C’est un
peu la confusion ce matin. J’ai déjà eu ce genre de sensation après avoir
constaté l’augmentation du nombre de lecteurs. J’ai la pêche au début parce que
je me sens bien, peut-être valorisée ou reconnue, puis ça retombe comme s’est
monté. Je me dis qu’en théorie, ça n’ajoute, ni n’enlève rien à l’estime que je
me porte. Finalement je reconnais le désir de mon cœur de ne pas me voir tomber
dans le piège de l’ego. Je ne vais pas jusqu’à me dévaloriser, heureusement
mais je me dis que mon comportement reste encore influencé par ce qui se passe
à l’extérieur, que ce soit en bien ou en mal. Beaucoup de questions/réponses
m’amènent à le constater. Je me dis que le nombre de lecteur est lié à la
curiosité, au besoin de compréhension de chacun qui s’affine par la quantité
d’infos reçues et la sélection de celles-ci selon qu’elles résonnent ou pas.
Puis je me dis que j’ai tendance à confondre résonance et approbation. Que
trouver écho dans une lecture ne fait que confirmer ce que je crois mais ça ne
veut pas dire pour autant que c’est valide. Mes croyances restent conditionnées
par mon vécu, l’idée que je me fais de moi-même et de la vie. Je remets en
question la valeur de mon ressenti jusqu’à finir par me dire qu’il n’est pas
question d’avoir tort ou raison mais d’apprendre à trouver sa propre vérité,
celle qui permet de faire sens, de trouver la cohérence intérieure. Les
croyances évoluent sans cesse. Ces questions m’amènent à me recentrer et à
moins me fier aux réflexions du mental qui a vite fait de s’emballer comme un
cheval fou. Ce qui me réconforte c’est que je n’en fais pas un drame, je me
contente de constater que le juste milieu n’est pas facile à trouver, mais ça
reste mon intention. Puis je n’ai pas à me soucier de faire des erreurs.
Vouloir comprendre c’est un peu douter de la lumière intérieure à laquelle il
suffirait de s’abandonner. La croyance est un besoin du mental, la vie est une
école où le tâtonnement est « normal ». Continuer de vouloir
l’appréhender au travers du mental, c’est encore être dépendante, vivre
à partir de l’ego et non du cœur. En même temps, il est question d’unifier les
deux et non de s’identifier à l’un ou à l’autre.
Je suis
pourtant en train de lire le passage du livre « Les messages de
Jeshua » où il est question des énergies masculine et féminine. Bien que
j’aie constaté un progrès dans la pacification de ces deux forces, je n’en suis
pas encore à les faire danser. Remarque, le fait de se questionner et d’écouter
aussi son ressenti, c’est peut-être ça la danse de la vie. L’équilibre ou
l’harmonie ne sont pas tout à fait la même chose. Ma compréhension n’est pas
claire. Je vois l’équilibre comme le fait d’être à partir du cœur puis de
filtrer avec le mental ce qui vient du cœur. Comme si un corps se mettait en
avant puis l’autre s’approchait à sa hauteur mais il semble que l’harmonie
serait plutôt les deux qui marchent côte à côte. C’est encore s’attacher à du
détail et ce genre de question est purement issue du mental. Mais il faut bien
composer avec les deux.
Déjà, il n’y a plus trop de lutte entre eux. Je ne sens plus de résistance l’un envers l’autre mais plus un temps où chacun apprend à se connaître. Pour revenir à l’image du mental cheval fou, il faudrait que le cavalier soit la présence divine et l’élan qui les motive, le cœur. Que le cavalier et le cheval fassent corps, que la présence, mon être essentiel et mon mental, fusionnent. C’est encore du tâtonnement tout ça !
En même temps, je ne sais pas vivre sans réfléchir. Si mon âme ou ma présence divine avait voulu que je ne pense pas, elle m’aurait créée sans « tête » ou simple d’esprit. Même s’il m’arrive d’envier ces gens, je reviens vite en mon centre en me disant que j’aime ce que je suis. Ce qui est de plus en plus vrai. Quand il m’arrive ce genre de questionnement, j’ai tendance à me déprécier, à me dire que je suis à côté de la plaque mais une idée vient balayer tout ça : « Tu es ici pour expérimenter ».
Déjà, il n’y a plus trop de lutte entre eux. Je ne sens plus de résistance l’un envers l’autre mais plus un temps où chacun apprend à se connaître. Pour revenir à l’image du mental cheval fou, il faudrait que le cavalier soit la présence divine et l’élan qui les motive, le cœur. Que le cavalier et le cheval fassent corps, que la présence, mon être essentiel et mon mental, fusionnent. C’est encore du tâtonnement tout ça !
En même temps, je ne sais pas vivre sans réfléchir. Si mon âme ou ma présence divine avait voulu que je ne pense pas, elle m’aurait créée sans « tête » ou simple d’esprit. Même s’il m’arrive d’envier ces gens, je reviens vite en mon centre en me disant que j’aime ce que je suis. Ce qui est de plus en plus vrai. Quand il m’arrive ce genre de questionnement, j’ai tendance à me déprécier, à me dire que je suis à côté de la plaque mais une idée vient balayer tout ça : « Tu es ici pour expérimenter ».
En l’occurrence,
l’acceptation de ce que je suis et de ce qui est.
Ce n’est
pas la première fois que j’aie ce genre de petite crise et certainement pas la
dernière, le point positif, c’est que ça n’a plus autant d’impact sur moi. J’ai
tout de même remis en question pas mal de choses tout comme la légitimité
d’être, qui a dû être réveillée par mon rendez-vous du 14, avec l’assistante
sociale qui va encore me demander où j’en suis avec le boulot. Quand j’anticipe
et cherche ce que je vais lui dire, j’ai tendance à tout mélanger et à rejeter
mon instabilité sur les causes extérieures telles que le chômage, la façon dont
est gouverné le pays...Même si effectivement, nous sommes conditionnés, rangés
dans des cases pour mieux être muselés, je crois au pouvoir d’autonomie de
chacun. J’ai beau me dire que mon sentiment d’indignité et d’illégitimité
parasitent ma confiance en soi, je ne sors pas trop de ce schéma d’accuser
l’extérieur.
Quand j’ai confiance en moi, je me sens capable de créer mon emploi, j’ai pleins d’idées mais du coup, je ne sais que choisir et n’arrive pas à me focaliser sur un truc en particulier. J’anticipe, pèse le pour et le contre et finalement, je retombe au point de départ. Je ne peux pas lui dire que je suis encore à guérir et que je me cherche ou plutôt que je cherche à accepter ce qui est, mais encore là, comment déterminer ce qui est à accepter ? Le fait d’être bénéficiaire du RSA, assistée puisque c’est un choix de mon âme ? Ou bien celui d’être incapable de faire un choix ou encore de m‘en vouloir pour ça, ou les trois?
Quand j’ai confiance en moi, je me sens capable de créer mon emploi, j’ai pleins d’idées mais du coup, je ne sais que choisir et n’arrive pas à me focaliser sur un truc en particulier. J’anticipe, pèse le pour et le contre et finalement, je retombe au point de départ. Je ne peux pas lui dire que je suis encore à guérir et que je me cherche ou plutôt que je cherche à accepter ce qui est, mais encore là, comment déterminer ce qui est à accepter ? Le fait d’être bénéficiaire du RSA, assistée puisque c’est un choix de mon âme ? Ou bien celui d’être incapable de faire un choix ou encore de m‘en vouloir pour ça, ou les trois?
S.O.S. présence divine, j’ai
besoin de ta lumière, mon esprit est à l’image du ciel, mi clair, mi
nuageux ! Un truc me vient en tête aussi, comme je suis à diminuer les
doses de médocs, il semble que ça ait une incidence et que cette confusion
trouve son origine dans ces quelques milligrammes en moins. J’ai vraiment du
mal à croire que si peu de produit en moins puisse avoir autant d’impact sur
mon état d’esprit mais force est de constater qu’à chaque fois, je pédale dans
la choucroute ! Cycliquement, les mêmes doutes montent en surface et je
devrais trouver ça "normal". C’est sûrement l’occasion de lâcher encore la
peur de ne pas être à ma place, d’accepter ces moments de doute.
Bon
trêve de blabla ! Je dois aller en courses, mon kif ! Le ciel est
couvert de nuages gris. Là encore,
une des conséquences de la diminution des cachets, c’est de trouver le
quotidien chiant et répétitif. J’y vais pourtant mollo ! Peut-être que je
devrais définitivement accepter cette dépendance. D’un autre côté, je sens
toujours un petit mieux quand je décide de m’en libérer mais ça doit être le
mental qui se réjouit de poser une intention et de remporter un
challenge. Je sature ! J’ai la tête qui va exploser de tant de
questionnements ! Je vais sortir la chienne ! Espérons que la rosée
du matin m’imprègne et rafraichisse mon cerveau !
Une
petite séance photo, la connexion à la beauté rien de tel pour donner le
sourire. Non pas que je sois triste mais un peu perturbée par la confusion
intérieure et l’énervement. Je suis à fleur de peau comme on dit ! Le
mécano doit venir dans la matinée pour changer les soufflets de cardan et
mettre un boulon pour empêcher une fuite d’huile. Bien que ça ne soit pas
essentiel, ce sera fait. Comme il est difficile de le faire venir et puisqu’il
a pensé à acheter ces pièces, autant qu'il le fasse. Je vais pouvoir mesurer
l’équilibre intérieur du masculin et du féminin.
Bon, une
bonne douche pour nettoyer les énergies sombres et repartir à neuf, me fera le
plus grand bien. Le fait de se sentir jolie, améliorera mon état d’être. Je ne
vais jamais chez le coiffeur et c’est le temps qui change ma coupe. Quand il
pleut ou que l’humidité de l’air est importante, ça boucle. Quand le vent
souffle, ils sont tout raplapla. Le simple fait de les laver leur donne leur
beauté naturelle. C’est un des éléments de mon corps physique dont je suis
assez contente.
Dis
donc, ce matin, quelle inspiration ! En même temps, ce blog est conçu pour
dire le parcours authentique au jour le jour de quelqu’un qui cherche le divin
en soi en étant convaincu de son existence. Je me suis proposé d’être honnête
sans tomber dans la démagogie en suivant ce qui se vit en dedans.
Bien que
mon intention première soit d’être dans l’acceptation de ce qui est, l’appel de
la lumière intérieure est bienvenu.
« Allo,
présence divine, es-tu là ? Je t’appelle à éclairer ma compréhension, à
descendre dans mon mental et à amplifier l’énergie d’amour inconditionnel en
mon cœur, à guérir mon âme de ses blessures. Je demande à mes corps de s’unir
afin de créer l’harmonie intérieure. J’appelle les énergies masculine et
féminine à s’embrasser amoureusement, à se soutenir mutuellement afin que cette
journée soit guidée par la joie de cette union et qu’elle réconforte et
sécurise mon enfant intérieur. Présence divine, je te laisse guider mes pas,
éclairer mes pensées et ouvrir mon cœur à l’amour sans limites, ni restrictions
afin qu’il rayonne sur tout ce que je suis ».
J’aimerais
que mon mental cesse de me souler avec ses questions ! Je vais voir si une
âme égarée est dans les parages ou si c’est le saboteur intérieur qui se
manifeste. Pas évident de faire la part des choses ! Ce qui est certain
c’est qu’à l’intérieur, il y a de la confusion ! J’ai toujours les
nerfs ! J’ai appelé l’archange Michael à purifier l’astral afin que j’aie
à gérer uniquement ce qui m’appartient. L’idée que je prenne sur moi certaines
énergies extérieures afin de participer à l’élévation planétaire, bien qu’elle
ait trouvé résonance dans certains messages que j’ai lus, se situe encore dans
le triangle victime, bourreau, sauveur et sent un peu trop la 3D. Cependant, il
m’arrive de le ressentir comme si c’était une vérité.
Là encore, qu’est-ce que
la vérité ? C’est toujours subjectif ! Le fait de chercher à
comprendre ce que j’émets par les situations de ma vie, trouve sa limite dans
la question : qu’est-ce que j’en fais ? J’accepte, je lâche prise ou
je pose une intention ?
Pouah !
On ne peut pas dire que ça soit lumineux tout ce que j’écris, ce matin !
Mais d’un autre côté quand je me sens portée, ça n’est peut-être que mon mental
qui se réjouit d’avoir « raison » ou de se sentir à l’aise. Quand il
est en position confortable, c’est que je suis dans son cadre et même si j’ai
repoussé ses limites, la liberté n’est pas au rendez-vous. La liberté !
Encore une illusion ! Tant qu’on est confiné dans un corps de chair et
toutes ses limitations, on ne peut pas dire qu’on la vive réellement, on s’en
approche, on y goûte. Elle est toujours relative à un concept, par comparaison.
A moins d’être conscience pure...
Bon
Lydiouze, bouge-toi, arrêtes de te prendre la tête avec des questions dont les
réponses restent aléatoires et subjectives. Contente-toi de gérer ton quotidien
au mieux, de faire avec ce que tu es, dans l’instant. Lâche ton mental qui te
fait tourner en rond, sors de ce manège !
C’est
bien joli mais il faut que je fasse avec cette monture. Même si je voudrais
qu’elle devienne pégase, elle continue de battre le bitume. Je sature !
« Focalise
ton attention sur l'instant présent, fais confiance à ce que tu es. Tu sais que
tu es illimitée, infinie et éternelle et c’est suffisant. Souviens-toi que tout
a un sens et que lorsque tu arrives à un moment où tu ne comprends plus, c’est
simplement parce que tu abordes quelque chose de nouveau. Tu n’es plus dans la
peur, dans ces moments où la confusion te remplit. C’est déjà une bonne chose. Tu
sais que lorsque tu es dans un tunnel, la lumière est toujours au bout. C’est
vrai que c’est inconfortable pour ton mental mais tu dois accepter ses limites
et te souvenir que tu n’es pas uniquement ce cheval sauvage. Tu es l’énergie
qui donne le mouvement au cavalier, au cheval, tu es le sol qu’ils foulent...
C’est le
moment d’avancer dans le noir, pas à pas afin de ne pas trébucher.
Non dans la peur de la chute mais dans la confiance que tu peux le faire et que
des mains invisibles te guident ».
Bon la
confusion mentale s’est manifestée jusqu’à ce que je prenne conscience de ce
qui m’amenait à être dans cet état. J’en demande beaucoup à mon corps mental et
je me focalise trop sur ses limitations. Je me suis dit que mon malaise venait
de ma tendance à vouloir performer et de ce fait à blâmer mon corps mental qui
est tout de même capable d’élargir son cadre de références. Il est "normal" qu’il soit dans la confusion tant il doit gérer toutes ces
nouvelles croyances. Là où je m’embrouille c’est de vouloir aller trop vite et
de ne pas lui laisser le temps d’intégrer les choses. Il a besoin de digérer
toute la nourriture qu’il reçoit. Il est programmé pour assimiler mais tout
comme l’estomac, il a besoin d’un certain temps pour effectuer son "travail".
L’erreur
est premièrement de chercher à blâmer quelqu’un. Les choses ont été plus fluides
dès que j’ai reconnu mon attitude critique et que j’ai parlé à cette partie de
moi qui fait de son mieux. C’est
toujours le même problème, le manque d’amour de soi.
Bon, je
vais chercher du gaz espérant que ce qui suit, soit le reflet de l’amour
inconditionnel de soi retrouvé.
Je suis
dure avec moi-même par la pression que je me colle, je n’ai même pas vu combien
le fait de conduire était presque devenu un plaisir. Je n’ai plus de peur, plus
trop d’impatience. Puis le soleil est là sans écraser, la petite conversation
futile avec les voisins qui se sont enfin décidés à installer un système
d’arrosage efficace, me montre que ça avance ! Positive, mademoiselle,
vois le bon côté des choses plutôt que de focaliser sur les petits détails qui
bloquent.
Je
libère le critique intérieur, la tendance au masochisme, le besoin de
performer, l’esprit de compétition...et je ne désespère pas d’y arriver !
Direction
le jardin et on verra sur place. Il va falloir que je m’organise autrement, la
chaleur est écrasante à midi.
J’ai
craqué, je viens d’appeler le propriétaire pour qu’il intervienne auprès du
voisin chanteur. J’ai longtemps hésité, demandé plusieurs fois à sa mère d’intervenir
mais rien n’y fait. C’est peut-être un manque d’équilibre intérieur mais je n’en
peux plus de subir. Les seuls moments de détente que je m’accorde sont pourris
par l’égoïsme de cet homme qui ne se gêne pas pour dire qu’il s’en fout du
propriétaire, des voisins et gueule dès que sa mère essaie de lui dire quelque
chose. Il arrive un moment où le bien-être de chacun doit être respecté. Je ne
vois pas pourquoi je devrais continuer de subir ce genre de comportement. Personne
n’ose se plaindre alors que tout le monde l'entend. C’est comme si c’était normal
que monsieur fasse sa loi. C’est vrai que ça me permettait d’être libre de
jouer aussi, mais en même temps, la musique doit être un plaisir partagé et non
imposé. Nous devons apprendre à vivre dans le respect mutuel et même si ça m’emmerde
d’avoir dû intervenir, il fallait que ça cesse. Cette intrusion quotidienne n’a
pas lieu d’être.
Plus d’un
an à me dire qu’en guérissant l’intérieur, les choses vont s’améliorer mais
dans une situation, chaque personne doit être responsable de ses actes. Libérer
la victime intérieure demande aussi de poser des actes concrets par rapport à l’entourage.
Peut-être que le scénario a été crée au niveau de l’âme pour que j’apprenne à
faire valoir mon droit au respect et lui le besoin de mettre des limites. On
peut interpréter les choses de différentes manières.
Si quelqu’un me marche sur
le pied et ne s’en rend pas compte, je ne vais pas souffrir sous prétexte que
je crois en la loi d’attraction. Je vais lui dire qu’il me fait mal. Si malgré
ça, il continue, je vais le pousser ou dégager mon pied.
J’ai choisi de sortir des rôles de victime, bourreau et sauveur et dire stop, c’est aussi une façon de le faire. Même si ça risque de pourrir l’ambiance, je ne vis pas avec eux et ils n’ont pas à venir s’immiscer chez moi. Je n’ai pas à subir leur difficulté à se respecter mutuellement et puis je n’ai pas non plus à me prendre la tête avec ça pendant des heures ! C’est fait.
Je retourne au jardin, il y a de l’herbe à arracher !
J’ai choisi de sortir des rôles de victime, bourreau et sauveur et dire stop, c’est aussi une façon de le faire. Même si ça risque de pourrir l’ambiance, je ne vis pas avec eux et ils n’ont pas à venir s’immiscer chez moi. Je n’ai pas à subir leur difficulté à se respecter mutuellement et puis je n’ai pas non plus à me prendre la tête avec ça pendant des heures ! C’est fait.
Je retourne au jardin, il y a de l’herbe à arracher !
Photos de ma collec' que vous pouvez utiliser en citant la source.