Le
« travail » de libération continue ! La journée d’hier, en compagnie de ma sœur, a été
très agréable mais ce matin, le réveil est des plus confus. La première pensée qui
est venue, c’est une réaction face à un comportement de ma sœur qui ne m’a pas
trop dérangée sur le coup mais qui visiblement n’a pas plu à mon enfant
intérieur.
Cette pensée négative a été amplifiée par un choc frontal sur le
coin d’une étagère, j'adore, dès le réveil! Puis, la chienne a failli me mordre ! Chose qui
n’était jamais arrivée et qui m’a laissée abasourdie.
Il faut dire qu’habituellement,
au réveil, je lui parle mais là, comme j’étais de mauvaise humeur, j’ai préféré m’occuper de raviver le feu plutôt que de lui dire « bonjour »
attendant de retrouver la paix en dedans pour ce faire. Puis comme je me
calmais mentalement, je suis allée vers elle et l’ai approchée alors qu’elle
dormait, sans dire un mot. Du coup, elle s’est sentie agressée par mon geste un
peu brusque et s’est défendue par un coup de gueule heureusement sans
conséquences. Je suis restée hébétée mais j’ai senti qu’elle ne faisait que
"se défendre". Qu'elle avait réagit à mes propres énergies.
Je
me suis connectée à la Terre, au divin en moi et j’ai parlé à mon enfant
intérieur, je lui ai demandé de s’exprimer. Évidemment des pensées de victime
sont venues et comme je veux libérer ce rôle, j’ai écouté sans réagir, avec bienveillance.
Il
est apparu aussi que l’arrogance devait être vue et libérée.
J’ai
bien senti au réveil que j’étais dans une vibration très basse mais le côté
positif, c’est que je n’ai pas cherché à effacer le mal-être soit en prenant un
bout de cachet, soit en m’identifiant à la victime. J'aime bien attendre que ce soit mon corps physique qui me donne des signes pour savoir quand prendre le premier bout de cachet plutôt que ce soit le mental ou la peur qui m'y pousse. Puis le fait qu’il y ait
encore quelque chose à voir et à accepter, ne m’a pas agacée ni découragée.
J'ai aussi eu du mal à rallumer le feu et pourtant je suis devenue une pro dans ce domaine. C'est encore une projection de mon monde intérieur, de la flamme qui peinait à se raviver. Et tout comme pour le feu que je dois laisser allumer continuellement puisque le bois est vert, il me faut veiller à maintenir vivante la foi en ce processus de libération, la flamme intérieure. Je peux comparer mon degré de maitrise mentale et émotionnel à ces bouts de bois verts, ça manque de maturité, de pratique, c'est encore vert, nouveau! Mais, malgré tout, le feu est maintenant bien allumé à l'image de mon enthousiasme, de ma foi!
J’ai
repassé la journée d’hier en prenant soin de ne pas intervenir, juste en
spectatrice neutre pour voir ce qui avait bousculé l’enfant en moi. Puis j’ai
parlé au divin intérieur, exprimé la voix de ces aspects internes qui peinent à
accepter de pardonner, à s’abandonner en toute confiance à l’amour et se
demandent comment concilier confiance en soi et vulnérabilité. Finalement, il
me faut aussi accueillir l’orgueil.
Pour
le mental, lâcher prise n’est pas chose facile mais heureusement, je n’ai plus
à le convaincre de l’efficacité du processus.
Alors
j’ai offert à ma présence divine tous ces résidus de non amour et je peux
sentir que cet acte a rétablit la paix en moi et relevé mon taux vibratoire.Il semble effectivement qu'il y ait une échelle émotionnelle. J'avais lu cette info qui me semblait pertinente et je le vérifiée dans la réalité. Je vais essayer de la retrouver. Je dis essayer parce que c'est le bazar dans l'ordinateur jusque sur le bureau envahit de documents que je ne lis même pas!
Nous
avons beaucoup parlé avec ma sœur et son conseil de me faire aider pour le
sevrage m’a amenée à détecter de l’arrogance en moi. Celle-ci est directement
reliée au manque de confiance en soi, à la peur d’être manipulée…
Il
est bon de vouloir devenir autonome, de s’auto-guérir mais je sens bien que
derrière cette volonté, se cache encore la peur de l’autre.
Le
fait d’avoir besoin d’écrire sur ce blog révèle aussi le besoin de s’affirmer,
de "prouver" que je ne suis pas stupide, que je suis quelqu’un de
"valable", au-delà ou même dans la notion de partage, de "service".
Déjà,
arriver à voir cela sans fuir, sans se critiquer, est essentiel puisque ça
permet de ne pas activer le programme inconscient de victime.
J’ai
aussi repris la diminution des cachets ce qui ramène naturellement les vieux
fantômes en surface. Comme je sais que l’abandon de cette armure fait ressortir
mes peurs et fausses croyances, je ne me suis pas identifiée à ce qui se
manifestait tout en ne niant pas que je portais tout ça en moi.
En
me connectant au ciel et à la terre, j’ai offert tout ce poids au divin et le
soulagement a été immédiat.Puis un truc essentiel qui me montre que la peur est beaucoup moins active, c'est le fait de ne pas avoir anticipé, ni même pensé à prendre plus de produit. C'était un réflexe conditionné qui m'amenait à augmenter les doses ou encore à prendre un bout de cachet pour aller vers les autres 'en toute sécurité".
Le besoin de se protéger n'est plus automatique et en cela, l'addiction est peu à peu devenue obsolète pour le mental et ça touche aussi l’inconscient.
C'est un signe qui montre l'efficacité de l'acceptation de cet addiction.
"Merci
mon enfant intérieur d’avoir pu exprimer les émotions refoulées et merci au
divin d’avoir absorbé ces basses vibrations dans l’amour".
Avec
du recul, je vois que j’ai essayé de convaincre ma sœur de la réalité des manipulations
extra-terrestres. Comme si le fait de la convaincre m'aiderait à gérer cette info! J’ai lu un article hier qui parle des accords entre les
différents gouvernements, et les différentes « races »
d’extra-terrestres.
En
lisant ceci, je me suis dit que c’était tout à fait plausible mais ce qui m’a
dérangé, c’est que ça continue d’activer le programme de victime intérieur et
le sentiment d’injustice, la colère, la tristesse, puis ça créé de la confusion. Ce qui a pour conséquences
d’activer aussi le sauveur intérieur. Et comme je sais que ça me ramène dans
une dimension de conflit, de dualité, comme ça abaisse considérablement mon
taux vibratoire, ramène le mal-être, j’aurais tendance à vouloir nier tout ceci.
Là encore, le déni
n’est autre qu’une stratégie de l’inconscient, un comportement basé sur le mode
de survie, lui-même issu de la peur et de l’idée de séparation, ça risque de
déclencher l’auto-critique, le sentiment de ne pas y arriver, d'être impuissant...
J’ai
aussi changé le disque du juke box intérieur et ressorti le vieux quantique que
j’ai partagé sur ce blog avant-hier je crois ; « grâce au soleil en
ton cœur ».
Assez rapidement, l‘idée que c’était gnagnan est venue mais
comme c’est efficace, j’ai persisté à chanter ses paroles dans ma tête, comme
pour calmer le mental.
Ensuite, je me suis connectée à la terre et au ciel.
C’est
marrant comme le fait d’aller encore plus en profondeur dans l’inconscient
m’amène aux mêmes types de réflexions. Je me dis que j’ai déjà libérées ces
choses, ça devient confus et conflictuel en dedans et je peux vite refouler ou
nier les choses.
C’est
pour cette raison que comme cette fois-ci je n’ai pas eu de mouvement de recul,
de fuite, il y a réellement une progression.
La
pratique d’accueil n’est pas encore devenue un réflexe automatique; ça demande
de me remémorer le processus et son efficacité. C’est ce qui indique qu’il
demeure des points sombres, que les automatismes involutifs s’enclenchent
encore.
Quand
je commence à voir l’amour à la façon des humains, c’est clair que quelque
chose en moi ne passe pas. D’ailleurs, mon corps physique me le dit par des
douleurs abdominales, par les symptômes de manque qui se manifestent alors.
Il
est tout à fait logique que ceux-ci apparaissent puisqu’alors, je retombe dans
les vieux systèmes de croyances. Ces symptômes révèlent les raisons de mon
addiction puisque celle-ci est une forme de compensation, une façon de faire
taire les émotions refoulées, de ne pas être dérangée par ce qui pourtant ne
peux pas être libéré autrement qu’en en prenant conscience.
J’ai
bien du mal à retrouver un sommeil réparateur mais là encore, je ne m’affole
pas plus que cela puisque c’est « normal ». Le corps physique, le
corps mental et le corps émotionnel sont bouleversés par les énergies d’amour
et de lumière que nous continuons de recevoir avec intensité. La recherche
d’équilibre énergétique, d’adaptation à ces nouvelles fréquences, et d’abandon
des anciens schémas créé des désagréments qui sont grandement minimisés par le
centrage. Le sevrage, la ménopause s’ajoutent à cela (ou peut-être qu'ils en sont la projection) et il est naturel de ressentir
des baisses de fréquence.
Cela se traduit dans la matière, le plan humain, par
symptômes et des couacs dans la vie de tous les jours. La façon dont les choses
se sont déroulées depuis le réveil et les quelques souvenirs d’un rêve dont je
n’ai de souvenir qu’une ambiance pas très agréable, en sont l’expression.
C’est
le signe que je suis décentrée, que quelque chose en moi peine à lâcher prise.
Et pour couronner le tout, le ciel est plombé de gris/noir et le soleil
invisible.
Bon,
il est temps de ne pas se laisser embarquer par tout cela et de chanter
intérieurement des chansons qui nourrissent la joie, la foi, l’espoir. Puis se
souvenir que ‘c’est normal’.
A l’image d’un pendule qui va d’un côté à l’autre
avant de s’immobiliser.
Ce
n’est pas évident de sortir de la dynamique des opposés, et ce, qu’on se trouve
sur le plateau "négatif" ou "positif" de la balance. Il me semble que c’est
nécessaire si on veut passer de l’ego au cœur. En commençant par ramener tout
au point de neutralité et en ayant confiance que l’amour a le pouvoir de créer
l’harmonie. Les notions de punition et de récompense ont été des moteurs
d’action, des moyens de faire des choix mais c’est un cadre fermé qui empêche
de recevoir la grâce.
On
n’a pas à mériter l’amour puisque c’est ce que nous sommes en vérité.
J’avoue
que ce matin, j’ai bien du mal à me centrer mais je me dis aussi que ce qui
s’exprime est libéré. La force des croyances ne fait aucun doute et je constate
qu’à chaque fois que je suis en totale confiance, tout s’écoule facilement et
inversement, dès qu’une peur, une colère, de la tristesse apparaissent, ça
coince.
Dès que je m’éloigne de mon cœur, je suis mal, confuse. Dès que je
tente de comprendre le monde, visible et invisible, ça me déstabilise,
je m'éparpille, m’éloigne de ma vérité et comme ça complique grandement les choses, en revenant
au cœur, je retrouve la confiance et surtout la simplicité de la vie.
Je
ne doute pas que l’extérieur me renvoie certains aspects de ma personnalité que
je n’aime pas et je me contente de ne pas fuir sous prétexte que ça me bouscule
en dedans.
C’est clair qu’il me faut revenir à la simplicité, au concret,
éviter de m’éparpiller et ne pas nourrir les pensées négatives. Oui le temps
est pluvieux, oui, ces nuages sont suspects, oui, ça éveille de la colère, de
la tristesse mais le soleil, l’amour et la nature sont tout puissants et ils
sont aussi en moi.
Je
crois que je vais dessiner encore aujourd’hui et cette fois-ci, ce sera le
symbole du chakra du cœur, ces deux
triangles qui s’emboitent, s’harmonisent comme pour figurer l’abandon de la
lutte, l’unité et la désactivation des jeux de rôles par cette union entre le
bas et le haut.
Mes
chers corps, merci de maintenir l’amour entre vous, entre nous, d’unifier vos
caractéristiques, vos capacités, vos points de vue, vos perceptions, afin de
vivre à partir du cœur, dans la paix, la joie d’être et la confiance totale.
Confiance en la vie, en l’amour, en la Terre Mère, et surtout en cet amour
puissant qui est mon essence éternelle.
"Peuple intérieur, mes cellules chéries,
merci d’activer les énergies de la Vie éternelle pas tant pour être
indestructible physiquement mais pour ne pas laisser les basses vibrations
prendre le contrôle de notre vie.
Amusons
nous à créer ensemble la joie de vivre, à trouver des moyens concrets afin de
ne pas être affectées par les épandages chimiques certainement effectués pendant la nuit.
Je commence à bien reconnaitre leurs traces, leurs couleurs spécifiques,
leurs effets et leur impact puis leur cycle. Essayons de déterminer la durée
qui s’écoule entre le moment où ils sont vaporisés et celui où ils atteignent
le sol afin de sortir quand c'est moins pollué.
Il
est clair que si ma foi en l’amour divin était constante, je n’aurais pas
besoin de recourir à ses stratégies de survie mais pour le moment, il est
important de rassurer le mental.
D’ailleurs
à ce propos, il me vient souvent l’idée que c’est la seule chose à faire.
Sans
ces questions qui forment une résistance, tout serait beaucoup plus fluide,
facile. Mais pour en être convaincue, il faut l’expérimenter afin de
reconnaitre que tout se fait naturellement et facilement si je n’interviens pas
mentalement.
L’invisible, la présence, la conscience divine, agissent
incontestablement et ce sont mes pensées qui viennent perturber le processus.
D’un autre côté, le mental fait partie du jeu et ça n’est pas une solution de
vouloir le faire taire en force.
Là encore, seule l’acceptation de ce qui est
maintenant, rétablit le flux énergétique alors confiance et amour total de soi. Et
PATIENCE, ça "avance".
Le
programme du jour est encore de prendre soin de mon corps physique, de revenir
au centre, à la tendresse vis-à-vis des corps reliés aux chakras du bas, d’être
présente à mon corps physique, mon ressenti et de focaliser mon attention sur
tout ce qui me procure de la joie et du bien-être, afin de ne pas nourrir
l’esprit de conflit et toutes ces vibrations lourdes.
Je
crois que je vais aller me recoucher. J’ai dormi plus de six heures mais la
fatigue est là. C’est épuisant énergétiquement de devoir rétablir l’harmonie
lorsque les vibrations extérieures viennent activer les mémoires cellulaires,
les programmes involutifs mais déjà le bien-être qui nait de la paix retrouvée,
me régénèrent mentalement et ça me motive à persévérer !
Merci
à mon âme, au divin, à mon cœur de m‘avoir amené sur un site de soins par l'EFT dont je reçois la newsletter. Même
si je doute que je lirais cet article, au moins, ça me ramène à l'essentiel, et ceci maintient ma foi vivante en l'autoguérison. Puis, le calme mental revenu, la
confiance installée (et même si ça bouge), ma perception des choses change, je
vois maintenant le côté positif de la situation.
Ma
réaction à ce réveil lourd n’a pas été violente, je n’ai pas fuit ni nourrit la
colère ou l’amertume. La journée d’hier s’est bien passée, ma sœur est
beaucoup plus sincère, nous avons même abordé des sujets intimes, chose
totalement nouvelle, il n’y a pas eu de compétition bien que nous ayons beaucoup
parlé et l’ambiance était joyeuse.
Elle apprend à jouer de la contre basse et
l’a amenée hier.
Le
goût pour la musique est héréditaire dans notre famille seulement ça vient du côté
paternel et pour cette raison, être capable de jouer d’un instrument, revêt un
sens profond et c’est le signe de l’acceptation, du pardon. D’ailleurs, à ce
propos, elle a fini par comprendre les bénéfices qu’il y a à pardonner. Non
seulement on libère la haine en soi et la haine de soi mais cette
réconciliation avec le passé permet de reconnaitre l’aspect
« formateur » de ce genre de vécu.
C’est
un signe que le pardon est sincère lorsqu’on peut reconnaitre que le trauma et
surtout la façon de le gérer est ce qui nous a élevé. La résilience libère les
talents, les potentiels, ceux du cœur, et à partir de là, tous les autres
peuvent se manifestent aisément.
Mine de rien, le fait d’écrire tout ceci, a
remonté mon taux vibratoire et en même temps, c’est un regain d’énergie qui a diminué l’envie de dormir. J’ai bu un verre de jus de pomme bio à la place du
café et mon corps me montre que ça lui va bien. La joie est revenue et l’amour
circule à nouveau sans entraves à
l’intérieur. Une de ses manifestations concrètes, c’est l’envie spontanée de
faire des bisous à mes mains ! Là aussi, oser avouer ce genre de choses,
c’est un immense progrès, ça vient s’équilibrer avec l’arrogance qui est une
énergie que je porte.
Quand
on construit l’estime de soi sur la comparaison, le besoin de convaincre,
d’avoir raison, on se colle la pression et on va devoir maintenir une attitude
rigide, nourrir l’orgueil afin d’avoir une bonne image de soi. Mais non
seulement ça n’est pas de l’amour mais en plus ça pourrit la vie et les
relations.
J’ai
aussi remarqué hier, en lisant les commentaires qui accompagnent des vidéos
d’humour que j’ai visionnées, à quel point je pouvais être influençable !
Comment je pouvais vite changer de point de vue rien qu’en lisant d’autres
opinions.
Du coup, ce matin, je ne suis pas allée sur les réseaux sociaux ni
sur les sites spirituels. C’est une tendance qui trahit le manque de confiance
en soi, d’amour vrai de Soi, de la sagesse en soi et qui amplifie la confusion.
Le
remède est encore de revenir en son cœur, de faire silence et de laisser monter
ce qui vient, sans juger. La clarté revient peu à peu, à mesure que les
émotions s’extériorisent et se tempèrent. Ce qui augmente la Vraie confiance en
soi. Celle qui est fondée sur l’essence divine et pas sur les croyances
mentales.
L’orgueil
vient de ce manque de confiance en la sagesse intérieure qui n’apparait plus
lorsqu’on est trop identifié à ses blessures.
Pour cette raison, revenir au
cœur, est encore et toujours La Solution.
Il
me vient encore une image révélatrice des progrès effectués de part et d’autre.
Le fait que nous n’ayons pas eu à batailler pour imposer notre point de vue à
l’autre et même si nous avons chacune nos propres moyens d’affirmation de soi,
il n’a pas été nécessaire d’entrer en conflit pour s’entendre, pour respecter le point de vue de l'autre.
Puis ce constat
m’amène encore à voir que Tout le monde est éclairé, guidé par sa propre
sagesse, par son essence divine.
Cette
fois-ci, il m’aura fallu seulement dix minutes pour avoir le réflexe de revenir
au cœur, le temps de bien me réveiller et deux heures pour retrouver la joie et
le dynamisme !
C’est tout ce qui importe finalement. C’est une réponse à
la question que j’aie posée à mon âme tout à l’heure concernant ma raison d’être
ici.
Et
oui, malgré une foi solide, le doute est encore présent mais c’est juste une
occasion d’ancrer la maitrise mentale et
émotionnelle, alors tout est parfait.
Encore une question de perception qui me
démontre que la vision du cœur est juste et qu’elle est accessible !
Ma
foi est encore plus grande après cela et c’est toute ma raison d’être, de vivre
ce genre d’expérience qui me confirme une fois de plus que ma
« mission », c’est de manifester l’amour.
A
ce propos quand nous parlions des solutions à notre portée, face à la
destruction de la nature, aux manipulations en tous genres, nous sommes d’accord
que notre pouvoir réside dans le fait de revenir à des relations humaines de
proximité, d’être sincère et bienveillant avec son entourage comme pour « contredire »
l’ambiance générale, les croyances véhiculées par le monde enfin par ceux qui
tentent de le contrôler.
Encore une preuve que lorsqu’on suit son cœur, sa
guidance intérieure, nous arrivons à une pensée commune quant aux solutions.
Oui, on change le monde en se changeant soi-même.
Oui, chacun a le pouvoir de
manifester le monde qu’il souhaite voir autour de lui en changeant sa
perception de lui-même, en se laissant guider par le divin intérieur et l’amour.
Chacun peut consommer en conscience afin de cesser de nourri l’avidité, le
profit de ces multinationales qui n’ont que le pouvoir qu’on leur accorde. En
achetant local, en consommant intelligemment c'est-à-dire en achetant ce qui
est nécessaire en délaissant les gadgets,
les choses qui sont censées nous donner de la confiance en soi, de la
valeur mais qui ne sont en fait que des leurres. Quel intérêt d’acheter tous
ces appareils high tech ? Tous ces ipod, pad, tablettes, qui éloignent les
humains d’eux-mêmes et des autres.
Ces besoins totalement inventés par la loi
du marché.
Je vois déjà combien l’ordinateur peut être hypnotique et comment il
me maintient dans un monde virtuel m’éloignant de jour en jour de la réalité,
celle de la nature du vivant.
Les jeux sur windows 7, en sont un signe effrayant !
Le pire, je crois que c’est celui qui consiste à faire des gâteaux à la chaîne !
C’est chargé de sens et de cette façon,
ils cassent toutes les valeurs humaines, le sens et la valeur du travail, de la
réalité, tout en maintenant des croyances de petitesse, de masse ouvrière, d’abêtissement…
C’est
hallucinant de « jouer » à être un ouvrier d’usine !
Tout
ce temps passé devant l’ordinateur qui pourrait être utilisé pour aller à la
rencontre de la nature, de l’autre…J’ai envie de dire, redescend Lydia, revient
dans la réalité !
Même si je ne joue pas à ces jeux, le temps que je passe
devant l’écran, mis à part la rédaction de ce blog qui constitue encore une
thérapie, c’est une façon de nier la vie et de faire le jeu des manipulateurs.
Je crois que je vais prendre l’habitude de l’éteindre, comme pour me détoxifier,
me sevrer de cette addiction à l’information, même si je vais sur les sites
alternatifs ou spirituels. Ce n’est pas ça la Vie !
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci