vendredi 12 juin 2015

« L’énergie sexuelle, c’est l’énergie de la source, du pur potentiel »





Le thème de la sexualité est passionnant parce qu’il est complet, il représente le summum des relations humaines et en même temps conditionne les individus; leur vision, leur comportement, leur choix, leur vie. 
À mesure que j'épure les croyances, que je réintègre l'amour en moi, par l'acceptation et la re-connaissance de tout ce que je suis, je m'aligne sur la vision de mon âme et comprend son choix d'incarnation, au-delà de toute notion de bien et de mal. Parce qu’il n’y a que le point de vue neutre, objectif, à partir du cœur, qui permette d’élargir sa vision
Ce choix des plus pertinents m'a permis de plonger au cœur de la raison d'être de cet incarnation, de cet apprentissage au travers de la dualité, qui permet de révéler l'être, de reconnaitre les jeux de l'ego, du pouvoir, dans les relations humaines et ainsi d'apprendre la puissance des énergies en jeu, leur effet, leur origine et leur mouvement; les lois d'attraction, du don et de la réception...et je ne suis qu'à l'aube de mes découvertes...


L’énergie sexuelle, c’est l’énergie de la source, du pur potentiel qui est perçu en troisième dimension comme une source de pouvoir; de domination. 
Elle y est étroitement associée puisque la sexualité représente la jouissance extrême, celle qu’un humain peut vivre sur cette terre. 
Tous les comportements, les personnalités, se construisent sur la compréhension spécifique de ce qu’est la sexualité. 
Elle engendre la séduction, la domination, la manipulation dans un monde où chacun considère l’autre comme un objet, un ennemi ou un moyen d’obtenir de la satisfaction, du plaisir, de la joie. 
Enfin ça, c’est ce que nous vend la société et c’est le produit de notre inconscient collectif, la somme des points de vue de chacun envisagés au travers d'une vision déformée par les blessures.

On va se construire une image qui permettra d’attirer les faveurs des autres, d’avoir du pouvoir de séduction, parce qu’on pense avoir besoin des autres pour assouvir nos désirs, nourrir nos besoins fondamentaux. 
Comme on croit que l’énergie sexuelle ne concerne que les relations de couple, les relations sexuelles, on mise tout sur notre pouvoir d’attraction, de séduction, parce qu'il va nous falloir nous nourrir des énergies de l'autre afin de remplir notre vide intérieur. Enfin, ce qu'on considère comme tel.

On va tout faire pour plaire à l’autre, aux autres, afin d’obtenir satisfaction, d’être aimé. 
Le même comportement adopté dans l’enfance qui nous permettait d’être aimé, considéré par nos parents, va se rejouer dans la relation aux autres, au monde. 
On va ajouter au besoin d’être aimé, celui d’obtenir satisfaction, d’avoir du plaisir dans les relations avec l’extérieur. Ainsi, on élargit son territoire par la force de séduction, de conviction, d'attraction, de domination. 
Je ne suis pas en train de dire que c’est mauvais, mal ou quelque chose de ce genre, je dis juste qu’on a faussé le jeu par ignorance. Mais c’est aussi ce jeu qui nous permet de savoir ce qu’est l’amour, ce que sont les relations, le pouvoir, la loi d’attraction, puis de pouvoir reconnaitre que ce que nous cherchons à l’extérieur a toujours été, est en nous, à chaque instant.  

C’est un moteur d’action, d’échange, de communion, de partage, qui s’inscrit dans l’ordre des choses, dans l’évolution logique et naturelle d’un être.

Comme la sexualité est taboue dans la plupart des sociétés, elle est incomprise et pervertie, elle amène des frustrations, des fantasmes et des souffrances. Et c’est tout à fait logique puisqu’on ne sait pas ce qu’elle est, puisque chacun en a une idée selon son vécu, son éducation et ses croyances. 
Pourtant, si on observe ce qui est, au-delà de toute notion de jugement, on va constater que c’est l’énergie de création, l’essence, la substance de la vie, qui stimule, qui fait naitre le désir, qui pousse chacun à aller à la rencontre de l’autre, à s’expanser, s’épanouir dans les rencontres, les échanges. C’est l’énergie de l’amour en mouvement et une de ses manifestations, la joie qui vient du fait de créer, de co-créer.
Cette pure énergie émerge chez l’humain dès sa naissance mais elle devient disponible en tant que potentiel créatif conscient, au moment de la puberté.

Encore faut-il la connaitre, la reconnaitre pour ce qu’elle est et savoir qu’elle est en soi, tout comme l’amour. Comme c’est un désir en chacun, un besoin, ça devient un objet d’excitation, de commerce, de spéculation, qui fausse l’entendement et peut amener à vouloir s’en couper. On va élaborer des stratégies qui vont nous éloigner de l’être véritable, de la connaissance de soi, celle qui amène à découvrir l’essence divine et créatrice. 
Sa violence, son émergence qui bouleverse le système hormonal et psychologique de l’individu a été perçue comme dangereuse et étiquetée de diabolique afin de nourrir la peur qui l’entoure et de l'enfermer dans le mystère, le secret, afin d'en détourner le sens, d'en faire un objet de commerce, de convoitise.

Elle est le pouvoir d’agir, de créer, puisqu’elle va susciter le désir. 
Elle est en même temps l’impulsion, l’élan et le potentiel
Mais pour cela, pour que cette énergie serve notre évolution, notre élévation, pour qu'elle ne soit pas uniquement une excitation, une pulsion primaire incontrôlable, il faut la connaitre et savoir l’orienter. Se connaitre, et laisser l’amour lumière en soi, diriger les opérations.

Tant qu’on reste soumis à la peur, aux croyances basées sur celle-ci, aux superstitions, à la notion arbitraire de bien et de mal, on aura une vision faussée de ce qu’elle est. 
Tant qu'on porte un regard négatif sur soi, sur son corps et les énergies qui le traversent, on ne peut voir ce qui est de façon objective et réaliste.






Entretenir le mystère est très lucratif et comme le monde fonde son pouvoir sur cette notion, comme chacun fonde son pouvoir sur l’image qu’il veut donner de lui-même, les choses peuvent rester en l’état éternellement. Enfin c’est ce que les gens de pouvoirs espèrent mais comme la vie est l’évolution, comme nous arrivons au bout de ce jeu de cache cache, le moment est venu d’affronter la réalité. 
Qu’on le veuille ou non le jeu arrive à sa fin et si on veut profiter des énergies d’éveil, de renouveau, c’est le moment de se regarder en face, d’oser affronter sa vérité, d’être soi, d’être vrai, transparent, afin de connaitre, de savoir ce que nous sommes réellement et de quoi nous sommes faits.
Les personnages que nous avons joués sont révélés par l’effet miroir, nos stratégies de défense, nos masques, nos illusions, tout s’effrite.
Deux voies s’offrent à chacun, soit être vrai et accompagner ce mouvement évolutif qui révèle l’être véritable, soit résister et persister à se mentir afin de préserver son image. 

Les scandales mis à jour par les médias sont le parfait reflet de ce que nous vivons à l’intérieur. Chacun abrite en lui des voix qui sont celles du mensonge, du jugement, du déni, du rejet de l’autre. 
Tout ce que nous faisons à l’autre est le reflet de ce que nous nous faisons à nous-même. Le rejet de l'autre, le jugement à propos des comportements excessifs ou abusif, sont la projection de ce que nous nous faisons subir à l'intérieur en bridant l'énergie de vie, en retenant nos émotions, en tentant de contrôler la vie en nous.  
Toute la violence projetée vers l’extérieur est le reflet de la violence que nous exerçons auprès de l’enfant intérieur, de l'innocence, de l'authenticité, de la spontanéité. 
Cet aspect de nous qui est vrai, spontané, qui exprime ce qu’il ressent à chaque instant, reste confiné à l'intérieur, muselé par la peur d'être jugé à notre tour. 
Nous étouffons sa voix afin d’être aimé, accepté mais il s’exprime tout de même, en notre propre monde intérieur et par des comportements réactionnels.

La souffrance et la sensation de vide, l'ignorance de notre vraie nature, viennent de ce rejet, de cette division, cette guerre interne, de cette façon dont nous bridons le véritable être que nous sommes. 
Nous passons notre temps à nous mentir, à nous faire des films et à nous convaincre que c’est la réalité. Nous nous sommes construits un personnage selon un modèle qui correspond à nos attentes du moment, celles qui nous rendent aimable, qui attire l’attention des autres, qui nous donnent un semblant de pouvoir. 
Peu importe que nous jouions la victime, le bourreau et le sauveur, nous avons besoin d’attirer l’attention afin de nous sentir exister, être. 

Tout ce cinéma nous empêche de reconnaitre qui nous sommes en vérité, cause nos pires souffrance et fait de notre corps une prison.
Nous passons notre temps à vouloir plaire, séduire, gagner l’approbation des autres au lieu de nous reconnaitre nous-même, d’être sincère, de regarder avec bienveillance tous les aspects internes qui son exacerbés par notre déni, notre rejet.

S’aimer véritablement révèle l’étincelle divine, libère l’énergie de vie, restaure l’harmonie, amène la guérison, la liberté, la paix et la joie.
Il ne s’agit pas d’aimer son image bien que ça fasse partie du chemin, il est question de se connaitre de l’intérieur et d’y découvrir l’amour, le potentiel, les talents cachés derrière nos "ombres", derrière ces aspects que nous jugeons inappropriés et tentons de cacher, de nier.
Avoir de la compassion pour les parts de soi traumatisées par les événements passés mais surtout par le déni, le rejet, l'accusation, la culpabilité, la peur, par le fait que nous avons tenté de les occulter, ajoutant ainsi de la souffrance à la douleur originelle, restaure la tendresse, la douceur, l'amour à l'intérieur.

Lorsque nous sommes enfant et que nous adoptons des vérités, nous ne disposons pas d’une conscience suffisamment affirmée pour imposer notre point de vue. Nous sommes dépendants de l’entourage et donc limités en apparence dans notre champs d’action. A l’adolescence quand l’énergie sexuelle nous envahit, nous prenons peur de ce qui est inconnu et considéré comme tabou par les adultes. 
La peur, la honte, les critères de beauté, vont s’ajouter au doute de soi et ça n’est pas la profusion d’images pornos qui peut répondre aux angoisses existentielles qu’amène cette énergie. 
Elle est si puissante qu’elle nous effraie. Elle nous effraie parce qu’elle est incontrôlable du moins c’est ce qu’on pense puisque depuis l’enfance, on nous dit d’être sage, de ne pas faire de bruit, de vagues.

Que les parents montrent ou pas l’amour qu’ils ont pour leurs enfants, ne change pas grand chose à l’affaire parce que les adultes sont aussi dans des rôles, ceux de parents qu’ils associent au devoir, aux obligations, à la responsabilité... 





Le principe même de procréation montre la puissance de cette énergie et le fait qu’on ne maitrise pas vraiment les naissances même si les moyens de contraception existent, nous montre qu’une force au-delà de notre volonté agit en coulisses. 
Une énergie capable de créer la vie, d’amener deux êtres à fusionner et à se multiplier est phénoménale mais on la réduit à ce seul aspect alors qu’elle est le principe même du vivant.
Cette énergie a le pouvoir d'activer, d’amplifier la régénération cellulaire si elle est libre de circuler dans tous les corps, les chakras.

J’ai eu une visite surprise, encore un clin d’œil du divin, la démonstration du pouvoir d’attraction puisque je réfléchis de l’intérieur à la sexualité. Je bidouillais et tournais un peu en rond au jardin, à cause de l’énorme quantité de pluie tombée hier qui rend la terre impraticable tellement elle est imbibée, et un ami est apparu.
Je n’ai pas été troublée malgré le fait que nous avons vécu une histoire ‘d’amour’ il y a quelques temps et c’est encore un signe, une preuve que la guérison est là.

Pacifier la relation à soi, avec les aspects de l’être, son enfance, son adolescence, permet de refaire sa vie, de renaitre sur des bases saines. 
Je retrouve ma vraie nature, entière, ma personnalité de l’adolescence, de la jeunesse, ajoutée à l’expérience de cinquante ans sur terre, ajoutée à la passion transmise, portée par l’enfant intérieur. 
Ma vraie personnalité au-delà ou plutôt avec les fruits de la sagesse tirée de l’expérience, du vécu perçu depuis le cœur. Depuis l’espace où tout est juste, tout à un sens, une raison d’être, où les pièces du puzzle se rassemblent et trouvent leur juste place où tout est englobé formant un tout complet, parfait.

Je vais aller m’allonger un  peu puis ensuite essayer de suivre la méditation guidée de Deepak Chopra. Je bloque sur la phrase « je choisis de me diluer dans l’espace infini » ! Alors je ne force pas et me connecte à cette peur afin de la voir, de reconnaitre sa valeur, son potentiel, son message, de voir où elle se situe dans le puzzle…


Que de sensations ! Déjà physiquement, nul doute que des libérations s’effectuent à un niveau profond mais le rêve qui a suivi la séance de focalisation sur le corps physique, la respiration naturelle, non pensé, m’a amené tout un tas d’éléments de compréhension. Enfin là, j’anticipe parce que pour le moment, je ne cherche pas à comprendre, je laisse venir ce rêve qui a duré un certain temps puisque je me suis baladée dans ma jeunesse, mon ancienne vie de « routarde », « zonarde » enfin si on peut dire parce que je n’ai jamais aimer coller d’étiquette spécifique. Je n’ai jamais été en bande sauf au début de l’adolescence et quand je voyageais en stop, sac sur le dos, j’étais accompagnée d’une chienne mais n’allait pas dans les squatts, je parlais avec les gens de la rue mais n’appartenait pas à leur groupe. 
On retrouve dans toutes les communautés, les mêmes schémas de chefs, de disciples, de femme du chef, de favoris, de souffre douleur...avec tous les scénari du comportement humain, les jeux de rôles et les personnages du triangle de Karpman; victime, bourreau, sauveur. 
C’est grâce aux opiacés que je n’ai pas transformé le besoin de communion, d’aller vers l’autre en intégrant une tribu, un clan. L’instinct grégaire est animal, il correspond à la survie et c’est une façon d’interpréter aussi, ce que nous sommes au niveau divin, au travers du regard d’individus qui se croient isolés de la source et des autres, alors que nous sommes Un, au niveau de la conscience pure. 
La libido étant gérée sans taboue, selon le désir puis mise en retrait après la rencontre avec le Christ, l’attrait, la nécessité d’aller vers l’autre pour prendre par des stratégies, des calculs basés sur la séduction, n’était pas si pressante. Mon besoin de plaisir était assouvi par la prise de drogues, les relations de couple sans attache excessive, je ne souffrais pas de dépendance affective. 
Ce qui m’a permis de rester moi-même bien que les produits limitaient mon champ d’action. Finalement, le choix de me forger une carapace de façon consciente et volontaire avec la drogue, n’a pas été si mauvais puisque je ne suis pas entrée dans des histoires où j’aurai joué des rôles impliquant d’autres personnes, « pour de vrai » ; femme de…, mère de…, employée de… , au risque de m’y identifier puisque ce sont des modèles admis et même conseillés, au risque surtout de passer à côté de ma vraie nature, de l’être. 

Il est beaucoup plus difficile de se défaire d’un personnage quand celui-ci est pris dans une structure de groupe. Si dans l’entreprise où on travaille, on porte une étiquette, on va la garder jusqu’à ce qu’on quitte le job. Dans un sens, la famille permet de pouvoir être soi-même, du moins on a du mal à cacher sa vraie nature au bout d'un an de mariage, nos aspects véritables reviennent au galop dans la répétition quotidienne du jeu de la vie. 
Mais comme on accepte pas ces aspects de nous-même qu'on tente de cacher afin de plaire à l'autre, de le séduire, de lui mettre un fil à la patte, la lune de miel devient lune de fiel. Puis les enfants amènent du sang neuf, de l’énergie pure, ils sont vrais et jouent parfaitement le miroir de nos failles, de ce que nous avons besoin de prendre en considération en nous-même mais là encore, on joue la domination, on les "éduque" en brimant tout ce qu'il nous montre de nous même et que nous rejetons. Leur spontanéité est contrôlée, leur authenticité éteinte afin de ne pas risquer de dénoncer nos travers, de dire des vérités dérangeantes...

L’amour qui circule entre les membres d’une famille se rapproche de l’amour inconditionnel puisque les enfants aiment, adorent leurs parents, les considèrent comme des dieux, des références sures. Enfin lorsque ceux-ci amènent le minimum vital, lorsqu’ils prennent soin de leurs enfants et sont constants dans leur façon de les éduquer et surtout présents, attentifs.
Mais il faut souvent des drames pour que chacun ose être vrai, souvent dans de grands épanchements, débordements émotionnels lorsque pèse un lourd secret familial, lorsqu'un décès survient. 
Le mal-être créé par le fait de jouer un personnage finira par faire éclater la cellule familiale qui est censée se diviser en douceur lorsque les enfants font leur vie. 

Là encore on peut voir que la famille peut être une structure d’épanouissement et à l’inverse, un carcan infernal selon que les parents portent des blessures, des secrets qui les enferment dans un des personnages du triangle de Karpman, victime, bourreau, sauveur.

Nourrir, protéger, donner une structure affective, mentale, physique et émotionnelle cohérente, représente à mon sens l’essentiel de la fonction parentale. Ce qui ne nécessite pas d’être très riche ou de se sur-endetter mais d’être vrai, libre et autonome. 





Bref, je reviens à mon rêve qui me montre encore son rôle de régulateur des pensées, croyances, et aussi sa fonction de mise à jour, d’actualisation des données. 
Il peint un tableau de nos croyances actualisées, la superposition du passé et du présent. 
Les rêves peuvent projeter, imager, les mêmes scénari pendant des années. 
L'actualisation se fait lorsque de nouvelles données sont imprimées dans le cerveau, la psyché. 
Et c’est là qu’on peut voir la rencontre entre le passé et le présent, ce qui donne en apparence un film plutôt incohérent pour le mental mais on arrive à en tirer un sens très intime et personnel, une vue de notre état d’esprit du moment. 
On y voit aussi ce que nous avons besoin de relâcher pour que le film évolue. Les peurs, la culpabilité, la honte, les pensées émotions relatives aux blessures de l’enfance.

Les rêves sont des outils de connaissance de soi, de son inconscient, de ses fantasmes et désirs inassouvis, une façon de traduire les blocages énergétiques. Et nous pouvons agir en conscience, effectuer les même sondages de notre inconscient en étant dans l'accueil de nos pensées émotions perturbatrices. C'est l'énergie coincée qui suscite ses pensées émotions et lorsqu'on les laisse s'exprimer, la circulation énergétique redevient fluide en soi.
Si je comprends bien le chamanisme, il semble qu’il mène aussi aux profondeurs de l’être, aux archétypes afin de les transcender, d’en voir le potentiel et de se libérer des rôles. J’ai acheté un livre qui parle de ces fameux archétypes mais pour le moment, je suis sur celui de Marie Lise Labonté, « Maitre de sa vie, maitre de ses chakras ». 
Je lis sans trop y réfléchir mais je sens que ça travaille intérieurement et que la nuit, des enseignements sont donnés, des recherches et des mises à jour sont effectués.

La pensée du jour de Neale Donald Walsch
En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que tout n’a pas besoin de prendre exactement la tournure que
vous aviez prévue pour que vous puissiez appeler cela un succès.
De temps en temps, tout ce que Dieu souhaite que vous fassiez
c’est de vous jeter à l’eau. Ensuite, Elle prendra le relais. Donc
quand les choses ne tournent pas comme vous le souhaitez,
attendez un peu avant de dire « Oh dommage ! ».
En fait, c’est souvent une Bénédiction déguisée.
Envisagez la possibilité que la vie soit magique …
et qu’il y a un lapin dans le chapeau.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale

C’est ce que je me dis en ce moment, j’essaie de planifier, de trouver un rythme à mes journées mais la plupart du temps, je suis obligée de l’adapter au temps qui change en l’espace de quelques heures. D’un certain côté, j’évite de tomber dans la routine et ça me permet d’apprendre à m’adapter au changement. Maintenant que le quotidien est vécu en conscience et dans l'amour vrai de soi, il n'est plus un poids et la vie se charge de le rendre encore plus agréable par ces surprises, ces changements...

Je ne sais pas si c’est la conséquence de la révolution intérieure, du rêve que je n’ai pas noté mais qui reviendra à ma mémoire si besoin, mais je suis fatiguée, j’ai envie de dormir. Je n’ai même pas le courage de publier ce que j’ai écrit tout au long de la journée. Le sevrage doit y être pour quelque chose.
Je n’ai même pas envie d’aller au jardin ni de faire une ballade. 
J'ai dormi de 19h à minuit! Il est maintenant 2h du mat', je retourne finir ma nuit!


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci