En
général, quand on se sent bousculé à l’intérieur, on a vite fait d’accuser l’extérieur,
les circonstances, le passé, l’entourage, la famille, le conjoint, on lit des
messages qui parlent des vilains archontes, les infos qui disent combien les
gens de pouvoir sont mauvais et en parallèle, on se demande comment entendre sa
propre guidance.
Alors on cherche à communiquer avec les êtres de lumière, ceux
qu’on imagine être au service de l’humanité, du "bon côté", on lit des canalisations pour
savoir comment faire, quel rituel, protocole suivre…
Mais
on oublie que nous sommes dotés d’un cerveau, de la capacité de penser par nous-même,
que l’expérience de vie, celle que nous portons en nos gènes ajoutée à notre
vécu, que nos émotions nous guident, nous permettent de sentir comment ça réagit en nous, et
surtout que nous avons un cœur et une conscience éclairée.
Étant relié à la terre, à son âme, par les éléments qui nous composent, par notre chair et notre
âme "terrestre", la conscience de nos cellules, en observant et en ressentant comment ça vibre en nous, comment ça
résonne, on va pouvoir s’orienter tout en devenant autonome.
On va apprendre à
écouter la sagesse en soi, en faisant taire les voix internes de la peur, de la
division, de la lutte, qui sont des échos de voix extérieures et on va ainsi affirmer la volonté de vivre dans la paix, l’harmonie et l’unité.
Trouver
sa nature véritable demande de laisser tomber les références passées et
extérieures, les croyances qu’on se fait à ce sujet. C’est en accueillant dans
l’amour, le non jugement, les énergies en soi, le masculin et le féminin, les
polarités, qu’elles vont s’unir et nous donner une version plus proche de la
vérité de ce que nous sommes et de ce qui est.
Tant qu’on se définit selon une
fonction ; parent, enfant, employé, un genre, une race, on se limite et
surtout on n’est pas dans notre vérité.
L’être originel divin que nous sommes
est au-delà des étiquettes comme en témoigne ce jeune chanteur éclairé.
« Qui serions-nous si... ? » Prince EA
Nous
avons tous la faculté de ressentir l’énergie en nous parce que ça créé un état
d’être spécifique, nos émotions nous indiquent si nous sommes sur la juste
fréquence ou si nous sommes dans un rôle, si nous sommes divisés intérieurement, si nous nous identifions à un seul
aspect de l’être.
Par nature, la source est Une, indivisée et quand nous
percevons le monde depuis la paix du cœur, on s’approche d’un état, d’une
fréquence, qui ressemble fortement à celle de notre être véritable.
Tant
qu’on s’identifie à un seul aspect de ce que nous sommes, on est dans la division
et on pense être isolé, mal aimé, incomplet, on croit manquer de quelque chose,
de quelqu’un. Et c’est tout simplement parce que nous croyions être seulement
lumière, ou seulement notre ego ou encore nos traits de caractère, nos pensées émotions.
La
source nous a créé parfaits dans le sens où nous disposons de tout ce qui est
nécessaire pour vivre en conscience, dans la paix, la joie, le bien-être afin d’interagir
avec notre environnement dans le respect de toute vie.
Quand on dit que tout
est en soi, c’est une vérité qui ne demande qu’à être découverte.
Ça demande du
courage et de la foi parce que les systèmes de croyances internes ont toujours
régit notre vie, par commodité, par convenance, mais nous sommes dans une
prison de souffrance.
Tant
qu’on ne fait pas le choix de savoir en vérité qui nous sommes et que nous
laissons les autres continuer de nous définir, nous limitons nos perceptions,
notre intelligence et notre faculté de s’affranchir, d’être libre.
Je
parle ici de liberté de penser, de croire, même si les croyances sont
aléatoires, changeantes, elles sont des repères qui jalonnent notre parcours et si on les
considère de cette façon, on ne risque pas de s’enfermer dans des doctrines,
des dogmes, des rituels qui nourrissent la peur et la division.
On sait que
notre monde est conçu comme une simulation dont le contexte dualitaire permet
de connaitre la palette des pensées émotions et de choisir ce que nous voulons
vivre, ressentir. Que les émotions s’associent à des pensées et que selon ce que
nous choisissons de nourrir, notre état d’être sera plus ou moins serein.
On
parle d’ascension et de lois universelles en mettant en avant les promesses,
les cadeaux, les dons et talents que ça va nous apporter.
On est encore marqué
par la société de consommation, les symboles et croyances qu’elles génèrent et
les comportements qui la nourrissent. On se réfère aux croyances communes pour
établir la vérité de ce que nous sommes et de ce qui nous entoure. Ainsi, la
télévision est une machine qui assène des vérités et joue sur les peurs, les
manques, les illusions, manipulant et contrôlant la masse tout en réduisant l’humain
à un objet, un consommateur.
"On
nous faire croire que le bonheur, c’est d’avoir, d’en avoir plein nos tiroirs..."
comme chante machin, mais chacun sait au plus profond de lui-même que le
bonheur véritable ne dépend pas de l’avoir mais de l’être.
« Foule sentimentale » Alain Souchon :
http://www.alainsouchon.net
On sait que lorsque
nous sommes en paix avec nous-même et avec l’extérieur, on est heureux, on sait
que le bonheur c’est un état d’être et pas une collection d’objets, de biens,
de personnes...
Ce
que je dis est très banal mais bien que tout le monde soit conscient de cela,
on continue de se laisser bercer par les illusions tout simplement parce qu’on
a peur de se regarder en face et de découvrir toute la souffrance de notre
enfant intérieur.
Et
le paradoxe, c’est que tant que nous ne prenons pas en considération ses
revendications, nous seront toujours à courir après des chimères, passant à
côté de notre vraie personnalité et de notre essence primordiale.
Cette vidéo met en scène ce que nous pouvons vivre en recontactant l'enfant qu'on a été. C'est bien fait, on s'y croirait. Il s'agit bien entendu d'acteur, les enfants ont été choisis pour la ressemblance avec les adultes mais l'émotion est là, révélant la vulnérabilité, la sensibilité, le cœur de l'humain...
« La machine qui te connecte à ton enfant
intérieur » (pensez à activer les sous-titres, si besoin, en cliquant sur le rectangle
blanc, en bas, à droite du lecteur)
L’enfant
en soi est porteur de vérité, c’est son « rôle ».
Il porte tout
autant nos rêves que nos frustrations, il est le lien direct avec l’âme, le
vivant, et sa vulnérabilité que l’ego protège, n’attend que notre regard
compatissant pour révéler la force de la conscience, de la lucidité, la
puissance de l’amour inconditionnel.
Il nous connecte à notre vérité, à notre
essence et les enfants du monde ont ce "rôle", cette capacité de nous ramener à l’intérieur, dans
la transparence, l’humilité, la joie de vivre, le goût de connaitre, de faire l’expérience,
de se relier…les animaux aussi peuvent jouer ce rôle de miroir, activer le
souvenir de qui nous sommes en vérité.
La façon dont nous réagissons lorsque nous sommes face aux enfants, aux animaux, nous indique l'état d'être de notre enfant intérieur et il ne faut absolument pas craindre de revivre les émotions vécues par le passé parce que lorsqu'on les accueille en notre cœur tout en sachant que ce sont simplement des énergies cristallisées, délaissées, qui attendent d'être vues, embrassées, pour délivrer leur essence, leur lumière, leur potentiel créatif, nous sommes libérés, affranchit et entier. La sensation d'être isolé, séparé, mal aimé, rejeté...tout cela se désagrège à mesure que nous accueillons les énergies refoulées.
Quand
on reconnait que nous créons notre vie selon nos croyances, notre état d’être
et que le mensonge que nous pointons du doigt à l’extérieur est le reflet de
notre propre incapacité à être vrai, on entre alors dans un monde lumineux.
Il
ne l’est pas par opposition à ce qu’on qualifierait d’ombre, il l’est en
englobant tout ce que nous sommes.
Quand je dis qu’à chaque fois que nous
embrassons un aspect intérieur que nous avions délaissé par peur d’être critiqué
ou rejeté, il montre sa lumière et restaure notre intégrité, c’est une réalité
que seule l’expérience peut montrer.
Et quand nous faisons cela, nous intégrons
en même temps tout un pan de la population en lien avec cet archétype.
On sait
maintenant par les recherches scientifiques, celle de la science quantique, que
tout est interconnecté et que ce qui existe est modulé par l’observateur, formé
par la conscience. On sait aussi que nous portons l’univers en nous-même et que
celui-ci est le reflet de notre intériorité, qu’il se dessine sous nos yeux
selon nos pensées émotions, selon la vibration que nous émettons.
Quand on
porte un regard bienveillant sur soi-même, on ouvre son cœur et sa conscience et
en même temps on voit le monde avec les mêmes yeux.
La notion d’ennemi se délite
au fur et à mesure que nous accueillons à bras ouverts tous les aspects
internes en souffrance.
On voit alors les autres comme des frères et sœurs, des
autres « moi », des étincelles de la source qui ont autant de valeur que
celle que nous nous accordons.
Le
cœur a la faculté d’harmoniser tout ce que nous sommes et il suffit de le
vouloir sincèrement, d’être déterminé, de choisir l’amour en toutes
circonstances pour que notre vision et notre fréquence s’ajustent à celle de la
source divine.
On
a du mal à concevoir que la source accepte de laisser les humains agir de plein
gré et détruisent le monde, perpétue les guerres, mais c’est parce qu’on ne sait
pas ce qu’est l’amour véritablement. Et on commence à le connaitre quand on s’abandonne
en confiance à l’être divin intérieur. Quand on laisse l’amour pur ajuster ce
que nous sommes. On connait alors son pouvoir et sa nature, sa capacité d’aimer
sans conditions, d’englober et de magnifier tout ce qui est.
Au
début, l’ego semble opposer de la résistance mais c’est un processus nécessaire
qui permet de s’affirmer non pas vis-à-vis des autres mais vis-à-vis de nos
choix intimes, intérieurs.
La
première chose à chercher, c’est la paix car sans elle la confusion sera
grande.
Cette paix se trouve dans l’acceptation de ce qui est. Dans un premier temps on casse le réflexe, la
réaction et quand la paix est là, on s’ouvre à la réalité de notre être, de notre
essence. Le regard change et on voit avec les yeux de l’âme dans une
perspective beaucoup plus large et même si on ne peut pas voir l’avenir, la
confiance qu’on ressent suffit à persévérer en ce sens.
Et
ce sont ces choix de chaque instant, entre nourrir la peur, la colère, la
division, la séparation ou l’amour inconditionnel, la paix, l’unité et l’harmonie
intérieures, qui vont élever notre vibration, tomber les masques des
personnages, nettoyer les filtres du mental émotionnel, faire le tri dans nos
croyances, les mettre à jour et révéler notre essence originelle. Avec ce
regard neutre, conscient que la vérité est au-delà des apparences, que celles-ci
sont juste la surface et une expression inversée mais complémentaire de l’être, on va peu à peu voir la lumière en toutes choses, en toute vie.
La lumière
étant la conscience objective, neutre, l’aspect masculin de la source et l’ouverture,
l’amour pur, les sentiments, la vibration de l’âme, la reliance, la communion, la
fusion; l’aspect féminin de la source.
On
apprend ainsi à se connaitre de l’intérieur, à se reconnaitre, à percevoir la
lumière, l’intelligence, la conscience qui habite chaque parcelle de l’être, du
corps physique et l’énergie, la vibration d’amour qui attendrit, réchauffe,
console et sécurise.
Peu
à peu, on se voit comme un ensemble magnifique, une création sublime d’intelligence,
de cohérence, de complexité, de puissance, on sent la vie qui nous traverse, le
désir qui émerge et prend forme dans l’alignement de ces corps à la volonté de
la source.
On voit en même temps la puissance de la pensée et on reconnait que
lorsqu’on est dans la paix du cœur, c’est la conscience divine qui est à l’œuvre,
on sait que nous ne sommes pas des marionnettes, mais un tout, que nous sommes guidés de l’intérieur
et que tous nos corps suivent la géométrie sacrée, le plan de vie, à la lettre.
Ces
deux derniers jours ont été très intenses pour moi mais comme j’ai confiance en
la vie, en tout ce que je suis, en l’amour qui me mènent toujours plus haut, quand je suis dans le cœur et présente à ce qui se manifeste en mode observatrice, quand je choisis l’unité et l’harmonie intérieures,
j’ai suivi l’élan de l’instant, l’envie qui émergeait en sachant que je
comprendrais après le sens de cela.
Il faut toujours un certain recul pour voir
les choses clairement et objectivement et quand on est dans la confiance, la
confiance en ce processus de réunification, d’harmonisation, la paix qui
demeure permet de vivre ces vagues internes dans le confort.
J’ai
passé trois heures au lit dans l’après midi pour laisser la source agir en moi,
en ne m’accrochant à aucune pensée, en les laissant défiler et en maintenant ce
désir d’harmonie à chaque instant. Puis cette nuit, le "travail" de lâcher prise
s’est poursuivi en compagnie du chat qui m’avait aussi accompagnée la veille
dans le rééquilibrage interne.
Il
est clair que le fait de changer son regard sur soi et sur la vie, de passer de
l’inconscience à plus de présence à soi, à ses mondes intérieurs, est une
révolution extraordinaire.
Un brassage où tout s’ajuste, un genre d’essorage
qui permet de lâcher les pensées émotions en lien avec l’ancien mode de
fonctionnement.
La seule chose que nous puissions faire d’utile, c’est de
laisser faire, d’être dans la confiance que tout est parfaitement orchestré d’en
haut, enfin de l’intérieur, par l’âme et la conscience. D'être à l'écoute et de se laisser porter par la joie.
Et dans cet abandon la
confiance, la foi et l’amour grandissent.
On
en ressort plus lucide, plus amoureux, plus fort et plus confiant en tout ce
que nous sommes. Même si on ne voit rien, si on est incapable de prédire
comment tout va évoluer, on sait que tout est parfait.
Quand
cette confiance est acquise et comme ça se réalise par l’abandon du jugement,
on peut se laisser être. L’ego qui prend confiance en notre capacité de faire
le choix de la paix et de l’amour, de prendre la responsabilité de nos pensées émotions,
lâche le contrôle, s’harmonise aux nouvelles données, il ne cherche plus à
avoir raison, à convaincre.
Son rôle est de nous pousser à faire des choix, de protéger notre vulnérabilité tant que nous sommes inconscients, ignorants de notre nature divine. Il joue le jeu de l'opposition, de la division afin de nous permettre de nous individualiser, de faire des choix et de nous affirmer en ces choix. Et quand nous choisissons l'unité, il se conforme à cela.
C’est
alors que nous sommes reconnaissant pour le rôle qu’il a joué et qu’il continue
d’exercer mais en s’associant à l’amour, à la conscience, en ayant accepté de
se laisser guider.
Tous les aspects internes sont magnifiés dans cette unité
intérieure qui donne la sensation de vivre des retrouvailles, de revenir à la
source, à la maison.
Cette petite vidéo m’a touchée hier soir. Le graphisme est superbe et l'imagination s'épanouit dans la métaphore.
« Home Sweet Home » Pierre Clenet,
Alejandro Diaz, Romain Mazevet et Stéphane Paccolat, Supinfocom Arles 2013
La
magie de l’image est à double tranchant, elle constitue une nourriture, éveille
notre imagination ou à l’inverse nous hypnotise, nous endort dans un conformisme sclérosant.
Ces petites animations sont des bijoux qui éveillent en chacun la vision
spécifique de l’être, de l’âme et de la personnalité réunies. Chacun y voit ce
qu’il est, ce qu’il porte et en ce sens c’est un magnifique outil de connaissance
de soi, dans la légèreté.
Une
fois le travail d’accueil, d’harmonisation effectué dans l’abandon aux énergies
de l’unité, j’ai voulu nourrir l’âme, l’esprit, l’enfant intérieur qui se
réjouit de voir ce que l’humain peut réaliser lorsqu'il est aligné, connecté à sa passion de vivre.
Nourrir son corps mental,
émotionnel est tout aussi important que de nourrir le corps physique sinon
plus. La puissance de la vibration divine est aussi perceptible dans ces choix
de nourriture énergétique parce que lorsqu’on choisit la paix et l’harmonie, le
bien-être s’installe et entraine toute une réaction en chaine dans le corps
physique, les connexions neuronales, l’activation des systèmes internes, les
sécrétions des glandes endocrines qui régulent l’humeur…tout s’ajuste à la vibration de l’amour
qui rayonne et amplifie par le fait de pouvoir circuler dans tous les corps et
ainsi les nourrir.
D’ailleurs c’est encore une belle synchronicité dans la
réception et le contenu de la lettre mensuel de Lise Bourbeau qui parle
justement des besoins de nourriture de tous nos corps.
En ce sens regarder la télévision
est un acte passif voire un acte d’abandon de son pouvoir de penser, d’imaginer,
de créer. Cette autre vidéo l’illustre très bien.
« Somnium » Gerard Seymour, Riann Sholtz,
Pieter Louw, Eben De Waal, Jasmine Morvan, Greta Pepler while de l’école « the
animation school »
Si
on se fie uniquement aux infos données par les médias traditionnels, ou même
ceux qui veulent obtenir de l’audience parce que les sensations fortes en
garantissent le succès, on va sombrer dans le désespoir mais quand on fait la paix
en soi et qu’on se laisse porter par cette vibration d’amour lumière, on va
trouver les infos qui vont refléter cet état d’être intérieur.
C’est un
formidable moyen de savoir où on en est dans la pacification et l’harmonisation
intérieures. L’effet miroir, la résonance sont une forme de guidance
extraordinaire qui révèle notre essence et la puissance de l’amour, de l’unité.
Ces jeunes sont conscients de cela et c’est très réjouissant !
Encore
une fois, ce que nous donnons à notre esprit, ce sur quoi nous focalisons notre
attention le nourrit tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Il ne s’agit pas de
se voiler la face mais de porter un regard conscient et bienveillant sur
soi-même et sur le monde et de choisir ce qu'on va nourrir en soi, ce à quoi on veut donner de l'énergie, de l'attention.
On en verra toute la beauté et la lumière, lumière
qui absorbe l’ombre et en révèle la pertinence.
Je sais que ça n’est pas facile
à comprendre pour le mental puisque ses références, sa façon de concevoir les
choses c’est précisément de les diviser, de les étiqueter et les
compartimenter.
Mais quand on fait confiance à cette vibration d’amour, de paix
et qu’on choisit la paix et l’unité, en conscience et en connaissance de causes,
on va en sentir les bénéfices immédiatement. C’est là que se situe notre
pouvoir réel et le moyen le plus sûr de savoir Qui on est en vérité.
Et même si
le mental est largué, surtout s’il l’est, c’est qu’on touche la vérité de l’être,
de l’essence, de la source.
Quand la foi, la confiance est présente, on ne
craint pas de laisser les repères du passé et plus la vibration de paix et d’unité
s’installent plus on est libre, libéré des étiquettes, des définitions, des
limitations. Et c’est le positionnement dans le cœur, en conscience, qui nous
guide sans effort, ajuste notre vibration à celle de l’âme, de la source,
rendant la vie délicieuse à chaque instant. On avance dans la joie de l’enfant
qui sait qu’il va pouvoir s’émerveiller de la nouveauté, qu’il va découvrir des
trésors à chacun de ses pas.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr