Mes "libérations" continuent mais cette fois-ci au niveau
inconscient, par le biais d’un rêve à demi-éveillé. Enfin disons que je somnole,
vois des images, m’endors par moments mais les images sont nettes et je m’en
souviens « comme si j’y étais ».
Au début, c’était tellement incohérent,
farfelu, que j’ai soupçonné l’extérieur d’en être la cause, de me balancer des
images mentales, ou encore de titiller mes endorphines par le biais des
chemtrails (influence de certaines lectures sur le Net) mais comme c’était très intime et à moins d’avoir une puce implantée
depuis l’adolescence, j’en suis venue à me dire que ce « matériel » m’appartenait.
Puis chose essentielle, c’est l’ambiance du rêve dans lequel je me sentais
tranquille malgré le caractère farfelu du truc. Après avoir pensé que ça venait
de l’extérieur je me suis dit que c’était une idée de la peur et que les choses
se dénoueraient d’elles-mêmes.
Et ça n’a pas tardé !
Je raconte en détail
parce qu’on peut voir les réflexes de la peur, qui fait accuser l’extérieur puis
si on lâche prise, si on ne l’écoute pas, les réponses viennent.
Enfin je me
suis dit là, c’est trop compliqué pour comprendre alors laisse tomber.
Sans
accuser le mental, l’ego, l’inconscient non plus.
Je suis donc passée à autre
chose et me suis occupée de fermer les volets puisque la nuit tombait. Ah oui,
la chatte Bilou a dormi avec moi, enfin, cachée derrière la penderie mais ça
présence n’est pas innocente non plus. Déjà, elle a accepté de venir dans la
chambre alors que d’habitude, elle demande à sortir à peine rentrée.
Tout ça
pour dire que le terrain était prédisposé pour recevoir ces images ; la
relaxation, le calme mental et émotionnel confirmé par la présence de la chatte.
Tous ces petits détails sont mes propres repères, validés par l’observation
régulière, l’expérience et l’intuition ou inspiration.
La réponse est venue clairement par images, comme souvent, et en fait ce sont des images significatives de ce rêve qui représentent mes peurs actuelles, une projection de celles-ci et des fantasmes relatifs à la sexualité et à la drogue. Les thèmes sur lesquels je bloque inconsciemment. Enfin des fausses croyances qui conditionnent ma réalité.
Mais comme c’est vu et accepté,
je considère que c’était une sorte de vidange naturelle pour faire place nette.
Je ne sais pas si la partie de l’inconscient qui contient des peurs relatives
aux croyances inculquées soit par l’éducation, le vécu, se dissoudra, parce qu’il
semble logique qu’elle soit devenue obsolète si je ne refoule plus rien et suis de plus en plus consciente, présente.
Ce qui m‘a aussi fait penser que je vivais les vidanges de l’inconscient, c’est parce que dans ce rêve, que j’aurais qualifié de cauchemar si je n’avais pas libéré beaucoup de peurs, c’est mon attitude, je me réveillais d’un long rêve dans le lit d’un de mes ex et je n’avais aucun souvenir de ce qui s’était passé la veille. J’ai su que nous avions pris un nouveau produit, une drogue super puissante qui m’avait laissée inconsciente.
C’est une chose que
j’ai toujours craint et quand je prenais des drogues, je devenais encore plus
attentive à ne pas me laisser manipuler. C’est aussi pour ça que j’ai fuit l’alcool
en imaginant que je pouvais me réveiller dans une prison après avoir tué quelqu’un
par un excès de colère.
J’étais consciente de porter beaucoup de haine en moi
par rapport à mon enfance et comme l’alcool brise toutes limites, je ne voulais
pas risquer de me trouver emprisonnée à vie pour une soirée trop arrosée. Je ne savais pas du tout doser à cette époque en plus!
Je
précise cela parce qu’on retrouve les mêmes paramètres qui permettent d’être
inspiré par son âme, ou simplement lucide, consciente, le fait de se connaitre,
de ne pas se voiler la face, ni refouler le trauma et de ne pas vouloir nuire à
autrui, c'est-à-dire de ne pas vouloir vivre dans la violence. Même si je la
retournais contre moi et me construisais ma prison par l’addiction aux
médicaments, au moins je limitais les dégâts.
Enfin je ne rejetais pas mes ombres sur les
autres, du moins volontairement, consciemment.
Il ne s’agit pas de morale ici,
mais de fréquence vibratoire que l’on porte, d’ampleur et de rayonnement.
Puis la
drogue me permettant d’être à l’aise dans mon corps, je portais la vibration de
la paix, de la joie, même si c’était de façon artificielle.
Ce qui veut dire que je ne me suis pas engluée dans la
culpabilité qui aurait ajouté de la difficulté à me pardonner ainsi qu’à mon
âme. Ce qui signifie aussi que malgré mon ignorance des lois universelles et de
la spiritualité, mon âme me guidait.
Malgré le fait que j’étais droguée, le
divin ne me jugeait pas.
C’est une chose dont je suis convaincue puisque je n’ai
jamais douté que le divin ne juge rien, il permet à chacun de faire ses propres
choix et expériences puisque le but est d’acquérir de la sagesse. Puis j'ai toujours su que l'amour véritable, c'est celui qui n'exige rien, ne pose aucune condition alors l'amour divin ne pouvait pas être en dessous.
Tout ce que je relate ici à pour objectif de vous aider à
vous accepter en totalité, à ne pas juger, vous-même ou les autres.
Toujours
en considérant que la morale n’a rien à voir mais que c’est plutôt une question
de fréquence vibratoire.
Puis de ne pas vous angoisser si des rêves de ce genre
font surface. C'est "normal" ou logique.
De la même façon qu’une émotion qui s’exprime et qui est accueillie
sans jugement, est libérée, lorsque des rêves cauchemardesques surgissent et qu’on
ne s’effraie pas ou qu’on ne juge pas, ça se libère.
Puis, c’est une étape
indispensable et la finalisation de la guérison parce que quand plus rien n’est
caché, refoulé, rien ne peut alors intervenir dans le processus de
manifestation consciente.
Puis comme pour les émotions si d’autres rêves de ce genre
se manifestent, il n’y a pas de raison de s’inquiéter ou de penser qu’on a
foiré le processus, ça veut juste dire qu’il restait des trucs à libérer.
Là
encore, je pourrais argumenter mon propos par des phrases compliquées, des renvois
sur des textes scientifiques…mais l’heure est à la simplification, à la
libération du superflu.
Plus on simplifie et plus le processus est facile parce
que la part de soi qui se plait à compliquer les choses, c’est la peur, l’orgueil
et l’identification à ces énergies, la personnalité apeurée.
Soit on s’identifie à l’essence divine qui est amour et
lumière, soit on s’identifie à la part de soi constituée de peur, de non d’amour.
Là encore, c’est schématisé et simplifié mais si on veut guérir, libérer le
passé, vouloir creuser, chercher des complications, des explications par notre
mental, on va y passer des siècles, puisque ça nourrit l’ego, la peur et par la
même la souffrance, le passé.
En ayant confiance en la source en soi, en lâchant prise,
en cessant de s’interroger, les réponses arriveront et même si on aura du ma à
l’expliquer, ça n’a aucune importance puisque tout le monde n’est pas appelé à
transmettre, diffuser.
Puis à ce sujet, il n’y a aucune gloriole à en tirer.
J’ai
souvent eu l’impression que lors de nuit où je parlais à mes guides ou que j’assistais
à des cours (qui ressemblent plutôt à des réunions d’âmes) dans d’autres
sphères, je bloquais souvent sur le fait de devoir témoigner toujours de l’amour, tenir ce même discours.
J’avais besoin de lâcher l’orgueil, l’arrogance des enseignants, de ceux qui sont tellement en manque d'amour que lorsque leur âme leur parle, ils se sentent privilégiés et glissetn peu à peu dans la suffisance.
C’est vrai que
le divin est tellement grandiose que déjà, c’est difficile de traduire par des
mots qui ne sont jamais suffisants pour décrire la réalité mais en plus le décalage
entre le potentiel au niveau de l’esprit et celui d’un corps physique est aussi
déroutant. Un peu comme le mental qui peut voyager partout, en quelques
secondes rien qu’en regardant une image et le corps physique qui va devoir
marcher, prendre un train, un avion, pour effectuer le même trajet.
Ce sentiment vient encore de la difficulté à accepter les
limites de l’incarnation mais tout ça change parce que le fait d’unifier les
contraires en soi, de créer des ponts entre les corps, de reconnaitre l’unité
intérieur, brise justement les limites.
Pour la publication du message qui m’a touchée, j’attends
encore. J’ai vu que la lune était bien grosse et il est possible qu’elle
agisse, révèle encore des ombres, des projections dues aux attentes liées à l'impatience, au désespoir qui vient parfois…
Mais n’anticipons pas, chaque chose en son
temps et pour l’heure, j’ai faim.
Au passage, ce genre de rêve, il y a peu, m’aurait
troublée au point de me couper l’appétit trahissant une forme de découragement
face à l’ampleur du travail. Mais ça, c’est encore une question de perception.
Je
vais écouter la bande à Ruquier histoire de finir la journée dans la légèreté,
le rire et la détente.
J’ai eu un moment de doute quant à la pertinence de ceci
parce qu’il est ami avec Marie Laforêt, une chanteuse à succès des années 70, qui a « dénoncé » enfin disons
plutôt qui a fait des révélations au sujet des réseaux pédophiles et ça me gênait
qu’il ne réagisse pas plus que ça étant donné sa visibilité.
Puis je me suis
dit que comme il avait un théâtre et donc des frais, une dépendance au système,
qu'il craignait de l’ouvrir puis finalement, son attitude est en accord avec ce que
je pense et vit, maintenant.
La solution c’est encore de gérer son propre monde et
d’apprendre à manifester en conscience le genre de vie que l’on veut vivre dans
la matière, puis de choisir le type de fréquence que l’on veut porter et
rayonner. Ce n’est que de cette façon qu’on sort des rôles de
victime/bourreau/sauveur et qu’on devient le créateur conscient et plus la
marionnette de son inconscience.
En l’occurrence, la meilleure parade à la peur, la morosité ambiante, c'est le rire, la joie, le lâcher prise. Cette fréquence tout comme celle de l'amour, préserve du drame...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci