mercredi 18 novembre 2015

« La stupéfaction peut mener à l’abandon, à la source en soi »





C’est le cœur encore un peu lourd que j’écris ce matin. Mais comme j’applique le processus alchimique enfin comme j’ai offert à la source toutes les émotions que la situation soulevait en moi, la douleur est amoindrie par le soutien de la paix intérieure et la sensation que tout est juste malgré les apparences. 
"Juste" si on considère que nous sommes ici pour grandir en sagesse et en capacité d’aimer, pour intégrer les énergies de la source, afin qu’elles prennent leur place et nous bonifient, nous rendent plus divinement humain, conscient et Vivant.

Les évènements que vit le collectif "sont censés" nous ramener en notre cœur, nous positionner et nous amener à prendre conscience que nous sommes tous frères et sœurs, issus de la même source père mère ou de la conscience cosmique.

Chacun peut alors progresser sur son propre chemin de découverte de la source; de retour à l’unité en soi ET avec les autres
Selon ce que nous vivons, portons, selon nos blessures, notre intention et notre progression, nous aurons l’occasion de faire un saut quantique, de prendre conscience de qui nous sommes vis-à-vis de l’ensemble: Un membre de la famille humaine dont la valeur ne dépend pas du faire, des belles paroles mais de l'être authentique.

Dans la majorité des cas, le positionnement se fera à l’extérieur, dans la réaction suscitée par la colère qui peut amener le désir de vengeance, la peur qui peut aussi mener à la répétition du cycle de la violence puis quand ces émotions de peur et de colère sont évacuées, vécues pleinement, la compassion arrivera juste derrière, une fois que la personne aura retrouvé son calme, son centre et en même temps sa raison. 

Beaucoup arriveront à cette compassion par la résonance avec leurs propres blessures, leur vécu et le rôle de victime qu’elles nourrissent intérieurement et inconsciemment.  
D'autres se reconnaitront dans ce qu'elle considéreront comme le courage de vivre selon ses croyances, d'exprimer sa colère, sa résistance à la façon dont le monde est géré. Ils auront un sentiment d'appartenance, une impression de ne plus être seul, ils vivront aussi une forme de communion
Puis celles qui sont touchées de plein fouet par le deuil, passeront par ces étapes avec encore plus d’intensité, pourront toucher l'être authentique dans le silence de l'acceptation. Et le processus sera plus ou moins long et intense.

Au niveau spirituel, c’est le cœur qui s’ouvre et la sagesse qui s’écoule, en même temps que la compassion se déverse en soi. 
Cette même compassion qui permet d’être en empathie avec les autres, de vouloir être en paix, de respecter son prochain, toutes ces qualités qui permettent de vivre en société dans le respect de toute vie et de l’environnement.

Et ceux qui sont comme moi sur le chemin de la libération et de l’autonomie affective qui mène à la souveraineté, les traumas vécus par le collectif permettront d’effectuer aussi un saut quantique et de développer la compassion favorisant la dissolution de l’ego. Enfin sa fusion avec l’amour lumière en soi. Par la reconnaissance et l’acceptation des émotions qui émergent aussi.

Ce chemin de libération passe par la gestion des émotions, l’acceptation de tout ce qui compose un humain divin. 
Le processus alchimique demande d’accueillir les émotions plutôt que de les refouler afin d’épurer les corps mental et émotionnel, de s’installer petit à petit et durablement dans la paix du cœur. 
Lorsqu’on comprend la loi d’attraction et qu’on veut créer sa vie en conscience, les petites victoires, les fois où l’on réussit à ne pas être englouti par nos émotions procurent un sentiment de paix mais aussi de force. L’ego peut alors se sentir puissant surtout si la personne est encore fragile dans la capacité de s’aimer véritablement. 

Puis, l’ego est expert dans l’art de trouver des stratégies d‘évitement et on peut croire qu’on arrive à gérer son monde émotionnel alors qu’on aura juste occulté les émotions, raisonné le mental, modifié nos pensées par nos croyances.

C’est ce que j’ai vécu ces derniers jours. Les attentats ne m’ont pas affectés parce que j’étais absorbée par le mental qui découvre la puissance de la paix en soi et commence à comprendre le processus alchimique. Enfin il pense être l’auteur de la progression et il a vite fait de tirer des conclusions hâtives. Ce qui n'est pas faux puisqu'il arrive à se calmer par les raisonnements mais ça n'a rien à voir avec la paix du cœur.

J’étais réellement portée par la joie de ne pas avoir basculé dans des émotions exacerbées mais l’intensité de cette joie était à la limite du supportable tellement elle excitait mon mental et elle m’a coupée des autres d’une façon égotique. 
Par moments, je trouvais indécent d’être si heureuse alors que tout le monde autour de moi souffrait. 
Mon ‘indifférence’ bien qu’elle tirait son origine de la paix du cœur a vite été récupérée par le mental qui croit savoir. On aura l’impression d’être en paix simplement parce que celui-ci sera rassuré d’avoir fait le bon choix, d’avoir obtenu un résultat en faisant le choix d’être en paix. 




Le véritable abandon, celui qui permet d’élever sa vibration et ses corps subtils à l’unisson, se réalise dans le silence et la paix du cœur
Et pour cela, très souvent, il faut que le mental soit stupéfait, qu’il soit tellement abasourdi que son bavardage incessant cesse. 
Enfin je parle de ce que je vis mais comme nous sommes tous fait de la même manière et comme nous nous éveillons à peine à notre vraie nature et que cela se fait surtout par la compréhension intellectuelle puisque nous avons accès à beaucoup d’informations sur le sujet, notre mental s’emballe et continue d’agir comme il l’a toujours fait, en maitre des lieux. 
Quand on a un mental « fort » ou une forte personnalité c’est souvent la conséquence de notre vécu et de l’identification à notre personnalité. 
Parce qu’on croit comprendre les choses spirituelles, il se renforce et comme il ne s’agit pas non plus de l’éliminer, mais de laisser l’amour lumière en soi diriger notre vie, il nous faudra trouver l’équilibre. 
Mais ça ne sont pas les raisonnements qui réalisent cela, c’est le fait de s’abandonner à la source en soi qui peu à peu le remet à sa juste place.

Je le sais en théorie mais c’est une chose qu’il faut intégrer pas à pas, dans un lâcher prise total. Il est important que le mental soit en confiance pour favoriser le lâcher prise mais ce qu’il l’est plus encore c’est qu’il apprenne à se taire. Qu’il lâche ainsi le contrôle et la manipulation. Et ça se réalise en offrant les émotions, la peur, à la source en soi, avant tout.

Honnêtement, je n’ai rien ressenti d'excessif en moi, quand j’ai appris ce qui se passait à Paris. Je n’ai pas senti de peur ou de colère violentes mais en fait c’est mon mental qui a fait barrière par des raisonnements logiques. J’ai tout de même accueillies des pensées émotions et veillé à ne pas focaliser mon attention sur les commentaires haineux ou même ceux qui dénoncent les complots.
Il est clair que je suis consciente de ma propre responsabilité qui se situe dans la gestion de mon monde intime mais je fais partie de l’humanité à tous les niveaux. 

Ne pas être pris par l’inconscient collectif, ne pas prendre parti est une bonne chose mais on a vite fait de s’enfermer dans la bulle mentale de notre "compréhension". 
Quand on compatit à la douleur des autres, depuis notre cœur, on est relié en conscience à ce qui est le plus lumineux dans l’humanité et à ce qui nous unit éternellement, notre essence commune et cette communion que l'on peut vivre au travers de la compassion est nécessaire parce qu’elle permet d’ouvrir le cœur et la conscience au fait que nous sommes égaux, interconnectés, que nous formons un ensemble harmonieux malgré les apparences.

Je n’ai pas voulu mettre de bougie à la fenêtre comme me l’avait suggéré ma sœur, en signe de solidarité, simplement par peur d’être emportée par les énergies de vengeance, de haine et de peur.
On ne peut pas dire que la fuite soit bénéfique à l’ensemble dans la mesure où mon souhait est de partager, d'offrir ce qui pour moi, a le plus de valeur! 
Mais malgré tout, je ne m’enferme pas dans la culpabilité, je suis ici pour intégrer l’amour et la lumière de la source avant tout. 
Je le fais selon  mon parcours, ma sensibilité mon degré d’ouverture, de guérison des blessures; Et en étant consciente que malgré ma compréhension mentale des processus et de la constitution de l'humain divin, non seulement ça n’est pas cela qui réalise la guérison mais qu’en plus tout ceci le dépasse largement.

L’humilité est nécessaire dans ce parcours de libération, sur ce chemin qui mène à l’autonomie et la souveraineté. 
La phase ou le mental ‘s'illumine’ si on peut dire où il prend conscience des mécanismes de l’ego n’est qu’un pas qui va surtout l’apaiser et faciliter l’intégration d’une nouvelle vibration plus légère mais ça n’est pas lui qui ‘agit’ !

Bon, le jour se lève, je vais voir si je trouve Bilou que j’ai aperçu hier avant la tombée de la nuit et elle semblait vraiment mal en point, comme absente. J’ai eu la sensation qu’elle était déjà dans l’autre monde. J’ai pleuré comme une madeleine et accepté le fait qu’elle ait peut-être choisi de partir, j’ai déversé tout ce qui montait en moi mais cette fois-ci sans essayer de comprendre, de raisonner puis j’ai écrit les questions qui auraient pu faire souffrir mon enfant intérieur à vouloir chercher des réponses. 
Je le répète, ça n’est pas la compréhension qui élève la fréquence vibratoire dans la paix et l’harmonie, c’est le fait de s’abandonner totalement à l’amour en soi, qui attendrit le cœur et permet à l’amour de rayonner. Tous les corps sont ainsi élevés en même temps si on peut dire. Ce n’est plus le mental qui se met en avant.
Le mieux que le mental puisse faire, c’est de cesser de vouloir et de laisser les émotions s’exprimer, sans attente quelconque.

Puis ensuite une fois la paix réelle, celle qui atteint tous les corps et permet au mental de cesser de bavarder, on peut se laisser guider vers ce qui ramènera le désir, la joie d’être. 




Je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie de partager ce que j’ai écrit hier soir :
17 11 15 ; Ce soir mon enthousiasme s’est envolé. Je ne renie pas ce que j’ai écrit ces derniers jours mais je sens que je n’ai pas fini d’être surprise, abasourdie même par le fait d’être un humain, d’être capable de connaitre les plus grandes joies mais aussi les peines les plus profondes! Et ce en l’espace de si peu de temps. 
Bilou, la chatte sauvage qui m’accompagne depuis dix ans, semble vouloir quitter ce plan. Elle a le regard vide, se nourrit à peine, marche au ralenti et depuis deux jours, c’est de pire en pire. Elle n’a pas de blessure apparente mais tout semble indiquer qu’elle a choisi de partir. 
Toutes sortes de pensées ont émergé alors que j’essayais de comprendre puis je me suis effondrée en larme confiant ma peine à Féliz, un des 25 chatons qu’elle a mis au monde, le jour de mes 37 ans. 
J’ai cherché ce que j’avais pu faire de travers, ou encore si des pensées inconscientes auraient pu manifester cela sans que je m’en rende compte. Si un message de la source était à capter puis j’ai fini par tout lâcher, par accepter la situation, ne plus me poser de questions et laisser les émotions me traverser
Depuis, c’est le silence. Cela même que j’ai demandé à la source de me faire connaitre dans la journée, tellement le mental était en ébullition! 

Que ce soit la joie ou la tristesse, il semble que dans tout ça, un appel à aller encore plus loin en soi, à lâcher totalement prise "me soit demandé". 
Je suis complètement vidée, même pas dégoûtée mais plutôt abasourdie. 
Je suppose que c’est ce que vivent beaucoup de gens en ce moment et c’est comme si, le fait de me maintenir sur la vibration de la joie m’apparaissait encore comme une façon de me couper de ce que les autres ont ressenti mais ça ressemble à une fuite, une démission…
Une façon de refuser la situation extérieure sans pour autant la digérer, faire le travail de deuil légitime en tant qu’humain connecté aux autres à différents niveaux.
On ne peut échapper à certaines vibrations en les occultant en les ignorant ou en s’enfermant dans la bulle de ses croyances, si justes soient-elles. 

Que ce soit celle de la peur ou celle de la joie, si elles viennent du raisonnement, ça reste un enfermement, une résistance à ce qui est, une forme de déni. 
C’est sûr que je n’ai pas à porter sur mes épaules toute la misère du monde mais on ne peut échapper aux conditions de cette vie, aux aléas qui permettent d'embrasser la source, l’amour en soi. 
La compassion en fait partie et le but n’est pas de culpabiliser ou de souffrir mais de prendre conscience de ce que vivent les autres, faire le deuil et passer à autre chose mais ça n’est pas le mental qui dirige, chaque chose est à vivre en son temps.
Je crois que je vais me coucher tôt ce soir !

Ce que vivent les autres m’atteint forcément et sans souffrir avec eux, être au moins silencieux le temps de leur peine, accueillir ce qui se manifeste en soi, être là simplement sans rien dire semble être une forme de compassion nécessaire si on prétend vouloir aider le monde.

Dans ma joie y avait-il le sentiment de passer à coté de la souffrance, de me sentir forte tandis que les autres étaient affaiblis ou accablés ? Quand on sait quelque chose, quand on sait combien souffrent les autres et quand c’est connu de tous, n’y a-t-il pas quelque chose à "comprendre" en cela ?
A comprendre avec le cœur, à embrasser en totalité afin de le transcender ? 
Si cet évènement ne me concernait pas du tout, je n’en aurais pas eu connaissance.

Cette situation qui me touche maintenant particulièrement, cet état de tristesse profonde face à la mort, la perte d'un être cher, serait-elle l’occasion de participer de façon active en réalisant à mon tour le processus de deuil que cet évènement amenait à faire, à conscientiser, afin de lâcher les pensées émotions inhérentes à la condition humaine face au deuil, à la mort ? 
Je n’aurais peut-être jamais la réponse mais les questions sont posées. 
Il ne s’agit pas de culpabiliser, de sentir coupable en tous cas ce ne sont pas les sensations que je ressens mais il y a tout de même l’impression d’avoir trop vite zappé l’évènement. 
Je me sens en décalage et dans le déséquilibre. 

La clef de sagesse suivante semble m’éclairer un peu
Clef 808
 « Vous entendrez de plus en plus parler autour de vous de mal être profond. Alors au lieu de dire :" moi aussi je subis ce mal être, je suis comme vous", vous pouvez tout simplement dire :" bien sûr il y a des perturbations, mais essayons tous d’aller au-delà car c’est ce qui nous est demandé, et intégrons de plus en plus la confiance, la joie et la sérénité". »
Voilà qui peut encore amener le mental a croire qu'il est puissant, que c'est lui qui agit...
Oui la pensée a un impact sur la fréquence vibratoire tout comme les émotions mais c'est la source en soi qui réalise tout.
Je laisse là mes raisonnements, les réponses viendront en leur temps…et la nuit porte conseil….

Ce matin à nouveau ;
Je vais faire la méditation de Deepak Chopra. Voilà qui tombe à pic et vient nourrir ma compréhension, du moins me confirmer mon ressenti que je ne suis pas certaine d’avoir su expliquer clairement.

« La paix du monde doit se développer de la paix intérieure.
La paix n'est pas que seule absence de violence.
La paix est, je pense, la manifestation de la compassion humaine ». 
Sa Sainteté le 14ème Dalai Lama

Puis maintenant que je m’en souviens, après le silence mental que j’ai vécu et la paix revenue, j’ai écrit à propos des émotions et de leur valeur initiatique à la suite de cet article :"l'impact des émotions négatives & leur valeur initiatique" J’ai maintenant la sensation que c’était une sorte de réponse à mes questions…
Concernant le thème de la méditation du jour, il est question des dons que l’on peut offrir au monde alors oui, la joie est un don mais ce qui est le plus important, c’est le don de la vibration de la source en soi, la paix, la compassion et la douce assurance qui en résulte.

J’ai le cœur déchiré, c’est carrément physique mais je me sens en paix et confiante dans le fait que c’est quelque chose de bénéfique. Déjà, je n’ai pas de sensation d’injustice, de culpabilité ni de peur…enfin il se peut que le mental les cache…
Maintenant quand mon mental s’emballera, j’irais me recueillir afin d’accueillir la peur parce qu’il semble qu’elle se manifeste maintenant de cette façon ! Ou peut-être tout simplement la dysharmonie intérieure au niveau émotionnel, peu importe de savoir si c'est la peur, la culpabilité...ce qui compte c'est de venir au cœur afin d'y trouver la paix véritable, profonde.  
Je sentais tout de même que cette excitation était excessive mais en plus ça sonnait faux,  ça n'était pas la même sensation que celle qui vient doucement de la paix du cœur
J'aurais au moins appris cela, à distinguer la joie mentale de celle du cœur...

Finalement, je me dis que la vie fait tout pour que l’énergie du cœur se propage en chaque cœur, par les cicatrices, les blessures, qui permettent justement à la source de s’écouler en soi parce qu’une fois de plus même si le mental comprend l’importance d’aimer, les valeurs du cœur, celles de la Vie, ça n’est pas cela qui nous permet d’intégrer, de manifester ce que nous sommes en vérité.

Il est arrivé à un tel degré de ruse dans l’évitement qu'il y a de quoi s'y perdre.  
Mais il n’y a pas de raison de l’accabler puisque c’est l’expérience que nous avons choisi de vivre en ce monde, la tâche que nous lui avons assigné en l’élisant maitre de notre personnalité et à l’échelle mondiale en faisant exactement la même chose, en supposant que l’esprit humain pouvait dominer et contrôler les forces de la nature.  
Mais ça ne marche pas comme ça !

Je n’ai pas pu faire la méditation tellement les émotions surgissaient et je me félicite, de les avoir laissé sortir mais aussi d’avoir refermé la porte de ce flot quand la contraction du plexus était trop douloureuse. 

L’amour ne force pas, il ne peut être intégré par contrainte mais quand nous nous abandonnons à vivre la tristesse, à la laisser sortir, la paix qui vient et le sentiment de tendresse ce sont précisément les énergies de la source, elles sont au-delà de l'émotion. C'est un tendre réconfort qui m'invite à persévérer dans la confiance et l'abandon à l'être authentique, divin. Et ça me suffit.




La journée sera celle de l’abandon, de la détente profonde, de l’accueil inconditionnel de ce qui montera au fil de la journée. Déjà, il serait bon que je ne change pas mes pensées mais que je les accueille tout comme les émotions. 
Par exemple, quand la pensée de culpabilité se manifeste, plutôt que de me dire "mais non, il n'y a pas de raison de se sentir coupable" reconnaitre qu'elle est là et essayer de la 'sentir' au lieu de raisonner. Pas évident parce que ça va très vite! 
Je sens que c’est une préparation nécessaire à mon intégration dans le groupe, dans le cadre du travail. 

Parce que plus on croit comprendre les choses et plus on aura tendance à vouloir convaincre les autres mais encore une fois, ça ne sont pas les explications, si logiques soient-elles, qui peuvent éveiller les autres, avoir un impact réel, les mener à leur être profond. C'est la vibration silencieuse qui touche l'autre et peut éventuellement l'aider à reconnaitre en lui cette même vibration

Sur terre, c’est très souvent quand les émotions arrivent à leur comble que le mental se tait enfin et qu'on entre alors en communion avec la source. 
C'est ça être humain divin...


Si vous trouvez un intérêt à partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteur et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » http://lydiouze.blogspot.fr