Ce
qui suit a été inspiré par la lecture et la mise en page de l’article d’Agnieszka Rouyer : « Faire taire nos dialogues internes ». Les choses s’accélèrent considérablement et tout
me ramène à lâcher le besoin de contrôle, à croire que le mental a du pouvoir
et surtout qu’il faille mériter l’amour, agir pour qu’il se déploie en soi. A intégrer
l’idée que la seule chose que fait le mental dans le processus, c’est de lâcher
prise, de s’abandonner en confiance à l’a source en soi.
Je parle d’accélération
parce que jusqu’à maintenant, l’occasion d’appliquer ce que j’avais intégré
mentalement m’était donné dans la journée ou parfois le lendemain mais là, c’est
tout de suite qu’il a fallu le faire !
En même temps, c’est bon signe, ça
prouve que je deviens plus consciente et apte à lâcher prise afin d’intégrer en
profondeur les vérités spirituelles si difficiles à comprendre intellectuellement. Il vous faudra peut-être vous reporter à l'article précité pour faire le lien avec ce qui suit, à vous de voir.
« Ces
façons d’aborder le monde des pensées peuvent sembler laborieuses mais c’est
très libérateur et révélateur.
On
va être étonné de se rendre compte que la plupart du temps, le mental ne fait
que répéter des phrases entendues dans l’enfance qui appartiennent à nos
parents !
Il
ne faut pas oublier que nos croyances nous viennent en grande majorité de
l’enfance et en écoutant ses pensées, en découvrant leur origine, on va
comprendre que ces pensées ne sont pas qui nous sommes, elles ne nous
appartiennent pas.
Ce
sont les vérités de nos parents elles-mêmes transmises par leurs parents…
Le
mental les répète non pour nous faire souffrir ou nous abaisser ou encore
parce qu’il est stupide et répète comme un perroquet, non, il les exprime
pour que nous puissions devenir conscient de ce que nous portons, les remettre
en question et ainsi mieux nous connaitre, savoir ce
qui est a formé les croyances inconscientes afin de les libérer. Voir aussi comment nous nous aimons, le regard que nous avons sur nous-même, le degré d'acceptation de soi...
Quand
nous sommes de plus en plus conscient de nos croyances, nous pouvons alors
choisir de les changer. En le faisant on augmentera l’amour en soi et la
confiance en nos capacités de maitriser notre vie, notre monde.
Maitriser
ne veut pas dire contrôler ou refouler, ça veut juste dire voir avec
objectivité, neutralité et ne plus croire ces pensées.
Évidement,
si nous voulons changer, sortir des rôles de victime, bourreau et sauveur,
devenir plus conscient et rencontrer notre sagesse innée, si nous voulons
choisir nos pensées et ainsi devenir responsable, acteur éclairé de notre monde
intérieur.
Parce
qu'il y a certains 'bénéfices' à rester dans le rôle de la victime, à ne pas regarder en soi et il nous
faudra parfois souffrir intensément avant d'oser vouloir en sortir.
Les
bénéfices sont nombreux; on évite de nourrir d'autres peurs; celle de ne pas
être à la hauteur, celle d'être responsable de soi parce qu'on associe la
responsabilité à la culpabilité...c'est une solution temporaire mais à long
terme comme de cette façon on nourrit toujours la peur et le déni de soi, de sa
puissance, les frustrations, le sentiment de trahison, d'impuissance vont aller
croissant.
On
sera en conflit, on sentira le manque, la sensation d'être incomplet parce que
l'âme, la conscience divine ne seront pas reconnu.
Commencer
par reconnaitre que le mental n’est pas un ennemi mais un allié dans notre
libération et notre conscientisation est essentiel, ça change totalement la
fréquence vibratoire et donc la vision.
Lorsque
les pensées sont celles de nos parents, on aura plus de facilité à ne plus les
croire et à les faire taire progressivement. Être capable de les identifier et
de s'en dissocier, c'est une façon de rétablir notre propre autorité de
"tuer nos parents", psychologiquement évidemment, de trouver son
pouvoir.
Chacun
sa méthode pour ça mais je vous suggère de garder en mémoire qu’ils ont
prononcé ces mots parce qu’ils les ont eux-mêmes entendu ou tout simplement
parce qu’ils ont aussi le même personnage qui ressasse en chacun.
Ce
sont des mécanismes inconscients et instinctifs de survie. Et en devenir
conscient est une première étape vers la libération.
La
seconde c’est de reconnaitre leur origine, le fait qu’elles ne nous appartiennent
pas puis dans ce processus, on coupe les liens toxiques avec nos croyances,
nos parents amplifiant l’amour en soi.
Le
fait de s’en dissocier nous permet de connaitre notre vraie personnalité, de sentir l’être véritable que nous sommes si
nous décidons de lâcher prise, de pardonner à nos parents ou ceux qui ont
joue le rôle d’autorité, ceux que nous avons pris pour des maitres, des dieux
même.
J’ai
essayé de les faire taire en leur disant ‘la ferme’ mais ça nourrissait la
colère envers mes parents, le mal-être interne.
En
acceptant de porter et d'être traversé par ses pensées émotions, et en les offrant à
l’amour lumière en soi, le processus est bénéfique parce qu’on amplifie l’amour
de soi tout en goûtant aux énergies de la source en soi.
Lorsque
la paix nous remplit, on comprend que cette ‘méthode’ est beaucoup plus
efficace que le rejet ou la colère.
Mais
d’un autre côté, cette colère, si elle s’exprime c’est que nous la portons
alors par l’accueil des émotions, en les laissant nous traverser, on guérit
peu à peu l’enfant en soi, en sollicitant ce qui est le plus sage et
lumineux en nous : l’âme et la conscience divine. On développe en même
temps la sagesse et la maitrise de notre monde intérieur.
Quand
on comprend que nos pensées, nos émotions, sont des messages de l’âme qui nous
invitent à prendre notre pouvoir, développer notre liberté et notre maitrise,
ça change tout, on voit que nous avons le choix.
Que
nous pouvons décider d’être libre et souverain et créer notre vie à chaque
instant plutôt que de la subir.
En
nourrissant la paix, l’amour et l’harmonie en soi, on se fait la vie belle à
chaque instant et selon la loi d’attraction, on attirera des circonstances en
accord vibratoire avec ce que nous émanons. Notre vie changera petit à petit, à
mesure qu’on réalisera ce processus.
J’ai
failli me faire avoir !
Alors
que je voulais insérer une image à cet article, tout s’est mis à
cafouiller.
Je
n’ai pas encore pris les médocs et bien évidemment, les émotions refoulées ont
fait surface mais au lieu de respirer calmement, je me suis énervée puis j’ai
écouté les pensées critiques, celles de la victime.
Des
reproches qui ont entrainée et attiré des pensées de peur, du stress qui n’a pas tardé à
faire dégringoler ma vibration.
J’ai
tout fermé et me suis d’abord calmée puis j’ai pris un bout de cachet afin de
ne pas rester coincée dans ces fréquences lourdes.
Parfois,
il est plus judicieux d’avoir recours à une stratégie efficace qui permet
d’élever sa vibration plutôt que d’essayer à tout prix d’appliquer ce que l’on
sait être juste mais dont on n’a as encore la maitrise.
Du
coup, je vois que bien que les médicaments soient une solution bancale, le seul
fait d’accepter de ne pas être encore capable de m’en passer a suffit à
rétablir l’amour en moi.
Oui de façon artificielle pourrait-on dire mais ça
n’est pas le geste qui compte, c’est la vibration alors accepter de ne pas y
arriver est en ce cas la meilleure façon de retrouver la confiance en la vie,
en soi.
C’est
une forme d’humilité qui permet aussi de se souvenir que ça n’est pas le
mental, la compréhension intellectuelle qui rétablit la paix et l'amour en soi!
C'est
le fait d'accepter ce que nous sommes en totalité qui permet à l'amour que nous
sommes de circuler librement, à nouveau.
C'est
l'occasion de lâcher aussi les peurs qui coupent le flux d'amour : celles de ne pas être
à la hauteur et d’intégrer une fois de plus l’idée que l’amour
inconditionnel de soi c’est précisément "d’arriver à s’aimer dans ses
faiblesses" parce qu'ainsi on lâche l’idée qu’il faille agir pour mériter
l’amour qui est notre essence véritable.
Nous
n'avons pas à mériter l'amour, à agir pour ce faire mais à le laisser être et
s'épanouir en soi dans l'accueil, le lâcher prise de nos attentes, nos
réflexions si justes soient-elles. L'amour inconditionnel est notre nature véritable, il EST.
J’ai oublié d’ajouter cette pensée de Neale Donald
Walsch que j’ai trouvée juste avant de fermer l’ordi et ça m’a confirmé la
valeur de la prise de conscience tout en me réconfortant par la reconnaissance
une fois de plus, de la loi de résonance, d’attraction dans cette
synchronicité.
Non seulement cela mais en même temps, ce qui n’est pas négligeable
dans le processus de lâcher prise, la foi en ma propre guidance a été nourrie,
a amplifié.
Et c’est tout l’intérêt, à mon sens, de ces clins d’œil de l’âme,
de la vie.
En plus d'être un soutien, on peut sentir que nous sommes interconnectés, reliés aux autres...
En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que vous n’êtes pas les choses que vous faites,
vous êtes votre manière d’être.
que vous n’êtes pas les choses que vous faites,
vous êtes votre manière d’être.
Votre État d’Être est votre manière d’exprimer votre propre
définition de vous-même. Cela n’a rien à voir avec ce que vous
êtes en train de faire, ou ce que vous imaginez faire dans le
futur.
définition de vous-même. Cela n’a rien à voir avec ce que vous
êtes en train de faire, ou ce que vous imaginez faire dans le
futur.
Cela à voir avec la qualité et l’essence de l’énergie qui
émane de vous maintenant. Est-ce l’amour ou bien la peur ?
émane de vous maintenant. Est-ce l’amour ou bien la peur ?
Tout ce que vous exprimez provient de l’un de ces deux
points de départ. Pourtant, vous pouvez revenir à l’amour,
comme l’écrit Marianne Williamson, quand vous le souhaitez.
Car chaque jour, chaque moment, offre un nouveau commencement.
points de départ. Pourtant, vous pouvez revenir à l’amour,
comme l’écrit Marianne Williamson, quand vous le souhaitez.
Car chaque jour, chaque moment, offre un nouveau commencement.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale
Neale
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr
) afin d’honorer l’expression unique de chacun.