Je
suis tomée du lit assez tôt ce matin et certainement que l’intensité de ce que
j’ai vécu hier y est pour quelque chose. Je commence à mieux comprendre les
raisons de mon addiction aux médicaments, d’un point de vue énergétique.
J’ai d’ailleurs
eu cette sensation plus d’une fois, cette idée que le fait de prendre ces médicaments
créé comme un bouclier psychique, énergétique.
Je suis de plus en plus
inspirée à utiliser le pouvoir de guérison au travers des mains, du moins celui
d’apaiser les douleurs, le rythme cardiaque, la peur et le mental. Poussée à
expérimenter la force de l’amour de façon pratique comme pour me soutenir dans
le sevrage.
J’ai
vécu quelque chose de difficilement descriptible hier mais qui est assez
logique étant donné l’épuration des corps mental et émotionnel effectuée ces
derniers jours.
Il m’arrive souvent de voir de énergies en mouvement, des
couleurs qui pénètrent l’écran de mon mental quand je suis en mode relaxation
et hier, c’était magnifique et très coloré. De nouvelles teintes sont apparues
et elles étaient associées de façon complémentaire.
Mais ce qui m’a le plus
étonnée, c’était le silence profond derrière l’habituel flot de pensées qui s’était
aussi calmé, les sons étaient plus étouffés.
Je suis allée m’allonger à cause
de la sensation de vertige, d'être perchée et j’ai passé deux heures à contempler mes mondes
intérieurs, à ressentir les énergies, les sensations physiques assez agréables
et parfois même extatiques.
C’était étrange de ressentir cette sorte d’extase sans
qu’aucune pensée consciente ne l’ait suggéré et de pouvoir observer cela avec sérénité,
sans vouloir l’amplifier, sans non plus le rejeter.
J’ai vraiment eu la
sensation d’entrer dans un nouveau monde, un monde subtil et délicieux. L’enfant
intérieur était ravit et silencieux, comme ébahit.
Dès que le mental commençait à vouloir
donner un sens à cela ou à commenter, je le ramenais doucement à l’observation,
au silence, l’invitait à être juste à l’écoute.
C’était très agréable et comme
c’est arrivé en fin d’après midi au moment où les cachets ne font plus effet,
ça m’a conforté dans l’idée que je faisais bien d’avoir repris la diminution. Les
douleurs dues au rhum et notamment des pointes extrêmement douloureuses dans le
dos au moment du coucher, m’avaient incitées
à laissé de côté l’idée de diminuer les doses pendant deux jours, afin de
pouvoir trouver le sommeil et quand elles se sont atténuées, j’ai repris le
sevrage.
Quand
on est hypersensible, comme pour toutes choses en ce monde, il y a des
avantages et des inconvénients. Les avantages, c’est qu’on est réceptif aux
mondes subtils, à ce qui est, au-delà des apparences, on ressent les énergies des
pensées émotions et on entend parfois même les pensées des gens.
Je parle de ça
comme un avantage mais ça peut aussi devenir gênant, rendre confus et on aura
du mal à distinguer ce qui nous ‘appartient’ et ce qui ‘appartient’ aux autres.
On sera réceptif aux énergies lumineuses mais aussi aux énergies sombres et
tant qu’on ne sait pas focaliser son attention, canaliser son énergie, on sera
pompé, vampirisé littéralement.
Visualiser un tore de lumière et d’amour,
nettoyer les corps mental, émotionnel et lâcher les croyances et
conditionnement n’est pas toujours facile à maintenir en place quand on est encore fragile, quand on est encore soumis aux croyances ancestrales.
Entre
le moment où on devient conscient qu’on peut être responsable de ses mondes
internes, enfin quand on sait qu’on peut en laisser la gestion à la source en
soi par l’acceptation de ce qui est, l’offrande à l’amour lumière des énergies
disharmonieuses et celui où ça devient un réflexe, lorsqu’on est plus identifié
aux drames, aux jeux de rôles, il peut se passer pas mal de temps.
On
augmentera sa propre force, sa détermination, sa capacité à se centrer, à s’ancrer,
à se connecter à la source en faisant le choix de retourner au cœur dès qu’on
sentira un trouble interne.
En focalisant son attention sur l’amour plutôt que
sur la peur, en évitant les foules, en choisissant avec précaution et en
connaissance de cause, les infos, les images et les sons qui nourrissent ce qu'on veut vivre et pas l'inverse.
En choisissant la paix et l’harmonie en toutes circonstances, en se
laissant guider dans l’instant par l’amour et la joie, en nourrissant ces
énergies par la focalisation de notre attention.
Malgré tout cela, comme nous
ne maitrisons pas encore tout à fait cela puisque nous avons tendance à croire
que l’extérieur a du pouvoir sur nous et par le fait a amplifier ce phénomène,
il est bon d’avoir quelques techniques de protection. Mais là aussi, ce qui est le plus approprié et permet de contacter sa propre force, c'est d'utiliser sa guidance interne, son intuition, l'élan et l'idée qui émergent de soi, de la paix du cœur.
J’ai
utilisé cela hier, de façon instinctive en offrant à la source, la peur d’être
perméable aux chemtrails, aux attaques psychiques. J’évitais de focaliser mon
attention là-dessus, afin de ne pas donner de poids à ces énergies mais plus ça
va et plus je me dis que c’est important de savoir se faire aider par son âme et par l'énergie masculine en soi. Utiliser son intuition et sa force psychique puis demander à la source de nous guider en ce sens.
Il ne s’agit
pas de nourrir la peur et l’impuissance en ignorant nos propres pensées
émotions et en accusant l’extérieur, il s’agit d’être conscient de cette
interconnexion avec tout ce qui est, de l’existence des mondes invisibles, des
énergies qui forment des égrégores et de la puissance de la psyché.
L’idéal c'est d’être totalement imperméable aux énergies sombres extérieures, de ne
plus rien porter qui résonne avec elles, mais nous n’en sommes pas encore là,
même quand on sait que nous pouvons libérer les croyances, et conditionnements,
que l’amour est tout puissant, ça n’est pas facile de maintenir cette
conscience, d’être présent en son corps, en son cœur 24h/24.
Le
juste milieu est bon à trouver à tous les niveaux et comme le déni nourrit l’ignorance,
donc l’impuissance, il faut regarder les choses en face un jour ou l’autre afin
de s’affranchir totalement.
Nous
sommes toujours connectés aux autres mais nous pouvons choisir le point de
rencontre, l’endroit où nous sommes reliés avec les autres. On peut rester
enfermé dans sa bulle mais dans ce cas, on sera coupé de son propre gps, de nos
émotions qui nous indiquent lorsque nous sommes décentrés et nous invitent à revenir au cœur. Tant que le réflexe ne sera pas automatique on demeurera fragile.
Accueillir
sa propre vulnérabilité, embrasser l’enfant intérieur confère déjà plus de
force mais là encore ça n’est pas toujours évident, nous n’avons pas toujours
le temps où la possibilité de nous intérioriser. On peut cultiver l’art
de la respiration calme et profonde et calmer le jeu en quelques secondes mais
quand la pression extérieure est forte, ça n’est pas suffisant parfois.
En
fait, il suffit de prendre l’habitude de se connecter, de s’ancrer chaque
matin, de continuer d’observer ses mondes intérieurs et ce faisant, d’apprendre
à connaitre les énergies, à les utiliser.
Poser ses mains sur soi, aux endroits
tendus, crispés, appeler la source à l’aide, ses guides, tout ceci peut
favoriser l’apprentissage. Les mains sont les outils du cœur, les instruments qui permettent de manifester l'amour concrètement.
Il
semble que l’heure soit venue pour moi, d’étudier cela d’un peu plus près.
Déjà, il faut savoir qui on appelle et personnellement, je préfère ne pas
nommer des entités, des êtres, mais plutôt des énergies ou les guides de l’unité,
les énergies de l’harmonie.
Je m’adresse toujours et premièrement à mes propres
corps en demandant aux plus éveillés, aguerris, affranchis, d’aider les plus
ignorants, ceux qui sont soumis aux lois de la dualité, de la densité.
On
peut se dire que tout ceci est fantaisie ou même que c’est dangereux parce que
les mondes de l’astral sont aussi duels mais les nier n’est pas non plus une
solution.
L’idée
de choisir d’être addict à des médicaments plutôt qu’à l’amour d’un homme était
inspirée sur plusieurs plans. Tant que je n’avais pas connaissance de la
capacité de l’humain de gérer ses pensées et ses émotions, de son pouvoir de
focalisation il valait mieux protéger mon intégrité et ces médicaments qui
agissent au niveau hormonal créent comme une bulle énergétique.
Il
est clair que l’amour lumière de la source ont aussi cet effet, agissent aussi
sur le système hormonal et le fait que je diminue progressivement est aussi
inspiré parce que j’apprends à focaliser mon attention, tout au long de la
journée et je suis en quelque sorte protégée ou coupée des influences extérieures
lorsque les cachets font effet, ce qui me permet d’habituer le mental à revenir
au cœur, à choisir l’amour, je le reconditionne en quelque sorte.
J’apprends à
suivre l’élan, à agir selon mon ressenti et à faire confiance en ce que je suis
en cultivant la détermination, la force de focalisation, j’agis au niveau de la
psyché puis je suis ainsi préparée pour accueillir mes émotions quand les
médicaments ne font plus effet.
Il
est bon de changer ses croyances petit à petit, d’apprendre à se déconditionner
sans devenir incohérent ou totalement décalé, perché. Le but à mon sens n’est
pas de fuir la matière mais d’apprendre à gérer nos mondes intérieurs, à savoir
de quoi nous sommes faits et à connaitre les énergies. Le fait de changer progressivement les croyances permet justement de se connaitre et de connaitre les lois. Connaitre notre constitution et les lois universelles afin de devenir cocréateur de notre état d'être et donc de notre monde, de notre vie.
Pour
passer d’une bulle chimique énergétique à l’autonomie, la capacité à vibrer sur
les hautes fréquences de l’amour lumière, de la source, en tous temps, il me faut affiner mes
sens, savoir ce que je perçois, savoir comment utiliser mes outils de perception,
de création.
Il est clair que les entités sont nombreuses et on peut les
ignorer, ou carrément les adorer puis on peut simplement choisir le juste
milieu. Enfin je dis qu’on choisit, ça me tombe un peu dessus parce que ce sont
les circonstances, la guidance, l’observation et les synchronicités qui m’amènent
sur cette voie.Enfin qui me poussent à prendre conscience de la façon dont fonctionne les énergies, d'une façon plus pragmatique.
Je
sentais que je bloquais à l’idée d’aller au jardin hier à cause des épandages
aériens tellement massifs et continus que l’air en a un goût. J’ai offert à la
source la colère, la tristesse, le désespoir, la révolte, le sentiment d’impuissance
et malgré que ça me calmait, je n’arrivais toujours pas à sortir.
Je m’y suis
préparée mentalement en focalisant mon attention sur des pensées positives, en
pensant à la joie de ce contact avec la terre Mère, avec la nature plutôt que
de nourrir les pensées négatives. Mais comme je me sentais malgré tout fragile, à la
limite de retomber dans la colère et comme je ne veux pas travailler la terre
dans ces conditions, j’ai exprimé la colère et j’ai fini par prendre une
minuscule quantité de médicaments.
J’avais supprimé un quart de la dose mais c’était
trop alors en prenant une petite quantité, ça me permettait d’être dans le bon
dosage, celui qui me permet d’être dans le juste milieu. De ne pas être
submergée par les pensées émotions sans pour autant en être totalement coupée.
Et
ce matin, rebelote, le ciel est encore gris plombé, il pleut, la totale !
Il
est clair que ça va aller en augmentant et la pression sera de plus en plus
forte.
Je
finis par me dire que tout ceci n’a qu’un seul but, permettre à chacun de
devenir de plus en plus conscient et responsable de lui-même, de ses choix.
Et l’être humain
est si complexe que je doute qu’une seule vie soit suffisante pour acquérir la
maitrise et les connaissances des lois universelles !
5 jours sans soleil,
ça fait long et le moral est touché alors là encore, l’ancrage, la connexion à
la source, le centrage dans le cœur sont à favoriser et toujours l’accueil des
pensées émotions…
« Présence
divine, mon âme, merci de créer l’harmonie en moi, de favoriser l’équilibre
intérieur afin que je sois imperméable aux influences extérieures afin qu’elles
n’entrent pas en résonance avec mes propres pensées émotions négatives que j’offre
à l’amour lumière de la source.
Merci à mes corps de rester uni, solidaires,
merci aux plus éclairés, affranchis, de soutenir les plus denses et soumis à la
peur, aux conditionnements, merci mon cœur de rayonner l’amour et la lumière de
la source, la paix, l’harmonie et la joie.
Merci mon âme de me guider vers le meilleur,
merci à la conscience Une de m’éclairer afin que je puisse devenir autonome
énergétiquement, affectivement et financièrement ».
Je
me sens inspirée et soutenue dans mon désir de sevrage mais ça me demande d’être
très à l’écoute, de me fier à mon ressenti, mon intuition, à suivre l’élan de l’instant
en confiance tout étant attentive aux pensées émotions qui se manifestent.
Il
est clair que je n’ai jamais agit de cette façon puisque j’ai toujours refoulé
mes émotions alors il est normal et même recommandé d’y aller pas à pas.
L’idée
de prendre mon temps, de respecter mon
propre rythme d’intégration, de digestion, d’apprendre à écouter
mon corps en ce sens, m’est apparue
plusieurs fois hier. Et chose positive, je n’ai pas considéré comme un échec,
le fait de reprendre un petit bout de cachet avant d’aller au jardin. Au contraire, j'ai perçu cela comme une forme de maitrise, la capacité à prendre des décisions qui servent l'ensemble de mes corps, un face à face avec la réalité et l'orientation inspirée.
C’est
vrai que ces médicaments m’aident à rassembler mes énergies, à focaliser mon
attention sur ce que je veux, à oser agir selon mes convictions et maintenant
que je ne suis plus autant impressionnée par les pensées émotions difficiles,
ça devient obsolète en théorie.
Mais c’est toujours pareil, le corps mental
perçoit et anticipe par sa capacité de projection, ce qui est possible,
réalisable cependant, le corps physique et le corps émotionnel n’ont pas le
même rythme d’intégration.
Puis
pour apprendre à lâcher l’esprit de compétition, le sens du devoir, des
obligations afin d’agir par amour, il est nécessaire de se donner le temps, d’être
patient avec soi-même, avec les aspects internes qui sont plus fragiles,
sensibles. Et qui sont connectés aux énergies du monde, des mondes de l’astral.
Tous ces mondes soumis à la dualité conflictuelle ont une forte emprise sur
tout le monde et ils sont tellement nourris par les humains qu’ils ne sont pas
prêts de se dissoudre.
Ils sont nourris par la majorité des gens inconscients
de leur nature véritable et duelle et ils le sont aussi de façon consciente
tant par ceux qui envisagent la lumière versus l’ombre que par ceux qui servent
l’ombre consciemment et volontairement.
Et les chemtrails semblent être la
manifestation dans la matière de cette guerre psychique. Je me dis que je la
nourris aussi en utilisant des médicaments dont l’effet doit attirer des entités
de l’astral, des énergies de manque, de dépendance et d’impuissance mais si je
lutte contre cela, contre moi-même, si je me critique, me dévalorise à cause de
cela, j’amplifie encore plus la dualité, le conflit.
Et
je peux constater la détente intérieure qui s’installe dès que je cesse de m’en
vouloir, dès que j’appelle mes corps à être solidaires, unis, c’est un constat
qui me permet de nourrir l’espérance nécessaire.
J’ai
beau savoir que l’amour est tout puissant, tant que des pensées de doutes, de
critiques, tant que j’ai tendance à refouler ou à nier ce qui est, cet amour ne peux pas
se déployer pleinement.
Il y a aussi le fait que les individus qui se disent
spirituels, ou artisans de lumière, n’ont pas la capacité à s’unir, à être
aussi solidaires que ceux qui nourrissent et servent l’ombre.
Je ne m'inclus pas vraiment en ce groupe tout en sachant que j'ai aussi ces réflexes, cette tendance à m'isoler même si je m'ouvre de plus en plus aux autres.
Beaucoup sont
encore dans la phase d’individualisation, par le rejet, l’esprit de lutte contre les forces
des ténèbres et par le fait les nourrissent tout autant qu’ils renforcent la
dualité.
Tous ceux qui veulent vivre de leurs dons, qui veulent appliquer la
loi d’attraction afin de devenir autonome financièrement le font encore par des
méthodes de l’ancien monde, par les stratégies marketing, l’esprit de
compétition, le « nous » contre « eux ».
Tant
qu’on ne reconnait pas qu’on porte en soi les sentiments tels que la jalousie,
la peur de l’échec, l’amour de soi qui s’appuie sur la comparaison, et qu’on ne
décide pas de lâcher cela, on ne peut pas accéder à l’autonomie. Ni affective,
ni financière.
On
s’imagine encore que la richesse matérielle, la liberté, l’abondance financière
est associée à l’idée de posséder des biens, de pouvoir s’acheter ce qu’on veut,
quand on veut, d’accumuler de l’argent sur son compte en banque. Mais à mon
sens l’abondance financière découle de la libre circulation de l’énergie et c’est
avant tout la capacité à être neutre, transparent, détaché et dans l’amour inconditionnel
qui le permet.
Elle ne se limite pas à l’argent tout comme la
liberté n’est pas non plus une question de moyens financiers. Je perçois l’abondance
financière comme une part de l’abondance énergétique, qui découle de la
fluidité, de la souplesse, la réceptivité et le don équilibrés.
Et c’est avant
tout la libre circulation de l’amour lumière en nous qui apporte tout ce dont
nous avons besoin dans l’instant, la santé, le bien-être, le confort mental,
émotionnel, physique, la joie de vivre et la confiance.
Ce
n’est pas parce qu’on a un compte en banque bien fourni qu’on est en sécurité
au niveau affectif et psychologique même si le confort physique permet de lâcher le mode survie.
Nous
sommes des êtres énergétiques, créatifs, inventifs et gagner de l’argent n’est
pas l’objectif principal, ça n’est que la conséquence du don de soi, de ses
talents.
Ce qui est réjouissant, gratifiant, c’est le fait de pouvoir faire quelque chose
avec joie, avec enthousiasme sans attendre quoi que ce soit.
Dans cet état d’esprit,
la rétribution est permanente, elle l’est dans l’instant par la vibration
qui porte le geste, elle l’est tout au long du processus créatif et dans le
retour, le gain qui vient en surplus.
Il s’agit plutôt à mon sens de travailler
à nourrir et amplifier l’amour en soi de façon à être dans la confiance qui
permet d’agir selon ses aspirations, ses valeurs, sans avoir besoin d’être
validé par l’extérieur. Ensuite, la reconnaissance extérieure vient
naturellement par effet de résonance et c’est alors qu’elle est épanouissante.
Mon discours peut sembler bien complexe et parfois même contradictoire mais comme toujours, je livre mes pensées intimes en témoignage tout en sachant que mon point de vue est nécessairement subjectif, personnel et relatif à mon vécu, ma façon de l'appréhender, de le traduire. Si je le partage, c'est parce que je pense que nous sommes arrivés à un stade où il est important d'oser la transparence, d'oser dire les choses telles qu'elles sont dans l'instant, sans chercher à montrer les aspects les plus glorieux en occultant la réalité en faisant croire à ceux qui se cherchent ou qui cherchent un sens à leur vie, que ce chemin est facile.
Être conscient de qui on est en réalité demande de tout voir et c'est dans ce regard neutre, global, lucide, bienveillant, qu'on s'affranchit, qu'on se trouve et qu'on trouve l'équilibre. Le soleil perce enfin l'épaisse couche de nuages! Je vais pouvoir aller au jardin plus sereine.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr