vendredi 21 février 2014

"I'm in love with myself!"






Réveillée à 4h par le froid, je me suis éjectée du lit pour faire du feu et le tableau de mon chat allongé tel un humain, sous les draps, la tête sur la taie d’oreiller, m’a bien fait rigoler ! Ce que je vis avec cet animal, au niveau affectif, est le modèle de ce que je rêvais de vivre avec un homme, à l’adolescence. Un amour sincère, inconditionnel où je peux être moi-même complètement, sans craindre de ne pas plaire à l’autre, où j'aime l'autre quoi qu'il fasse, me réjouisse de le voir libre, où la communion de cœur à cœur se passe de dialogue, où on n’agit pas pour prouver son amour, où l’attachement n’a pas lieu d’être…Et la liste est longue ! Comme je ne suis plus à croire au prince charmant, bien que parfois le désir de fusion avec ma présence divine s’en approche, je me dis que tout commence en soi. Que cette relation idéale doit d’abord être vécue avec tous les aspects intérieurs avant de pouvoir se manifester dans la matière, la chair, l’incarnation. Puis tant que l’autonomie affective n’est pas acquise, le danger d’être dépendant de l’autre, de son amour, planera toujours au dessus de ma tête ! Et oui, c’est bien le mental qui se fait des films, qui ressortirait les vieilles peurs et m’empêcherait de vivre une relation pleinement, en toute confiance. Alors, je me satisfais de pouvoir être libre et voit en cette situation tous les bons côtés. Un célibat choisi, même si l’envie de vivre quelque chose de fusionnel, de charnel, n’est pas exclue, c’est déjà le signe que l’amour de soi est réel. Puis maintenant, je me réjouis de vivre cette relation entre ma personnalité humaine et le divin intérieur! Ce n'est plus une préparation à une éventuelle vie à deux, c'est une union vécue au jour le jour, par l’accueil de Tout ce que je suis, qui me comble. Bien qu'il n'y ait pas de sexualité, le plaisir est néanmoins bien réel et la joie au rendez-vous! 

jeudi 20 février 2014

La vie en perpétuel mouvement






Ressentir les énergies peut amener à vouloir se fermer, se protéger du monde extérieur mais à mesure qu’on intègre l’amour vrai de soi, la confiance en soi s’installe. Cependant, notre âme veille à ce que nous soyons toujours dans l’équilibre, le juste milieu. Il ne s’agit pas de la confiance qui écrase l’autre, qui se construit par la comparaison mais celle qui vient de l’intérieur, de la reconnaissance de ses faiblesses tout autant que de sa force, de ses ombres et de sa lumière, de l’intégration du masculin et du féminin divins ou plutôt de leur guérison qui amène par la réconciliation, l’autonomie et la souveraineté. De cette façon, on peut rayonner sa lumière et communier par le cœur, sans attente, librement en reconnaissant en l’autre un frère, un égal. 
Savoir que nous sommes divins et créateurs, ne nous place pas au-dessus des autres, au contraire, quand on sait, on ne peut plus faire semblant et continuer de jouer les victimes. La puissance qui nait de cette connaissance est « calmée » par l’effet miroir qui nous ramène à notre responsabilité. Accepter ses faiblesses, c’est être pleinement soi-même, ne pas feindre d’être bien dans sa peau sous prétexte que nous savons que la paix et l’amour sont des forces qui nous relient aux autres, mais vivre pleinement notre état d’être du moment, sans se justifier, sans reporter son mal-être sur l’entourage. Quand on peut reconnaitre et « avouer » ses propres faiblesses, non seulement ça nous attendri mais en plus ça peut aider ceux qui vivent les mêmes choses, à accepter leurs propres ombres et par la même, à trouver leur lumière.

"S'habituer à la Fluidité" par Meredith Murphy





Cette année, il a beaucoup de flux et de reflux, ainsi qu'une intensité croissante de nouvelles énergies.
Réalisez ceci: vous êtes entrainé à devenir fluide.
Vous êtes soutenu par l'arrivée de ces nouvelles particules, afin de vous identifier au sens éternel de qui VOUS êtes, au lieu des expériences locales de chaque instant.
Vous êtes incité à vivre au-delà de ce qui était auparavant : que ce soit les idées, les paradigmes, les schémas ou les croyances ; et l'énergie contribue à élever vos fréquences et perspectives.

"L’ascension et la divulgation…" par Aurélie Pech






Agissant selon l'élan du moment, je me sens poussée à me tourner vers la base de ce qui m'a éveillée à la réalité de l'être intérieur et c'est dans ce but que je publie les messages des êtres de lumière, canalisés par Simon Leclerc et Aurélie Pech. Chacun dans son style transmet ce qu'il reçoit et ce qui est remarquable, c'est d'y trouver la même essence, la même intention, les mêmes recommandations. Celui qui suit met les choses au point. Oui, connaitre ses origines par la lecture des messages peut être utile mais rien ne remplacera jamais l'expérience. Ils sont destinés à ouvrir notre cœur et à élargir notre point de vue mais nous amènent toujours à nous tourner vers l'intérieur, afin de trouver la porte en nous-même et ainsi de mieux vivre notre incarnation et notre relation au monde.
C'est la reliance à la terre mère, l'ancrage dans la réalité terrestre, qui m'invite à me tourner vers le "ciel", me permet de ressentir la présence de ces messagers pendant la lecture et la connexion familière qui nous unit. 
Il ne s'agit pas de fuir la réalité de ce monde mais de prendre conscience de sa propre vérité, de sa propre lumière, de goûter l'amour qui émane de la source en son propre cœur. C'est la communion que l'on ressent, la proximité, qui stimulent notre mémoire et nous donnent l'assurance que ce qu'on lit est vrai, répond à l'appel de notre cœur. Ce mode de communication particulier peut difficilement être prouvé, même expliqué puisque c'est quelque chose d'intime, qui va au-delà de la compréhension mentale.

"Le détachement et le cycle des naissances" le Collectif Ashtar via Simon Leclerc





Note: Ce texte est la retranscription d'une canalisation publique avec la Fraternité Universelle qui a eu lieu le 17 mai 2009 à Waterloo, au Québec. Le message a été "recanalisé" et adapté à un plus large auditoire.


Salutations à vous, chers enfants de la Terre,

Il nous fait grandement plaisir de nous présenter à vous, ici et maintenant, dans cette époque carrefour de votre vie. Vous avez commandé une ouverture massive de conscience afin de vous amener à rencontrer vos plans de vie, votre plan d’Âme et cela est très apparent lorsque nous observons vos champs auriques. Déjà, nous pouvons noter à l’intérieur de vous, une forme d’enthousiasme à compléter ce cycle, et surtout, à vous souvenir qu’à l’origine, ce cycle se voulait être très stimulant, bien qu’en cours de route, vous ayez pu ressentir ses lourdeurs.

"Le soleil a rendez vous avec la lune..."





J’ai toujours été fascinée par la lune tout autant que par le soleil, ces deux "étoiles" qui ne se rencontrent jamais, qui se courent après, qui s’éclipsent mutuellement…Leur histoire est assez représentative de la relation homme/femme. Les énergies de la Lune sont plus subtiles que celles du soleil, moins brutales, mais pas moins puissantes et même si elle ne fait que refléter la lumière de l’astre roi, elle est celle qui agit dans l’ombre, la coulisse, participe à l'expression et l'expansion de la vie. On l’associe aux sciences occultes, à tout ce qui est  "animal", naturel en fait. C’est peut-être ce qui fait peur aux hommes qui voient en elle une force mystérieuse, de la même façon, ils se méfient des femmes et du désir qu’elles suscitent en eux. Cette force capable de déchainer les mers a toujours été diabolisée de la même façon que la sexualité. Il a le même comportement avec la nature qu’il tente de maitriser tout comme il le fait en cachant ses instincts, en les refoulant. Tout ce qui est incontrôlable fait peur et la peur fabrique des monstres, des démons, à partir d’ombre qui ne sont que le résultat du rayonnement de la lumière sur un objet. L’esprit de lutte, engendré par la peur, qui fait voir en toute chose, un ennemi potentiel, nait de l’attachement à l’objet. On a peur de le perdre alors on l’enferme, on le garde, on le cache, on le voile, on l’ampute de ses ailes…

mercredi 19 février 2014

"Le chakra sacré…" Marie Madeleine via Aurélie Pech



Lydia Féliz

 

J’ai retrouvé ce message publié l’année dernière et en le relisant j’ai été à nouveau touchée. Mon premier réflexe, devenu habituel lorsque je suis bouleversée ou que je me sens fragilisée, c’est de me connecter à la Terre Mère, pour appeler son soutien. Je me suis toujours sentie très proche de la nature mais depuis que je cultive ma relation à la conscience de cette planète à travers le jardin, je ressens sa bienveillance et son soutien dans le processus d’auto-guérison, elle est devenue comme une seconde mère à qui je confie mes peines. C’est une réalité puisque mon corps physique est constitué des mêmes éléments. Cette reliance me permet de faire confiance à la vie par le constat qu’elle a toujours pourvu à mes besoins vitaux. Le fait qu’elle me pousse à inviter l’énergie masculine en moi, tout à l’heure, comme la réponse à mon hypersensibilité, à ma demande de soutien, m’a ouvert les yeux à nouveau. Bien que je sache en théorie que l’union des polarités mène à la complétude, à l’autonomie, il semble que des parts inconscientes redoutent encore le masculin et craignent d’être manipulées. L’amalgame semble tenace entre les hommes et les énergies masculines et même si ma raison sait faire la différence, quelque chose en moi reste confus. La façon générale des hommes de parler de spiritualité n’arrange rien au problème. Ces parts inconscientes sont peut-être à l’origine des émotions telles que la colère, la tristesse, la peur du manque, le besoin de soutien…