Je suis émerveillée, et le mot n’est pas trop fort, par tout
ce qui m’arrive ! Tout ce que j’écris sur ce blog est issu de mon cœur, de
mes tripes, l’expression de mon ressenti associé à ma réflexion, basée sur l’expérience,
l’analyse et comme je trouve de plus en plus l’équilibre intérieur, comme les
conflits se dissipent par l’accueil de ce qui vient, j’ai la sensation d’être
de plus en plus entière, complète et puissante. Je n’ai jamais douté de ma foi
au christ intérieur, à l’auto-guérison, mais il me manquait l’équilibre qui
permet de le vivre à chaque instant, de sentir la paix et l'amour divin de l'intérieur. Il me fallait connaitre l’amour vrai de
soi, la source d'amour en soi.
Je parle beaucoup d’amour parce qu’il est Tout, la clef, la
porte, l’essence, la substance, la raison d’être, le mouvement, le moteur, la
nourriture, la création, le créateur, la source……………………………………………………………
Il se manifeste en toutes choses, bien qu’en apparence on
puisse croire le contraire. Mais quand on se laisse aller à être, quand on se
libère du carcan de la dualité, le monde apparait alors comme un magnifique
puzzle où tout est à sa place, constituant un tableau parfaitement harmonieux !
L’erreur première, est de se référer à ce qui est extérieur
à soi. On passe à côté de soi-même, de l’être divin d’amour et de lumière qui
est la base de ce que nous sommes. Cet être de lumière est le fondement éternel
et tout ce qui vient s’y ajouter est précieux. La personnalité humaine est l’embryon
du futur être souverain, l’humain divin, manifestation parfaite, réalisée à l’image
de la source. Fruit de la source divine, qui une fois reconnu comme tel,
manifeste sa vérité unique, sa vibration spéciale qui ajoute une note
merveilleuse à l’ensemble de la création.
La base de ma foi ; la loi essentielle de l’amour universel, inconditionnel qui
régit tout, qui créé Tout. Ce qui veut dire que chaque cellule, chaque organe,
chaque corps est précieux. Chaque dimension de l’être est indispensable à la
réalisation, à la maturité de l’enfant divin que nous sommes.
Élargir sa conscience et son cœur, sont les prémisses et
pour voir ce qui est, comme le fait la source, la présence divine, le christ intérieur, il est
indispensable de libérer la notion de dualité. Tant que l’on reste soumis à ce
point de vue, on ne peut accéder à l’amour, la source d’eau vie qui est en soi.
Ce n’est pas tant l’ego qui nous empêche de nous ouvrir à l’amour, au divin, ce
sont nos peurs, le fait d’en être prisonniers, de les amplifier en les
nourrissant constamment. L’ego est un personnage qui fait son travail, qui
répond aux vibrations qu’il reçoit. C’est notre conscience qui choisit de se
focaliser et d’amplifier et c’est là que réside notre pouvoir parce que nous
avons toujours le choix entre l‘amour ou la peur. Le pouvoir ne consiste pas à détruire ses ennemis, l'état du monde, la surenchère en matière d'armement à la limite de la catastrophe planétaire, devrait pourtant nous enseigner la voie!
Peu importe qui créé le conflit intérieur, nous sommes là
pour amener la paix en dedans, le royaume des cieux sur terre, en ce temple de
chair. La présence Je suis, ou le divin intérieur, peu importe son nom, se
divise telle une cellule, en particules de lumières plus ou moins denses, qui
contiennent toutes son essence, une étincelle de lumière qui anime toute vie,
de l’âme jusqu’au corps physique. Puisque tout est création divine, rien n’est
à jeter, à exclure, à diaboliser, au contraire, le but du jeu, c’est de ramener
tout au centre, de faire circuler l’énergie de la source en tous nos corps,
toutes nos cellules, de façon à réveiller l’étincelle originelle, à activer la
vie éternelle en notre mémoire cellulaire, notre ADN.
Tout amener à la lumière signifie tout voir en soi, dans les
moindres recoins. C’est une expérience qui demande du courage et on le trouve en lâchant la notion de dualité, en en ouvrant notre cœur, en accueillant nos ombres. En lui, se
trouve la porte qui nous permet d’accéder à la source et c’est en
aimant tout ce que nous sommes, création divine en tout point, même nos
défauts, nos handicaps, nos erreurs et peut-être justement surtout ce que nous
qualifions de mauvais, que l’énergie divine peut alors s’écouler.
Tant que nous raisonnons selon nos croyances, nous sommes
aveugles, conditionnés, formatés, totalement impuissants et hermétiques à la
source divine. Ce point de vue rétréci nous amènera à croire que quelque chose
d’extérieur à nous tient les ficelles. On accusera l’extérieur de nous
manipuler même en ayant la foi. Les gens qui ne croient pas au divin, pense
être manipulés par l’état, leur conjoint, leurs émotions, leurs sentiments…exactement
comme ceux qui croient en Dieu, en la source.
Tant qu'on croit que le divin, le pouvoir sont à l'extérieur, on est impuissant, manipulé.
J'ai beaucoup de
doutes concernant l’hypothèse Reptilienne qui me semble proche d'un scénario
sorti du mental, de la croyance au bien et au mal. Quand on retire les
artifices, la trame est vraiment duelle. Il me semble que selon la logique
évolutive, nous soyons passés par tous les états. Mais, ramener ça au niveau de
l'entendement humain comporte beaucoup de pièges...
Selon ce que je ressens, les choses sont plus simples et la
seule chose utile à retenir, c'est que nous sommes avant toutes choses, des
êtres d'amour et de lumière, tous issus de la source père mère. En libérant la
notion de bien et de mal, on a une vision épurée qui gomme les images basées
sur la division et font des différences malsaines, qui engendrent tous les
conflits.
Les reptiliens tels qu’ils sont présentés en général, sont la
manifestation de notre difficulté à accepter l’aspect animal, l’inconscient et
l’ego. De tout temps, l’homme a imaginé un ennemi extérieur, refusant d’être
responsable de ses propres créations, refusant d’admettre ce qui le dépasse, ses
peurs, ses instincts, son désir.
Le pouvoir, la puissance font peur parce que nous les
regardons à l’extérieur. Depuis que je déverse l’amour de la source, de ma
présence divine, sur mes peurs, mes visions erronées des contraires, ma vision
change et peu à peu, je vois la beauté de la création en toutes choses.
Elvira Amrhein |
Toute l’énergie déployée vers l’extérieur est une perte de
temps et nous éloigne du divin intérieur. Quand on accepte l’idée d’être le
créateur de tout ce que nous sommes, de tout ce que nous avons été et de tout
ce qui se manifeste en nous, nous retrouvons le pouvoir qui n’est autre que
celui d’aimer. Accepter d’être responsable de ses émotions, d’en être le
créateur, signifie que nous n’en sommes plus esclave.
Une émotion n’est pas mauvais en soi, elle exprime
simplement un blocage énergétique, une distorsion de l’amour divin, un déséquilibre. La colère,
c’est de l’amour frustré, elle se manifeste quand on est dans l’attente et que
celle-ci est insatisfaite. Elle nous appelle simplement à revenir au centre, à
rétablir l’équilibre intérieur qui se réalise en quelques respirations.
Une
fois qu’elle est apaisée, elle s’exprimera d’une autre façon, elle donnera du
corps à ce qui sera dit. La fermeté dans le ton sera suffisante pour que l’autre
comprenne qu’il va trop loin. Pour mon cas, elle avait un fondement réel, elle
était l’expression de la nécessité de poser des limites, de libérer le rôle de
la victime.
J’ai pu constater l’effet positif du coup de gueule poussé
envers Allister, il y a quelques jours. Comme je n’ai rien réfréné, comme j’ai
laissé s’exprimer quelque chose de juste et que je n’ai pas culpabilisé, l’énergie
qui l’accompagnait a fait son œuvre. C’était de l’amour de soi exprimé de façon juste mais avec fermeté. Poser ses limites sans y ajouter des sentiments issus de
la peur, produit un effet bénéfique. Depuis ce jour, il manifeste du respect à
mon égard.
Un enfant teste toujours ses limites en éprouvant son environnement,
en poussant le bouchon de façon à connaitre son pouvoir. Si la personne réagit
à partir de la peur, l’enfant sent l’énergie et entrera en conflit. Comme il ne
peut pas le faire ouvertement, il agira sournoisement. C’est ce qui se passait
quand je tentais de lui expliquer les choses de façon douce. Derrière ce
comportement se cachait la peur d’être injuste, celle de ne pas savoir comment
poser des limites, le doute de soi, le manque d’amour et de reconnaissance
envers mon propre enfant intérieur.
Puis comme je n’ai pas agi pour le changer mais j’ai
simplement posé mes propres frontières, en ne me préoccupant pas de ce qu’il
allait penser, ni même comment il réagirait, il semble que ça mûrit en lui. De
toute façon, ça n’est plus mon problème.
Pour en revenir aux soi-disant manipulateurs génétiques, on
peut voir les choses sous un angle différent, à partir du cœur.
En venant sur
terre, nous acceptons les conditions, les règles du jeu. Le voile de l’oubli en
fait partie mais il n’y a aucun intérêt à connaitre les détails « techniques ».
La seule chose qui compte, c’est de savoir qu’en choisissant d’être responsable
de soi, en gérant son monde intérieur et en connectant le divin en soi, on
libère ses voiles. Qu’ils soient au niveau de l’ADN, des cellules, des vies
antérieures, notre pouvoir d’action réside dans le présent.
Chaque instant,
nous pouvons choisir de croire en ce qui nous fait la vie belle, ce qui
amplifie l’amour de soi et de toute vie ou croire que nous n’avons aucun
pouvoir sur ce qui se manifeste en nous.
En passant, la théorie des méchants
aliens reptiliens ressemble beaucoup à celle de l’évolution de Darwin ! Il
est probable que ce soit le cas et oui nous avons un cerveau reptilien qui
fonctionne par instinct de survie mais ça fait partie du jeu et la solution, c’est
le juste milieu, l’amour de tout ce qui nous constitue.
Jonas Jödicke |
La rencontre avec le divin intérieur se réalise par l’ouverture
de cœur, en regardant ses peurs en face et non par les connaissances accumulées qui ne font qu’éloigner de l’expérience,
enfler l’ego et creuser l’écart avec les autres humains. L’amour vrai de soi ne se cultive pas en se sentant
supérieurs aux autres.
Quel intérêt de savoir si nous sommes indigos, cristal,
arc en ciel, bleu, vert, jaune ?
Quel intérêt de connaitre nos origines galactiques
puisque nous sommes tous issus de la source. Là aussi, qu’on me dise ce que ça
apporte au quotidien.
Est-ce que l’amour de soi est basé sur des valeurs
intrinsèques, sur l’être, l'essence véritable ou est-ce qu'il est fondé sur les comparaisons ?
Quel attitude
avez-vous avec vos voisins en sachant que vous venez de Sirius, des Pléiades…êtes
vous plus aimant, plus tolérant ?
La personnalité humaine a vite fait de s’enorgueillir
et tant qu’elle ne goûte pas l’amour véritable, celui qui vient de l’intérieur,
elle est enfermée dans ses raisonnements duels.
Savoir que le christ vit en chacun, que ce principe permet
de transcender les limitations humaines, d’aimer sans conditions, c’est quelque
chose de merveilleux qui peut amener la paix sur terre, la fraternité, l’égalité.
Mais les plus rusés en font un business, profitent de la peur des gens de se prendre
en main, pour continuer de pointer du doigt des ennemis. L'église tirait son pouvoir de ce procédé en diabolisant la chair, les désirs, la sexualité...
On a mis le diable aux oubliettes
mais maintenant on nous invente des nouveaux ennemis qui sortent tout droit de
films de science fiction. C'est plus sophistiqué et complexe mais le schéma est toujours aussi basique et enfantin
Jusqu’à quand l’humain fuira-t-il ses émotions, son cœur, sa vraie nature ?
Le rejet d’une part de soi, équivaut à rejeter une part de la population
mais l’inverse est aussi vrai.
Alors chacun a le choix, continuer de diviser ou
chercher l’unité.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci