vendredi 13 mars 2015

« Projections ou visions ; un peu des deux… »





La vie devient de plus en plus passionnante ! Je ne redescends plus de cet état d’unité intérieure, d’amour immense et de reconnaissance pour TOUT ce que je suis et petit à petit, pour tout ce qui est. 
J’ai dû "télécharger" des infos cette nuit parce que ce matin, j’ai une vision plus claire de l’humain divin, de son mode de fonctionnement et ce que j’ai reçu, c’est exactement les réponses aux questions qui me trottent dans la tête ces derniers jours.mais il a fallu faire de la place, libérer l'inconscient au travers des rêves, enfin reconnaitre que lui non plus n'est pas un ennemi mais un allié, une mémoire riche d'enseignements par le biais des rêves, projection des croyances...
Je suis tombée sur un article hier, qui parle du monde féerique, des êtres de la nature. 
Puis comme je me demande où est la part de vérité à propos des êtres de lumière, des anges, des guides, de l'astral…ça infuse en dedans et comme je ne suis pas complètement aveuglée par les pensées premières qui émanent de mes impressions à la lecture de ces messages et que mon amour pour l’humain est réel, tout comme la certitude que chacun est doté d’un cœur, d’une conscience et porte en lui l’immense envie d’aimer puisque notre nature essentielle, c’est l’amour et la lumière ; l’énergie de Vie et la conscience, et encore comme j’ai confiance en tout ce que je suis, je laisse venir. 
Enfin je me place en mode réceptif, le cœur et l’esprit ouvert.


Mes premières impressions, sachant que pour moi, il ne fait aucun doute que tout le monde recherche l’amour, a besoin de cette énergie vitale, la porte en lui et en même temps la bloque par le fait de ne pas s’aimer en totalité, de ne pas s’accepter entièrement et de craindre de sonder ses profondeurs, son inconscient, je me dis que derrière ces projections, c’est un appel désespéré qui émane de ces messages, une vision distorsionnée de l’amour, une projection de fantasmes. 
Bien qu’il y ait aussi des vérités dans ces messages, il y a surtout un appel au secours de l’enfant intérieur, de la conscience qui projette des images afin de rendre la vie sur cette terre, beaucoup plus supportable.
Je sais de quoi je parle puisque j’ai passé plus de 30 ans à fuir cette réalité, celle que le monde tente de nous imposer, de nous faire gober. 
Mais comme rien n’est inutile, comme nous sommes toujours inspirés, c’est aussi au travers de ce vécu que j’ai pu voir l’illusion, l’illusion du monde, du besoin d’avoir des croyances, distinguer la réalité derrière l’image, les apparences, accéder à d’autres états de conscience, une autre réalité et reconnaitre le besoin d’amour en moi-même, en chacun puis trouver ce même amour à l’intérieur. 
Évidemment je ne faisais pas trop l’amalgame entre le bien-être physique procuré par les drogues et l’amour vrai mais je savais que les deux étaient intimement reliés. 

Je ne suis pas en train de faire l’apologie de la drogue non plus mais je voudrais juste équilibrer les choses. Il est clair que ces produits nous éloignent de parts essentielles de nous-même et là, je ne parle pas de la conscience puisque celle-ci est Toujours là, si on peut dire, puis certaines drogues élargissent la vision mais comme l’intention qui porte dans ces moments là, est plutôt inconsciemment, celle de vouloir mourir, ou consciemment de s'échapper de ce monde, on accède à des plans qu’on pourrait qualifier de « bas astral » mais qui sont selon ce que ressens et pense, des égrégores de pensés morbides, de déni de soi, de sado-masochisme…

En retrouvant l'amour pour le corps physique, l'incarnation, je suis tombée sur les infos qu'il me fallait pour aller plus loin dans l'amour et la libération. C'est en lisant le livre du Dr Bruce Lipton, enfin pour le moment les articles ; résumés de ses découvertes, que j’aie publiés ici, tout devient beaucoup plus clair. 

Déjà, la notion d’ennemi intérieur est complètement balayée et c’est ce qui a restauré l’amour en moi, l’amour vrai de soi, la libre circulation de cette énergie dont les « pouvoirs » sont indubitables. Les miracles et guérisons spontanées, la révolution intérieure que je vis et la façon dont ça change ma vie, mon monde, mes perceptions mais aussi le fait d’être amoureux et l’état dans lequel on est, au début d’une histoire, en sont des preuves irréfutables.

Partant du principe que nous créons notre vie, que celle-ci se forme selon nos pensés conscientes et inconscientes la plupart du temps,( en tout cas, tant qu’on n’ose pas se regarder en face, en profondeur) et que nous avons la faculté de projeter nos pensées, de rayonner nos énergies vers l’extérieur. Et comme les pensées émotions sont des énergies, énergies qui se manifestent dans la forme, comme le monde se modèle selon notre fréquence vibratoire, puis comme nous sommes habités par une conscience et un cœur et que ceux-ci sont intimement liés puisque nous sommes un tout cohérent, nos visions, sont des projections de la pensée. 
Bon je schématise mais comme mon objectif en partageant mon expérience, c’est de trouver les bases, les clefs de compréhension et de les transmettre afin que vous puissiez devenir l’humain divin (que vous êtes certainement mais dont vous n’avez pas conscience parce que la peur, le déni de soi, voilent encore votre vision), libre, autonome, souverain. 
Puisque je témoigne de mon parcours, de cette découverte de soi qui permet de s’affranchir de tout et évidemment de l’illusion ; de toute forme d’illusion. 

Mais ça ne se fait pas en un jour et heureusement parce que nous serions anéantis par nos propres énergies hautement toxiques, comme la culpabilité, la honte, le rejet…toutes ces énergies qui forment nos blessures d’âme et nous prive de reconnaitre l’amour et la lumière que nous sommes en vérité.
Mon amour pour l’humain est incontestable et c’est pour cette raison que je ne cache rien de ce parcours, selon ce que je pense, l'amour s'exprime par la sincérité et non par la flatterie, la démagogie. 
D’autant plus que tous les blocages, les lenteurs, les obstacles ont aussi leur raison d’être. Déjà parce que si la lumière venait d’un coup, nous serions consumés de l’intérieur tant nos basses vibrations créeraient un genre de court circuit en plus du choc psychologique à cause des basses vibrations précitées et de leurs effets. 

Alors la conscience nous enseigne à petites doses, « fabrique des images », projette ce que nous sommes en totalité pour que nous puissions apprendre à nous aimer et ainsi trouver qui nous sommes en vérité. C'est-à-dire tant au niveau de la personnalité que du « divin ».
Puis comme nous ne sommes pas séparés, intérieurement ni avec les autres, nous avons accès à des connaissances à propos de qui nous sommes en vérité, par l’effet miroir, les synchronicités, les mises en scène que nous créons, par défaut pour notre personnalité humaine mais à dessein par la conscience « divine » qui nous anime. 

Il y aussi ce phénomène énergétique des formes pensées qui constituent des égrégores, des croyances émanant de notre inconscient, de nos blessures et fantasmes, additionnés et donc renforcés au point de créer des « entités » énergétiques. 
Mais celles-ci ne sont ni « fausses », ni « vraies », elles sont des énergies qui correspondent à nos croyances collectives. 
Je sais ce que sont les hallucinations, le fait de se créer des images selon notre état d’esprit et sans aller jusque là, la simple observation de la concordance entre notre état d’être et notre perception des choses est une évidence.

Le monde dit de l’astral, est un moyen de nous amener en douceur énergétiquement et psychologiquement, vers la connaissance de qui nous sommes en vérité. Puis comme le cœur nous ouvre sur l'astral par l'amour, par son expansion qui nous reliera aux autres d'une autre façon, plus juste, équitable, si nous restons dans cet espace sans cultiver le discernement, notre sensibilité augmentant, nous serons assaillis par les énergies des égrégores constitués par l'amour conditionné et seront la proie de toutes formes de manipulations...mais ça n'est pas encore le propos.
Puisque la personnalité fonctionne par identification, la conscience et ce que nous sommes au niveau énergétique, vibratoire et aussi inconscient parce que tout en nous est relié par nature (et le cœur se charge de trouver la cohérence, l’harmonie, l’équilibre), la projection mentale, de la pensée et de l’énergie nous permet de trouver un soutien en la personne des anges, de ces entités qu’on appelle lumineuses et aussi par contraste puisque nous vivons dans une dimension régit par la les contraires, le contraste, les entités dits maléfiques. Entités formée par nos croyances elles -mêmes reliées à l'inconscient collectif qui porte depuis des siècles ces icônes.
Mais les unes comme les autres n’ont pas le pouvoir ni de nous « sauver », ni de nous « tuer ». Comme nos croyances ont un pouvoir de manifestation, plus on va s’attacher à ces visions et plus on se perdra dans le monde de la pensée, de l’imaginaire et de l’inconscience.  Je ne sais pas si je suis bien claire mais comme cette vision des choses est relativement nouvelle, enfin comme ça se mets en place peu à peu, ça n’est pas encore complètement ancré en moi.   

Le monde de l’astral est donc un support pour l’humain tout autant qu’il peut devenir un enfer, un cauchemar. Je suis certaine que ceux qui prétendent voir des entités, ne font que projeter leurs propres croyances inconscientes. Même Jésus Chris, dont j’aime beaucoup les enseignements, est un "hologramme", une image fabriquée par la conscience de tous ceux qui le voient comme un sauveur. 
Je ne dis pas non plus que ces projections sont négatives puisque c’est notre propre conscience (et notre inconscient individuel et collectif puisque nous sommes interreliés) qui les fabrique, afin de nous guider. 
Un plan éthérique, énergétique, intermédiaire, constitué "d'images" entre la personnalité humaine qui s’identifie à ce qu’elle aime ou à ce qu’elle porte en elle de plus profond, énergétiquement et inconsciemment, et la conscience pure.

Les elfes, lutins…sont des projections, tant de notre difficulté à accepter le monde tel qu’il est, avec ces horreurs et ces injustices, que de notre difficulté à accepter ce que nous sommes physiquement, à rejeter la chair, ce que nous supposons inférieur. Puis le désamour général pour la nature, les éléments, le besoin de contrôle, toutes ces énergies de basses vibrations qui nous font croire que la vie est hostile tout comme la nature...  

Mais quand on commence à s’aimer vraiment, on libère l’énergie d’amour en nous qui va nous aider à nous aimer toujours plus afin que nous puissions reconnaitre l’être multidimensionnel que nous sommes. Afin que nous réalisions que nous sommes parfaitement conçus, tant au niveau anatomique, qu’énergétique, psychologique, mental, émotionnel et même inconscient. 
Les voiles dont parlent les messages spirituels, sont à mon avis constitués par notre mental qui a besoin d’identification et de se projeter dans l'espace/temps, notre émotionnel perturbé par nos blessures et notre inconscient qui enregistre tout ce que nous rejetons, vivons dans la souffrance, le rejet et le déni. 
Quand on libère nos croyances basées sur la peur, la séparation, quand on laisse l’amour circuler librement en soi, on comprend qu’aucun d’eux n’est pas un ennemi, que c’est juste notre perception faussée des choses qui nous le laisse croire.

Tant qu’on lutte contre un des aspects de soi qui est à l’origine un outil parfait de perception, on ne peut en voir cet aspect, notre vision est troublée, faute d’amour et de conscience. Mais quand on aime et reconnait le mental, le corps émotionnel, l’inconscient pour ce qu’ils sont en vérité, des révélateur de tout ce que nous sommes; on peut alors reconnaitre le miracle de la vie, de l'être multidimensionnel.

L’étape intermédiaire qui permet de s’aimer, de lâcher la notion d’ennemi et de séparation, c’est d’utiliser notre faculté de projeter, de personnifier, le porte parole de nos blessures, de nos émotions en l’image d’un enfant. Parce que c’est l’aspect en nous capable d’authenticité, de spontanéité et qui plus est au niveau énergétique, il porte les fréquences de légèreté, de tendresse, de capacité à s’émerveiller, de courage et d’audace d’insouciance et d’innocence. 
Mais là encore, ça n’est qu’une image, une personnification qui permet tout autant de prendre du recul vis à vis des pensées/émotions lourdes que d'ouvrir le dialogue intérieur. Le dialogue est un moyen de pacification, d'entente...

L’identification a ses limites, celles de s’attacher à cette image porteuse d’énergies. Tout comme lorsqu’on s’identifie à la personnalité seule ou à nos pensées/émotions. 
Là encore, le remède, c’est l’amour sans conditions qui permet d’éclairer la vision.

Tant qu’on s’identifie à un seul aspect de l’être, on crée une scission, une division qui bloque la libre circulation de l’énergie d’amour, de vie en nous et fausse notre vision. 

L’identification au corps physique seulement nous fera développer l’aspect matériel de la vie oubliant l’aspect énergétique, l’âme ou la conscience. De même notre âme est une extension de la conscience qui créé un pont entre la conscience pure et la personnalité. S’attacher à l’âme, c’est demeurer dans le monde de l’astral, de la projection. Nourrir l’illusion, la fuite et le déni de soi.  
Envisager l'incarnation comme une occasion d’expérimenter la vie au travers de nos sens, nos corps physique Et subtile, considérant que chacun d’eux est un outil de perception, de projection, de manifestation, puis considérer le divin et les projections de l’astral comme des outils de reconnaissance de soi au même titre que notre inconscient, nos corps subtil. Considérer ce monde comme un lieu de contraste énergétique nous permettant de nous diriger dans le vie, de choisir, de connaitre, libère de toute notion de bien et de mal, de la vision limitée du mental. Mais pas non plus en le rejetant en étant conscient qu’il est un outil magnifique de perception, d’analyse, de synthèse, de compréhension.

Non, je ne veux pas casser vos rêves parce que les visions, les rêves, l’imagination, sont aussi des moyen de connaitre, de savoir mais ça peut enfermer dans l’illusion et éloigner de la réalité de ce que nous sommes. Mais pour accéder à la conscience Une, il faut réaliser l’unité en soi. Enfin laisser l’amour réaliser cette unité.

Les choses se sont grandement améliorées dans ma vie depuis que j’ai réintégré chaque aspect de l’être et je m’adresse maintenant à tous mes corps, puisqu’ils sont à ma portée, tangible, réel selon cette incarnation, qu’ils s’expriment dans ce corps, au travers de la chair, du ressenti, des sens, et qu’ils me permettent d’agir dans la matière d’interagir avec les autres, mon environnement, puis de sentir le divin, la conscience infinie qui est en moi, et de la reconnaitre aussi en toute vie.

Le fait de savoir que tout est énergie, est inter-relié, vivant, autour de moi, issu de la même conscience, me permet d’aimer, de dialoguer avec ce qui est. 
De cette façon, le monde m’apparait mon hostile et je peux reconnaitre la beauté, l’intelligence de la nature sans plus avoir besoin d’en voir la lumière ou d’en entendre la voix.  Juste reconnaitre et apprécier à sa juste valeur, ce qui est là, sous me yeux, mes mains. Mains qui sont la prolongation de mon cœur, l'expression de l'amour intérieur, qui me permettent de le manifester par le toucher, de créer avec passion...

Quand je parle et touche mon copain le chêne, je n’attends pas qu’il me réponde puisque j’accepte ce qu’il est, sa forme, son mode d’expression, mais je suis convaincue qu’il perçoit les énergies que j’émane tout comme je peux sentir combien il me rassure, comment son contact et le fait d’épancher mon cœur, de lui confier mes peines et d’échanger nos potentiels sur un plan vibratoire, me fait du bien. 
Il agit tel un miroir parce qu’en fait, c’est le fait d’ouvrir mon cœur et ma conscience qui permettent le contact et l’amplification de l’amour qui me revient par le fait de vibrer sur la fréquence de l’amour, la gratitude, la reconnaissance de l’autre en tant que conscience dans la forme d’un arbre, l’’humilité de le considérer comme un égal, un être vivant et de reconnaitre aussi combien il contribue au bien-être de l’humanité à bien des égards ; le fait qu’il transforme le Co2 en oxygène, qu’il me procure de l’ombre en été, la chaleur en hiver, qu’il se donne pour construire un abri, une cabane pour les enfants. 

Vouloir prêter des attributs humains à la nature, aux animaux, n'est-ce pas une forme de déni des différences, un besoin de contrôle, de domination. Parce que l'identification comporte des limites et l’anthropomorphisme selon moi, est une vision inversée de la réalité ou du moins partielle. La nature et les animaux nous reflètent tout autant que l'inverse et si quelqu'un d'entre nous a quelque chose à apprendre en matière de capacité à vivre en harmonie, ce sont bien la faune et la flore, les animaux, la végétation et les éléments. Ils réagissent à nos vibrations, nos énergies et les tempêtes, lorsqu'elles ne sont pas déclenchées par la folie des humains, tels que les scientifiques, les géo-ingénieurs, les généticiens et autres apprentis sorciers, elles répondent aux émanations psychiques et émotionnelles de l'humanité; la peur, la violence, la dominance...

L’arbre possède une conscience mais je ne pense pas qu’il ait la notion d’individualité de la même façon qu’un humain parce qu’il n’a pas de mental, de filtre, il est directement relié à la Vie, la nature et son offrande permanente ne lui coûte pas de sacrifice puisqu’il sait qu’il est éternel, qu’il porte en lui la graine de cette éternité.  

Bon, j’arrête là parce que j’ai faim puis je partage ma vision des choses, à vous de faire le tri selon la résonance. Dans ce témoignage quotidien, mon objectif premier, c’est que vous puissiez vous découvrir de l’intérieur, que vous trouviez cet amour en vous qui n’attend qu’un geste de votre part, c’est que vous vous aimiez vraiment, tel que vous êtes afin que vous puissiez reconnaitre tout ce que vous êtes en vérité et en conscience. 

Le ciel est couvert aujourd'hui, je vais me faire un bon petit feu pour ne pas que l'humidité envahisse l'appart et aller tout de même au jardin. J'y ai passé deux heures hier, du pur bonheur mais le soleil qui commence à bien chauffer a failli me brûler la peau. 
Là encore, prendre le temps, observer et y aller en douceur, me permet d'intégrer plus de tendresse, d'amour. Puis ce même comportement au jardin, le désherbage sélectif, bien que plus long que de tout arracher, me permet de conserver des plans de fleurs semés d'elles-mêmes, ce qui donne de la couleur à cette toile, peinture vivante en cours de création, en perpétuel mouvement, qui va bientôt offrir ses parfums de Jasmin, de giroflées et de roses...
Elle n'est pas magnifique cette nature et cette incarnation...!   


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci