses mondes intérieurs. 
Tout nous appelle à  manifester l’amour lumière que nous sommes en ayant de la compassion pour les aspects internes qui manquent d’amour et de connaissance. 
Selon notre point de focalisation on se relie à différents égrégores et ils peuvent nous aider à évoluer vers plus de clarté, de compassion ou nous maintenir dans des vibrations basses.

Même si notre âme et notre Soi guident nos pas, nous ne sommes pas coupés des autres, des énergies et la meilleure façon de ne pas subir cette influence, c’est d’être vigilant à maintenir la paix, l’amour inconditionnel et l’unité en soi. Ne pas s’éparpiller en étant présent à soi et déterminé dans ses choix est la voie de la maitrise et comme tout art, ça demande de la pratique, de la persévérance, de la patience. 
La persévérance amène plus de détermination et la patience permet d’intégrer plus d’amour en soi. Ce sont les qualités du masculin et du féminin sacrés qui sont développées et qui par leur association mènent à la l’équilibre et la souveraineté.

Je rabâche encore mais c’est nécessaire parce que c’est primordial, enfin c’est ce qui a le plus d’importance pour moi. Dans ces moments où le mental est dépassé, où il ne comprend pas, le besoin de revenir à la base et de remettre de l'ordre dans les pensées, se manifeste naturellement, c'est le signe que le mental panique. "Rassure toi cher ami, nous ne sommes pas seuls, la source veille et nous conduit toujours vers plus de clarté, de compréhension et d'amour. Les réponses viendront en leur temps, aie confiance".

Ce qui est positif dans cette expérience outre le fait que je ne m’en veuille pas, c’est que ça me montre que je n’ai vraiment plus besoin de fuir, de m’évader en prenant des produits. Même si j’ai encore besoin de la carapace chimique qui me permet d’être centrée sur mon objectif de paix et d’unité intérieures, le mal-être interne qui vient du rejet et de la division, n’est plus si intense. 
Le fait de se tourner vers la source ou l’intelligence du cœur en toutes circonstances devient un réflexe et ça, c’est plus de la moitié du chemin parcouru. 
C’est le signe que la confiance et la connaissance de Soi prennent de l’ampleur. 

Il est clair que ce qui se passe à l’extérieur, dans le monde, nous oblige à centrer nos énergies, à définir notre choix de vie, à acquérir cette maitrise intérieure. Plus la violence s’exprime et plus nous sommes invités à être en paix, à affirmer notre choix de continuer d’être dans la dualité ou d’aller vers l’unité intérieure. 
Il ne s’agit plus de s’affirmer contre les autres ou par rapport à l’extérieur mais de s’affirmer intérieurement, dans sa façon de réagir à ce qui se passe en soi et à l’extérieur.  

J’ai vraiment la sensation qu’il n’y a plus de retour en arrière possible, qu’on ne peut plus tricher, se cacher, se mentir à soi-même ou tergiverser. Manifester l’amour et la lumière est quelque chose qui se vit de l’intérieur et ça n’est pas le mental qui décide ou qui dirige. 

L’inconscience n’est plus possible dans la transparence et sans cette transparence, la source est imperceptible. 
On ne peut plus voir et mettre en avant uniquement l’amour et la lumière que nous sommes, ce sont tous les aspects de l’être qui demandent à être vus et accueillis dans la paix du cœur. 
Cette sensation ressentie cette nuit m’a rappelée celle du manque que j’ai connue lorsque j’étais jeune. C’est comme si j’avais un monstre en mon ventre mais en fait, c’est l’expression tant des énergies bloquées que celle des égrégores qui y sont rattachés. 

Derrière ses apparences monstrueuses, c’est l’énergie de vie qui est bloquée, contrariée par la peur, les jugements et le fait que ça ne m’ait pas trop effrayé est déjà un progrès en soi. Ça me montre tant que je peux faire confiance à ma capacité d’accueillir ces énergies que la nécessité d’y aller en douceur. En tous cas, j’ai demandé à la source d’harmoniser ces énergies et j’ai pu me rendormir. 




Je ne suis pas certaine d’avoir bien compris ce phénomène interne, d’avoir interprété de façon juste cette sensation morbide mais ce qui est certain, c’est que le cœur a la capacité d’apprivoiser cet amas d’énergie. Puis peu à peu elle m'a ramenée au centre parce que même si les égrégores ont un impact sur soi, chercher une cause extérieure à soi, c'est une façon de fuir la responsabilité de son état d'être.
La seule chose à faire, c’est d’être de plus en plus consciente, présente, attentive à ce qui se passe en moi et patiente dans le processus de sevrage.
De faire attention à garder la motivation de libération sans laisser le mental prendre les commandes et forcer les choses. Cette peur du manque est si ancrée que seule la patience pourra en venir à bout. 
Penser à offrir à la source toute pensée qui nourrit cette peur, est la clef.


25 07 J’ai écris cela hier sans aller jusqu’au bout, c'est-à-dire sans le publier parce que j’ai préféré passer la journée à calmer le mental, à le décharger de la responsabilité de trouver des réponses tout seul ou par raisonnement logique parce qu’il est clair qu’il ne peut pas concevoir tout ce qui se passe dans l’invisible même si la compréhension vient peu à peu. J’ai parlé à l’enfant en moi, laissé venir les réponses, et comme toujours depuis plus d’un an, je me suis laissée guider par l’élan du moment en étant ouverte, réceptive. 
Puis cette conférence est venue à point, en soutien. Un des intervenant parle aussi de la sensation de porter un monstre en soi et ça n’est pas par hasard si je suis tombée sur cette conférence que j’ai raté au moment de sa diffusion en direct. Et c'est une bonne chose que je ne l'ai pas vue à ce moment là parce que je n'aurais pas cherché la guidance intérieure ou je me serais appuyé sur leur témoignage...
"La spiritualité : liberté ou enfermement ?" Sylvie, Rémy Guyon et Jérôme Matanaël, le 23 juillet 2016




En les écoutant, quelques larmes ont coulé en signe de détente, de lâcher prise. Le mental a été rassuré et il n’a plus cherché à comprendre. C’est sûr que nous sommes arrivés à un stade où tous les masques doivent tomber mais pour cela, il faut qu’ils soient vus. 
Je me satisfais de ne pas avoir accusé l’extérieur de mon mal être, d’avoir regardé en moi avec neutralité et compassion même si au début, le premier réflexe a été de chercher des causes extérieures (égrégores). 
J'ai pu constater les bénéfices de la responsabilisation lors de ma conversation téléphonique hebdomadaire avec ma mère. Je ne lui ai pas parlé de cet épisode douloureux et c'est bon signe parce que ça démontre que je n'attends plus d'aide extérieure. 
Puis un coup de fil de ma sœur est venu encore confirmer cette sensation d'être plus responsable, plus authentique, de sortir des anciens jeux de rôles dans les relations familiales parce qu'elle m'a confié une de ses expériences récentes avec humilité et confiance. 
Nous étions très souvent en conflit et ce changement de comportement démontre l'effet bénéfique de l'acceptation de soi. J'avais rêvé d'elle dernièrement et le même scénario revenait, je lui disais que je ne la comprenais pas. 

Je peux constater que l'âme m'a guidée dans la transformation intérieure et ce coup de fil vient comme une victoire. 
On s'attend à vivre de grandes choses lorsqu'on parle du divin et en général on se focalise sur les miracles éblouissants mais comme l'essentiel se passe dans l'invisible, on ne mesure pas l'impact et les conséquences de nos choix. 
C'est dans de petites choses qu'on peut voir à quel point l'amour nous libère, nous guérit et nous guide. 
La lumière nous permet de prendre conscience des limites et l'amour les fait voler en éclat. Mais comme l'amour ne s'impose pas, ça se fait en douceur, pas à pas, de façon à ce que l'unité intérieure se stabilise. Les conséquences dans la matière ne sont pas visibles de suite mais leur impact est immense. 
L'état d'être qui change peu à peu, la capacité à maintenir la paix et l'amour en soi, c'est essentiel et immense. C'est la maitrise des énergies qui s'ancre, devient une réalité dont on ne mesure pas encore les conséquences mais on découvre peu à peu comment ça change notre quotidien, notre relation à soi et aux autres. 




Ce petit texte trouvé ce matin sur facebook résonne aussi fortement.
« Bien qu'il existe des myriades de techniques pour nous soutenir tout au long de notre processus d'ascension qui est souvent intense et difficile, aucune de ces techniques ne pourra désormais être plus longtemps un substitut pour faire face au démantèlement et à l'effondrement de notre faux soi.
Ce processus demande la volonté absolue de regarder droit dans les yeux nos peurs / ombres et de laisser le corps émotionnel se libérer vraiment de TOUTES les blessures karmiques relatives à l'empreinte vibratoire de séparation – L'illusion douloureuse intérieure et extérieure de séparation du Bien-Aimé se manifeste Actuellement pour une libération finale.
Ce processus de nettoyage en profondeur ne se fera pas comme un plat d'accompagnement à chaque fois que le moment nous convient et il ne pourra certainement pas être ignoré plus longtemps.
Encore une fois, il demande à être impérativement regardé droit dans les yeux. Ce n'est plus le moment de mettre la tête dans le sable jusqu'à ce que les 'émotions passent'.
Le Phoenix renaît de ses Propres cendres. La Vérité de notre Soi infini sur Terre renaît des cendres de notre propre soi limité egoïque.
Il faut du Courage pour entrer dans les Flammes de la Vérité.
Vous n'y marchez pas avec seulement votre gros orteil … Vous avez à le faire avec TOUT votre Être ou pas du tout.
Beaucoup résistent à cette Initiation la plus élevée car il ne nous est pas seulement demandé de nous mettre totalement à nu à l'intérieur du plus profond de notre Être… mais nous savons très bien que celui qui va renaître de ses cendres ne sera plus celui que nous avons connu, mais celui qui sera prêt à prendre des décisions de changement de vie qui auraient pu être émotionnellement inconcevables auparavant.
Il n'y a plus à cacher la Vérité de qui nous sommes,
et celui que nous sommes en Vérité demande à être révélé Maintenant.
Le temps de faire l'autruche est terminé...
Montrez-vous à Vous-même et laissez renaître le Phénix!
Pourquoi pensez-vous que Vous êtes ici...
Avec Amour, »
Saskia Waheina
https://www.facebook.com/WaHeiNa
Transmis / Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight



Les techniques, les outils tels que les rayons, sont des aides qui permettent au mental de se structurer, de passer d’une croyance à une autre jusqu’à avoir suffisamment confiance en la source. Une fois que cette confiance est acquise, on peut s’abandonner au divin en soi et se laisser guider, réparer, enseigner par l’âme. 
On pourra alors aborder le monde des émotions avec plus de sérénité et ainsi ancrer la foi, l’amour et la lumière jusque dans la chair. Ce n’est alors plus le mental qui gère mais le divin qui unifie tout ce que nous sommes et on peut se faire totalement confiance même si on ne comprend pas pourquoi on est poussé à agir de telle ou telle façon. Jérôme évoque cela à la fin de la conférence et ça résonne vraiment en moi parce que c’est clair que lorsqu’on se laisse guide par l’élan de l’instant, on constate que nous sommes toujours guidés, que nous l’avons toujours été et que tout est parfait. 
On voit que notre propre chemin constitue le parcours initiatique idéal dans le sens où il nous correspond parfaitement puisqu'il détient toutes les clefs nécessaires à la réalisation de soi.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr