vendredi 18 décembre 2015

« Choisir pour ceux qu’on aime… » & Théâtre « La Tête des Autres » de Marcel Aymé





Ce matin, je laisse la tristesse s’exprimer, les larmes couler parce que je sais sans aucun doute que c’est nécessaire de vivre ce qu’on ressent dans l’instant afin que l’amour en soi puisse vibrer librement. 
J’ai laissé Bilou libre de rester dehors. La température s’est radoucie et comme elle n’a pas voulu venir quand je suis partie du jardin, j’ai accepté de la laisser libre. 
J’ai culpabilisé un peu en me disant que j’allais être critiquée par les voisines qui ‘aiment’ les animaux mais au fond de moi, je sais que c’est juste même si ça me fait de la peine.

Avoir un animal de compagnie est « égoïste » dans un sens. L’animal est fait pour vivre dans la nature, en totale liberté et ce besoin vient combler des carences affectives, une difficulté à aller vers l’humain. 
Même si l’humain s’épanouit dans l’échange avec toute vie, il a tendance à s’approprier les êtres par nécessité. 
Ce n’est pas vraiment de l’amour mais ça permet de maintenir un certain équilibre interne. 
Chaque espèce est créée pour évoluer avec ses congénères qui lui offrent un apprentissage adéquate, lui permettent de se connaitre, de se reconnaitre, par effet miroir, selon les mêmes codes, et surtout de partager l’amour d’une façon complète, au travers de tous ses corps, ses sens.

Je suis retournée dehors pour lui apporter à manger dans sa cachette au cas où elle aurait faim mais je ne me fait pas trop d’illusions. En revenant, j’étais plutôt confuse. 
D’un côté, je me dis que c’est dans la nature qu’elle peut trouver les ressources nécessaires à sa guérison mais comme j’avais un goût de souffre dans la bouche dû aux épandages auxquels j’ai été exposée pendant deux heures au jardin, le fait que cette nature soit agressée, polluée minimise ses chances. 
Puis, sachant que les animaux prennent nos émotions énergies afin de les transmuter, l’idée que je l’utilise au lieu d’assumer cela moi-même et que je la charge de fréquences négatives supplémentaires m’a confortée dans mon choix. 

J’avoue que je me fie plus à mon cœur, mon ressenti, mes convictions profondes qu’à ma raison parce que je connais les limites de l’intellect et la suprématie du cœur. 

Une vision est venue aussi me rassurer, celle d’un évènement décisif de ma jeunesse, où j’ai dû choisir délibérément de vivre. 
J’avais une forte jaunisse due au virus de l’hépatite A contractée par intraveineuse lors d’une « fête » entre amis et ma mère m’avait recueillie chez elle afin de me soigner. 
C’est aussi à cette occasion que j’ai su que j’étais dépendante de la codéine que je consommais quotidiennement sous forme de sirop contre la toux, vendu sans ordonnance, mais qui contenait pourtant de fortes doses de ce dérive d’opium en plus de plantes telles que la datura et la belladone. Un cocktail explosif que le pharmacien me vendait chaque jour sans jamais m’avoir averti du danger que je courais. 
Ceci dit, je ne lui en veux pas parce que c’était ma seule bouée de sauvetage à l’époque et si j’avais su où je m’embarquais, ça n’aurait rien changé. 

Je pose le décor pour expliquer ce qui m’est apparu hier comme une chose essentielle, personne ne pouvait choisir de vivre à ma place
Ma mère avait beau faire beaucoup d’effort pour me redonner le goût ne serait-ce que de manger, rien n’y faisait. L’enfant intérieur qui recevait enfin l’attention qu’il avait toujours espéré de sa part, n’a rien changé à mon dégoût de vivre.

Les médecins n’avaient pas de solution à l’époque et la seule recommandation, c’était que je mange ce qui me faisait envie. Les odeurs de nourriture m’agressaient littéralement reflétant mon refus d’être sur terre. Je vivais une profonde et intime crise existentielle que j’étais la seule à pouvoir démêler. Je suis passée par une sorte de nuit noire de l’âme dont je ne soupçonnais alors pas du tout l’existence.

Il a fallu que je voie mon frère jouer dehors avec la chienne qui me suivait partout à cette période de ma vie où je parcourais la France avec mon sac à dos, pour retrouver l’envie d’exister. Cette chienne était une compagne très maternante, elle me protégeait quand je dormais dehors, à la ‘belle étoile’, elle me comprenait au-delà des mots et son amour inconditionnel me rattachait à la vie, me permettait de nourrir le besoin immense d’amour, dans cet échange authentique et naturel.
A cette époque, la liberté d’être, son amour, la musique et les drogues suffisaient à me maintenir en vie. Même si j’étais dépendante de ces produits, je ne concevais pas de vivre comme tout le monde, de passer huit heures par jour à travailler pour un patron, à être enfermée juste pour me nourrir et être admise dans cette société. 




Ce qui comptait plus que tout au monde, c’était d’être libre, de vivre selon ma vision de la vie, en faisant ce que j’aimais et de pouvoir me réjouir, peu importe si ça me coûtait la santé. D’ailleurs bien que je n’ingurgitais rien d’autres que mes deux flacons de sirop et beaucoup d’eau, à part cette hépatite, j’étais toujours en pleine forme et je ne conserve pas de séquelles de ce passé.
Toute cette période de ma vie a été initiatique et j’ai beaucoup appris, je me suis émancipée des croyances limitantes sans avoir aucune notion spirituelle, je marchais à l’instinct, suivais mon cœur, mon envie, et cet étendard de la liberté totale était mon unique flambeau.

Et ça reste ma raison d’être, un repère essentiel qui me guide dans mes gestes malgré la dépendance aux cachets puisqu’elle m’a permis de maintenir le cap, de chercher les moyens de devenir autonome affectivement, d’avoir un regard relativement objectif sur la vie et de vivre selon ma propre pensée, vision et conception de la vie. 
J’ai toujours su au fond de moi que l’amour est vital, essentiel et que la façon dont l’humain l’exprime est très limitée, égocentrique, illusoire.

Je sais qu’il est associé à la liberté, qu’il est insaisissable, qu’il n’a pas besoin d’objet pour briller même s’il s’épanouit dans l’échange, se réalise dans le don de soi, l’offrande sans attente.

Tout cela, je le sais intuitivement, profondément, mais pour pouvoir le vivre, l’exprimer dans toute sa pureté, sa beauté, il est indispensable de lâcher les masques et jeux de rôle. Et bien évidemment, c’est en soi-même, dans la transparence et la bienveillance que se réalise cette alchimie qui transforme le plomb en or.

J’ai fini par admettre que le fait que je veuille à tout prix que Bilou guérisse et qu’elle le fasse selon mes attentes, à ma façon, c’était égoïste.
Oui, l’animal est un miroir, un compagnon parfait, une expression authentique du vivant mais sa mission auprès de moi n’a plus de raison d’être, elle est libre de vivre pour elle-même ou de choisir de quitter ce plan. 
La garder à la maison contre son gré n’a rien à voir avec l’amour véritable. 
Elle m’aura enseigné jusqu’au bout et pour cela je suis reconnaissante mais je n’ai pas le droit de décider pour elle. 
Le besoin de sauver l’autre c’est encore une croyance faussée qui nie le divin en chacun, la puissance de la vie et la liberté d’être de chaque individu, quel qu’il soit.

Croire qu’on est responsable de l’autre, c’est nier le droit de tout être à disposer du libre arbitre et ça reflète encore le manque d’amour en soi, de foi en la source, de confiance en la vie qui sait exactement ce qu’elle fait, c’est nier la lumière en tout être quel que soit son âge et son apparence. 
C’est aussi une façon de nier que tout être est issu de la conscience, qu’il est doté d’une âme et qu’il a son propre chemin à vivre, celui qui le ramène à la source de toute vie. 

Cette prétention égocentrique de croire que nous avons le pouvoir de guérir l’autre, reflète aussi la difficulté à être responsable de soi-même, et la sensation d’être séparé de la source de toute vie. 
La Vie s’exprime en tout être et c’est à chacun de la déployer, de la nourrir, de la manifester s’il veut être en santé. 
Chacun a son propre chemin d’éveil, de réalisation et la maladie est un message, c’est la vie qui demande à être honorée en l’être. Et seul celui qui la porte peut décider de la laisser s’épanouir ou s’étioler.  

Je me suis laissée guidée, une fois de plus, par l’élan de l’instant, celui qui vient spontanément, qui est toujours pertinent, quel qu’il soit et permet de comprendre, de voir avec les yeux du cœur, au travers de synchronicités.

Le fait que je tombe sur ce post, sur face de bouc, n’est pas du tout le fruit du hasard. C’est venu me conforter dans ma décision vis à vis de Bilou parce que même si je sais sans aucun doute que le cœur en est l’initiateur, le mental se pose encore des questions par moments et c’est légitime. Ça reflète le pouvoir des croyances inconscientes et le doute qui lorsqu’il est accepté, offert à l’amour lumière en soi, renforce la foi, les convictions intimes.
Mes interrogations au sujet de Bilou, tout au long de cette période, m’ont permises de lâcher des croyances illusoires au sujet de la guérison, du pouvoir de guérison, du rôle de sauveur, d’affirmer ma foi, mon point de vue. Quand je relis ce que j’ai écrit la semaine passée, je peux voir à quel point j’ai changé et toujours par l’acceptation de ce qui est, de ce qui se manifeste en soi.





« Les bienfaits de la ronronthérapie » rédigé par Yaël Catherinet-Buk
Selon certains professionnels animaliers, le ronronnement des chats présente des vertus thérapeutiques capables de réduire ponctuellement le stress, l’insomnie et l’anxiété.
Quiconque possède un chat peut pratiquer cette thérapie sans même s'en rendre compte.
Laquelle ? La "ronronthérapie" !

Celle-ci aurait été inventée en France par Jean-Yves Gauchet, un vétérinaire de Toulouse qui assure que le ronronnement des chats "apaise" et agit comme "un médicament sans effets secondaires".
Cité par l'AFP, il explique : "quand l'organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique".

En effet, selon le spécialiste le ronron qui émet des fréquences basses, entre 20 et 50 hertz est également perçu par "les corpuscules de Pacini, des terminaisons nerveuses situées au ras de la peau" et "des pensées positives et de bien-être sont alors transmises à notre cerveau".

Dans son livre "La ronron thérapie", aux éditions Guy Trédaniel, la journaliste Véronique Aiache note que le ronronnement "est un puissant anti-stress, régulateur de la tension artérielle, booster des défenses immunitaires et un soutien psycho-moteur".

Ces résultats proviennent d'une étude menée dans les années 1950 par le corps médical américain et sont confirmés par plusieurs observations.

Caresser un chat permettrait de se détendre et de diminuer notre fréquence cardiaque.
Ensuite, le ronronnement agirait sur la respiration qui se calmerait et deviendrait plus profonde.

Cette détente produirait une activation de la circulation du sang, accompagnée d’une sensation de picotements dans les pieds et les mains.

Enfin, les études ont montré que les ondes à basses fréquences (25 à 50 hertz) émises par le ronronnement du chat, permettraient de consolider les os après une fracture et d’améliorer la cicatrisation.

A fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal.
Les vibrations émises par le ronronnement ont d'ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse.

Divers chercheurs ont constaté que les basses fréquences à faible dB sont utiles en matière de soulagement de la douleur et la cicatrisation des tendons et des muscles.

Aujourd’hui, des études sont menées pour pouvoir l’utiliser en ostéopathie pour la cicatrisation de fractures traumatiques, pour les femmes suite à la ménopause, et curieusement, pour la régénération de la densité osseuse des astronautes après une période de gravité-zéro.
Aviez-vous déjà pensé que le ronronnement de votre chat pourrait avoir des propriétaires bienfaisantes ?
Source : divers
Yaël Catherinet-Buk 





En lisant cela, je me suis dit une fois de plus que j’agissais par égoïsme, par peur, peur de la perte, de l’abandon, par culpabilité. Or la culpabilité est un poison toxique dont la fréquence abaisse le taux vibratoire et pervertit l’amour en soi. Ce n'est pas ce qui aurait pu l'aider...Les messages récents des êtres de lumière à ce sujet, ont aussi été des rappels essentiels.

L’abnégation n’est pas toujours ce que l’on s’imagine, en l’occurrence, laisser de côté ses peurs et ses attachements pour offrir la liberté de choisir à celui qu’on dit aimer, est à mon sens, le véritable amour. 
Le sacrifice n’est autre que celui de nos illusions, de nos croyances. Et tous les rôles que nous jouons, que ce soit la victime, le sauveur ou le bourreau, sont à offrir à la grâce de l’amour.  

Les pensées émotions de peur, de culpabilité et de honte sont l’expression du doute mais encore une fois, ça n’est pas mauvais en soi, c’est une occasion d’amplifier l’amour véritable, en amenant ce matériel énergétique en son cœur afin qu’il équilibre et harmonise cela dans l’amour lumière. C’est de cette façon qu’on affine son discernement, qu’on prend confiance en soi, en l’amour et en la vie.

J’ai eu envie et même besoin d’entendre les conseils des frères de lumière, canalisés par Monique Mathieu

Clef 582
« Ne dites pas « il faut absolument que ma partie divine s’exprime ». Laissez simplement l'immense courant d’énergies d’Amour et de Lumière que vous recevez s’exprimer, vous inonder et améliorer très grandement votre vie ; vos pensées seront différentes, vos actes seront différents, votre façon d’aimer sera différente. Votre conscience évoluera d’une façon extraordinaire, parce que tout ce que vous attendez avec désespoir parfois, c'est-à-dire les « preuves », vous seront données de plus en plus. »

Je confirme ! La métamorphose est à la hauteur de qui nous sommes en vérité et quand on regarde avec les yeux du cœur, on ne voit que l’amour et la lumière en toutes choses. 
Et le temps d’adapter sa vision à celle du cœur, unifie nos corps subtils, nous amène à l’unité intérieure, à toucher et intégrer la grâce. Quelle meilleure preuve peut-on espérer ? 

L’image, l’apparence, les visions sont trompeuses parce qu’elles sont des projections de la conscience reflétant notre inconscient et nos croyances limitantes. 
Elles nous renvoient nos propres croyances et notre état d’être de l’instant. 
Et si on ignore cet effet miroir, on se perd dans le reflet en s’identifiant à ce qu’il nous montre.

La vibration d’amour elle, se passe de mots même si le mental peut traduire une infime part de sa réalité.
Notre personnalité, notre partie pensante, projette toutes sortes de croyances et lorsqu’elle lit cette phrase : « il faut absolument que ma partie divine s’exprime », elle le prend comme une injonction, un devoir, une obligation, une action héroïque, elle s’imagine qu’il faut travailler sur soi, qu’il faut chercher l’amour en soi, que c’est une quête qui demande de faire des sacrifices, de n’exprimer que de bons sentiments, de ne pas faire de vagues, d’agir d’une certaine façon pour correspondre à l’image qu’elle se fait du divin, de l’amour et de la perfection.

Et c’est pour cela que le chemin devient difficile, simplement parce qu’on tente de faire rentrer un carré dans un triangle, on tente de forcer, d’agir pour obtenir un résultat alors qu’il suffit de lâcher prise. Puis de maintenir sa fréquence dans la joie de vivre mais là encore, on ne peut pas forcer les choses.
La joie véritable est spontanée, elle n’est pas le résultat d’une action, c’est la reconnaissance intérieure de la vibration de la source qui est intrinsèquement paix, amour, lumière, joie, gratitude, communion, fusion…toutes ces caractéristiques du vivant qu’on ne peut feindre ou simuler.

Clef 855
« Au moment du coucher, essayez de vous connecter à nous, à l'Amour de vos Frères de Lumière. Endormez-vous avec cet Amour et vous vous réveillerez avec beaucoup plus de joie, parce que la connexion que nous aurons avec vous agira en vous, elle agira au niveau de ce que vous êtes en tant qu’humain et également au niveau de ce que vous êtes dans votre totalité. L’Amour attire l’Amour ! C’est une loi immuable, la Loi de l’univers ! »

J’ai encore un peu de réticence, de peur, à oser contacter directement les êtres des mondes subtils parce qu’ils sont aussi le reflet de l’inconscient et des croyances conflictuelles de l’humain. 
Alors je m’adresse à mes corps subtils puisque certains d’entre eux sont dans ces dimensions éthérées et j’utilise des intermédiaires même si je sais que ces êtes sont des énergies que je porte. Leur parler ou lire des messages spirituels éveille ces aspects en nous. Mon livre de chevet, actuellement, c’est celui de Joéliah: "Les richesses des 7 rayons sacrés" et je sens que ça m’ouvre, que ma conscience travaille durant la nuit et transmet des infos au mental afin qu’il les exprime dans la journée.

Clef 543
« Vous seriez très étonné de savoir le nombre très important de personnes qui ont en eux une grande potentialité d'Amour. Ces personnes s'ignorent, vivent complètement dans l'ignorance, et de ce fait un peu dans l'égoïsme, repliées sur elles-mêmes.
Si vous ouvriez la porte de leur cœur, vous leur donneriez un rayonnement nouveau et vous seriez étonnés de voir briller l'Amour chez des êtres que vous ne pensiez pas capables d'aimer. »

C’est exactement ce que je ressens à propos des gens qui vivent dans la rue, qui semblent démunis et malheureux. Déjà, ils sont libres et ça, c’est beaucoup ! Ils sont aussi des enseignants silencieux qui interrogent le cœur des hommes par leur présence, leur différence. Mais je crois que je l’ai déjà dit…Je suis ailleurs aujourd'hui!

Clef 705
« Préparez vous dans l’Amour, préparez-vous dans la joie, préparez-vous dans l’acceptation non seulement de ce que vous êtes mais de ce que sont les autres, préparez-vous dans le lâcher prise et dans la tolérance ! Aimez-vous le plus possible !  
Plus vous vous aimerez, plus le passage sera facile ! Tout n’est qu’une question d’Amour et de fréquence vibratoire.  Les portes du ciel vous seront ouvertes ! »

Clef 976
« Être dans l’acceptation c’est faire un grand pas vers l’évolution. L’acceptation, le lâcher prise, la tolérance et le pardon vous mènent à l’Amour Inconditionnel. »

Avec un peu de recul, je me rends compte que même dans mes divertissements, la vie m’a enseignée cette semaine et donné l’occasion de réfléchir au rôle du sauveur. J’ai regardé une pièce de théâtre, « La tête des autres » dont l’histoire est celle d’un juge qui condamne injustement un innocent. Il est question du droit de vie ou de mort, des passions inavouées de l’humain, de l’orgueil, du pouvoir malsain… 


Marcel Aymé - La Tête des Autres - Théâtre Marigny 1973 - 1/2 



Marcel Aymé - La Tête des Autres - Théâtre Marigny 1973 - 2/2 



Ce soir après quelques hésitations liées à la culpabilité et la réception de l’invitation à la séance de restructuration du corps énergétique de Monique Lapointe, je me suis enfin décidée à publier ce texte que j'ai écrit tôt ce matin
Je partage son point de vue en matière de guérison et ça m'a confortée dans le fait de ne plus interférer dans la vie de Bilou.
Je ne doute pas de mon choix à son égard puisque déjà hier, lorsqu’on était au jardin, elle s’est faufilée en douce vers ses planques habituelles. Je l’ai ramenée à la maison et elle a dormi avec moi mais comme elle semblait avoir un peu retrouvé son caractère, son côté indépendante, ça m’a influencée à ne pas interférer dans son choix de rester dehors parce qu’en plus elle a insisté contrairement aux dernières fois où je l’ai amenée au jardin. 
Puis quand les fenêtres étaient grandes ouvertes dans l’appart, elle n’a pas essayé de sortir.
J’ai aussi été rassurée de la voir se purger puisque les animaux savent se soigner mais je sens que je risque d’être confrontée à son départ dans l’autre monde. 
Enfin, je m’y prépare en accueillant les pensées émotions qui surgissent quand je pense à elle. Heureusement qu’il fait doux dehors ! Comme très souvent, le cœur sait que c'est juste mais le mental s'interroge et plus il le fait plus on tourne en rond.
Ce qui me rassure surtout, c’est d’être en paix à l’intérieur.


Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteur et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr