dimanche 28 février 2016

« L’intelligence du corps humain, la danse de la vie, des cellules »






Je parle beaucoup d’amour et de lumière parce que ça constitue l’essentiel, de ce que nous sommes et on peut le constater dans toutes les dimensions de l’être, de la fonction cardiaque, aux pensées, jusque dans le monde des cellules, la conscience et la reliance supportent et gèrent le vivant. C’est ce que nous sommes et la mémoire nous pousse à le chercher jusqu'à le constater en nous-même.

Les cellules sont vivantes, intelligentes et autonomes tout en étant interdépendantes. Chacune d’elle a une fonction précise et les interactions, les connexions sont l’expression même de l’amour cette énergie qui relie les êtres, les mondes, les univers et donc les cellules. L’altruisme, l’empathie sont essentielles au bien-être et à l’épanouissement, l’accomplissement des individus. Parce que nous sommes par nature, des êtres de reliance.

Lorsque l’estime de soi est brisée par une enfance difficile, des parents distants ou critiques, les systèmes internes de survie et la biologie des cellules s’adaptent en conséquence et vont influencer le comportement, inspirer l’humain a chercher des solutions permettant la survie de l’individu.


Quand on ignore sa vraie nature et donc tout le potentiel, le pouvoir de la pensée, de la focalisation et de l’attention, de l’intention, c’est notre inconscient qui va prendre les choses en mains et on sera attiré instinctivement par tout ce qui peut restaurer l'amour à l'intérieur. Très souvent lorsque la confiance en l'autre fait défaut, on sera attiré par les drogues, par celles qui restaurent la reliance entre les neurones et les cellules. 

Quand on est déprimé, quand le goût de vivre est sérieusement entaché par le manque d’amour de soi, en soi, les hormones telles que la sérotonine, les endorphines, sont peu nombreuses et l’industrie pharmaceutique ayant développé des hormones de synthèse,  le médecin en prescrira à son patient afin qu’il retrouve le goût de vivre. 

Si la confiance en l’autre est aussi peu présente que l’estime de soi, on se tournera vers les opiacés, les dérivés d’opium, la morphine, l’héroïne, l'alcool ou encore les produits à base de dopamine, les drogues douces dites récréatives, par instinct de survie. 

En cela, on peut voir l’intelligence de cet instinct de survie puisque la personne retrouvera une forme de bien-être du à cet apport d’hormones du bonheur.
Malgré tout, comme ceci est élaboré au niveau de l’instinct de survie, l’organisme sera soumis au stress et vieillira prématurément. 
Dans l'inconscience de ce que nous sommes en vérité, la vie est maintenue en soi par deux systèmes distincts qui luttent en permanence, la survie basées sur la peur et ses stratégies et la croissance, l’évolution cellulaire, la régénération des cellules.

Tant qu’on conçoit la vie comme une lutte, ces deux systèmes s’opposent puisqu’ l’un se nourrit de l’énergie de la peur, des croyances qu’elles entrainent et l’autre se nourrit de l’amour lumière, de la foi en la source, la vie éternelle. La personnalité est alors divisée, ballotée entre ces pensées émotions de vie et de mort et ce combat pourra mener à la mort du corps physique. 
Mais la foi en la source, en l’amour lumière, peut réaliser des miracles puisqu’alors, la reliance entre les cellules sera rétablie sous l'orchestration de la source, selon l'ordre divin, au fur et à mesure et parfois en une spectaculaire guérison qualifiée de miraculeuse. 

Les récentes découvertes de la science nous donnent la base de compréhension nécessaire à l’autoguérison, elles décrivent la vie éternelle que nous sommes et l’importance de la reliance, de la communication ; l’intelligence qui nous habite, la conscience en chaque cellule et leur capacité à communiquer, à s’adapter à leur environnement, aux infos qu’elles reçoivent. 
Nous savons aussi que nous sommes constitués à 70% au moins, de molécules d’eau et que celle-ci est capable de mémoriser de l’info, de transmettre des messages. Qu’elle contient touts les connaissances de la source, donc qu’elle possède sa propre lumière, et qu’elle peut la communiquer, réagir à son environnement et s’y adapter.

Elle possède les caractéristiques de l’amour dans sa capacité de donner la vie, de la nourrir et le fait qu’elle soit vitale pour l’humain, pour l’organisme, révèle aussi l’importance de l’amour, de la reliance, de la capacité à communiquer, à s’adapter.

L’intelligence est donc, à mon sens, la capacité à voir, à être conscient et à s’adapter aux circonstances, à les sublimer, les transcender, à voir la lumière et l’amour en toutes choses, tout être. Même si ces énergies sont en latence ou contrariées. 




Toutes ces données vont permettre d’élaborer des protocoles de guérison exceptionnels aux résultats stupéfiants et en accord avec mon âme, j’ai choisi de "servir de cobaye", de tester l’autoguérison selon ces connaissances basiques. Simplement en étant ouverte et en me laissant guider, inspirée.
Il est clair que tout ce qui est nouveau s’élabore par des essais, par une succession d’échecs et de réussites, ce qui permet d’ajuster et finalement de trouver la formule idéale, la combinaison de facteurs permettant la guérison, le succès.

Il faut tenir compte de toutes les implications de ces données, du caractère unique de chacun puisque la combinaison spécifique de la personnalité, des corps subtils, des circonstances particulières, de la mémoire cellulaire, du bagage génétique, des croyances qui en découlent ou qui les alimentent et la façon d’y répondre, de réagir, de s’adapter à tous ces facteurs, créent une matrice unique mais cependant malléable à souhait. 

Tenir compte de la matrice de l’individu et des traits communs à l’humain divin. 
Ou dit autrement du caractère unique et universel de l’être.

Nous savons que les cellules entendent et comprennent l’info, que l’eau la transporte et que la pensée, le verbe c’est de l’info. 
On sait aussi que la pensée est associée à l’émotion correspondante, à l’énergie et à l’intention, constituant ainsi une vibration spécifique. 
On sait donc que les corps subtils sont interconnectés et que le cœur est l’organe central, le cerveau principal de l’humain, celui qui gère et coordonne les systèmes. 
Le point de réunion de tous les corps, la jonction entre l’humain et le divin, la porte qui donne accès à la source divine, à l’âme et au soi. 
On sait aussi que les systèmes internes fonctionnent en harmonie et selon la direction de la conscience divine. 
Soit en conscience sous la direction de l’âme et du soi, soit dans la survie, par défaut selon les croyances logées dans l’inconscient. 
C’est toujours l’aspect divin intérieur qui téléguide mais plus nous prenons conscience de qui nous sommes et plus nous nous alignons aux fréquences de l’amour lumière et plus cette conscience pourra agir. 
En gros, plus nous sommes conscients d’être essentiellement amour et lumière, reliance et conscience et plus nous allons agir en conséquence, voir la vie sous cet angle, donc changer les données intérieures et solliciter les systèmes évolutifs.

Cette petite vidéo montre le comportement qui permet de vivre de façon épanouie, c’est le symbole même du lâcher prise, de la confiance et c’est ce qui se passe au niveau cellulaire lorsque nous cultivons l’amour inconditionnel en nous.

Endorphin Casually Walks to Music:


Une molécule de kinésine emportant "sur son dos" de l'endorphine, le long d'un filament de neurone dans la partie intérieure du cortex pariétal du cerveau, ce qui provoque le sentiment de bonheur.



Se laisser guider par l’amour, agir en conscience, c’est s’ouvrir et accueillir en notre cœur, embrasser, tout ce que la vie nous propose d’expérimenter. 
On sollicite le système évolutif interne lorsqu’on s’abandonne à l’amour, lorsqu’on cesse de lutter et ça se répercute sur nos cellules, les connexions neuronales, le néo cortex s’activant de plus en plus, on voit en la question, la réponse. On prend conscience de la beauté intérieur, de l'intelligence de ces mondes infiniments petits.

Les caractéristiques des cellules sont exactement celles qui permettent à l’individu de vivre en harmonie tant à l’intérieur qu’avec son environnement, elles portent le programme d’excellence, les schémas qui conduisent au bonheur, à l’épanouissement. 

Elles sont ouvertes, communiquent et travaillent ensemble à maintenir la vie, l’harmonie, la santé de notre corps physique, elles œuvrent pour le bien-être de l’ensemble, l’évolution du vivant, elles s’adaptent de façon optimale aux circonstances extérieurs, aux nouvelles données.
En ce sens nous portons donc le plan divin intérieur, la vie éternelle et nous pouvons calquer notre comportement, notre mode de pensée, la volonté de notre personnalité, sur le leur ; solliciter le programme évolutif afin de retrouver l’équilibre et agir dans l’harmonie, en cohérence, sous la guidance de la source divine.

En choisissant d’être de plus en plus conscient, d’observer sans juger ce qui se vit en nous, et de laisser le cœur harmoniser les énergies et les corps subtils, nous permettons l’émergence et la libre circulation de notre essence divine.
Nous pouvons faire confiance à la source, à la vie, à tout ce que nous sommes puisque notre essence originelle, nos corps et les énergies qui nous traversent sont hautement intelligentes et capables de suivre le plan de la source.

Ça demande de changer ses croyances, d’être à l’écoute de ses corps, de son intuition, de lâcher prise et de savoir reconnaitre l’évolution, qui se réalise en soi.
La vie qui change lorsqu’on change son point de vue, son positionnement intérieur est le témoignage de cette rêvolution interne pacifique.

S’aimer sans conditions devient alors une évidence parce qu’on reconnait au fur et à mesure de nos observations, que nous sommes la vie éternelle, l’intelligence bienveillante, l’amour et la lumière, jusque dans nos cellules et l’harmonie constamment maintenue dans cette paix infinie. 
Lorsqu’on cesse de s’invalider, de rejeter des aspects intérieurs et qu’on reconnait leur intelligence, l’importance de leur présence, de leur raison d’être, l’amour inconditionnel restaure l’harmonie, recrée les ponts, les connexions neuronales, la pureté originelle des corps subtils et des énergies masculine et féminine. 
C’est tellement immense comme révolution qu’on ne peut qu’être émerveillé par tant de beauté, d’intelligence.

Les cellules intelligentes et autonomes de notre corps physique donnent à la personnalité le sentiment d’être l’hôte privilégié de ce monde intérieur. La reconnaissance et la gratitude qui en émane, le sentiment de sécurité, d’être profondément aimé, efface toutes les expériences passées douloureuses. 
La renaissance s’effectue sous l’orchestration du cœur qui rayonne l’amour et de la lumière. 
La conscience qui se focalise sur cela, grandit en intelligence et en capacité d’aimer. 
Et c’est ce qui amplifie l’action de la source en soi. 
C’est une façon d’aligner sa volonté à celle de la vie éternelle. 




Ce qui ne veut pas dire qu’on s’accroche à la vie mais qu’on est conscient de son caractère précieux, miraculeux. Son côté éphémère nous rappelle l’importance du lâcher prise, de vivre chaque seconde dans la joie et la liberté d’être. 
On comprend que c’est maintenant qu’il nous faut vivre selon notre vision, nos aspirations les plus nobles, nos rêves les plus fous. Et que c’est justement parce que ça ne dure qu’une seconde dans l’éternité qu’il nous faut en profiter pleinement, être le plus conscient et amoureux possible.   

La recherche de privilèges à l’extérieur, dans la relation aux autres, est remplacé par la conscience d’être aimé, d’être l’amour et de la capacité de développer cette vibration simplement en étant soi-même, en agissant depuis l’espace serein du cœur.
On ne cherche plus alors à faire pour recevoir une récompense mais juste à être, à laisser cet amour lumière rayonner en toute confiance et en conscience. 
On offre alors ce rayonnement, on l’émane naturellement, sans chercher à l’être ou à le vouloir puisqu’on reconnait cette vibration qui est au-delà même de notre volonté.  
Le mental est alors l’observateur humble de ces processus internes, il ne s’oppose plus à l’amour il s’y associe de bon cœur. Il mémorise l’importance du retour au cœur, sa valeur, sa puissance et lui fait confiance.
Je le remercie régulièrement de mettre en évidence toutes les pensées qui me ramènent au cœur, à la conscience de ce que je suis en vérité, toutes ces pensées qui me rappellent que c’est en mon cœur, que se trouve la paix, les clefs et les portes de mon bonheur présent et futur.
Quand je pense à toutes les cellules qui s’activent ensemble afin que je puisse être ici et maintenant, des larmes de gratitude émergent. Tous ces mouvements infiniment petits mais tellement puissant qui soutiennent la vie sont l’expression même de l’amour pour ce que je suis. Même l’instinct de survie manifeste une forme d’amour c’est la vie qui œuvre et témoigne de l’amour pour le « je suis ».  

Je n’ai qu’une seule envie, c’est de participer activement à la manifestation du vivant de prendre pour modèle ce comportement cellulaire et de calquer mon attitude sur leur exemple. 
Et pour cela, je n’ai qu’à laisser faire, à être et à me laisser guider de l’intérieur. 
A suivre l’élan de l’instant en toute confiance, en étant autant l’acteur que l’observateur. 
A maintenir vivants les pensées et désirs de paix, d’unité et d’harmonie pour que ça se réalise naturellement.

De ce point de vue, la vie devient magique, merveilleuse, sans cesse renouvelée, et le bien-être qui vient de l’abandon du jugement, de l’harmonie, de la liberté d’être, me porte à chaque seconde sur les fréquences de la joie.

La pluie qui tombe sans arrêt depuis hier soir ne vient pas affecter mon humeur, elle symbolise le renouveau, la germination, la promesse de la vie qui se déploie, l’abondance, la fluidité, la générosité du ciel et de la terre, leur amour sans faille pour tout ce qui est.
Le pouvoir de la pensée guidé par la source quand la volonté de la personnalité s’adapte à ce qui est, libère de la peur, des croyances involutives et les pensées sombres n'ont plus d'accroche. 
J'ai passé plus de cinq heures à recadrer des photos de fleurs sans voir le temps passer. 
Ça m'emporte je ne sais où mais c'est vraiment une connexion bénéfique! 
Une paix constante, pas de questions, de pensées désordonnées, juste des chansons et pas de rengaine. Quel repos!


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr