Je
jubile ce matin, c’est l’extase ! Le processus ‘d’ouverture du
cœur-conscience se poursuit dans la Grâce de l’acceptation totale de tout ce
que je suis et de tout ce qui est.
Je pense avoir capté le déroulement de ce
phénomène extraordinaire ; ça commence par un désir, une intention qui
vient de la reconnaissance de l’unité intérieure, de l’harmonie constante entre
tous les corps.
C’est une réalité toute simple et tout à fait logique puisque
nous sommes dotés d’un cœur et d’une conscience, celle qui est UNE et Tout à la
fois.
La seule chose qui nous empêche de le reconnaitre, c’est le manque
d’amour qui nait et se nourrit de la peur.
Qu’on en soit conscient ou non, le
cœur harmonise tous les corps et c’est grâce à cette fonction naturelle que
nous sommes en vie dans ce corps de chair, magnifique véhicule généreusement
offert par la Terre Mère, le temps de cette expérience du vivant et de la
reconnaissance de soi, de son essence divine d’amour lumière.
La
lecture et publication du message de Miriadan ; « les chakras du corps humain »
a éveillé la mémoire de ce que je savais intuitivement mais dont je ne trouvais
pas l’expression de façon si structurée, claire et essentielle.
La page que
j’avais mise à ce sujet ne satisfaisait pas mon être tout entier mais faute de
mieux, j’ai tout de même publié l’article afin de poser les bases de ma foi en
l’humain divin. Je vais donc la réactualiser pour être en accord avec moi-même
et avec ce que je sens, vis…
Lorsque
le désir est émis, rayonné, par la loi d’attraction et de ressemblance, tout ce
qui a besoin d’être vu, reconnu et embrassé en soi, va être mis en évidence au
travers du jeu de miroir.
Chaque fois qu’une réaction se manifeste dans les
relations avec l’extérieur, les autres, les objets, les évènements, le temps, la
vue des épandages chimiques aériens…ça indique que je ne suis pas dans l’amour
mais que j’active le programme instinctif, inconscient interne.
Que je perçois
les choses depuis la peur et pas depuis le cœur.
J’ai deux possibilités à ce
moment là ; soit je nourris la peur, continue de réagir, de surenchérir,
de me révolter, de crier au scandale, d’accuser l’autre, le monde, le divin, la
terre, le ciel, les esprits ‘maléfiques’, mon propre ego, mon corps émotionnel,
mes ombres, ce que je juge être mes défauts, mes carences, mes faiblesses, les
personnages internes, le saboteur, le critique…
Soit, je m’abandonne à l’Amour.
C’est aussi simple que cela !
C’est
clair que ma vision n’a pas toujours été celle-ci mais l’expérience a amené la
compréhension, la confiance et maintenant, je n’ai plus aucun doute quand à
l’efficacité du pouvoir, de la puissance de l’amour inconditionnel.
La
guérison-libération s’effectue dans ce renoncement à la lutte et tous mes corps
y participent ; c’est une co-création délibérée qui amplifie le pouvoir
d’aimer, l’amour lumière en soi, qui va œuvrer par la grâce ce qui veut dire
que je n’ai rien d’autre à ‘faire’ que de dire OUI à l’Amour.
Concrètement,
toute pensée de jugement, de critique, d’accusation, de rejet, est offerte à la
source. Ceci libère le mental et permet aux émotions de se manifester
librement, de s’extérioriser le temps de leur expression.
La colère dite se
laisse absorber gracieusement par l’amour et se transforme.
Ceci peut se
manifester par une idée nouvelle; une envie; le courage d’être soi; le désir de
passer à l’action; la confiance en soi, en ses élans quels qu’ils soient puisque
ceux-ci nous invitent à accueillir ce qui se manifestera, se révèlera en
positif ou en négatif, et donc ça élargir notre cœur, amplifiera l’amour à
l’intérieur, et on pourra agir depuis cet espace de paix, en toute confiance et
détachement quant au résultat de l’action posée.
Quand
la confiance en l’Amour, en sa puissance, son pouvoir de guérison, de
libération et de réalisation, est validée par le mental, l’ego, tout devient
beaucoup plus simple parce qu’il y a moins de résistance.
Et en plus, cette
résistance si elle demeure, elle permet de s’alléger, de libérer une croyance erronée, une émotion
coincée, de retrouver la, fluidité, le flux d’amour lumière qui peut alors circuler,
inonder, toutes nos cellules et activer la régénération cellulaire.
Le taux
vibratoire, la fréquence s’élève dans l’amour divin et la communion avec l’âme
est reconnue tout autant que celle avec tous les corps subtils, énergétiques.
L’idée
que nos chakras soient des portes d’accès aux mondes invisibles et tout à fait
logique puisque ce qui est, existe par notre conscience, notre perception et
comme chacun des chakras offre une perspective spécifique, particulière, on
entre alors dans des sphères immatérielles qui rejoignent ou sont reliés aux
mondes correspondants.
Savoir s’il s’agit d’autres civilisations, d’autres
formes de vies dans l’univers n’est pas encore ma quête bien que l’enfant en
moi soit curieux et pousse en ce sens. J'ai ma petite idée qui se résume de cette façon; l’inconscient et la conscience collectives projettent des énergies d'amour ou de peur et forment des mondes parallèles. Puis d'autres vies existent dans l'univers, le nier serait bien prétentieux mais c'est encore loin de ma conscience et je ne veux pas me fier à tout ce qui est dit. Je reconnais depuis le cœur une résonance particulière avec des êtres d'ailleurs et ça me suffit.
Pour le moment, non seulement je suis
l’élan du moment, ne force rien, mais je laisse d’autres qui ont expérimenté la
communication avec l’invisible, exprimer ce qui résonnent en moi.
J’élargis peu
à peu mon centre cœur par les échanges que je ne provoque pas puisqu’il me suffit
de suivre le désir du moment pour être en relation synchronique avec ceux que
mon âme à choisi pour me révéler à moi-même.
Je lui fais confiance, elle sait
qui saura toucher le point sensible qui révèlera une ombre ou une lumière à
embrasser à réintégrer. Ceci crée une expansion de cœur et de conscience qui complète, agrandit mon être et me permet d’aller vers l’autre en confiance.
Chaque aspect
intérieur réintégré me fait grandir littéralement, me
permet de réaliser l’unité, d’en prendre conscience et en même temps d’accéder
à la conscience Une, par l’unité intérieure et extérieure reconnues.
C’est en
me voyant dans le comportement de l’autre que je prends conscience que je suis
entière, comblée et comme cet autre me fait grandir par cet réintégration d’un
point commun, d’un état d’être que nous partageons dans l’instant, comme il me
révèle à moi-même en étant lui-même, nous entrons dans une relation de
confiance, de reconnaissance mutuelle.
Puisque mon comportement influe aussi
sur celui de l’autre, le fait que j’embrasse ce qu’il m’a révélé, en étant
consciente du don qu’il me fait au niveau de l’âme, qu’il le sache ou non
importe peu. Ce qui va changer les choses, c’est l’énergie harmonisée et le
regard neuf que je porte qui agiront sur lui. Il pourra alors se reconnaitre en
cette unité que j’émane et à son tour l’exprimer.
Et
je viens d’en faire l’expérience directe. Je devais recevoir la visite hier après midi, du
voisin qui m’a amené le meuble dans la matinée. J’ai attendu en vain mais c’est
une très bonne chose parce que j’ai pu accueillir toutes le pensées émotions
relatives à l’attente et ainsi alléger mes corps subtils d’un poids.
J’ai su
par mon corps physique et ses messages, que quelque chose ne passait pas parce
que je n’ai pas pu aller aux toilettes.
Dès le matin, je savais qu’il me
faudrait lâcher prise et supposé que la culpabilité, la peur, se pointeraient. L’attente
créé de la pression que l’autre va ressentir télépathiquement, énergétiquement
ce qui fait qu’il agira en conséquences.
Il est venu tout à l’heure et je l’ai
reçue sans stress, sans chercher à m’y préparer, à agir en fonction de cela. Se
préparer (s'habiller d'une façon particulière, se 'pomponner', ranger l'appartement en deux deux quitte à mettre tout ce qui traine en vrac dans des armoires...) selon nos blessures, à partir de la peur et du manque, créé des
situations douloureuses, conflictuelles, ça amplifie le stress, nourrit les
jeux de rôle.
On agira alors sur la défensive, par instinct de survie, en
adoptant un masque sensé nous protéger mais lorsqu’on n’est pas soi-même,
l’autre le ressens et va à son tour jouer un jeu.
Cet homme était autrefois un
séducteur, un papillon cherchant l’approbation, l’amour, la reconnaissance, par
son pouvoir de séduction, en accumulant les conquêtes extraconjugales. L’âge,
la prostate et sa nouvelle compagne ont transformé ce besoin qui maintenant
s’exprime dans le service à l’autre et s’affine au fur et à mesure,
s’équilibre.
Je n’ai jamais marché à son jeu et lui ai de suite dit ce que je
pensais de la séduction, des faux semblants, l’invitant par mon comportement à
être de plus en plus authentique.
Nous avons eu de longues conversations au
jardin, de cœur à cœur, en toute sincérité et ainsi chacun de notre côté, nous
avons lâché les rôles.
Parce qu’il est maintenant évident que son comportement
reflétait aussi le mien.
Bien que je me défendais et surtout parce que je niais
être dans la séduction, je jouais aussi à ce jeu.
Et même si ma façon de faire
était peu conventionnelle ça restait du jeu, au travers de la victime, je me positionnais
dans un rôle en racontant le trauma de mon enfance ou en jouant la rebelle. C’est sûr que l’étape de
reconnaissance et d’expression de son vécu est essentielle mais il faut pouvoir
passer à la suivante sinon, on demeure dans le mal-être. Ou le faux être.
Donc,
il a frappé à la porte à 9h pile après m’avoir prévenu de sa visite du haut de
son balcon tandis que je sortais la chienne et prenait des photos en robe de
chambre, avec mon pantalon 'sac à patates' couleur marron que j’ai porté tout
l’hiver sans me soucier du qu’en dira-t-on, histoire de guérir la peur de la critique et d’oser
être.
Il n’y a pas de secret pour libérer une fausse croyance, guérir une blessure,
il nous faudra vivre ce que nous redoutons, sans culpabilité. Ce qui nous effraie et exactement ce que nous critiquons chez l'autre.
Savoir que nous
venons ici pour se reconnaitre au travers de la dualité, du jeu de miroir, de
cache cache et de reconnaissance permet de redéfinir la relation à soi et aux
autres.
Et dans cette réintégration de aspects intérieurs autrefois rejetés, on
apprend en plus deux choses, non seulement l’autre est un autre soi mais en
plus on découvre que nous sommes tout, que nous pouvons tout exprimer, vivre,
faire et être.
La jalousie est absorbée dans cette reconnaissance et en même
temps, on comprend que nous avons choisi d’expérimenter quelque chose de
spécifique, de nous spécialiser dans certains domaines, ceux qui nous
passionnent, nous animent, nous motivent et suscitent le plus de plaisir en nous.
Comme nous sommes libre de tout explorer, il n’y a plus de raison d’envier qui
que ce soit et on peut alors reconnaitre aussi les talents de l’autre puisque
cet autre est aussi nous.
On saura déléguer, reconnaitre les qualités de l’autre
et le laisser jouer le jeu qu’il veut puis profiter de ses talents pour nous
enrichir.
Déjà, le fait que l’autre me reflète un aspect de moi ignoré, élargit
grandement mon potentiel.
Dans ce jeu de miroir, je vais découvrir mon entièreté,
ma complétude, tous les talents, capacités, potentiels à ma disposition.
La
libération des pensées relatives à l’attente hier, m’a permis de lâcher la
pression et en même temps d’aborder le thème de l’impermanence des choses.
C’est quelque chose de parfait dans ce plan puisque ça nous permet d‘évoluer,
de goûter, d’expérimenter mille et une choses et par la même occasion
d’amplifier la confiance en notre essence éternelle.
Dans ce monde de dualité,
chaque chose est double et lorsqu’on l’accueille elle nous révèle son aspect
positif puis son aspect négatif et par le retour au cœur, la paix, la force
tranquille, la puissance infinie de l’amour, on sait que tout est en même temps
éphémère et éternel.
J’ai
une belle glace qui élargit mon espace extérieur et intérieur. Cet achat
grandement symbolique, marque le désir d’aimer inconditionnellement tout ce que
je suis.
Tout se fait avec fluidité et je peux aussi voir que chaque soi-disant
erreur est une opportunité.
La batterie de la visseuse était à plat et il a dû
aller la recharger. Comme il habite à côté et que je sentais l’envie d’aller
aux toilettes monter, j’ai un peu stressé mais j’ai eu le ‘courage’ de lui dire
en toute simplicité et discrétion qu’il pouvait prendre son temps parce que je
devais aller sur le trône.
Je savais qu’il ne serait pas choqué puisque je suis
cash et comme cet acte est important pour moi, comme j’en ai capté toute la
profondeur, enfin l‘importance et aussi le fait que ce soit une indication de
mon état émotionnel et mental, je n’ai plus honte de cela et peux en parler
librement.
C’est un acte créatif, une forme de reconnaissance et d’acceptation
des lois terrestres de l’incarnation puis c’est aussi l’expression de ce que
fait la terre mère pour soutenir ce corps qu’elle nous offre généreusement en
nous laissant expérimenter en toute liberté comme le dit si justement le groupe
Miriadan.
L’amour maternel est très représentatif de celui que porte la Terre,
la source Père Mère pour toute la création, pour ses enfants à qui elle offre
toute liberté. Je sais que la psychanalyse développe longuement ce processus de
restitution à la terre de nos déchets et en cela, on peut faire confiance au
pouvoir de recyclage de la planète.
Cette capacité de transformer toute chose,
d’extraire la substance nourricière des excréments qu’on peut constater en
utilisant du fumier dans un jardin ressemble beaucoup au pouvoir de
transmutation des énergies et confirme l’idée que la planète n’a pas besoin
d’être sauvée, qu’elle est parfaitement intelligente, qu’elle sait ce qu’elle
fait, qu’elle est autonome, enfin en harmonie avec la galaxie depuis très longtemps.
Ceci est encore vérifiable
dans l’observation de la nature, des éléments ; l’harmonie est permanente
quoi qu’on en pense. Ce terrain de jeu, cette conscience planétaire nous donne
Tout, toute la matière, les éléments, les énergies, le cadre, la structure dont
nous avons besoin pour expérimenter, apprendre, comprendre les lois divines de
la nature, celles qui régissent toute vie de la plus petite cellule, jusqu’aux univers.
La
lecture du message à propos des chakras m’a permis d’intégrer le fait que ce
soit le corps mental qui gère les émotions. J’ai toujours associé cela au
chakra sacré mais en fait, ça n’est pas faux non plus puisque l’énergie de
l’émotion participe à la création.
Toutefois, selon cette nouvelle
compréhension, ça me confirme que les brûlures à l’estomac sont "normales", dans le sens où c’est le feu purificateur qui créé cette sensation et
ça l’aide à lâcher prise à ce niveau là. A libérer la culpabilité et le
jugement que je porte encore sur mon addiction aux cachets. J’avoue qu’il
m’arrive encore de douter de la pertinence de l’acceptation dans ce domaine
mais je persiste à placer ma foi en la puissance de l’amour inconditionnel
envers et contre tout. C’est loin d’être la logique du monde, celle du mental
mais la foi l’emporte.
Après tout, je n’ai rien à perdre mais tout à gagner
puisque la façon de faire selon les croyances anciennes, la logique rationnelle
n’est d’aucun secours et en plus elle divise intérieurement.
Or l’essence
divine est unité, amour total, infini. Le seul fait de l’écrire me confirme que
c’est déraisonnable (essayer de se libérer par le contrôle) à juste titre et c’est toute la magie, la joie, la liberté
qu’offrent l’amour.
Je suis retournée sur le site « autres
dimensions » que je connais depuis quelques années mais que j’avais cessé
de suivre lorsque j’ai eu une expérience d’unité qui m’a plus affolée qu’autre
chose. (Enfin je n'ai fait que marquer la page).
Je devais d’abord retrouver le désir, l’enthousiasme à exister, à être
un individu et à m’affirmer en tant que tel avant de pouvoir me fondre dans
l’un.
Ramener la conscience dans le chakra racine, m’ancrer en profondeur, me
réconcilier avec la chair que j’avais fuit et détestée toute ma vie, retrouver
le pouvoir de l’amour en moi et lui permettre de circuler librement, avant de
m’élever.
Je devrais dire "m’élever depuis mon être incarné", en toute
conscience, en connaissance de cause, par choix délibéré. C’est exactement le
propos de cette incarnation.
Bon, je dois encore aller en courses ! J’ai
su que des jours fériés arrivaient par la pharmacienne hier et je vais pouvoir
anticiper. C’est vrai que depuis quelque temps, je suis en dehors du monde
enfin je ne suis plus l’horloge, la date de ce monde mais la mienne, mon
horloge interne qui peine à trouver la stabilité, la régularité.
Mais c’est parfait
puisque je suis tout de même connectée aux autres, à la réalité, celle que je
choisis de vivre.
Waouh ! ça fait un drôle d’effet d’avoir une grande
glace dans le dos ! J’ai encore beaucoup de mal avec mon image ! Je
vois la tête de mon père et je ne me reconnais pas sous l’angle des appareils
photos qui ont l’art de figer la personne.
Il y a encore de l’amour à déverser,
à rayonner sur tout ceci.
Bon, une douche rapide et hop ! Je passe une
demie heure sous la douche maintenant, depuis que je me réconcilie avec mes
émotions, avec l’eau, le féminin en moi, la terre mère…C’est beaucoup mais
c’est tellement plaisant et nouveau que ça n’est pas un problème. D’ailleurs
plus grand-chose n’est perçu comme tel.
Je
viens de m’offrir une séance de rêve éveillé, précédé de visions de couleurs en
mouvement encore dans des tons inédits mais plutôt foncés. Le spectacle est
toujours magnifique et le rêve en fait, c’est une succession d’images très
nettes, de personnes cette fois-ci, que je ne connais pas, que ma conscience n’a
jamais croisé ni même vu nulle part et pourtant, il y a une sensation de
familiarité. Je me souviens juste d’un couple maquillé, déguisé ou peut être
tatoué, assis sur un canapé ! Il n’y a aucun lien entre ces personnages
qui semblent contemporains. Je ne cherche pas à comprendre sur le moment, je
laisse défiler ses images.
Je suis allée en courses enfin j’ai fait une partie
seulement de ce que j’avais prévu parce qu’évidemment, j’étais prête à partir à
11h50…
Là encore, je ne me fais plus de souci, si je veux lâcher la pression que
je continue de me coller parce que je suis à cheval entre suivre l’élan et
planifier, il me faut adapter les choses. Puis cesser de vouloir en faire des
tonnes en 24h.
En fait, je vis deux journées en une lorsque je coupe mes journées
d’une méditation-relaxation-sieste. Mon second réveil et la partie qui suit,
les cachets ne faisant plus effet, je suis moi-même et en général, je cafouille
beaucoup moins avec le temps puisque je suis plus dans le moment présent, plus présente à ce que je suis et fait.
Je me pose beaucoup moins de question et suis
plus efficace en termes de rentabilité.
Je vais profiter du soleil qui est resplendissant malgré le passage des avions ce matin et la masse nuageuse qui
s’était accumulée au fil des heures.
C’est le moment idéal pour repiquer les
tomates au jardin et cueillir les fraises qui viennent maintenant en quantité alors je
distribue aux voisins.
Je me suis fait plaisait hier en donnant les premières à
une femme qui les adore et qui recommence à me dire bonjour lorsqu’arrive la
saison. Avant, j’étais un peu vexée mais cette année, je me dis qu’elle est
comme une gamine excitée et c’est un des aspects que j’aime chez elle, puis l’effet
miroir…
Pour
semer et planter au jardin, si le temps se maintient comme ça, c’est idéal mais
il va falloir arroser. Là aussi, tout se met en place naturellement sans que j’ai
à me faire du souci ni même à y penser. Le voisin a dit qu’il vérifierait le
système d’arrosage avant de partir pour trois semaines puisque je dois
superviser le travail de son frère qui va s’occuper de son jardin. Comme il est
un peu déficient mental, il a tendance à être barré et à faire les choses de
travers. Selon ce que je pense, il est tout simplement resté un enfant au
niveau émotionnel et mental et à vrai dire, on se ressemble pas mal !
La
seule différence, c’est que je suis consciente de ce que je suis et peux m’observer,
ne pas me prendre au jeu.
Cette situation parle d’elle-même : le mandat
qui m’est attribué ressemble fort à ce que je vis à l’intérieur ! Voyons
si je peux avoir plus de compassion avec moi-même au travers de cette mission.
Il est clair que je ne pourrais pas lui dire s’il fait quelque chose de
travers, de la même façon que je peux le faire vis-à-vis de moi-même, de mes "faiblesses", c’est
à dire en critiquant ou en gueulant !
Je suis contente parce que le voisin m’a prêté sa perceuse
à béton pour trois semaines et une visseuse électrique, je vais pouvoir faire
des trous aux murs et mieux organiser mon espace restreint ; il y a de plus en plus
d’objets et c’est exactement l’inverse que je m’étais, proposé de faire…
Pour
finir, le message du jour de Neale Donald Walsche qui s’adresse tout
autant à vous qu’à moi. Même si je me garde de cogiter à ce propos, il est bon
d’entendre cela et de le laisser infuser. Comme rien n’arrive par hasard :
En
ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
qu’il n’y a aucune garantie dans la vie .. excepté que tout arrive
pour la meilleure des raisons divines.
qu’il n’y a aucune garantie dans la vie .. excepté que tout arrive
pour la meilleure des raisons divines.
Si
vous avez besoin de savoir à l’avance que tout va « marcher »
avant de vous lancer, vous ne vous lancerez jamais dans rien.
avant de vous lancer, vous ne vous lancerez jamais dans rien.
Et
pourtant « se lancer » est la plus chose la plus excitante
dans la vie, la plus grande des aventures. Ne vous mentez pas
à vous-même. Allez-y c’est tout. Ayez confiance que la vie va
vous apporter de belles choses quoi qu’il arrive.
dans la vie, la plus grande des aventures. Ne vous mentez pas
à vous-même. Allez-y c’est tout. Ayez confiance que la vie va
vous apporter de belles choses quoi qu’il arrive.
Avec
tout mon amour, votre ami …
Neale
Neale
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci