jeudi 18 avril 2013

La balade à vélo, vidéo chansons françaises, photos



Ce matin, j’ai décidé d’aller en courses à vélo. Le soleil est bien présent et la journée s’annonce chaude. Il y a un petit vent qui fait du bien. Voici quelques chansons que j’ai écoutées, ce matin.

"Les vieux amants" Juliette Gréco
Ce n'est pas ma version préférée. 
 

mercredi 17 avril 2013

Hommage aux fleurs, à la terre mère




J’ai envie de vous montrer ces quelques photos de fleurs prises au jardin. 
Juste pour le plaisir de la vue. Dommage qu’il n’y ait pas l’odeur !
Ce coquelicot au pollen doré est magnifique!

Les joies du jardinage





Centimètre par centimètre, je désherbe et ça commence à se voir ! Je fais de même à l’intérieur et pour ce qui est du masculin, le silence au jardin a été rompu par une débroussailleuse ! Le voisin à qui j’ai donné des pieds de fraises et qui laisse crever de soif, tous les plans qu’il n’a toujours pas mis en terre ! Il était censé bosser au village à côté mais s’est arrêté à cause d’un mal de dos et le voilà ici, à débroussailler ! 

Il semble que mon appel à l’unité de tout à l’heure n’ait pas encore porté ses fruits ! J’ai vraiment du mal à trouver des références masculines vers qui me tourner dans ce genre de situation où en plus je m’énerve à ne pas arriver à être en paix à l’intérieur ! 
Il est temps de se calmer ! Je vais aller chercher le steak que j’ai mis à décongeler dans la voiture.

Appel à l'unification



 
Yarek Godefrey
Comment ça fait trop du bien de ne pas cogiter ! Comme c’est bon de prendre les choses une par une, tranquillement, sans courir. J’ai enfin reçu les pièces de voiture ! 5 jours pour venir ! Maintenant, reste à contacter le mécano ! C’est une autre histoire. J’ai laissé un premier message...
Je ne m’en fais pas plus que ça, on verra. Je tenterais de le joindre à nouveau, dans la soirée.
J’ai passé deux heures au jardin et cette fois-ci, ça n’est pas la pluie qui m’a arrêtée mais le soleil ! Il fait déjà bien chaud ! J’ai ma ceinture de laine autour de la taille pour finir de guérir la douleur aux reins. Depuis vendredi soir, ça ne me lâche pas ! Remarque, c’est déjà beaucoup moins douloureux et handicapant que la semaine dernière. J’arrive à être un peu plus souple. Je me demande si la raideur qu’impose la douleur, ne serait pas l’image de la façon dont je me traite avec la culpabilité. C’est un poison mortel.

Voila ce que j’ai écrit hier ! Aucune inspiration, rien à dire.
C’est comme si je n’entendais plus la connexion à mon âme. Je ne remets pas ma foi en question mais je constate que je suis plus dans le mouvement que dans ma tête. Ce qui en soi est une bonne chose.

lundi 15 avril 2013

"Du coeur au ventre" message de la Terre reçu par Paméla Kribbe. Vidéo Nature





Le réveil, ce matin, est un peu laborieux. Encore toute ensuquée, j’ai le cerveau ramollo ! Pas vraiment inspirée à écrire, je voudrais partager ce message de la terre mère, reçu par Paméla Kribbe. Je vais y aller mollo avec la beu si je veux retrouver toute ma tête ! Il est vrai que c’est agréable d’avoir des moments de silence au niveau du mental mais là, c’est trop. Je me sens toute molle !

Du cœur au ventre
Accomplir le voyage de l’âme
Message de  la Terre à Pamela – Août 2009
http://jeshua.net/fr 

Chers enfants humains,
C'est moi, la Terre qui vous parle. Je suis votre mère et je vous porte en mon sein tout au long de votre vie. Je vous chéris, même si vous n'en avez pas conscience et que vous êtes trop occupés et trop pris par vos affaires quotidiennes. Je vous soutiens et vous invite à vous connecter à moi, alors que je souhaite raviver votre mémoire et vous rappeler quelque chose. Il s'agit d'une chose ancienne et précieuse qui semble avoir été oubliée dans ce monde moderne. Cela concerne la sécurité naturelle de l'existence sur la Terre.

dimanche 14 avril 2013

J'ai appelé à tendre vers la liberté, l'harmonie, la transparence et l'authenticité




Il m’a fallu près de 24h pour oser publier le texte écrit hier après midi ! La peur d’être jugée, décrédibilisée. Puis, je me suis dit, mais qu’est-ce que je me fous d’être crédible ou pas, le propos n’est pas celui-ci, c’est l’envie d’authenticité qui me motive à m’exprimer sur ce blog. Puisque le truc c’est de témoigner de ma façon d’intégrer ma foi, au quotidien. Il est vrai que depuis quelques textes, j’ai tendance à perdre le ton témoignage mais il n’est jamais trop tard pour revenir à mon style premier. Primaire, diraient certains !
Toujours est-il que l’expérience d’hier a été fort instructive. Les appréhensions que j’avais se sont avérées inutiles et c’est logique puisque celles-ci étaient motivées par la peur. La peur de ne pas savoir gérer mes émotions. Pas de souci, je n’ai eu aucun désir tant nous nous sommes éloignés l’un de l’autre. Je me suis trouvée face à quelqu’un à l’esprit étroit et fermé. Rigide à souhait et aucun désir n’est remonté à la surface ! De ce côté, je peux vois que je n’ai absolument rien à craindre de mon corps émotionnel qui en fait réagit par rapport au corps mental. Je peux voir ici, que celui-ci est activé par les pensées, les croyances profondes. Il est donc question d’amour conditionnel.

samedi 13 avril 2013

Application de" l'acceptation de tout ce que je suis"



Helena Nelson Reed

 Ce matin, le soleil semble vouloir offrir sa présence pour la journée. Je suis toute excitée à l’idée de profiter du dernier jour où je peux circuler en voiture, sans craindre les contrôles policiers. J’ai décidé d’aller chercher de l’herbe. Dans ma volonté d’être dans l’acceptation de ce qui est, je cède au désir qui est venu il y a quelques jours, de m’offrir ce plaisir. J’espère pouvoir doser. C’est une chose que je n’ai jamais su faire. C’est comme si j’avais toujours oscillé entre culpabilité de fumer ce produit que la majorité qualifie d’illicite et le plaisir qu’il procure. Je me dis que j’ai amplifié la culpabilité en associant le produit à un genre d’adhésion au mal, mais comme ce concept devient totalement faux, pour moi, maintenant, je me dis qu’il est temps de tester ma capacité d’acceptation de ce qui est. En l’occurrence, est-ce que je m’autorise à aller au bout de mon envie, sans m’identifier au personnage de "drogué", sans culpabiliser de vouloir ce plaisir ? Quand j’étais ado, je n’avais pas de notion de culpabilité, je considérais que le fait de fumer était avant tout un plaisir et il marquait mon désaccord avec la société où l’effort, la souffrance et le sacrifice sont récompensés par des médailles. Celle du travail, celle du sacrifice à la nation, celle pour les familles nombreuses...Autant de récompenses qui amplifient l’idée de petitesse de limitation de l’humain "intégré" dans la société mais désintégré en lui-même.