– Vive le Tabac – Où l’on
découvre que l’usage du tabac n’est pas mauvais pour notre santé
Les non-fumeurs : de nouveaux croisés
Il existe une nouvelle religion : la religion anti-tabac.
Une nouvelle Église avec sa hiérarchie puritaine, son puissant bureau de
« propagation de la foi » soutenu par les États, ses missionnaires
passionnés qui parcourent le monde, ses disciples bernés mais inconditionnels,
pauvres individus qui ont trouvé un exutoire à la morosité de leur vie
quotidienne et qui déploient un zèle et une intolérance rares. Une religion
fondée sur un dogme erroné.
En vérité, c’est une religion inventée par nos
gouvernements dans un but précis : rejeter la responsabilité de la
radioactivité sur le tabac.
Avec le déclin des religions traditionnelles, de nombreuses
âmes égarées rejoignent des cultes aussi divers que Hare Krishna, Moon, Les
Enfants de Dieu et maintenant, la nouvelle religion anti-tabac. Elle ressemble
à bien d’autres par son côté bigot, fanatique et sa censure. Elle est devenue
aussi puissante que celle de Pierre et Paul.
Et, comme les autres, elle ne
donne pas de preuves; il faut « avoir la foi ».
Affublée d’atours
pseudo-scientifiques, elle rivalise avec les mouvements les plus sectaires de
l’histoire et, pour arriver à ses fins, ignore la vérité. La crainte est la
clé, mais, au lieu du purgatoire et de l’enfer, il s’agit de la phobie de la
fumée et du cancer.
Les hommes fument depuis la nuit des temps, sans danger
apparent. Mais, voilà que, brusquement, une idée nouvelle surgit. Soutenus
par les gouvernements et financés à coup de millions de dollars, certains
affirment tout à coup que fumer est la cause certaine du cancer du poumon, sans
pour autant donner d’arguments convaincants.
Quand j’ai entendu parler pour la première fois de cette
théorie, j’ai failli y souscrire puisque elle était soutenue par l’élite du
corps médical. Je restai, quand même, sceptique : comment cette coutume vieille
comme le monde et apparemment inoffensive pouvait-elle brusquement devenir
dangereuse ?
La première chose qui me troubla fut que, parmi mes
proches ou patients atteints du cancer du poumon, aucun n’était fumeur.
D’autres médecins m’ont confirmé, d’ailleurs, avoir fait la même constatation
parmi leurs malades.
Je fus également frappé par le fait que le cancer du
poumon n’avait jamais été aussi répandu que depuis l’invention de la bombe
automatique et la prolifération de produits industriels cancérigènes.
Voici une carte du monde qui montre les 2053 essais
nucléaires ou explosions effectuées sur la
planète, par les pays dominants, entre 1954 et 1998. La vidéo d'origine est réalisée par Isao Hashimoto.
Quand d’éminents scientifiques se mirent à dénoncer la
supercherie de la campagne anti-tabac, j’ai commencé à déceler derrière tout
cela, la morale puritaine de l’Amérique de l’Oncle Sam qui, comme je le
montrerai plus tard, a un intérêt évident à inculquer cette crainte du
tabac. Tout ceci est pour moi le grand mensonge du XXe siècle et je me sens
capable de le prouver à n’importe quel lecteur intelligent et impartial.
Le seul argument des anti-fumeurs, si on peut appeler cela
un argument, réside dans certaines statistiques, reconnues fausses depuis,
prouvant que les malades souffrant d’un cancer du poumon fument beaucoup.
Ils
semblent oublier que, s’ils fument, c’est qu’ils y trouvent un grand
soulagement.
Non seulement il n’y a pas de preuves valables, mais certains
témoignages tendraient au contraire à prouver que la fumée peut avoir un
effet préventif sur les maladies du poumon et du cœur.
La campagne repose sur des « statistiques » et
des expériences sur des chiens que l’on aurait fait fumer et qui auraient
attrapé le cancer du poumon. Je montrerai comment ces statistiques n’ont aucune
valeur; quant à ces histoires de chiens, ce sont les plus mauvaises histoires
que j’ai jamais entendues.
Même si les scientifiques ont des arguments tout à fait
convaincants pour réfuter les déclarations des anti-tabac, ils n’ont pas les
moyens de les divulguer car ils n’ont pas le contrôle des médias que possèdent
leurs adversaires.
Ce qu’il y a d’étonnant dans cette affaire,
c’est le silence et l’inertie des fumeurs devant les interdits et les pièges
des non-fumeurs.
C’est aussi la ténacité des militants, surtout en
ce qui concerne la nocivité de la fumée sur l’entourage. Leur refus
d’abandonner cette idée, en dépit des conclusions des scientifiques, et bien
compréhensible puisque elle leur apporte le support des non-fumeurs.
Je ne m’étais pas exprimé publiquement jusqu’à maintenant,
pensant que la bêtise est chose courante; nous sommes tous des imbéciles à
certains égards, certains plus que d’autres. Les gens croient n’importe
quoi, plus le mensonge est grand, plus vite il est admis. On dit que
l’homme est un animal pensant, mais comme sa pensée est illogique ! Si le
cerveau des animaux les moins évolués avait les mêmes performances, ils
seraient rapidement en voie de disparition.
Après m’être longuement demandé pourquoi les gens croyaient
en de telles inepties, j’en ai conclu que la nature humaine est perverse et
aime à être trompée.
Néanmoins maintenant que cette croisade empiète sur les
droits fondamentaux et la liberté, je pense qu’il est grand temps de prendre
position et de dénoncer ce charlatanisme.
Bien sûr, les « experts », ou ceux qui se disent
tels, s’offusquent du fait qu’un modeste généraliste ose remettre en question
ce qui est devenu parole d’Évangile. Peu m’importe ! Les puritains ont aussi
accusé l’industrie du tabac de m’avoir payé pour écrire ce livre. Quelle
plaisanterie ! J’ai bien essayé de les impliquer, leur suggérant de mettre dans
chaque paquet une notice dévoilant la supercherie; je voulais aussi qu’ils
fassent le test de la petite annonce offrant une récompense d’un million de
dollars à qui apporterait la preuve de la nocivité du tabac. J’ai vite
compris à travers leurs réponses qu’ils ne feraient rien qui aille à l’encontre
de leurs gouvernements respectifs, et ceci pour des raisons évidentes.
J’ai donc décidé de me lancer seul et décrire ce livre,
voulant à la fois combattre la bêtise humaine et montrer, en me basant sur ma
propre expérience, que fumer est réellement sans danger et quelques fois
même salutaire. Je veux créer un monde serein pour les fumeurs, un monde
sans peurs et sans interdits tyranniques.
Le Docteur William T. WHITBY est né en Australie. Il a fait
ses études à l’Université de Sydney et est également diplômé de la Faculté du
Droit. Toute sa vie, il exercera son métier de généraliste à Sydney. Le Dr. W.
T. Whitby est Président de la Sydney Eastern Society et de la British Medical
Association en Australie.
Article trouvé sur le site: http://newsoftomorrow.org
Vous pouvez lire le sommaire du livre de ce médecin dont ce
texte est extrait, ainsi qu’une liste d’articles abordant le sujet, en cliquant
sur le lien ci-dessous :
Je ne publie pas cet article pour justifier le fait que je
fume mais pour donner un point de vue différent de celui que les gouvernements/lobbies
nous imposent, afin d’élargir les connaissances et de pouvoir se faire sa
propre opinion, en usant de discernement et ainsi apprendre à se fier à
soi-même. Cet dénonce une des stratégies de manipulations basée sur la peur et la culpabilité.
Personnellement, l'écoute de mes corps et mon bien-être général m'amènent à chercher l'harmonie qui manifeste naturellement l'équilibre en toute choses.
Merci à Caroline Blanco qui a trouvé cet article.