Le thème de la sexualité est passionnant parce qu’il est complet, il représente le summum des relations humaines et en même temps conditionne les individus; leur vision, leur comportement, leur choix, leur vie.
À
mesure que j'épure les croyances, que je réintègre l'amour en moi, par
l'acceptation et la re-connaissance de tout ce que je suis, je m'aligne sur la vision de mon âme et
comprend son choix d'incarnation, au-delà de toute notion de bien et de
mal. Parce qu’il n’y a que le point de vue neutre, objectif, à partir du cœur,
qui permette d’élargir sa vision.
Ce choix des plus pertinents m'a permis de plonger au cœur de la raison d'être de cet incarnation, de cet apprentissage au travers de la dualité, qui permet de révéler l'être, de reconnaitre les jeux de l'ego, du pouvoir, dans les relations humaines et ainsi d'apprendre la puissance des énergies en jeu, leur effet, leur origine et leur mouvement; les lois d'attraction, du don et de la réception...et je ne suis qu'à l'aube de mes découvertes...
L’énergie sexuelle, c’est l’énergie de la
source, du pur potentiel qui est perçu en troisième dimension comme une source
de pouvoir; de domination.
Elle y est étroitement associée puisque la sexualité représente la
jouissance extrême, celle qu’un humain peut vivre sur cette terre.
Tous les
comportements, les personnalités, se construisent sur la compréhension
spécifique de ce qu’est la sexualité.
Elle engendre la séduction, la
domination, la manipulation dans un monde où chacun considère l’autre comme un
objet, un ennemi ou un moyen d’obtenir de la satisfaction, du plaisir, de la
joie.
Enfin ça, c’est ce que nous vend la société et c’est le produit de notre
inconscient collectif, la somme des points de vue de chacun envisagés au travers d'une vision déformée par les
blessures.
On va se construire une image qui permettra d’attirer les faveurs
des autres, d’avoir du pouvoir de séduction, parce qu’on pense avoir besoin des
autres pour assouvir nos désirs, nourrir nos besoins fondamentaux.
Comme on croit que l’énergie sexuelle ne
concerne que les relations de couple, les relations sexuelles, on mise tout sur
notre pouvoir d’attraction, de séduction, parce qu'il va nous falloir nous nourrir des énergies de l'autre afin de remplir notre vide intérieur. Enfin, ce qu'on considère comme tel.
On va tout faire pour plaire à
l’autre, aux autres, afin d’obtenir satisfaction, d’être aimé.
Le même
comportement adopté dans l’enfance qui nous permettait d’être aimé, considéré
par nos parents, va se rejouer dans la relation aux autres, au monde.
On va
ajouter au besoin d’être aimé, celui d’obtenir satisfaction, d’avoir du plaisir
dans les relations avec l’extérieur. Ainsi, on élargit son territoire par la force de séduction, de conviction, d'attraction, de domination.
Je ne suis pas en train de dire que c’est
mauvais, mal ou quelque chose de ce genre, je dis juste qu’on a faussé le jeu
par ignorance. Mais c’est aussi ce jeu qui nous permet de savoir ce qu’est
l’amour, ce que sont les relations, le pouvoir, la loi d’attraction, puis de
pouvoir reconnaitre que ce que nous cherchons à l’extérieur a toujours été, est
en nous, à chaque instant.
C’est un moteur d’action, d’échange, de
communion, de partage, qui s’inscrit dans l’ordre des choses, dans l’évolution
logique et naturelle d’un être.
Comme
la sexualité est taboue dans la plupart des sociétés, elle est incomprise et
pervertie, elle amène des frustrations, des fantasmes et des souffrances. Et
c’est tout à fait logique puisqu’on ne sait pas ce qu’elle est, puisque chacun
en a une idée selon son vécu, son éducation et ses croyances.
Pourtant, si on
observe ce qui est, au-delà de toute notion de jugement, on va constater que
c’est l’énergie de création, l’essence, la substance de la vie, qui stimule,
qui fait naitre le désir, qui pousse chacun à aller à la rencontre de l’autre,
à s’expanser, s’épanouir dans les rencontres, les échanges. C’est l’énergie de
l’amour en mouvement et une de ses manifestations, la joie qui vient du fait de
créer, de co-créer.
Cette
pure énergie émerge chez l’humain dès sa naissance mais elle devient disponible
en tant que potentiel créatif conscient, au moment de la puberté.
Encore
faut-il la connaitre, la reconnaitre pour ce qu’elle est et savoir qu’elle est
en soi, tout comme l’amour. Comme c’est un désir en chacun, un besoin, ça
devient un objet d’excitation, de commerce, de spéculation, qui fausse
l’entendement et peut amener à vouloir s’en couper. On va élaborer des
stratégies qui vont nous éloigner de l’être véritable, de la connaissance de
soi, celle qui amène à découvrir l’essence divine et créatrice.
Sa violence,
son émergence qui bouleverse le système hormonal et psychologique de l’individu
a été perçue comme dangereuse et étiquetée de diabolique afin de nourrir la
peur qui l’entoure et de l'enfermer dans le mystère, le secret, afin d'en détourner le sens, d'en faire un objet de commerce, de convoitise.
Elle
est le pouvoir d’agir, de créer, puisqu’elle va susciter le désir.
Elle est en
même temps l’impulsion, l’élan et le potentiel.
Mais pour cela, pour que cette énergie serve notre évolution, notre élévation, pour qu'elle ne soit pas uniquement une excitation, une pulsion primaire incontrôlable, il faut la
connaitre et savoir l’orienter. Se connaitre, et laisser l’amour lumière en soi,
diriger les opérations.
Tant
qu’on reste soumis à la peur, aux croyances basées sur celle-ci, aux
superstitions, à la notion arbitraire de bien et de mal, on aura une vision
faussée de ce qu’elle est.
Tant qu'on porte un regard négatif sur soi, sur son corps et les énergies qui le traversent, on ne peut voir ce qui est de façon objective et réaliste.
Entretenir le mystère est très lucratif et comme le monde fonde son pouvoir sur cette notion, comme chacun fonde son pouvoir sur l’image qu’il veut donner de lui-même, les choses peuvent rester en l’état éternellement. Enfin c’est ce que les gens de pouvoirs espèrent mais comme la vie est l’évolution, comme nous arrivons au bout de ce jeu de cache cache, le moment est venu d’affronter la réalité.
Qu’on le veuille ou non le jeu arrive à
sa fin et si on veut profiter des énergies d’éveil, de renouveau, c’est le
moment de se regarder en face, d’oser affronter sa vérité, d’être soi, d’être
vrai, transparent, afin de connaitre, de savoir ce que nous sommes réellement
et de quoi nous sommes faits.
Les
personnages que nous avons joués sont révélés par l’effet miroir, nos
stratégies de défense, nos masques, nos illusions, tout s’effrite.
Deux
voies s’offrent à chacun, soit être vrai et accompagner ce mouvement évolutif
qui révèle l’être véritable, soit résister et persister à se mentir afin de
préserver son image.
Les
scandales mis à jour par les médias sont le parfait reflet de ce que nous
vivons à l’intérieur. Chacun abrite en lui des voix qui sont celles du
mensonge, du jugement, du déni, du rejet de l’autre.
Tout ce que nous faisons à
l’autre est le reflet de ce que nous nous faisons à nous-même. Le rejet de l'autre, le jugement à propos des comportements excessifs ou abusif, sont la projection de ce que nous nous faisons subir à l'intérieur en bridant l'énergie de vie, en retenant nos émotions, en tentant de contrôler la vie en nous.
Toute la violence
projetée vers l’extérieur est le reflet de la violence que nous exerçons auprès
de l’enfant intérieur, de l'innocence, de l'authenticité, de la spontanéité.
Cet aspect de nous qui est vrai, spontané, qui exprime ce qu’il
ressent à chaque instant, reste confiné à l'intérieur, muselé par la peur d'être jugé à notre tour.
Nous étouffons sa voix afin d’être aimé, accepté mais
il s’exprime tout de même, en notre propre monde intérieur et par des
comportements réactionnels.
La
souffrance et la sensation de vide, l'ignorance de notre vraie nature, viennent de ce rejet, de cette division, cette guerre interne, de cette façon dont
nous bridons le véritable être que nous sommes.
Nous passons notre temps à nous
mentir, à nous faire des films et à nous convaincre que c’est la réalité. Nous
nous sommes construits un personnage selon un modèle qui correspond à nos
attentes du moment, celles qui nous rendent aimable, qui attire l’attention des
autres, qui nous donnent un semblant de pouvoir.
Peu importe que nous jouions la victime, le bourreau et le sauveur,
nous avons besoin d’attirer l’attention afin de nous sentir exister, être.
Tout
ce cinéma nous empêche de reconnaitre qui nous sommes en vérité, cause nos
pires souffrance et fait de notre corps une prison.
Nous
passons notre temps à vouloir plaire, séduire, gagner l’approbation des autres
au lieu de nous reconnaitre nous-même, d’être sincère, de regarder avec
bienveillance tous les aspects internes qui son exacerbés par notre déni, notre
rejet.
S’aimer
véritablement révèle l’étincelle divine, libère l’énergie de vie, restaure
l’harmonie, amène la guérison, la liberté, la paix et la joie.
Il
ne s’agit pas d’aimer son image bien que ça fasse partie du chemin, il est
question de se connaitre de l’intérieur et d’y découvrir l’amour, le potentiel,
les talents cachés derrière nos "ombres", derrière ces aspects que nous jugeons
inappropriés et tentons de cacher, de nier.
Avoir
de la compassion pour les parts de soi traumatisées par les événements passés
mais surtout par le déni, le rejet, l'accusation, la culpabilité, la peur, par le fait que nous avons tenté de les occulter,
ajoutant ainsi de la souffrance à la douleur originelle, restaure la tendresse, la douceur, l'amour à l'intérieur.
Lorsque
nous sommes enfant et que nous adoptons des vérités, nous ne disposons pas
d’une conscience suffisamment affirmée pour imposer notre point de vue. Nous
sommes dépendants de l’entourage et donc limités en apparence dans notre champs
d’action. A l’adolescence quand l’énergie sexuelle nous envahit, nous prenons
peur de ce qui est inconnu et considéré comme tabou par les adultes.
La peur,
la honte, les critères de beauté, vont s’ajouter au doute de soi et ça n’est
pas la profusion d’images pornos qui peut répondre aux angoisses existentielles
qu’amène cette énergie.
Elle est si puissante qu’elle nous effraie. Elle nous
effraie parce qu’elle est incontrôlable du moins c’est ce qu’on pense puisque
depuis l’enfance, on nous dit d’être sage, de ne pas faire de bruit, de vagues.
Que
les parents montrent ou pas l’amour qu’ils ont pour leurs enfants, ne change
pas grand chose à l’affaire parce que les adultes sont aussi dans des rôles,
ceux de parents qu’ils associent au devoir, aux obligations, à la
responsabilité...
Le principe même de procréation montre la puissance de cette énergie et le fait qu’on ne maitrise pas vraiment les naissances même si les moyens de contraception existent, nous montre qu’une force au-delà de notre volonté agit en coulisses.
Une énergie capable de créer la vie, d’amener deux êtres à fusionner
et à se multiplier est phénoménale mais on la réduit à ce seul aspect alors
qu’elle est le principe même du vivant.
Cette
énergie a le pouvoir d'activer, d’amplifier la régénération cellulaire si elle est libre
de circuler dans tous les corps, les chakras.
J’ai
eu une visite surprise, encore un clin d’œil du divin, la démonstration du
pouvoir d’attraction puisque je réfléchis de l’intérieur à la sexualité. Je
bidouillais et tournais un peu en rond au jardin, à cause de l’énorme quantité
de pluie tombée hier qui rend la terre impraticable tellement elle est imbibée,
et un ami est apparu.
Je
n’ai pas été troublée malgré le fait que nous avons vécu une histoire ‘d’amour’
il y a quelques temps et c’est encore un signe, une preuve que la guérison est
là.
Pacifier
la relation à soi, avec les aspects de l’être, son enfance, son adolescence,
permet de refaire sa vie, de renaitre sur des bases saines.
Je retrouve ma
vraie nature, entière, ma personnalité de l’adolescence, de la jeunesse, ajoutée à l’expérience
de cinquante ans sur terre, ajoutée à la passion transmise, portée par l’enfant
intérieur.
Ma vraie personnalité au-delà ou plutôt avec les fruits de la
sagesse tirée de l’expérience, du vécu perçu depuis le cœur. Depuis l’espace où
tout est juste, tout à un sens, une raison d’être, où les pièces du puzzle se
rassemblent et trouvent leur juste place où tout est englobé formant un tout
complet, parfait.
Je
vais aller m’allonger un peu puis
ensuite essayer de suivre la méditation guidée de Deepak Chopra. Je bloque sur la phrase
« je choisis de me diluer dans l’espace infini » ! Alors je ne
force pas et me connecte à cette peur afin de la voir, de reconnaitre sa
valeur, son potentiel, son message, de voir où elle se situe dans le puzzle…
Que
de sensations ! Déjà physiquement, nul doute que des libérations
s’effectuent à un niveau profond mais le rêve qui a suivi la séance de
focalisation sur le corps physique, la respiration naturelle, non pensé, m’a
amené tout un tas d’éléments de compréhension. Enfin là, j’anticipe parce que
pour le moment, je ne cherche pas à comprendre, je laisse venir ce rêve qui a
duré un certain temps puisque je me suis baladée dans ma jeunesse, mon ancienne
vie de « routarde », « zonarde » enfin si on peut dire
parce que je n’ai jamais aimer coller d’étiquette spécifique. Je n’ai jamais été en
bande sauf au début de l’adolescence et quand je voyageais en stop, sac sur
le dos, j’étais accompagnée d’une chienne mais n’allait pas dans les squatts, je
parlais avec les gens de la rue mais n’appartenait pas à leur groupe.
On
retrouve dans toutes les communautés, les mêmes schémas de chefs, de disciples,
de femme du chef, de favoris, de souffre douleur...avec tous les scénari du comportement humain, les jeux
de rôles et les personnages du triangle de Karpman; victime, bourreau, sauveur.
C’est grâce aux opiacés que
je n’ai pas transformé le besoin de communion, d’aller vers l’autre en intégrant une tribu, un clan. L’instinct grégaire est animal, il correspond à la
survie et c’est une façon d’interpréter aussi, ce que nous sommes au niveau
divin, au travers du regard d’individus qui se croient isolés de la source et
des autres, alors que nous sommes Un, au niveau de la conscience pure.
La libido
étant gérée sans taboue, selon le désir puis mise en retrait après la rencontre avec le Christ, l’attrait, la nécessité d’aller vers l’autre pour prendre
par des stratégies, des calculs basés sur la séduction, n’était pas si
pressante. Mon besoin de plaisir était assouvi par la prise de drogues, les relations de couple sans attache excessive, je ne souffrais pas de dépendance affective.
Ce qui m’a permis de rester moi-même bien que les produits
limitaient mon champ d’action. Finalement, le choix de me forger une carapace de
façon consciente et volontaire avec la drogue, n’a pas été si mauvais puisque
je ne suis pas entrée dans des histoires où j’aurai joué des rôles impliquant
d’autres personnes, « pour de vrai » ; femme de…, mère de…,
employée de… , au risque de m’y identifier puisque ce sont des modèles admis et
même conseillés, au risque surtout de passer à côté de ma vraie nature, de
l’être.
Il est beaucoup plus difficile de se défaire d’un personnage quand
celui-ci est pris dans une structure de groupe. Si dans l’entreprise où on
travaille, on porte une étiquette, on va la garder jusqu’à ce qu’on quitte le
job. Dans un sens, la famille permet de pouvoir être soi-même, du moins on a du
mal à cacher sa vraie nature au bout d'un an de mariage, nos aspects véritables
reviennent au galop dans la répétition quotidienne du jeu de la vie.
Mais comme on accepte pas ces aspects de nous-même qu'on tente de cacher afin de plaire à l'autre, de le séduire, de lui mettre un fil à la patte, la lune de miel devient lune de fiel. Puis les
enfants amènent du sang neuf, de l’énergie pure, ils sont vrais et jouent
parfaitement le miroir de nos failles, de ce que nous avons besoin de prendre
en considération en nous-même mais là encore, on joue la domination, on les "éduque" en brimant tout ce qu'il nous montre de nous même et que nous rejetons. Leur spontanéité est contrôlée, leur authenticité éteinte afin de ne pas risquer de dénoncer nos travers, de dire des vérités dérangeantes...
L’amour qui circule entre les membres d’une
famille se rapproche de l’amour inconditionnel puisque les enfants aiment, adorent
leurs parents, les considèrent comme des dieux, des références sures. Enfin
lorsque ceux-ci amènent le minimum vital, lorsqu’ils prennent soin de leurs
enfants et sont constants dans leur façon de les éduquer et surtout présents,
attentifs.
Mais
il faut souvent des drames pour que chacun ose être vrai, souvent dans de
grands épanchements, débordements émotionnels lorsque pèse un lourd secret
familial, lorsqu'un décès survient.
Le mal-être créé par le fait de jouer un personnage finira par faire
éclater la cellule familiale qui est censée se diviser en douceur lorsque les
enfants font leur vie.
Là encore on peut voir que la famille peut être une
structure d’épanouissement et à l’inverse, un carcan infernal selon que les
parents portent des blessures, des secrets qui les enferment dans un des
personnages du triangle de Karpman, victime, bourreau, sauveur.
Nourrir,
protéger, donner une structure affective, mentale, physique et émotionnelle
cohérente, représente à mon sens l’essentiel de la fonction parentale. Ce qui
ne nécessite pas d’être très riche ou de se sur-endetter mais d’être vrai,
libre et autonome.
Bref, je reviens à mon rêve qui me montre encore son rôle de régulateur des pensées, croyances, et aussi sa fonction de mise à jour, d’actualisation des données.
Il
peint un tableau de nos croyances actualisées, la superposition du passé et du
présent.
Les rêves peuvent projeter, imager, les mêmes scénari pendant des années.
L'actualisation
se fait lorsque de nouvelles données sont imprimées dans le cerveau, la psyché.
Et c’est là qu’on peut voir la rencontre entre le passé et le présent, ce qui
donne en apparence un film plutôt incohérent pour le mental mais on arrive à en
tirer un sens très intime et personnel, une vue de notre état d’esprit du
moment.
On y voit aussi ce que nous avons besoin de relâcher pour que le film
évolue. Les peurs, la culpabilité, la honte, les pensées émotions relatives aux
blessures de l’enfance.
Les
rêves sont des outils de connaissance de soi, de son inconscient, de ses fantasmes
et désirs inassouvis, une façon de traduire les blocages énergétiques. Et nous pouvons agir en conscience, effectuer les même sondages de notre inconscient en étant dans l'accueil de nos pensées émotions perturbatrices. C'est l'énergie coincée qui suscite ses pensées émotions et lorsqu'on les laisse s'exprimer, la circulation énergétique redevient fluide en soi.
Si
je comprends bien le chamanisme, il semble qu’il mène aussi aux profondeurs de
l’être, aux archétypes afin de les transcender, d’en voir le potentiel et de se
libérer des rôles. J’ai acheté un livre qui parle de ces fameux archétypes mais
pour le moment, je suis sur celui de Marie Lise Labonté, « Maitre de sa
vie, maitre de ses chakras ».
Je lis sans trop y réfléchir mais je sens
que ça travaille intérieurement et que la nuit, des enseignements sont donnés,
des recherches et des mises à jour sont effectués.
La
pensée du jour de Neale Donald Walsch
En ce jour de votre vie, je crois que Dieu
souhaite que vous sachiez …
que tout n’a pas besoin de prendre exactement la tournure que
vous aviez prévue pour que vous puissiez appeler cela un succès.
que tout n’a pas besoin de prendre exactement la tournure que
vous aviez prévue pour que vous puissiez appeler cela un succès.
De temps en temps, tout ce que Dieu souhaite
que vous fassiez
c’est de vous jeter à l’eau. Ensuite, Elle prendra le relais. Donc
quand les choses ne tournent pas comme vous le souhaitez,
attendez un peu avant de dire « Oh dommage ! ».
c’est de vous jeter à l’eau. Ensuite, Elle prendra le relais. Donc
quand les choses ne tournent pas comme vous le souhaitez,
attendez un peu avant de dire « Oh dommage ! ».
En fait, c’est souvent une Bénédiction
déguisée.
Envisagez la possibilité que la vie soit magique …
et qu’il y a un lapin dans le chapeau.
Envisagez la possibilité que la vie soit magique …
et qu’il y a un lapin dans le chapeau.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale
Neale
C’est
ce que je me dis en ce moment, j’essaie de planifier, de trouver un rythme à
mes journées mais la plupart du temps, je suis obligée de l’adapter au temps
qui change en l’espace de quelques heures. D’un certain côté, j’évite de tomber
dans la routine et ça me permet d’apprendre à m’adapter au changement. Maintenant que le quotidien est vécu en conscience et dans l'amour vrai de soi, il n'est plus un poids et la vie se charge de le rendre encore plus agréable par ces surprises, ces changements...
Je
ne sais pas si c’est la conséquence de la révolution intérieure, du rêve que je
n’ai pas noté mais qui reviendra à ma mémoire si besoin, mais je suis fatiguée,
j’ai envie de dormir. Je n’ai même pas le courage de publier ce que j’ai écrit
tout au long de la journée. Le sevrage doit y être pour quelque chose.
Je
n’ai même pas envie d’aller au jardin ni de faire une ballade.
J'ai dormi de 19h à minuit! Il est maintenant 2h du mat', je retourne finir ma nuit!
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci