Bien
que cet article ne semble pas correspondre à ce que je publie généralement, le
titre à lui seul a généré une image symbolique reportée sur l’humain au niveau
énergétique.
Il est maintenant admis que nous sommes énergétiques, que l’énergie
n’a pas de limites et que nous sommes par le fait interconnectés en permanence
entre nous, avec toute vie et avec les égrégores qui constituent des masses
énergétiques créées par la sommes des pensées de l’humanité depuis des éons.
En
sous-sol, c'est-à-dire sans le savoir, nous sommes reliés par les énergies que
notre inconscient recèle, par toutes ces pensées qui forment les croyances.
Nous nous nourrissons les uns les autres de toutes sortes d’énergies et plus on
devient conscient de qui nous sommes, de notre essence originelle, plus on se
rend compte qu’être présent à soi même, à chaque instant, est primordial.
Parce que l'apprentissage des énergies qui nous traversent et que nous portons est nécessaire puisqu'elles définissent à chaque instant la vibration que nous émanons et le type de reliance que nous activons avec autrui.
La vibration, les énergies sont une nourriture subtile essentielle alors il est intéressant de se demander quelle type d'énergie, de fréquences, nous voulons nous offrir et partager avec le vivant, le monde ?
Mais je
vous laisse lire l’article, le relis et continuerais mon raisonnement selon ce
qui me vient spontanément.
Les
arbres partagent en sous-sol leurs
ressources alimentaires »
« Ils
peuvent compter, apprendre et mémoriser, s’avertir mutuellement de danger en
envoyant des signaux électriques àtravers un réseau fongique connu sous le nom “WoodWide Web” et, pour des raisons inconnues, gardent les anciennes souches de
compagnons abattus, vivantes pendant des siècles en les nourrissant d’une
solution de sucre par leurs racines*.
Grâce
à un réseau de minuscules poils absorbants et de partenaires (symbiose)
fongiques filiformes appelés mycélium, les arbres dans
une forêt sont connectés, en échangeant des nutriments et de l’information.
Les
biologistes le savent depuis des années et une nouvelle recherche suggère
également qu’une fraction significative de l’approvisionnement alimentaire d’un
arbre peut provenir d’autres arbres.
Tamir
Klein et ses collègues de l’université de Bâle, en Suisse, ont fait cette
découverte presque par accident. Ils ont mené des expériences dans une forêt
Suisse pour savoir comment les épicéas se comporteraient avec des
concentrations plus élevées de CO2 dans l’atmosphère. Pour ce faire, ils ont
pulvérisé du CO2 avec un mélange très spécifique d’isotopes du carbone dans la
canopée de la forêt, leur permettant de suivre son devenir sur une période de 5
ans.
Comme
prévu, une partie du carbone supplémentaire a été collecté par les épicéas via
la photosynthèse. Mais environ 40 % de celui-ci s’est retrouvé dans les racines
d’arbres voisins : des hêtres, des mélèzes et des pins.
Les
implications de cette découverte sont énormes. On sait que les plantes poussent
à partir de l’air, d’un mélange de dioxyde de carbone, de la lumière du soleil
et d’eau.
Mais, les arbres produisent également leur propre carbone qu’ils
partagent avec leurs voisins.
Les chercheurs ont calculé que, dans un seul
hectare de forêt, quelque 280 kilogrammes de carbone, 4% de celui absorbé par
la forêt, est transmis à travers le sol chaque année.
Pour l’instant, l’étude ne porte que sur une forêt, dans une partie du monde.
Mais maintenant que des preuves de ce processus ont été révélées, d’autres
écologistes sont susceptibles de vouloir approfondir le sujet.
L’étude
publiée dans Science : Below ground carbon trade among tall trees in a temperate forest.
*J’ai
comme dans l’idée que cette préservation des vieilles souches est liée à la
conscience d’être Un…
En
tous cas, si on observe la nature et les humains, les parallèles peuvent être
faits puisque notre patrimoine génétique est partagé avec le règne animal,
végétal et minéral.
Nous sommes tous issus de la même source et bon nombre de
nos comportements se retrouvent dans la nature, dans toutes les interactions
entre le vivant, mobile ou non. Comme l’ADN contient toutes les infos, les
mémoires, les schémas comportementaux et comme toute vie est mue par la même
énergie il est logique de penser ou il n’est pas déraisonnable d’imaginer que l’effet
miroir puisse s’appliquer à tout ce qui est.
La
conscience d’être issu de la même source amène naturellement le respect mutuel
puisque l’autre, toute vie, est une part de ce que je suis, un autre moi, quel
que soit sa forme, son règne, sa densité.
Ceci est démontré de multiples façons
et devrait amener l’humanité à développer le sens du partage.
C’est déjà le cas
et plutôt que de focaliser mon attention sur les drames qui finalement restent
des exceptions, je préfère porter mon attention sur ce qui va dans le sens de l’élévation,
du progrès véritable, celui qui mène les êtres à plus de conscience, de
présence et de compassion.
J’ai un peu délaissé le blog que j’ai créé pour
diffuser les infos qui reflètent l’évolution de l’humanité parce qu’il est
clair que la première chose à faire, c’est de changer son regard sur soi-même et d'apprendre à savoir se nourrir à la Source.
Le
pouvoir de changer, d’évoluer vers plus de sagesse et d’autonomie, de
souveraineté, réside dans la capacité à ouvrir son cœur et sa conscience afin d’y
trouver la paix et la certitude d’être un être d’essence divine, d’amour, de
lumière, de liberté d’être et de joie.
Je suis allée embrasser mon âmi le chêne
ce matin pour communier de cœur à cœur, pour le remercier d’être un maitre, un
exemple en matière de transformation, d’alchimie, d’ancrage, de capacité à
canaliser les énergies du ciel et de la terre, en toute simplicité, humilité,
dans un juste équilibre lui permettant
de s’élever proportionnellement à la profondeur de ses racines.
En
l’observant, on peut en apprendre beaucoup sur cette maitrise énergétique,
cette faculté d’être un pur canal de la source.
Déjà, il est immobile et c’est
une première leçon essentielle à retenir, la maitrise demande de s’arrêter, de
marquer un temps de pause.
L’alchimie est intérieure, silencieuse, elle se
réalise tant dans les profondeurs de la terre que dans le processus de
photosynthèse.
Il nous montre que tout est lié, nécessaire, interdépendant, que la vie est un
perpétuel échange d’énergie, et que chacune d’elle a sa place, sa raison d’être.
L’interdépendance est une réalité contre laquelle je me suis longtemps défendue
parce que je ne savais pas comment ça fonctionnait et le sentiment de devoir me
protéger de l’extérieur me maintenait en vie certes mais dans la survie....vu la motivation, l'inspiration à écrire, je poursuis mon raisonnement dans un autre article....
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacun.