« Si vous aimez ou
vous détestez quelque chose chez autrui, c’est que vous l’aimez ou le détestez
chez vous ».
Lorsque
vous rencontrez quelqu’un que vous ne connaissez pas, une première impression
se forme dans votre esprit. Vous décidez en un instant si cette personne vous
plaît ou si elle ne vous plaît pas. Ce choix vous est inspiré par des détails
infimes, le parfum qui émane d’elle ou la couleur de ses yeux, ou par des
réminiscences associées à votre propre inconscient.
Les
réactions que nous manifestons à l’égard des autres, en fait, constituent le baromètre de notre perception de
nous-même.
Elles en disent beaucoup plus long sur nous que nos interlocuteurs.
Si vous aimez ou si vous détestez
quelque chose chez l’autre, c’est que vous l’aimez ou le détestez chez vous.
Nous
sommes spontanément attirés par les gens qui nous ressemblent et nous rejetons
d’instinct ceux qui nous paraissent différents.
Nous jugeons autrui à travers nos expériences passées, nos sentiments, nos convictions. Malgré cela, nous restons persuadés que nous usons de critères parfaitement objectifs.
Nous jugeons autrui à travers nos expériences passées, nos sentiments, nos convictions. Malgré cela, nous restons persuadés que nous usons de critères parfaitement objectifs.
Pourtant,
essayez d’imaginer que les gens que vous rencontrez vous renvoient, comme un
miroir, des informations très
importantes.
Si
vous acceptez ce principe, chaque rencontre nouvelle vous donnera l’occasion de
mieux connaître vos rapports à l’égard de vous-même et de progresser dans la
connaissance.
Supposons un instant que les qualités que vous admirez chez les
autres – leur force, leur talent – sont en fait des caractéristiques que vous
souhaitez pour vous-même.
Cela n’éclaire-t-il pas l’idée que vous avez de votre
valeur ?
De
la même façon, vous pouvez considérer les gens que vous n’aimez pas comme des
cadeaux, puisqu’ils mettent en évidence ce dont vous ne voudriez pas pour
vous-même. Imaginez que chaque fois que vous êtes fâché, blessé ou irrité par
quelqu’un d’autre, l’occasion vous est offerte de régler son compte à un
épisode oublié de colère, de chagrin ou d’agacement.
Être capable de discerner
la faiblesse chez l’autre permet d’éprouver de la compassion ; c’est
peut-être aussi le moment d’adoucir un
jugement sévère que vous avez émis à l’égard de vous-même.
Si
vous adoptez cette démarche, il devient possible de considérer tous ceux qui
vous entourent comme des miroirs, aussi bien les gens que vous aimez ou admirez
que ceux que vous détestez le plus cordialement.
De cette façon, vous serez en mesure de discerner vos propres qualités,
mais aussi les aspects de vous-même que vous rejetez.
L’objectif
de la règle n°7 est précisément de
passer du stade du jugement de l’autre au stade de l’exploration de soi.
Pour y parvenir, il vous faudra évaluer toutes les décisions, tous les jugements
et toutes les projections que vous faites à l’égard des autres et les
considérer comme autant d’indices
révélateurs de la manière de guérir vos propres faiblesses, de conquérir votre
intégrité.
Les
leçons proposées par la règle n°7 sont la
tolérance, la transparence, la guérison et le soutien.
En assimilant ces
leçons, nous faisons un pas décisif vers un changement de perspective très
bénéfique.
La
tolérance
« Tout ce qui nous
irrite chez les autres peut nous amener à nous comprendre nous-même. » Carl Jung
Dans la règle N°1, nous nous avons passé en revue la notion d’acceptation et appris
à appréhender favorablement tous les aspects de nous-mêmes.
La tolérance est le
même type de sentiment adapté à autrui.
C’est une condition indispensable à la
coexistence pacifique entre les hommes.
« Tout le monde a le droit de vivre » : C’est ce qui
ressort de la leçon de tolérance, qui fait taire la voix de la critique à
l’égard des autres.
J’avais
seize ans quand j’ai pris conscience, en marchant dans la rue, d’une petite
voix intérieure qui commentait tout ce qui croisait mon regard. Inutile
d’ajouter que le commentaire n’était pas toujours tendre. Je compris que je
pouvais trouver quelque chose de désagréable à dire sur l’ensemble de mes
congénères. Le constat suivant n’est pas bien difficile à imaginer :
« C’est vraiment bizarre. Se pourrait-il que je sois la seule personne
parfaite de l’univers ? ».
Je
m’aperçus immédiatement de ce qu’une telle déclaration avait de ridicule et je
saisis que tous ces jugements que je portais sur les autres avaient peut-être
quelque chose à voir avec mes propres préoccupations. Il m’apparut alors que
les critiques que je formulais sur les autres me renseignaient bien d’avantage
sur moi que sur eux. Je compris aussi que je tirais profit de ces critiques
pour moi-même. Trouver tous ces gens grassouillets, trop petits, mal fagotés,
me permettait de penser que j’étais mince, élancée, bien habillée. Les accabler
entretenait mon sentiment de supériorité.
Une
partie de moi savait que juger les autres était un moyen de masquer mes sentiments d’insuffisance et d’insécurité.
Je pris le parti d’examiner chacun des jugements que je formulais à l’égard des
autres et de m’en servir comme d’un miroir pour explorer des replis cachés de
ma propre personnalité. Peu d’entre eux me semblaient
« acceptables », et la plupart me ressemblaient.
En refusant de me
lier à des gens différents de moi, j’étais enfermée dans un véritable caisson
d’isolement.
A partir de ce jour, je décidais de partir de mon jugement sur les
autres pour en apprendre d’avantage sur soi-même.
Pour cela, il fallait que
j’abandonne l’idée de juger le monde entier.
Renoncer à l’intolérance voulait
dire que je ne devais plus me sentir automatiquement supérieure aux autres, et que je devais apporter une attention toute
particulière à mes propres défauts.
J’ai
récemment participé à un repas d’affaires avec un homme apparemment sans aucune
éducation. Ma première réaction fut de m’offusquer de son absence de bonnes
manières. Comprenant que je le jugeais un peu vite, je m’interrogeais sur mes
propres impressions. La vérité, c’est que j’étais gênée que l’on puisse me voir
en compagnie de ce grossier personnage, qui mastiquait la bouche ouverte et se
mouchait bruyamment dans sa serviette de table. Je m’aperçus que j’étais
surtout préoccupée de la façon dont les autres clients du restaurant me
considéraient. Le problème n’étant pas tant la conduite de mon invité que
l’embarras que je ressentais. J’avais là une excellente occasion de comprendre l’importance que j’accordais au regard des
autres, une réaction qui trahissait mes propres incertitudes.
L’intérêt
de la démarche est aussi et surtout de reprendre le contrôle de la situation.
Si j’avais permis à mon invité de continuer à m’inspirer du dégoût, j’aurais
abdiqué tout mon pouvoir. Je l’aurais autorisé à décider de ce que je devais
ressentir.
En comprenant que mon jugement sur lui avait en fait une relation
avec l’image que je me faisais de moi-même, je reprenais le contrôle.
Lorsque
vous constatez votre intolérance à l’égard de quelqu’un, posez-vous la
question : « De quel
sentiment est-ce que je me défends en me protégeant derrière ce jugement ? ».
Peut-être cette personne évoque-t-elle pour vous la gêne, l’embarras,
l’insécurité, l’anxiété ou quelque autre sentiment qui contribuerait à ternir
votre image.
Concentrez-vous sur la signification profonde de votre jugement,
et vos jugements sévères s’évanouiront. Vous serez capable de maîtriser vos
émotions et de supporter plus facilement le comportement de la personne qui
fait l’objet de vos critiques.
N’oubliez
pas que vos jugements, pour définitifs qu’ils soient, ne peuvent pas vous
servir de bouclier. Ce n’est pas parce que je jugeais que mon interlocuteur
était mal élevé que je devenais incapable de me tenir mal à une autre occasion.
Mais me montrer tolérante ne comportait pas non plus de danger et ne
m’obligeait pas davantage à me mettre à mastiquer la bouche ouverte !
La
clarté
« Il arrive que l’on
découvre la lumière dans les endroits les plus étranges, quand on sait regarder
au bon endroit. »
Jerry
Garcia
La
clarté, c’est une vive lumière. Chaque fois que vous parvenez à voir clair en
vous, vous faites un pas de plus dans la bonne direction. Comme je le dis
souvent, accéder à la lumière, c’est nettoyer son âme à l’Ajax vitres.
La
réalité devient transparente comme du cristal.
Au moment même où vous considérez autrui comme un miroir, vous apprenez
la leçon de la clarté.
Aline,
une de mes stagiaires, a accédé à la clarté le jour où elle s’est aperçue que
les reproches qu’elle faisait à son mari, parce qu’il semait le désordre
partout, étaient une façon de se mortifier elle-même, dans la mesure où elle ne
cessait d’illustrer le même défaut. L’une de mes amies a accédé à la clarté
lorsqu’elle a compris que ses jugements acerbes à l’égard des hommes étaient
une façon de masquer sa propre répugnance à s’engager.
Vous pouvez parvenir au
même résultat à n’importe quel moment de votre vie, à l’instant où vous
ouvrirez les yeux de l’intérieur et où vous comprendrez ce que votre opinion
des autres révèle de vous-même.
La
meilleure façon de reconnaître la clarté et d’identifier les moments où elle
est absente ; les moments de brouillard, par contraste, sont des indices
particulièrement révélateurs.
Si vous vous focalisez sur votre jugement à
l’égard des autres, vous ne les utilisez pas comme miroirs et vous vous
retrouvez dans le brouillard.
Si vous vous concentrez sur le mal que d’autres
vous ont infligé, vous vous retrouvez dans le brouillard.
Par essence, chaque fois
que vous vous dissociez de la signification de telle ou telle situation peut
avoir pour vous-même, vous vous retrouvez dans le brouillard.
En
de tels moments, il est facile de restaurer la clarté en changeant de
perspective, en passant des autres à soi-même, de l’extérieur à l’intérieur.
C’est une bonne occasion de faire une pause et de vous interroger sur le sens
de la leçon pour vous-même. Au moment même où vous brandissez le miroir, la
clarté revient.
La
guérison
« La guérison est
affaire de temps, mais parfois aussi d’opportunité. »
Hippocrate
La guérison est le
retour à l’intégrité et au bien-être. Le plus grand médecin de l’antiquité
s’interrogeait déjà sur ce mystère. Bien que le terme soit employé le plus
souvent pour le corps, il s’applique également au domaine émotionnel et
spirituel.
Le processus, qui occupe toute une vie, s’emploie à débarrasser
votre esprit des nuages qui l’obscurcissent et à raccommoder les accrocs de
votre cœur.
Tous
les êtres humains, tôt ou tard, doivent affronter la leçon de la guérison, même
ceux à qui la vie semble épargner tous les soucis. Les écueils de la vie sont
trop nombreux pour que le voyage se déroule sans heurt. Fort heureusement,
notre civilisation attache une grande importance à la guérison et les moyens qui
nous sont offerts sont nombreux. Mais toutes
les méthodes extérieures resteront sans effet, tant que vous ne prendrez pas le
temps de restaurer votre intégrité de l’intérieur.
Si
vous savez utiliser les moyens que les autres mettent à votre disposition pour
effacer vos blessures émotionnelles, l’expérience en sera facilitée.
L’un
de mes amis me confia un jour qu’il était impuissant. Il en était honteux et se
torturait l’esprit à ce sujet. Il savait que cette impuissance était survenue
le jour où sa petite amie l’avait quitté pour un autre, mais il était incapable
de retrouver seul sa confiance en lui. Finalement, il rencontra une jolie jeune
femme nommée Andréa, qui lui accorda son amour sans condition. Il fallut à mon
ami plusieurs mois pour que les vertus de cet amour produisent un effet curatif
durable sur l’image désastreuse qu’il avait de lui-même. Mais heureusement,
c’est ce qui arriva.
Il
arrive souvent que la perception que les autres ont de nous nous aide à réparer
les dommages qu’a pu subir notre estime personnelle.
Mais la guérison peut
également prendre d’autres formes.
Il n’est pas rare que d’anciennes blessures
se trouvent cicatrisées par référence au moment présent.
Certains sentiments,
en effet, surgissent immanquablement lorsque les mêmes conditions sont réunies.
Les personnes qui nous servent de miroir
dans le présent nous aident parfois à guérir les blessures du passé.
Stéphanie
voulait abandonner la maison d’édition dans laquelle elle travaillait pour
s’établir à son compte. Mais ses relations avec son patron/mentor avaient pris
un tour très particulier depuis près de sept ans, et elle avait du mal à sa
résoudre à le quitter. Il la traitait comme une enfant, ne lui laissait prendre
aucune initiative sans son accord. Bref, il la tenait en laisse. Lorsque
Stéphanie tentait d’affirmer son indépendance, son patron cherchait à la
culpabiliser en lui disant qu’après tout, elle lui devait sa carrière.
Quand
Stéphanie vint me trouver, elle se sentait brimée, frustrée, mais incapable de
prendre une décision quelconque. Elle affirmait ouvertement son dédain à
l’égard de son patron, mais racontait sur lui des anecdotes touchantes qui
montraient qu’à l’évidence, elle le considérait un peu comme son père. Il était
clair que Stéphanie avait des comptes à régler avec son adolescence et que
c’était une occasion idéale pour en finir avec ce traumatisme.
Lorsque
j’interrogeai Stéphanie sur son passé, elle me raconta une histoire qui
remontait à ses vingt et un ans. Elle avait quitté la maison familiale pour s’installer
avec son petit ami. Sa mère avait pris ce départ comme une atteinte
personnelle. Pendant la soirée qui précédait son départ, elle s’en prit à sa
fille de manière virulente. Assise au milieu des bagages qu’elle venait de
boucler, Stéphanie regardait sa mère marcher vers elle à grandes enjambées, sa
robe de chambre flottant autour de ses épaules comme une cape de sorcière.
Lorsqu’elle arriva à sa hauteur, sa mère s’adressa à elle d’un ton
sifflant : « Ce que tu fais est égoïste ! Totalement
égoïste ! Comment oses-tu t’en aller de cette façon ? »
Stéphanie, honteuse, ne répondit rien et, au petit matin, elle se glissa hors
de chez elle comme une voleuse.
Nous
sommes tombés d’accord, Stéphanie et moi, pour convenir que son départ de la
maison d’édition était le reflet de cette vieille blessure. Nous savions toutes
les deux qu’une occasion lui était donnée d’en finir avec ces souvenirs
pénibles, en partant la tête haute, cette fois, et en affirmant son droit à
l’indépendance. Après quelques répétitions, Stéphanie annonça à son patron, en
le regardant bien en face, qu’elle le quittait pour suivre seul la voie qu’elle
croyait être la sienne.
Du même coup, la blessure secrète se trouva cicatrisée.
En
ce qui vous concerne, quelles sont les blessures anciennes que vous devez
guérir ?
Le
soutien
« Il y a deux façons
de diffuser la lumière : être la bougie, ou le miroir qui la
reflète. »
Edith
Wharton
Soutenir
quelqu’un, c’est lui maintenir la tête hors de l’eau. On soutient quelqu’un
lorsqu’on veut lui donner de l’énergie, de la force, l’aider dans un moment
difficile.
Le plus piquant, c’est que lorsque
vous croyez soutenir les autres, vous vous soutenez vous-même.
Lorsque
vous refusez d’aider quelqu’un, c’est en général que vous avez peur de vous apercevoir que vous-même avez besoin d’aide.
Lorsque
je forme des animateurs au cours de mes séminaires, la première chose que je
leur apprends est d’être attentif au fait que le soutien qu’ils apportent aux participants est le reflet de leurs
propres préoccupations.
Si
un animateur éprouve quelque difficulté à aider quelqu’un à expurger sa colère,
c’est qu’il a lui-même un rapport difficile à la colère, qu’il a du mal à gérer
la sienne.
S’il ne parvient pas à l’aider à révéler sa force intérieure, c’est
sans doute qu’il n’est pas convaincu de la valeur de sa propre force.
Cette
démarche n’est pas très éloignée de celle des psychanalystes, qui utilisent
leurs propres réactions comme des miroirs dans lesquels les patients sont
appelés à se reconnaître.
L’occasion
nous est fréquemment donnée de soutenir nos amis dans l’adversité.
L’une des
animatrices de mon groupe, prénommée Diane, m’a raconté une histoire qui
illustre très clairement la magie du soutien et la façon dont on peut
l’utiliser comme miroir. Plusieurs années auparavant, Diane s’était sentie très
dépressive. Elle avait rompu avec son petit ami et s’en remettait
difficilement. Gravement blessée au genou dans un accident, elle avait dû
passer plusieurs semaines allongée, et il est probable que ces longs moments de
solitude n’avaient rien fait pour arranger les choses. Elle s’en voulait
énormément d’être incapable de réagir, et pleurait tout le temps.
Un
matin, Diane reçu une terrible nouvelle : le frère de sa meilleure amie
venait de se tuer en voiture. Diane connaissait Marie-Anne et son frère depuis
toujours, et le coup la laissa sans voix. Elle se précipita chez son amie.
Au
cours des jours qui suivirent, après l’enterrement et le cortège des visiteurs,
Diane ne quitta pas Marie-Anne. Elle la serrait contre son cœur, pleurait avec
elle, dormait sur le tapis à côté de son lit pour ne pas qu’elle se retrouve
seule au milieu de la nuit. Elle avait oublié son genou douloureux, et même sa
dépression.
Lorsque
les choses reprirent un cours plus normal, Diane s’aperçut que le soutien
qu’elle avait accordé à Marie-Anne dépassait de beaucoup celui qu’elle avait
envisagé pour elle.
L’aide qu’elle avait
apporté à son amie, dans une large mesure, était une compensation pour l’aide
qu’elle s’était refusée à elle-même.
Elle s’aperçut que ses
propres larmes méritaient autant d’attention que celles des autres, et qu’elle
devait se consoler avec le même soin qu’elle consolait les autres.
Lorsque
vous vous apercevez que vous êtes incapable d’aider les autres, demandez-vous
s’il n’existe pas à l’intérieur de vous-même quelque chose qui ne tourne pas
rond.
Au contraire, lorsque
vous êtes en mesure d’offrir aux autres un soutien efficace, c’est que vous
pouvez identifier ce qui, chez vous, requiert la même qualité d’attention.
Source:
“Si la vie est un jeu, en voici les règles”, Chérie Carter-Scott, aux éditions Michel Lafon
Article
trouvé sur : http://stopmensonges.com
La
série des 6 règles publiées précédemment sur ce blog est ici : http://lydiouze.blogspot.fr/search/label/Ch%C3%A9rie%20Carter%20Scott
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sur le lien pour y accéder, vous trouverez la première en bas de page et les
autres en remontant.
Tout nous reflète la multitude que nous sommes, la nature, les animaux, les éléments, la planète, le soleil, le ciel et ses nuages, les tempêtes, les ouragans, les volcans, mais aussi les lacs, les prairies verdoyantes, les oasis...et bien évidemment nos frères et sœurs humains
J’ai
comme dans l’idée que ce rappel, cet élan à publier cet article, maintenant, n’est pas le
fruit du hasard. Je l’imprime dans un coin de ma mémoire pour le ressortir quand j’irais
en courses…
Merci
aux photographes amateurs, ("qui créent avec amour") ami de trente ans, amis Google+ et Facebook, pour leur participation à l’illustration
de ce texte.
J’ai envie de leur rendre hommage…C'est peut-être tout simplement ça la dilution de l'ego dans ce monde...? Reconnaitre l'autre, se reconnaitre en tous...
Je reviens sur la peur d'être absorbée dans l'infini, de perdre mon identité, sur laquelle je bloquais et que j'aie offerte à la source. C'est une part de la réponse ou peut-être même La réponse à cette peur, sa raison d'être, un appel à trouver l'équilibre...
Je reviens sur la peur d'être absorbée dans l'infini, de perdre mon identité, sur laquelle je bloquais et que j'aie offerte à la source. C'est une part de la réponse ou peut-être même La réponse à cette peur, sa raison d'être, un appel à trouver l'équilibre...
Merci
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