Après
la pluie continue, c’est le vent qui m’empêche d’aller au jardin. Mais ça me va
bien. En ce moment, je n’ai pas envie d’agir. Je suis plus focalisé au centre
que jamais parce que je sais que toutes les solutions sont là. Quand je dis
"solutions" je devrais dire "potentiels" parce que la solution suppose qu’il y ait
un problème et je n’ai pas du tout l’impression d’avoir un problème.
C’est l’énorme
avantage de l’acceptation totale de soi parce qu’on ne se définit plus comme un
objet fini, condamné à revivre éternellement les mêmes schémas, on se voit
comme un terrain d’expérience où "l’échec" est une occasion de comprendre, d’être
enseigné, de s’ajuster aux fréquences de la paix, de l’amour.
Où les traumas du passé deviennent révélateurs de l'être tout entier, de son essence, de sa passion, de la conscience Une...C’est à mon sens
de cette façon qu’on intègre sa lumière et qu’on fait l’expérience directe de l’amour
en soi.
Dès
lors qu’on change sa perspective, l’horizon s’élargit et comme on sort du rôle
de victime, on s’ouvre de plus en plus à la sagesse innée, intérieure, on
perçoit l’âme, sa voix, ses clins d’œil dans les synchronicités.
Le fait de
juger une situation, de l’interpréter d’une façon catégorique, de la considérer
comme bonne ou mauvaise, nous limite considérablement, on ne peut absolument pas
changer et on perpétue les mêmes comportements en se plaignant que notre vie
est lourde, pénible, en ayant l’impression de devoir la subir.
Un
comportement se met en place par plusieurs facteurs associés, une situation va
susciter une émotion, le mental va l’interpréter et si on est enfant comme il n’est
pas encore assez développé, c’est l’inconscient qui va enregistrer les données
en terme d’émotions douloureuses et d’incompréhension.
Un signal d’alarme va se
créer dès qu’on sera dans une situation qui éveillera les mêmes émotions
douloureuses.
Et si le mental est capable de raisonner, il va interpréter la
situation par rapport à l’émotion ressentie et une croyance va se former.
Par
exemple, si dans mon enfance, j’entends un bruit strident qui m’agresse, au
moment où je bois du chocolat au lait, inconsciemment je vais associer le
chocolat au lait avec des émotions douloureuses, et mon système de défense
interne va classer le chocolat au lait dans les dangers potentiels.
Le corps
physique enregistre la mémoire d’un trauma de plusieurs façons, au niveau de la
mémoire cellulaire, de celle des organes des sens, une carte "danger" va se
dessiner, associant la pensée, consciente et inconsciente, l’émotion mais aussi les
odeurs, les sons, tout ce que le corps va ressentir et percevoir à ce moment
précis.
Ainsi, dès qu’un de ces éléments sera revécu, un seul de ces facteurs
mémorisé va déclencher l’émotion douloureuse, le système d'alerte, de fermeture, de sécurité, parce que l’inconscient aura tiré
la sonnette d’alarme. On est en mode automatique, réflexe, inconscient.
Et la récurrence de la situation va confirmer au niveau
mental cette association de paramètres ce qui finalement constituera une
croyance, une habitude, un comportement réflexe.
Dès qu’on revivra une situation comportant un des éléments
déclencheurs, la croyance sera nourrie et le même circuit neuronal sera emprunté,
donnant la même réponse au stimulus.
Pour sortir de ce cycle de conditionnement
d’une croyance, pour casser l’association perverse qui nous fait réagir en mode
automatique, réflexe, il faut arrêter le processus en agissant sur la pensée, en
changeant la croyance, en créant de nouvelles routes neuronales, et concrètement, physiquement, en apprenant à accueillir ses émotions, à être en paix.
Le
fait de se poser dans le cœur, casse le réflexe conditionné parce qu’alors, on
se place en observateur, on arrête la réaction en chaîne.
Il
est plus courant de commencer à changer en intégrant de nouvelles données.
Mais
il faut déjà vouloir changer, ne plus se satisfaire de ce qu’on vit.
Jouer la
victime peut comporter des avantages, ça nous déresponsabilise et comme il est
beaucoup plus facile d’accuser les autres, les circonstances de notre mal être,
on peut rester dans ce rôle jusqu’au bout.
Dans
un sens, ça peut aussi se comprendre parce que tant qu’on ne sait pas gérer son
monde intérieur, mental et émotionnel, on aura l’impression de subir, de ne pas être le maitre à
bord.
Et pour vouloir changer, il faut déjà croire que c’est possible,
connaitre la constitution et le fonctionnement de l’humain, de ses corps subtils, des énergies.
On
parle du pouvoir de la pensée mais elle n’agit pas seule, nous sommes
constitués de corps subtils et comme nous nous identifions à la surface de la
personnalité, à un seul de ces corps, on ignore notre potentiel véritable.
On
parle d’ouverture de cœur et d’esprit parce que c’est de cette façon qu’on peut
intégrer de nouvelles idées.
Le cœur a la capacité de voir avec neutralité et
donc de percevoir au-delà des à priori, des apparences, des rôles et conditionnements.
Il a une vision objective des faits et lorsqu’on se centre on pourra voir l’association
pensée/émotion qui crée le comportement réflexe.
On
a les mêmes réactions aux même stimuli extérieurs parce que l’émotionnel ne
fait pas la différence entre une situation du présent et une pensée du passé; un souvenir, ou une pensée imaginaire, qui se projette dans le
futur. Pour lui, tout se vit au présent et c'est là une grande part de notre pouvoir, de notre capacité d'agir, de changer.
Une peur associée à une pensée, une croyance, va se déclencher
naturellement, automatiquement, parce que la pensée et l’émotion ont été associées
dans une situation donnée où l’inconscient, le mental l’on interprété comme un
danger. Et si on est face à la même situation même si nous ne sommes pas
vraiment en danger, on aura pourtant le même réflexe conditionné.
Longtemps,
je me disais comment je peux avoir peur alors que je ne suis plus l’enfant
soumise à un père abusif, tout ça c’est derrière !
Mais
en fait, il reste les pistes neuronales, les émotions qui nourrissent les
pensées et croyances du danger tout ceci est inscrit dans la mémoire du corps, de l’inconscient.
Pour
cette raison, tout le travail au niveau mental, d’épuration des croyances, a
demandé l’intégration de nouvelles données. Et c’est de cette façon que peu à
peu, les croyances se transforment mais tant que je ne faisais pas le travail
au niveau émotionnel, le changement était superficiel. Il y a eu tout de même un grand progrès mais il me fallait aller plus en profondeur.
Il est donc important, nécessaire
même, d’apprendre à gérer les émotions liées à la peur, aux croyances qui ont
été adoptées lors de situations traumatiques.
Et
ça demande de l'attention et la répétition du nouveau mode de gestion de son monde intérieur afin
de changer véritablement, afin que toutes les mémoires soient désactivées.
D’où
le caractère répétitif de mon discours !
On peut y voir un manque d’imagination,
une forme de stupidité mais en fait, c’est un travail de transformation
profonde indispensable.
C’est en répétant la nouvelle croyance, en posant les
choses mentalement chaque matin, que le comportement se calque dessus. Le fait
d’écrire tous les jours à propos de la puissance de l’amour prépare le
mental de façon à ce que le retour au cœur devienne un réflexe automatique.
De
cette façon les connexions neuronales qui forment les nouveaux circuits se
créent évitant d’avoir à raisonner à chaque fois que des émotions désagréables
se manifestent.
On
s’identifie à nos pensés, nos croyances parce qu’au fil du temps, elles
forment des comportements qui créent des caractéristiques particulières de la
personnalité.
Ainsi, on va se définir par rapport à des traits de caractère qui
ne sont que des conditionnements. Et ces conditionnements eux-mêmes, viennent
de situations vécues dans l’enfance, de réactions primaires à des faits que
nous n’avons pas choisis, enfin pas au niveau de la personnalité mais c'est un autre sujet.
Des conditionnements créés à partir de croyances bien
souvent héritées de notre entourage, et lorsque c’est l’inconscient qui gère le
trauma, ces croyances sont issues de l’inconscient collectif.
On
se construit une personnalité à partir de croyances conscientes et
inconscientes qui ne nous appartiennent même pas ! Et bien souvent les
réactions que nous avons, vont faire que les autres vont nous définir, nous
attribuer une personnalité.
Les parents et les éducateurs vont nous définir
selon nos réactions et pas selon l’être intérieur véritable et comme on les
croit, on va penser être ce qu’ils disent de nous.
On s’identifie à nos traits
de caractères parce qu’on les répète inconsciemment au point de croire que nous
sommes ces réactions, ces réflexes conditionnés.
On
peut donc comprendre l’importance de l’introspection, de la connaissance de soi
qui nécessite la transparence et la bienveillance, l'observation neutre.
Déjà, quand on comprend que
notre inconscient est un système de survie, que notre personnalité se forge sur
des croyances extérieures et que ce sont des réflexes conditionnés, intrinsèques
à tout humain, on peut avoir un regard beaucoup moins dur envers soi.
Nos
corps subtils réagissent selon leurs fonctions afin de nous maintenir en vie
dans un monde où nous sommes stimulés de toutes parts et où la peur domine.
Intégrer
l’amour lumière de la source, c’est devenir conscient de ces mécanismes, voir
que ce sont des systèmes automatiques propres à l’humain, à l’incarnation, mais
que ça ne nous définit en aucun cas.
Ce sont des comportements automatiques de
survie mais nous ne sommes pas obligés de les subir et encore moins de croire
que nous sommes enfermés par ces conditionnements.
Par
contre, il faut savoir que pour sortir de ces schémas, ça demande de vouloir
être responsable de son monde, d'arrêter d'accuser l'extérieur, d’être en mesure de s’observer objectivement et
avec compassion, bienveillance.
La
peur, la culpabilité, les obligations, sont des énergies qui nous permettent de
déceler ces automatismes et en même temps, par effet contraste, de goûter leur
opposé lorsqu’on vient au cœur.
Lorsqu’on se centre, lorsqu’on observe ces
mouvements internes, on s’en dissocie, on voit que nous ne sommes pas cela, que
c’est juste un mouvement de l’énergie en nous, un mouvement qui plus est, qui n’est
pas mal intentionné mais juste un phénomène naturel.
Savoir
que nous sommes agis ou mus par des systèmes réflexes internes nous permet d’avoir de
la compassion pour nous-même, de voir que nous avons conservé notre innocence,
que nous ne sommes pas mauvais mais que nous étions juste ignorant de notre nature
complexe et multidimensionnelle.
Quand
on sait que la plupart de nos comportements sont des réactions réflexes, et qu’ils
constituent une forme de protection, de self défense, on se détend.
Une fois qu’on
sait cela, on ne peut plus non plus agir de la même façon. Du moins comme on ne
peut pas décemment s’identifier à nos réactions, on va pouvoir lâcher ces
comportements réflexes.
Et c’est en ne réagissant plus, en cassant le cycle ;
pensée, croyance, émotion, alarme, que le réflexe conditionné va se désactiver.
En
général, on commence par chercher de nouvelles idées puisque le mal-être
insupportable va initier la recherche et comme notre mental, la zone du néo
cortex tout comme nos cellules, sont programmés pour évoluer, on trouvera de
nouvelles pistes. Le désir de changement va enclencher un processus naturel téléguidé par la source, par notre conscience évolutive.
Et très souvent c’est en sachant qu’une croyance était
fausse, en prenant conscience qu’on nourrissait l’illusion, parfois même de
façon choquante, qu’on va pouvoir vouloir véritablement changer.
En
ce sens, toutes les révélations de corruption, de manipulation, dans le monde,
ont un effet libérateur même si pour beaucoup, bon nombres d’illusions, de
fausses croyances et même de certitudes s’écroulent. Ça créé une perte de repères censée nous amener à l'intérieur, à devenir plus conscients mais très souvent, ça amplifie la division en soi, le rejet de son ombre, l'accusation, la déresponsabilisation, la dualité et donc l'inconscience.
Tant
que nous agissons en mode inconscient, automatique, nous ne pouvons pas évoluer
et très souvent la vie va devoir nous faire vivre des situations douloureuses
pour que nous prenions conscience de nos croyances illusoires ou limitantes.
Alors
on croira encore plus être une victime jusqu’au moment où on cesse de lutter,
où on accepte les faits et là, on peut commencer à voir la situation avec plus
d’objectivité.
Puis se rendre compte de l’aspect bénéfique, libérateur de l’expérience
qui nous a permis de toucher le cœur de l'être, de grandir en conscience, en sagesse et nous rend plus
responsable, lucide.
Une
fois qu’on comprend que les systèmes internes de survie peuvent être désactivés
en choisissant d’être responsable, c'est-à-dire conscient de ces mouvements internes,
on voit qu’il ne sert à rien de lutter. On comprend que c’est dans la paix du cœur,
dans l’accueil et l’observation bienveillante, que l’inconscient n’est plus obligé
de gérer notre vie, par défaut.
La réaction, qu’elle
soit de rejet, de lutte, de résistance, de rébellion, d’attraction et de
répulsion, fait partie de ce système de survie, de l’inconscient, de ces
conditionnements, c’est un mode de fonctionnement réflexe.
L’humain possède une
conscience c'est-à-dire la capacité de comprendre, de raisonner et là je ne
parle pas d’engranger des connaissances, de savoir calculer, mais d'ouverture, de compréhension et de faculté d’innover,
d’imaginer.
Une connaissance doit être intégrée, appliquée afin qu’elle
permette de changer, de développer son intelligence et pour cela, ça demande de
passer du mode inconscient de survie à la conscience de ce que nous sommes.
Et ça exige de porter un regard neutre sur soi-même.
Quand on parle d’enfant
intérieur, il représente beaucoup d’aspects internes.
On pourrait plutôt,
parler de différents programmes tels que le système inconscient de survie, la
part animale, l’aspect émotionnel instinctif, puis distinguer la conscience. L’enfant
représente un peu de ces aspects dans le sens où il ignore comment il fonctionne
et agit souvent en mode réactionnel.
Puis
quand on cesse d’agir en mode inconscient, les énergies positives de l’enfant,
celles de l’innocence, de la légèreté, la capacité de rêver, d’innover, tout ce
qui est logé dans le néo cortex, peuvent alors s’activer.
Tant
qu’on réagit en mode survie, on subit sa vie, on subit ses pensées émotions
mais si on décide de se voir en totalité, tels que nous sommes, en lâchant les
notions de bien et de mal, en sortant du mode réflexe conditionné qui gère
notre système de pensée, un mode primaire de perception de soi et du monde, on
s’ouvre alors à l’être véritable que nous sommes.
Véritable
parce qu’on voit l’aspect systémique, tout ce qui nous constitue et véritable
parce que le mode observateur révèle la conscience éclairée de l’être.
Observer
ses pensées, ses émotions, c’est faire un mouvement intérieur qui nous dissocie
de tous les systèmes réactionnels, réflexes. Et cette dissociation révèle la
conscience neutre capable de voir au-delà des apparences. Plus on va venir au
centre et se placer en mode observateur et plus on va s’identifier au cœur de l’être,
à cette présence neutre et bienveillante que nous sommes essentiellement, originellement et éternellement, en dehors du temps linéaire, de l'espace temps et en même temps ici et maintenant.
En
goûtant cette paix que procure le fait d’observer sans juger, on va savoir que
nous sommes autre chose que nos croyances, nos pensées, nos émotions, sans pour
autant renier tout cela parce qu’on en saisit le sens, la beauté, le potentiel et l’importance dans
cette vie, cette forme particulière d'être humain.
A
mesure qu’on devient plus conscient de soi, présent à son corps, à ses corps
subtils, on n’a plus besoin de nourrir des croyances à propos de ce que nous
sommes en vérité, on perd le besoin d’étiqueter. Puis comme on sait que notre
vrai nature, c’est la paix, le partage, l’amour, la reliance, le fait de se
réjouir de contribuer, de donner et de recevoir, on n’a plus besoin du mode
comparatif pour se situer, on n’a plus besoin de ranger les choses dans des
cases bien/mal.
On sait que les croyances et le système de comparaison qui
consiste à diviser les choses, à les voir de façon séparée pour les appréhender,
ne nous donne pas une version juste de la réalité, mais que c’est en percevant les
choses de façon globale et neutre qu’on en a une vision plus appropriée, plus
proche de la vérité. On ne voit plus alors la dualité, comme une réalité mais comme un simple outil de comparaison de connaissance, limité.
Dans
l’introspection et l’observation neutre des mouvements internes auxquels on ne
s’identifie plus, on voit que tout fonctionne de façon harmonieuse.
On comprend
que le jugement fait partie du réflexe de survie et que si nous voulons élargir
notre conscience, nous devons abandonner cette façon de considérer les choses
et les êtres.
Et c’est parce qu’on le vit en soi, qu’on goûte les bénéfices de
la neutralité par la paix qui s’installe, la vision qui s’éclaire, s’élargit,
en même temps que le cœur s’ouvre, qu’on lâche l’idée de juger.
On sait que
nous sommes essentiellement l’amour et la lumière alors on ne craint pas de "mal
faire", de devenir "mauvais" en n’ayant plus ces critères d’évaluation.
On choisit
d’agir en conscience, de stimuler le néocortex, de le développer, dans cette ouverture
simultanée du cœur et de l’esprit tout en sachant qu’il ne fonctionne pas selon
des critères connus, habituels puisque sa fonction d'est d'innover.
On entre dans l’inconnu, dans une façon d’envisager
les choses qui est totalement nouvelle mais comme tout le processus de
connaissance de soi amène à faire confiance à la vie, à ce que nous sommes en
totalité, on sait que ça sera toujours mieux que le passé, que ce que nous
avons vécu et l’expérience nous le prouve chaque jour.
Parce que le premier
bénéfice c’est que la paix devient constante. Toute cette nouveauté, ce
changement de mode d’action, la vie elle-même qui change, se conforme à notre
nouvel état d’être, ne peut qu’être envisagée de façon positive, elle ne peut que s'améliorer.
L’observation
de soi révèle le bien-être qui découle de la paix, de l’unité intérieure et comme
on ne considère plus du tout qu’il puisse y avoir un ennemi en soi, comme on considère
chacun des corps comme un ami, un outil d’expérience, d’appréhension, de
perception, un associé qui travaille au bien-être de l’ensemble, qui est au
service de l’amour, de la Vie, de l’expansion de cœur et de conscience, on se laisse vivre
en toute confiance.
On utilise les outils que sont le verbe, l’écoute, la
communication, pour maintenir la paix et l’unité en soi.
C’est une grande force
de pouvoir considérer ces corps comme un ensemble cohérent et bienveillant et
ce point de vue en révèle la réalité.
Dans ce processus on voit encore la
puissance de l’attention et de l’intention.
On voit que nous avons le pouvoir
de choisir le regard que nous adoptons sur ce qui est, sur ce que nous sommes
et que c’est précisément cela qui change tout.
Dès lors, on comprend qu’en
focalisant notre attention sur l’harmonie et l’unité intérieure, tout va se
montrer sous cet angle.
On comprend comment nous co-créons, comment notre
focalisation crée la vision et l’état d’être du moment.
Comment nous pouvons changer de dimensions, d’état
d’être, d'état de conscience, selon notre point de focalisation, selon les pensées et les croyances que
nous nourrissons.
J'ai publié un article sur l'autre blog qui présente un documentaire qui parle de l'altruisme, du fait que ce soit inné chez l'humain et des effets de la méditation, de la maitrise émotionnelle...et l'expérience réalisée dans une école d'une ville où la population est très violente, montre les effets bénéfiques de cette capacité à gérer ses mondes intérieurs. Voici le lien qui mène à la vidéo: http://unmondeconscientetbienveillant.blogspot.fr/2016/02/vers-un-monde-altruiste-documentaire.html#more
J'ai publié un article sur l'autre blog qui présente un documentaire qui parle de l'altruisme, du fait que ce soit inné chez l'humain et des effets de la méditation, de la maitrise émotionnelle...et l'expérience réalisée dans une école d'une ville où la population est très violente, montre les effets bénéfiques de cette capacité à gérer ses mondes intérieurs. Voici le lien qui mène à la vidéo: http://unmondeconscientetbienveillant.blogspot.fr/2016/02/vers-un-monde-altruiste-documentaire.html#more
Et
quand on fait confiance à la source en soi, on se place en spectateur en même
temps qu’on est acteur, sous la direction du metteur en scène qui connait le
scénario idéal.
Celui qui correspond à la passion de notre âme et coïncide
parfaitement à ce que notre personnalité réelle aime le plus au monde.
Cette
vraie personnalité, celle qui est au-delà des conditionnements, des
automatismes, des masques, des rôles, des blessures, c’est précisément l’énergie de notre âme et dans la matière,
celle de l’enfant et de l’ado en soi qui représentent la passion de vivre, le goût de l'expérience, de l'innovation, de la liberté d'être, de rêver, de créer, de jouer...
L’âme et la conscience Une qui ont créé
la personnalité et se manifestent par l’énergie masculine et féminine, celles
du ciel et de la terre, les forces électromagnétiques qui nous traversent et qui
constituent notre essence originelle en la vibration d’amour et de lumière.
Plus ça va et plus je me vois comme un tout, un "Nous" où chacun trouve enfin sa
juste place, où tout le monde, chaque corps est perçu en égal.
Un ensemble
dirigé par la source de toute vie et la conscience qui s’élargit me montre que
tout est conscient, que tout réagit à ma fréquence vibratoire, les gens, les
animaux, les objets.
Selon la façon dont nous percevons les choses, celles-ci
prennent la forme de notre vision. On envoie une fréquence à laquelle elles
répondent par effet de résonance.
On peut ainsi aller jusqu’à transformer la
matière mais je n’en suis pas là, pour le moment, je constate et perçoit les
nombreuses implications et applications de toutes ces connaissances où la
science et la spiritualité se rejoignent enfin !
Là encore, on peut
constater la force de l’union !
Et
cette force extraordinaire est à la portée de tous, simplement en choisissant
de se positionner dans le cœur qui nous montre la valeur et la puissance de l’harmonie,
du désir d’abandonner le jugement pour laisser l’amour lumière guider nos pas.
Et c’est ainsi qu’on ressent effectivement cette vibration, cette combinaison
de vertus, de fréquences, d'énergies, que sont l’harmonie, la paix, la tendresse, la douceur, la force
aussi, la détermination, la liberté d’être, l’insouciance qui n’est pas l’inconscience
mais juste la confiance et la passion d’être…tout ce qui rend un humain libre, complet, heureux,
épanouit.
Sortir de tous les conditionnement, jugements, enfermements, médicaments..., de tout ces termes qui se terminent par "ment" et qui disent qu'ils mentent, définissant leur fonction de limitations, de révélateur, de menteurs et de mentors parce qu'ils nous enseignent, nous amènent à rechercher la vérité, et à trouver l'amour lumière intérieurs, à en connaitre/sentir/ressentir la substance, l'ampleur et la valeur.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr