Quand je
tentais de comprendre pourquoi j’étais dépendante des cachets, qui en moi, quel
corps appelait ce besoin, je tournais un peu en rond. Est-ce le corps physique
qui est en manque d’endorphines, le corps mental qui ne supporte pas l’idée du changement, a peur du manque, l’inconscient qui active les pulsions de mort...
Puis j’arrêtais d’y
penser pour ne plus être dans l’autocritique, la recherche d’un coupable. Chercher à comprendre est une bonne chose, si la raison est valable.
Depuis
que j’ai décidé d’apprivoiser mon enfant intérieur, de l’écouter sérieusement,
de tenir compte des émotions intérieures sans les rejeter ni les juger, ses révélations m’éclairent grandement. Le non jugement et la tendresse que je
m’accorde lui permettent de se sentir en confiance et de pouvoir se livrer.
Je suis
convaincue qu’il est la clé du divin en moi.